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Sunday, July 31, 2022

Zone Agtech : une « Silicon Valley » des technologies agricoles innovantes prend forme | La Terre de Chez Nous - La Terre de chez nous

31 juillet 2022

Une révolution se produit dans l’univers agricole québécois ces jours-ci alors que les premiers bâtiments de la Zone Agtech, une zone d’innovation de calibre mondial en agtech et bioproduits végétaux située dans la MRC de L’Assomption, se construisent officiellement.

Sur 15 km2, incluant notamment le site de l’ancienne usine d’Electrolux, une quarantaine d’entreprises agtech du Québec et d’ailleurs ont élu domicile pour innover ensemble, se développer plus rapidement et intensifier leur rayonnement au Québec et à l’international.

Ce n’est là que le début : d’ici cinq ans, le site de 15 km2 devrait inclure les installations de 100 à 150 petites, moyennes et grandes entreprises spécialisées en technologies agricoles ou en fabrication de bioproduits végétaux.

C’est du moins ce qu’entrevoit l’un des porteurs du projet, le maire de la Ville de L’Assomption, Sébastien Nadeau.

« La fermeture de l’usine d’Electrolux en 2014 nous a amenés à chercher de nouvelles façons de dynamiser la MRC de L’Assomption, confie-t-il. Comme 76 % du territoire de la MRC de L’Assomption est agricole et que l’on compte déjà plusieurs producteurs maraîchers ici, en plus d’un centre de recherche en science des plantes, l’idée a paru évidente. »

Cette idée était celle de créer une zone d’innovation qui poursuit la mission de rassembler et de propulser les innovations du Québec en matière de technologies agricoles et de les faire rayonner au Québec et à l’international. Aujourd’hui, non seulement la MRC de L’Assomption attire-t-elle des entreprises innovantes québécoises et internationales capables de mettre au point des solutions économiquement viables, mais elle crée aussi des synergies en les amenant à collaborer pour développer des technologies et accélérer leur commercialisation.

La création de la Zone Agtech n'aurait pas été possible sans l'appui de différents acteurs que compte la MRC de L'Assomption. De gauche à droite : Dominique Masse (Table des préfets de Lanaudière), Sébastien Nadeau (Ville de L’Assomption), Steve Plante (Ville de L’Épiphanie), Eric Chartré (CieNOV), Chantal Deschamps (Ville de Repentigny), Georges Robinson (Ville de Repentigny), Marilou Cyr (Zone Agtech), Michel Champagne (Ville de St-Sulpice) et Joffrey Bouchard (MRC de L’Assomption).

La création de la Zone Agtech n’aurait pas été possible sans l’appui de différents acteurs que compte la MRC de L’Assomption. De gauche à droite : Dominique Masse (Table des préfets de Lanaudière), Sébastien Nadeau (Ville de L’Assomption), Steve Plante (Ville de L’Épiphanie), Eric Chartré (CieNOV), Chantal Deschamps (Ville de Repentigny), Georges Robinson (Ville de Repentigny), Marilou Cyr (Zone Agtech), Michel Champagne (Ville de St-Sulpice) et Joffrey Bouchard (MRC de L’Assomption).

Le projet comptait déjà sur une quinzaine d’entreprises lors de son lancement officiel le 6 février 2020.

« L’objectif, c’est de nous amener à la souveraineté alimentaire en ayant contribué activement à l’accélération des technologies qui permettent de produire pendant 12 mois par année », précise M. Nadeau, soulignant que la Zone Agtech se concentre sur des productions en environnement contrôlé, et donc en serres, notamment.

Les entreprises de la Zone Agtech devraient d’ailleurs bénéficier du Programme de soutien au développement d’entreprises serricoles du MAPAQ, ainsi que de tarifs préférentiels en électricité d’Hydro-Québec, pour mener à bien leurs projets. « On exige que chacun des bâtiments au sein de la Zone Agtech ait une serre sur son toit, souligne le maire de la Ville de L’Assomption. On en fera des espaces dédiés à la production, à la recherche et à l’innovation. »

Selon lui, pareil projet devrait amener des jeunes à s’établir dans la région, la Zone Agtech ayant pour objectif de mener à la création de 2 600 emplois. « On n’a pas choisi le chemin le plus facile, mais le volet environnemental et humain est super intéressant, dit-il. On a des valeurs environnementales audacieuses, et on se dit qu’en attirant des citoyens convertis, on pourrait pousser l’audace encore plus loin. »

De la « start-up » à la grande entreprise

Comme tout bon écosystème, la Zone Agtech mise sur un amalgame d’entreprises de toutes tailles.

Les plus petites seront bientôt accueillies dans un incubateur et un accélérateur au sein du Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière, un centre de recherche en sciences des plantes reconnu au Québec, et du bâtiment principal de la Zone Agtech, un édifice de 400 000 pi2 dont la construction devrait démarrer cet automne. Les autres s’établiront tout autour, au sein de la zone de 15 km2 qui est prévue pour ce projet.

Les entreprises, particulièrement les plus petites, profitent déjà d’appuis multiples. En plus de bénéficier d’un service d’accompagnement en gestion de projets d’innovation, commercialisation et financement, elles ont accès à des sources de financement alternatives allant jusqu’à un maximum de 250 000 $. Elles ont aussi le loisir de tester leurs innovations et produits en développement dans les serres et parcelles expérimentales de la Zone, en plus d’avoir accès aux spécialistes d’institutions d’enseignement susceptibles d’appuyer leur projet.

Un programme d’innovation ouverte est également offert aux entreprises matures afin d’identifier les tendances du marché et les innovations qui les intéressent. Ce faisant, la Zone Agtech collabore actuellement avec l’Agence spatiale canadienne, Cycle Momentum et Innov HQ ainsi que les Producteurs en serre du Québec et l’Association des producteurs maraîchers du Québec.

Et le projet profite présentement d’un bel élan, souligne Marilou Cyr, directrice du projet de la Zone Agtech. « On discute déjà avec 47 entreprises de toutes tailles », souligne-t-elle, en ajoutant que chacune doit d’abord se soumettre à un processus de sélection.

« Un comité s’assure que chaque entreprise sélectionnée contribue et contribuera à renforcer la Zone par sa complémentarité ou son expertise. » 


Propulser l’agriculture de demain

La Zone Agtech est un lieu d’innovation, de maillage stratégique, de savoir et d’accélération d’affaires voué aux entreprises spécialisées dans les secteurs des agtech et des bioproduits végétaux. En plus d’un lieu unique où évoluer, elle offre une programmation variée et des services spécialisés pour propulser les entreprises et les aider à croître. Voici quelques-uns de nos membres.

Alliance Solutions

Votre partenaire pour réduire l’impact de la pénurie de main-d’œuvre! Nos experts conçoivent et implantent des solutions concrètes afin d’accroître votre productivité à court terme. Dispensateur de services Agri-Conseil.

Nexus Robotics

L’agriculture a toujours consisté à avoir les bons outils pour faire le travail. Nous fournissons des outils de nouvelle génération aux agriculteurs qui réinventent le fonctionnement des fermes. Nous offrons flexibilité et liberté à ceux qui créent l’avenir de l’agriculture. Nous veillons à ce que les fermes soient prêtes pour demain.

Myllennium Technologies

Vos défis environnementaux alimentent notre passion. Nous transformons des matières résiduelles agroindustrielles en combinant les plastiques non recyclés et de la biomasse pour la production de biomatériaux sans impact sur l’environnement.

Bioponix

Le plus performant mode de culture Bio-inspiré pour les serriculteurs. Grâce à un système innovant basé sur la biologie de la terre vivante et la culture de haute précision, le système Bioponix combine qualité de production 100 % bio, facilité d’utilisation, haut rendement et écoresponsabilité.

ChrysaLabs

ChrysaLabs développe une solution d’analyse de la santé et de la fertilité du sol en temps réel qui permet aux agronomes et aux producteurs agricoles de mieux gérer leurs champs, de réduire la surfertilisation et de pratiquer une agriculture plus durable.

HRVST

HRVST est une entreprise de technologie agricole verticale qui conçoit, fabrique, distribue et entretient des systèmes de culture à grande échelle. Conçus pour abriter et optimiser indépendamment plusieurs types de cultures différentes à la fois, les systèmes offrent un contrôle inégalé de climat rangée par rangée permettant de faire face aux imprévus causés par les nombreux changements climatiques.

Lapalme Agtech

L’entreprise Lapalme a conçu le robot SAMI 4.0 pour automatiser la récolte de fruits et de légumes. Grâce à l’IA, la robotique et son système de vision avancé, il cueille uniquement les produits identifiés, et ce, jusqu’à 40 rangs de large.

Ferme d’Hiver

Des fermes plus productives, plus écologiques, plus rentables. Ferme d’Hiver met en place un pôle agro-industriel pour augmenter l’autonomie alimentaire du Québec, et cherche à établir des partenariats avec des maraîchers. Contactez-nous pour en savoir plus!


Ce portrait d’entreprise d’ici est une présentation de

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Wypro et l’utilisation des technologies 3D dans le développement de semelles orthopédiques - 3Dnatives

wypro

L’utilisation de l’impression 3D en médecine ouvre la voie au développement d’applications nouvelles et innovantes. Le principal avantage offert par cette technologie est la possibilité de proposer des solutions personnalisées, adaptées aux besoins de chaque patient. C’est particulièrement intéressant dans le domaine de l’orthopédie, où nous assistons à une mise en œuvre croissante de la fabrication additive et de la numérisation 3D pour le développement de semelles et de solutions orthopédiques uniques. L’une des entreprises espagnoles travaillant dans ce domaine est Wypro. Nous avons interviewé son équipe pour en savoir plus sur son activité et son utilisation des technologies 3D.

3DN : Pouvez-vous vous présenter ainsi que votre lien avec les technologies 3D ?

Le Dr. Pablo Marín

Je suis le Dr Pablo Marín, podologue spécialisé en biomécanique et PDG de Wypro. En 2019, avec Jorge Granell, ingénieur mécanique spécialisé en technologies 3D, nous avons fondé Wypro 3D Medical. Nous avons formé une jeune équipe multidisciplinaire composée d’un ingénieur mécanique, d’un ingénieur biomédical, d’un médecin, de deux podiatres et d’un technicien orthopédique, créant ainsi l’une des premières unités de conception et d’impression 3D avec son propre développement technologique dans le secteur de l’orthopédie et de la podiatrie en Espagne, située sur la Costa del Sol.

La création de Wypro est née le jour où Jorge Granell, ancien patineur de l’équipe nationale, s’est rendu à mon cabinet. Lors d’un de ses contrôles réguliers, nous avons constaté la nécessité de fabriquer des semelles orthopédiques suffisamment précises pour absorber toute l’énergie des sauts et répartir les pressions plantaires avec une densité variable et sur une surface aussi petite que le patin. Tous les deux, en raison de notre passion pour la technologie et la recherche, avons commencé à recruter toute l’équipe et l’aventure a commencé.

3DN : Qu’est-ce que Wypro ?

Wypro 3D Medical est une entreprise de Malaga située dans le domaine de la biomédecine et de l’ingénierie spécialisée dans la conception et la fabrication de semelles orthopédiques utilisant la technologie 3D. Nous avons développé notre propre logiciel de conception basé sur Rhinoceros et avec des éléments automatisés utilisant Grasshopper. Une des avancées que nous offrons au secteur est le système de densité variable par points basé sur les données offertes par les plateformes de pression plantaire. En utilisant les calculs par éléments finis et avec seulement le rapport de colorimétrie offert par ces plateformes, notre Script détecte les différences de couleur et applique une densité spécifique en fonction des caractéristiques dynamiques de l’empreinte de chaque utilisateur de manière automatisée. Nous obtenons ainsi une réponse élastique spécifique pour chaque utilisateur, en ayant la capacité d’appliquer des protocoles spécifiques pour les athlètes ou les pathologies, en offrant différentes possibilités de réponse (par exemple, une plus grande propulsion dans des phases spécifiques de la marche ou une plus grande amplitude dynamique pour des sports comme le paddle ou l’athlétisme).

Wypro utilise les technologies 3D pour fabriquer des semelles orthopédiques

3DN : Qu’est-ce que le Wypro 3D Scan et quels avantages offre-t-il ?

Le Wypro 3D Scan est un scanner laser 3D destiné au secteur de la podologie et de l’orthopédie que nous avons développé en 2017. Nous nous trouvions dans un secteur où les méthodes traditionnelles utilisant la mousse et le plâtre étaient employées pour obtenir des mesures de pieds, qui avaient plus de 50 ans. Aujourd’hui, en moins d’une seconde et demie, nous pouvons obtenir un fichier avec toutes les mesures et structures du pied sous la forme d’un maillage de 350 000 points, qui se connecte automatiquement à notre plateforme de conception Cloud et télécharge les fichiers depuis n’importe où dans le monde.

Le grand avantage pour le professionnel est qu’il peut corriger le pied et le mettre en position neutre avant la numérisation 3D et dans une charge contrôlée : c’est un facteur clé, car ce n’est pas la même chose de prendre un moule du pied avec le poids du corps (plus proche de la réalité) que sans.

Par la suite, l’équipe d’ingénieurs peut modifier le scan en fonction de la conception, car pour de nombreux pieds, tels que les pieds plats rigides, il est difficile d’effectuer la technique de correction de la voûte plantaire en raison de leur propre anatomie affaissée. Avec les techniques traditionnelles, nous devrions passer des heures de travail à rectifier le plâtre positif par polissage et à l’œil. Et que se passerait-il si le plâtre était perdu ou si le patient avait besoin d’une copie exacte du traitement après quelques années ? Grâce à notre solution, nous pouvons proposer des répliques exactes à des clients du monde entier.

Pour personnaliser les semelles, les équipes ont développé le Wypro 3D Scan.

3DN : Quelle méthode d’impression 3D utilisez-vous pour le développement des semelles ?

Après avoir testé plusieurs technologies d’impression 3D, nous avons finalement opté pour le frittage sélectif par laser (SLS). Cette méthode d’impression nous a permis de trouver le parfait équilibre entre vitesse d’impression et précision. Proposer des pièces 100 % solides qui répondent aux contraintes mécaniques du pied (poids, déformation et fatigue) a été l’une des conditions fondamentales du choix.

Grâce à un laser de faible puissance, le matériau est fondu, ce qui permet d’obtenir des pièces très similaires à celles obtenues par moulage par injection, avec un très bon état de surface. Nous travaillons actuellement avec le PA12 comme matériau principal, qui nous offre l’équilibre parfait entre la flexibilité que l’utilisateur exige pour que les semelles soient confortables et la rigidité nécessaire pour effectuer une bonne correction de la biomécanique du pied.

3DN : Comment voyez-vous l’avenir de l’impression 3D dans ce domaine ?

L’impression 3D, comme dans d’autres domaines, a été l’une des avancées les plus révolutionnaires de ces dernières années. Elle a réussi à réduire les délais de livraison des semelles et, associée à un logiciel personnalisé pour la conception des orthèses plantaires, elle permet d’obtenir une adaptation au micron près du pied de l’utilisateur. Ces dernières années, grâce aux imprimantes open source et aux nouveaux développements de divers matériaux, l’impression 3D au niveau industriel a commencé à se démocratiser pour les startups et les petites entreprises qui ne pouvaient pas investir de gros capitaux dans l’acquisition de ce type de machines pour le prototypage rapide et les petites séries.

Des semelles personnalisées peuvent être conçues grâce à la numérisation du pied

Wypro est actuellement dans une phase de recherche et de développement avec plusieurs lignes différentes. D’une part, le développement de nouveaux matériaux spécifiques pour la fabrication de semelles orthopédiques, en collaboration avec une multinationale, nous développons une résine aux propriétés mécaniques entre le polypropylène et le TPU. D’autre part, nous commençons à mettre en œuvre des automatismes utilisant l’apprentissage automatique pour prédire les traitements et les conceptions de semelles biomécaniques en fonction des pathologies présentées par le patient et du bon de commande envoyé par le professionnel, ce qui permet de réduire le temps de conception et d’améliorer les délais de livraison, un facteur crucial pour les traitements médicaux.

Les semelles biomécaniques ont beaucoup évolué ces dernières années. Les périodes d’adaptation sont minimes et la qualité de vie de nos patients s’améliore de façon exponentielle avec l’utilisation des semelles Wypro 3D Medical, qui appliquent une technologie de conception faisant appel aux éléments finis, au frittage laser et aux systèmes de prédiction. Cela permet d’obtenir des périodes d’adaptation très courtes et de s’adapter à tout type de chaussure.

La technologie de l’impression 3D a de nombreuses applications méconnues telles que la conception de traitements pour la podologie. Cependant, nous n’avons découvert que la partie émergée de l’iceberg, l’impression 3D a encore un long chemin à parcourir et de nombreux développements que nous ne connaissons pas encore. Nous pouvons continuer à exploiter cette technologie polyvalente et efficace pour la production et le prototypage dans différents domaines et continuer à améliorer la qualité de vie des gens.

3DN : Un dernier mot pour nos lecteurs ?

Nous sommes une équipe multidisciplinaire et jeune, nous ne fermons pas nos frontières à l’expansion et aux nouveaux partenariats avec des entreprises et à l’incorporation de nouveaux talents à l’équipe. Si vous pensez que nous pouvons collaborer ou que nous pouvons vous aider, n’hésitez pas à consulter notre site web, ICI.

Les semelles Wypro

Que pensez-vous de Wypro ? N’hésitez pas à partager votre avis dans les commentaires de l’article. Retrouvez toutes nos vidéos sur notre chaîne YouTube ou suivez-nous sur Facebook ou Twitter !

*Crédits de toutes les photos : Wypro

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ORANGE. Des ateliers numériques pour apprendre les nouvelles technologies - Le Dauphiné Libéré

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Nouvelles technologies - CO2, les micro-algues à la rescousse - RFI

Publié le :

Avec l’objectif de réduire nos émissions de gaz à effet de serre, une entreprise française développe un dispositif de capture de CO2 pour les sites industriels. Le procédé s’effectue à l’aide de micro-algues qui, par photosynthèse, se nourrissent des fumées d’usines. Les micro-algues seront ensuite transformées en matière première destinée aux marchés de l’agroalimentaire.

Le dioxyde de carbone que rejettent en masse les industries et les véhicules roulant aux énergies fossiles, risquent de nous tuer littéralement à petit feu, alertent depuis des décennies les scientifiques qui analysent les dérèglements du climat.

Avec l’objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre, la jeune pousse CarbonWorks, créée en 2021 à l’initiative de la société Fermentalg et du groupe Suez, s’est spécialisée dans la capture et la valorisation du CO2 en cultivant des microalgues. L’entreprise a développé un nouveau standard de photo bioréacteur industriel capable de capter plusieurs milliers de tonnes de CO2 directement à la source des fumées d’usines, nous précise Guillaume Charpy, président de CarbonWorks :

« Les micro-algues sont directement alimentées par le CO2 que rejettent les industries, et sous l’action du phénomène de photosynthèse, ces micro-organismes vont décomposer le CO2 en deux parties, le carbone qu’elles assimilent et l’oxygène qu’elles relâchent dans l’atmosphère. Elles se multiplient très rapidement pour former une biomasse.

Techniquement, nous collectons le CO2 à l’aide d’un tuyau placé en amont des fumées d’usines chargées de dioxyde de carbone que nous purifions au maximum. L’étape suivante consiste à extraire de la biomasse que forme les micro-algues qui sont arrivées à maturité, des molécules d’intérêt pour les industriels, ajoute Guillaume Charpy. Par exemple, nous produisons des fongicides à partir des toxines qui sont sécrétées par certaines variétés de micro-algues, des lipides et des Oméga 3, des colorants alimentaires ou encore des ingrédients à forte valeur ajoutée pour l’alimentation des animaux. La production d’une tonne de biomasse valorise ainsi 2 tonnes de CO2. Notre objectif avec nos photo bioréacteurs industriels est de recycler 10 000 tonnes de CO2 par hectare et par ans. »

CarbonWorks a déjà levé 11 millions d’euros pour construire et mettre en service dès 2023 un photo bioréacteur de taille semi-industrielle. Ce projet fait suite à la première installation d’un réacteur de démonstration qui était installé sur un site de méthanisation à Cestas, en Gironde. Ce photo bioréacteur permettra d’extraire des micro-algues des composants pouvant être utilisés comme fongicide naturel en substitution des pesticides de synthèse, notamment pour les vignobles. 

L’objectif de cette nouvelle unité est également d’encourager les industriels de passer à une économie circulaire du CO2, plus respectueuse de notre environnement en souffrance, mais qui génère aussi des profits.

Vous avez des questions ou des suggestions, vous pouvez nous écrire à nouvelles.technologies@rfi.fr

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Saturday, July 30, 2022

« Les technologies sont devenues un levier pour servir nos objectifs environnementaux et sociétaux » - Le Monde

La technologie ne peut plus se contenter de répondre aux seuls objectifs de rentabilité, de productivité ou d’automatisation. Elle doit permettre aux organisations de s’engager durablement pour répondre aux crises actuelles de tout ordre, économiques, sanitaires, environnementales et sociétales et à la défiance de leurs parties prenantes.

Mais cette « tech for good » est-elle un concept à la mode ou une tendance de fond ? Si on en juge par les discours des étudiants de grandes écoles – HEC, AgroParisTech… –, la technologie doit se mettre au service du bien commun. Plus question pour eux de rejoindre des entreprises ou des organismes publics sans garantie préalable de leur engagement avéré pour réduire les impacts environnementaux et sociétaux négatifs de leurs produits et services.

Pour la jeune génération, la technologie doit être utilisée à des fins de durabilité et non de rentabilité et d’exploitation de notre capital environnemental fini. Ainsi 76 % des étudiants interrogés en 2020 dans le cadre du baromètre « Talents : ce qu’ils attendent de leur emploi » (IPSOS, Boston Consulting Group et Conférence des grandes écoles) confiaient être en quête d’un métier faisant sens à leurs yeux, et 62 % se disaient prêts à refuser un poste dans une entreprise sans engagement social et environnemental.

La « tech » au service de la transition écologique

Des comportements que la crise sanitaire et le réchauffement climatique n’ont fait qu’accentuer. Aujourd’hui, tout un pan de la jeune génération attend des entreprises qu’elles produisent des solutions et des technologies au service du bien commun. En exploitant d’immenses quantités de données complexes dans des affaires comme celle des « Panama Papers », les lanceurs d’alerte et journalistes sont, sans doute, les pionniers de ce mouvement.

En mettant à disposition l’information en simultanée partout dans le monde, ils ont fait du numérique une technologie œuvrant pour la transparence. Puis, avec le développement de nouvelles technologies comme les objets connectés ou la réalité virtuelle, d’autres applications sont venues se greffer.

La tech s’est mise au service de la santé, avec la possibilité d’identifier des tumeurs métastatiques de cancer, d’accéder par visio à des consultations dans les zones enclavées, de partager le dossier médical ou encore de suivre à distance des personnes dépendantes. Ces technologies permettent aussi de répondre aux problématiques de réduction des discriminations et des inégalités ou de l’inclusion des personnes handicapées.

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Lite Access Technologies Inc. Annonce des nominations au conseil d'administration - Zonebourse.com

Lite Access Technologies Inc. a annoncé les nominations de M. Alex McAulay et de M. Mike Irmen au conseil d'administration. Alexander McAulay, CPA, CA est un entrepreneur et un directeur financier et directeur expérimenté de société publique. La société de M. McAulay, ACM Management Inc, fournit aux sociétés publiques des conseils en matière de CFO fractionné et de réglementation. Alex a été le directeur financier de plusieurs sociétés cotées en bourse et a aidé des dizaines d'émetteurs à naviguer sur les marchés publics. Mike Irmen est le propriétaire d'Ironman Directional Drilling LTD depuis plus de 14 ans. Ses plus de 30 ans d'expérience dans l'industrie en tant qu'entrepreneur civil expérimenté et compétent lui ont permis d'obtenir de nombreux projets en Colombie-Britannique, en Alberta et en Saskatchewan. Fournissant une approche organisée à tous les projets, y compris l'attention à la sécurité, Mike réussit à trouver des moyens d'augmenter l'efficacité et de réduire les coûts de chaque projet.

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Eneraqua Technologies plc fournit des prévisions de revenus pour les années 2023 et 2024 - Zonebourse.com

Eneraqua Technologies plc a fourni des prévisions de revenus pour les années 2023 et 2024. La société a indiqué qu'après la fin de l'année, les activités du premier semestre jusqu'au 31 janvier 2023 ont été encourageantes et la société reste sur la bonne voie pour réaliser ses plans de croissance. En plus de l'exécution des contrats de l'année en cours, la société a également construit un solide pipeline d'opportunités pour l'année suivante et au-delà, avec un carnet de commandes fournissant une couverture complète des revenus de la société pour l'exercice fiscal se terminant en janvier 2023 et 67% pour l'exercice fiscal se terminant en janvier 2024.

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Friday, July 29, 2022

Vente d'initiés : Solaredge Technologies - Zonebourse.com

29/07/2022 | 21:07

© MT Newswires 2022

Toute l'actualité sur SOLAREDGE TECHNOLOGIES, INC.
Recommandations des analystes sur SOLAREDGE TECHNOLOGIES, INC.
Données financières
CA 2022 3 062 M - 3 002 M
Résultat net 2022 267 M - 262 M
Tréso. nette 2022 1 093 M - 1 072 M
PER 2022 77,6x
Rendement 2022 -
Capitalisation 19 947 M 19 947 M 19 556 M
VE / CA 2022 6,16x
VE / CA 2023 4,77x
Nbr Employés 3 964
Flottant 98,9%
Graphique SOLAREDGE TECHNOLOGIES, INC.
Durée : Période :
SolarEdge Technologies, Inc. : Graphique analyse technique SolarEdge Technologies, Inc. | Zone bourse

Tendances analyse technique SOLAREDGE TECHNOLOGIES, INC.

Court Terme Moyen Terme Long Terme
Tendances Haussière Haussière Neutre

Evolution du Compte de Résultat

Vente

Achat

Recommandation moyenne ACHETER
Nombre d'Analystes 24
Dernier Cours de Clôture 360,13 $
Objectif de cours Moyen 355,33 $
Ecart / Objectif Moyen -1,33%

Révisions de BNA

Dirigeants et Administrateurs

Secteur et Concurrence

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VIDÉO : Technologies : les jeunes Européennes peuvent viser plus haut - Euronews

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Intelligence artificielle : l'UE investit dans des technologies "à haut risque" pour contrôler les flux migratoires - InfoMigrants

L'intelligence artificielle est de plus en plus utilisée pour contrôler les droits humains (image d'illustration). Crédit : Getty Images
L'intelligence artificielle est de plus en plus utilisée pour contrôler les droits humains (image d'illustration). Crédit : Getty Images

Au nom du contrôle de ses frontières, l'Union européenne investit dans l'intelligence artificielle. Dernier exemple en date : Itflows, un logiciel d'anticipation des mouvements migratoires. Le site d'investigation Disclose révèle des alertes internes concernant de potentielles dérives dans son application. Des expertes du sujet, interrogées par Infomigrants, s'inquiètent de la place grandissante donnée à ces technologies à "haut risque" pour les droits humains.

Cinq millions d'euros d'argent public européen ont servi à développer le projet Itflows, un outil d'intelligence artificielle (IA) visant à anticiper les mouvements migratoires. Prévu pour un déploiement à partir d'août 2023, cet outil pensé par la société privée Terracom et des instituts de recherches est encore en phase de test.

Mais le projet est jugé "préoccupant" par plusieurs experts, dont Petra Molnar, directrice associée du laboratoire Droit des réfugiés à l'Université de York (Canada), interrogée par InfoMigrants. Membre de l'observatoire Migration Tech, qui suit de près ce type de projets, cette avocate et chercheuse considère qu'Itflows "normalise le recours à des technologies à haut risque comme des logiciels d'analyse prédictive pour anticiper les mouvements des personnes traversant les frontières".

>> À (re)lire : Les nouvelles technologies au service de l’identification des migrants morts en mer

De fait, alors que l'outil est encore en phase de test, une enquête publiée par Disclose révèle déjà des alertes internes sur ses dérives potentielles. Il y a "un risque important que des informations se retrouvent entre les mains d’États ou de gouvernements qui les utiliseront pour implanter davantage de barbelés le long des frontières", estime Alexander Kjærum, analyste pour le Conseil danois pour les réfugiés et membre du conseil de surveillance, joint par les journalistes de Disclose.

"Stigmatiser, discriminer, harceler les migrants"

Des membres du comité éthique d'Itflows déplorent un manque d'écoute de leurs alertes. Dans des documents internes obtenus par les journalistes d'investigation, ce comité estime que les informations fournies par Itflows pourraient servir, si elles devaient être utilisées "à mauvais escient", à "stigmatiser, discriminer, harceler ou intimider des personnes, en particulier celles qui sont vulnérables comme les migrants, les réfugiés et les demandeurs d’asile".

Dans un de ces rapports, le comité éthique détaille ces dérives. Entre autres : "Les États membres pourraient utiliser les données fournies pour créer des ghettos de migrants". Le comité pointe également le "risque d’identification physique des migrants", ainsi que de "discrimination sur la base de la race, du genre, de la religion, de l’orientation sexuelle, d’un handicap ou de l’âge".

>> À (re)lire : Pour les migrants, la biométrie tout au long du chemin

Le recours à l'intelligence artificielle "expose les migrants à des violations de leurs droits, y compris le droit à la vie privée, le droit de ne pas être discriminé et le droit de demander l'asile", résume Margarida Silva, chercheuse au Centre de recherche sur les entreprises multinationales (SOMO), contactée par Infomigrants. "En investissant de plus en plus dans la surveillance et la technologie de l'IA, les agences frontalières et les décideurs politiques font également le choix de ne pas investir ces ressources dans les opérations de sauvetage et la création de voies de passage sûres", rappelle-t-elle.

Itflows témoigne de "l'appétit croissant de l'Union européenne (UE) pour l'utilisation de technologies non réglementées et à haut risque" pour les droits humains, déplore Petra Molnar. Parmi ces technologies, on compte aussi les drones de surveillance autonome, ou les logiciels d’extraction de données cellulaires.

Frontex intéressée par l'intelligence artificielle

Dans son enquête, Disclose relève l'intérêt de Frontex pour Itflows. L'agence européenne de surveillance des frontières "suit étroitement les avancées du programme. Jusqu’à y contribuer activement via la fourniture de données récoltées dans le cadre de ses missions", décrivent les journalistes.

Or, plusieurs récentes enquêtes démontrent que Frontex couvre des actes hors de tout cadre légal, en particulier les refoulements de migrants de la Grèce vers la Turquie. Ces pratiques sont "renforcées par diverses solutions technologiques", met en garde Petra Molnar.

>> À (re)lire : Le patron de Frontex Fabrice Leggeri démissionne face au scandale des renvois illégaux de migrants en mer Egée

L'agence ne compte pas s'arrêter à Itflows. Elle assume son souhait de s'appuyer sur d'autres outils d'intelligence artificielle, et communique sur les travaux de recherche et développement en cours. Un autre projet sur lequel misait Frontex, et qui avait fait également polémique, s'appelait IborderCtrl. Cet outil, assimilable à un détecteur de mensonges, avait été financé à hauteur de 4,5 millions d'euros par l'UE. Il visait à décoder les émotions qui traversent les personnes interrogées aux frontières, en analysant les micro-mouvements de leurs visages.

IborderCtrl, tout comme Itflows, ont été financés dans le cadre d'Horizon 2020. Ce programme de recherche et développement représente "50 % du financement public total pour la recherche en sécurité de l’UE", précise le site spécialisé Technopolice.

Nécessité de réguler les nouvelles technologies

En dehors des travaux de chercheurs spécialisés et des enquêtes journalistiques, le développement des technologies comme Itflows par l'UE se fait souvent dans une grande opacité. De nombreuses ONG réclament davantage de transparence.

"Nous avons besoin de lois et de politiques plus fortes qui protègent solidement le droit international de migrer et de demander l'asile", insiste Petra Molnar, L'une des premières étapes consisterait, selon elle, à "impliquer les communautés affectées dans le débat" autour de ces technologies.

Au sein de l'UE, un plan de régulation de l'usage de l'intelligence artificielle est en cours de discussion. Il s'agit de l'AI Act. Les parlementaires européens ont jusqu'à la fin de l'année, au moins, pour amender le texte initial. Petra Molnar, qui a proposé une série d'amendements avec d'autres experts de la société civile, espère que ces négociations aboutiront à "l'interdiction totale des technologies d'analyse prédictive" comme Itflows, avant que celles-ci ne soient mises en œuvre.

 

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Intelligence artificielle : l'UE investit dans des technologies "à haut risque" pour contrôler les flux migratoires - InfoMigrants
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Wednesday, July 27, 2022

Bilan semestriel du contrat de liquidité DBV Technologies avec ODDO BHF - Zonebourse.com

Informations Réglementées
Montrouge, France, le 27 juillet (22h30 CEST), 2022

Bilan semestriel du contrat de liquidi DBV Technologies avec ODDO BHF

DBV Technologies (Euronext : DBV – ISIN : FR0010417345 – Nasdaq : DBVT), société biopharmaceutique française, publie aujourd’hui le bilan semestriel de son contrat de liquidité avec ODDO BHF.

A la date du 30 juin 2022, les moyens suivants figuraient au compte de liquidité :

  • 106 287 titres DBV Technologies ;
  • 430 854,35 euros.

Lors de la mise en place du contrat en juillet 2018, les moyens suivants figuraient au compte de liquidité :

  • 41 159 titres DBV Technologies ;
  • 432 367,25 euros.

Le nombre de transactions exécutées sur le 1ème semestre 2022 est :

  • Achats : 706 transactions
  • Ventes : 869 transactions

Sur cette même période, les volumes échangés ont représenté :

  • 345 064 titres et 1 056 560,18 euros à l’achat
  • 392 408 titres et 1 311 871,05 euros à la vente

À propos de DBV Technologies
DBV Technologies développe Viaskin™, une plateforme technologique exclusive expérimentale avec de larges applications potentielles en immunothérapie. Viaskin est basé sur l’immunothérapie épicutanée, ou EPIT™, et constitue la méthode de DBV Technologies pour délivrer des composés biologiquement actifs au système immunitaire à travers la peau intacte. Avec cette nouvelle classe de produits candidats non invasifs, la Société vise à transformer en toute sécurité le traitement des patients souffrant d’allergies alimentaires. Les programmes de DBV Technologies sur les allergies alimentaires comprennent des essais cliniques en cours sur Viaskin Peanut. Le siège mondial de DBV Technologies est situé à Montrouge, en France, et ses opérations nord-américaines sont basées à Basking Ridge, NJ. Les actions ordinaires de la Société sont négociées sur le segment B d’Euronext Paris (symbole : DBV, code ISIN : FR0010417345) et les ADS de la Société (chacun représentant une demi-action ordinaire) sont négociés sur le Nasdaq Global Select Market (symbole : DBVT).

Viaskin et EPIT sont des marques déposées de DBV Technologies.

Contact avec les investisseurs
Anne Pollak
DBV Technologies
+1 857-529-2363
anne.pollak@dbv-technologies.com

Contact avec les médias
Angela Marcucci
DBV Technologies
+1 646-842-2393

angela.marcucci@dbv-technologies.com

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Montrouge, France, le 27 juillet (22h30 CEST), 2022

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DBV Technologies (Euronext : DBV – ISIN : FR0010417345 – Nasdaq : DBVT), société biopharmaceutique française, publie aujourd’hui le bilan semestriel de son contrat de liquidité avec ODDO BHF.

A la date du 30 juin 2022, les moyens suivants figuraient au compte de liquidité :

  • 106 287 titres DBV Technologies ;
  • 430 854,35 euros.

Lors de la mise en place du contrat en juillet 2018, les moyens suivants figuraient au compte de liquidité :

  • 41 159 titres DBV Technologies ;
  • 432 367,25 euros.

Le nombre de transactions exécutées sur le 1ème semestre 2022 est :

  • Achats : 706 transactions
  • Ventes : 869 transactions

Sur cette même période, les volumes échangés ont représenté :

  • 345 064 titres et 1 056 560,18 euros à l’achat
  • 392 408 titres et 1 311 871,05 euros à la vente

À propos de DBV Technologies
DBV Technologies développe Viaskin™, une plateforme technologique exclusive expérimentale avec de larges applications potentielles en immunothérapie. Viaskin est basé sur l’immunothérapie épicutanée, ou EPIT™, et constitue la méthode de DBV Technologies pour délivrer des composés biologiquement actifs au système immunitaire à travers la peau intacte. Avec cette nouvelle classe de produits candidats non invasifs, la Société vise à transformer en toute sécurité le traitement des patients souffrant d’allergies alimentaires. Les programmes de DBV Technologies sur les allergies alimentaires comprennent des essais cliniques en cours sur Viaskin Peanut. Le siège mondial de DBV Technologies est situé à Montrouge, en France, et ses opérations nord-américaines sont basées à Basking Ridge, NJ. Les actions ordinaires de la Société sont négociées sur le segment B d’Euronext Paris (symbole : DBV, code ISIN : FR0010417345) et les ADS de la Société (chacun représentant une demi-action ordinaire) sont négociés sur le Nasdaq Global Select Market (symbole : DBVT).

Viaskin et EPIT sont des marques déposées de DBV Technologies.

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Tuesday, July 26, 2022

PSVR 2: infos et première démo des technologies du nouveau casque de Sony - JeuxVideo-Live

Le casque VR de Sony dévoile de nouvelles informations croustillantes concernant ses technologies embarquées et l’expérience utilisateur.

Sony lève peu à peu le voile sur les spécificités de son prochain PSVR 2. Si l’on sait que le casque marquera un grand bond en avant dans la VR pour la firme et qu’il utilisera notamment le retour haptique et les gâchettes adaptatives, on en apprend aujourd’hui davantage sur l’expérience utilisateur.

Vue transparente et zone de jeu personnalisable

L’objectif du PSVR 2, outre l’immersion totale, est de rendre l’expérience du joueur la plus optimale possible. Pour ce faire, le PSVR 2 optera pour ce que l’on appelle «la vue transparente», une méthode qui permet au porteur de voir autour de lui sans retirer le casque. Cette technologie, déjà présente chez la concurrence comme sur le Meta Quest 2, permet également au joueur de se créer sa propre zone de jeu manuellement, en dessinant la zone autour de lui, ou automatiquement en laissant la machine scanner les environs et détecter les objets qui pourraient se trouver dans le champ.

On gagne ainsi en facilité d’utilisation et en sécurité, puisqu’à tout moment, il sera possible de switcher entre notre session de jeu et la vue extérieure. Un alerte s’affichera également sous nos yeux dès que l’on s’approchera de la limite de notre zone de jeu.

Deux modes aux résolutions élevées

Côté visuel, le casque proposera deux modes de lecture. Le premier se concentre évidemment sur le contenu en réalité virtuel avec une résolution HDR 4000 x 2040 (2000 x 2040 par œil) et un taux de rafraîchissement allant de 90 à 120 Hz. L’autre mode quant à lui, nommé «Cinématique», simulera un écran de cinéma géant pour nous permettre de profiter de contenu non-VR en 1080p avec un taux de rafraichissement compris entre 24 et 120Hz. Rien de bien nouveau sur le papier donc, si ce n’est les résolutions et les taux de rafraîchissement plus élevés qu'auparavant.

Hélas, Sony ne nous donne toujours pas de fenêtre de sortie, mais nous informe que de nouvelles informations seront données un peu plus tard dont la date de sortie et de nouveaux jeux prévus pour le lancement. De plus, les développeurs ne devraient pas tarder à recevoir une nouvelle version du logiciel pour peaufiner leurs jeux.

Source : blog.playstation.com

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Les technologies au service de la prévention des incendies - ID, L'info Durable

Ce sont les nouveaux alliés des pompiers. Les solutions technologiques se sont multipliées en quelques années en France pour identifier les risques d’incendies et aiguiller les professionnels du feu. Conçues spécialement pour la prévention des feux de forêt, ces nouvelles technologies allient faible coût énergétique et grande accessibilité. Ces solutions sont aujourd’hui essentielles pour maîtriser les incendies de forêt toujours plus nombreux.

Des drones pour aiguiller les pompiers

Les drones se sont développés à vitesse grand V chez les pompiers de France. Plus rapides à déployer et moins couteux que des hélicoptères, les drones de reconnaissance ont également le mérite d’être moins polluants. Ces derniers sont utilisés pour leurs nombreuses fonctions : cartographier les forêts, repérer les points chauds, apporter une visibilité aérienne aux pompiers au sol et prioriser les zones d’intervention.

De plus en plus de villes françaises se dotent aujourd’hui de drones équipés de caméras thermiques pour repérer et éviter les départs de feu. C’est le cas de la ville de Cannes qui mise sur la prévention écologique. ‘’Cette démarche s’accompagne de dispositifs et actions concrets tels que l’installation d’ânes 'débroussailleurs’ pour réduire le risque de propagation des incendies, de manière écologique et économique’’, affirme David Lisnard, maire de Cannes et président de l’Agglomération Cannes Lérins. Les forêts des Landes et de la Manche ont aussi eu recours à cette technologie pour les feux dévastateurs de cette année.

L’intelligence artificielle pour cartographier les forêts

L’intelligence artificielle (IA) se met désormais au service de la prévention des incendies. Les données accessibles en direct permettent aux pompiers de repérer les zones dangereuses ou difficiles d’accès en prenant en compte les facteurs de sécheresse, la vitesse de propagation, la typologie du terrain ou la vitesse des vents.

L’utilisation de cartes interactives permettent également aux pompiers de repérer les pics de chaleurs pour anticiper les départs de feu. L’ONG Global Forest Watch regroupe par exemple des informations pouvant être utilisées par les pompiers comme le type de plantation susceptible de brûler, la latitude ou la qualité de l’air observée. Des informations qui ‘’permettent de prendre des décisions plus avisées en matière de gestion et de protection des forêts pour les générations actuelles et futures’’, fait savoir l’association.

Des ballons d’air chaud capteurs de départs de feu

La technologie est en plein développement dans la prévention d’incendies. L’année dernière, la ville de Marseille testait pour la première fois en Europe un ballon captif, capable d’être déployé 24h/24h. Situé à 600 mètres d’altitude, le ballon peut couvrir une surface de forêt beaucoup plus étendue qu’un simple mirador. L’innovation est encore en test, mais son efficacité et sa durabilité risquent de séduire de nouvelles casernes en France.

Caméras de surveillance thermiques pour alerter plus rapidement les pompiers

Depuis plusieurs années, la forêt des Landes est placée sous la surveillance d’une soixantaine de caméras de surveillance. Un système efficace qui permet de mobiliser les secours dans un délai très court au moindre pic de chaleur inhabituel. Le dispositif permet de remplacer les pompiers qui surveillent habituellement depuis des miradors.

Si les feux de forêt ont été ravageurs cette année dans le sud de la France du fait des records de température, les autorités affirment que les caméras de surveillance thermiques ont permis de réduire et de prévenir plus rapidement les départs de foret dans les Landes. En 20 ans, les surfaces brûlées ont diminué de 60 % dans les Landes.

#TousActeurs 

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ZF concrétise ses technologies « by-wire » - Auto Infos

Chargeurs annonce créer les pôles d'activités stratégiques Technologies, Luxe et Diversification - Bourse Direct

Chargeurs annonce créer les pôles d'activités stratégiques Technologies, Luxe et Diversification pour refléter l'accélération de sa stratégie de création de valeur.

Les activités du groupe seront désormais présentées au sein de 3 pôles d'activités afin de mettre en valeur les modèles de croissance et de transformation des métiers

* Le pôle "Technologies" comprendra Chargeurs Protective Films et Chargeurs PCC Fashion Technologies, leaders mondiaux de niches technologiques et de services, qui continueront en son sein de reporter leurs performances propres

- Chargeurs Protective Films accélère son développement, axé sur le verdissement de ses outils industriels et de son offre de produits et de services, et sur une expansion géographique vers de nouveaux territoires
- Chargeurs PCC Fashion Technologies continue de bénéficier de la croissance du marché de la mode et de la forte demande des clients pour des produits durables
- Senfa Technologies, pépite spécialisée dans les textiles techniques, sera désormais consolidée dans Chargeurs PCC Fashion Technologies, afin d'étendre ses débouchés et renforcer les savoir-faire de ce métier

* Le pôle "Luxe" comprendra Chargeurs Luxury Materials, Chargeurs Museum Solutions, Chargeurs Healthcare Solutions et Swaine, acteurs de référence dans les nouvelles catégories du
luxe.

- Chargeurs Luxury Materials est rebaptisé Chargeurs Luxury Fibers (CLF), pour refléter l'extension de l'offre de services du label Nativa à d'autres fibres naturelles
- Chargeurs Museum Solutions devient Chargeurs Museum Studio (CMS), marque mondiale leader des services aux musées, aux fondations et aux entreprises
- Chargeurs Healthcare Solutions est renommé Chargeurs Personal Care (CPC), pour refléter la diversification de ses activités vers l'offre de soins personnels et de bien-être
- Swaine accélère son développement comme marque d'accessoires de luxe à forte désirabilité

* Le pôle Diversification comprendra les intérêts minoritaires futurs, financiers ou stratégiques, du Groupe

Maintien inchangé des directions générales métiers actuelles

- Développement de synergies en matière d'innovation, de greenification et de supply chain au sein du pôle Technologies
- Mise en oeuvre de synergies en matière de marketing, d'e commerce et de traçabilité au sein du pôle Luxe.

Confirmation des objectifs du programme Leap Forward 2025

-Objectifs de chiffre d'affaires (1 MdE) et de ROPA (100 ME) organiques à l'horizon 2025 maintenus
-Accélération de la stratégie d'acquisitions, notamment au sein des métiers CMS et CPC
-Maintien d'un levier d'endettement maîtrisé.

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Monday, July 25, 2022

Metaverse : Quelles technologies sont derrière ce monde virtuel ? - Realite-Virtuelle.com

Le metaverse est un monde de produits numériques, d’avatars virtuels et d’économies fonctionnelles, où la technologie est plus qu’un utilitaire ; C’est une manière de vivre. Il désigne un monde non physique où les gens peuvent communiquer via diverses formes de technologie virtuelle. Il existe plusieurs technologies derrière le metaverse.

Le metaverse est une plateforme qui ressemble à un concept de science-fiction. Cependant, il est aussi réel qu’Internet. Cette technologie est nouvelle, mais avant qu’elle ne devienne la nouvelle norme, il y aura beaucoup d’améliorations, de tendances et de modifications qu’il subira. Avec le temps, tout change, de la façon dont nous nous divertissons, magasinons, regardons des films, à la manière dont nous sortons avec des amis. Des technologies comme le metaverse permettent de supprimer la distance et être avec les gens en temps réel.

D’une certaine manière, le metaverse n’est pas seulement une question de confort ou de divertissement. C’est aussi une technologie qui peut rapprocher deux personnes vivant loin l’une de l’autre. Le metaverse est pris en charge par de nombreuses technologies avec des rôles différents. Voici les principales technologies clés qui sont le moteur du fonctionnement de metaverse.

La Blockchain et la cryptomonnaie

Blockchain

La Blockchain est la technologie qui prouve la propriété et la collecte. Elle facilite le transfert de valeur, régit l’accès et assure l’interopérabilité. Par ailleurs, elle fournit des solutions décentralisées et transparentes. Les crypto-monnaies renforcent la capacité des utilisateurs à échanger de la valeur tout en travaillant et en socialisant dans des mondes numériques 3D.

A titre d’exemple, la crypto-monnaie du jeu MANA permet aux joueurs d’acheter des parcelles de terrain via des jetons non fongibles. Grâce à la technologie blockchain, il est possible d’établir et de sécuriser la propriété de terrains virtuels.

De plus, la crypto-monnaie pourrait un jour motiver les gens à travailler dans le metaverse. Il faut noter que de plus en plus d’entreprises ont des bureaux en ligne, augmentant le nombre d’emplois associés au metaverse.

Metaverse, réalité augmentée (AR) et réalité virtuelle (VR)

La réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR) offrent des expériences 3D immersives. Elles sont un moyen d’entrer dans le monde virtuel. Dans la réalité augmentée, le monde réel est transformé avec des visuels numériques. Contrairement à la réalité virtuelle, elle est plus facile à utiliser, et cela, sur la plupart des smartphones et appareils numériques dotés d’appareils photo. La réalité augmentée permet aux utilisateurs de visualiser leur environnement grâce à des images numériques interactives.

La réalité virtuelle

Mais la réalité virtuelle est différente. Comme pour le concept de metaverse, elle crée des environnements entièrement virtuels à l’aide de code informatique. Des casques, des gants et des capteurs de réalité virtuelle sont nécessaires pour les visualiser.

La réalité virtuelle et la réalité augmentée représentent les premiers exemples du metaverse. Actuellement, la réalité virtuelle crée un monde numérique qui contient des médias fictifs. À mesure que la technologie de la réalité virtuelle mûrit, elle pourra intégrer des simulations physiques dans l’expérience du metaverse. En conséquence, les utilisateurs peuvent écouter, ressentir et interagir avec des personnes d’autres parties du monde via l’application.

L’intelligence artificielle (IA), une technologie derrière le metaverse

Ces dernières années, l’intelligence artificielle a été largement appliquée à nos vies. A ne citer que son utilisation lors du processus de planification des stratégies commerciales et la reconnaissance faciale. Des experts en IA ont commencé à examiner les applications de l’IA pour créer des metaverse immersifs.

Cette technologie peut traiter d’énormes quantités de données à la vitesse de l’éclair. Lorsqu’ils sont combinés avec des techniques d’apprentissage automatique, les algorithmes d’IA peuvent recueillir des informations à partir de données historiques, apprendre des itérations précédentes et générer des résultats et des informations uniques.

La technologie de l'intelligence artificielle et le metaverse

De plus, l’IA peut améliorer les personnages non-joueurs (PNJ) de différentes manières dans le metaverse. Presque tous les jeux ont des PNJ (personnage d’un jeu qui n’est pas contrôlé par un joueur). En utilisant l’IA, les PNJ pourront interagir dans des espaces 3D et avoir des conversations réalistes avec les utilisateurs ou effectuer d’autres tâches.

Les PNJ IA peuvent fonctionner indépendamment et interagir simultanément avec des millions de joueurs, contrairement aux utilisateurs humains. L’une des possibilités de l’IA est de créer des avatars metaverse. Avec l’aide de moteurs d’IA, nous pouvons générer des avatars qui semblent plus réalistes et précis en analysant des images 2D et des scans 3D. De plus, pour améliorer les humains numériques que nous créons, l’IA peut également être utilisée pour créer des expressions faciales, des coiffures, des vêtements et d’autres fonctionnalités.

Le processus de la reconstruction 3D et la technologie du metaverse

La reconstruction 3D n’est pas une nouvelle technologie. En réalité, elle s’est généralisée pendant la pandémie lorsque les fermetures ont empêché les acheteurs potentiels de visiter les propriétés en personne. Ainsi, certaines agences ont commencé à utiliser la reconstruction 3D pour générer des visites virtuelles de propriétés.

La reconstruction 3D

Comme dans le metaverse, les acheteurs pourraient découvrir de nouvelles maisons potentielles de n’importe où et les acheter sans se rendre à l’intérieur. Un défi important consiste à créer un monde virtuel qui semble aussi proche que possible de la réalité. Il permet également la création d’espaces réalistes et organiques grâce à la reconstruction 3D. À l’aide de caméras 3D uniques, nous pouvons restituer des modèles 3D précis de bâtiments, de lieux et d’objets sur le Web.

Les données spatiales 3D et la photographie 4K HD sont envoyées aux ordinateurs pour traitement. Les répliques virtuelles sont ensuite affichées dans le metaverse pour que les utilisateurs puissent les explorer. Ces répliques virtuelles d’objets physiques sont également appelées jumeaux numériques.

Le Web 3.0 – La technologie Internet de nouvelle génération

WEB3

L’un des avantages du Web 3.0 est le protocole de blockchain décentralisé. Ce dernier permet aux gens de se connecter à un Internet où ils possèdent les données et le temps et sont correctement rémunérés. Cela est plus avantageux qu’un site Web où des entreprises géantes centralisées peuvent siphonner les bénéfices.

Un Web 2.0 est censé utiliser des métadonnées sémantiques pour permettre aux ordinateurs de comprendre le sens des phrases, de générer, de partager et de connecter du contenu, de le rechercher et de l’analyser. Par ailleurs, le web 3.0 permettra une plus grande connexion entre les sources de données. En conséquence, l’expérience utilisateur s’améliore à un niveau de connectivité encore plus élevé, tirant parti de chaque élément d’information sur Internet.

La technologie de l’internet des objets (IoT)

L’Internet des objets (IoT) est un système qui connecte tout ce qui se trouve dans notre monde physique à Internet via des capteurs et des gadgets. Ces gadgets auront un identifiant unique et la capacité d’envoyer et de recevoir automatiquement des informations après connexion à Internet.

Aujourd’hui, l’Internet des objets connecte des haut-parleurs, des thermostats, des gadgets médicaux et d’autres appareils à commande vocale à diverses sources de données. Les applications IoT de metaverse sont conçues pour collecter et distribuer des données du monde physique. Ce faisant, les représentations numériques seraient plus précises. Par exemple, des objets metaverse particuliers peuvent agir différemment en fonction des conditions météorologiques actuelles.

IoT

A part cela, les environnements 3D peuvent être adaptés de manière transparente à une large gamme d’appareils réels via l’Internet des objets. Grâce à cette technologie, il est possible d’effectuer des simulations dans le metaverse. De plus, l’IoT pourrait utiliser l’IA et l’apprentissage automatique pour améliorer davantage le metaverse en gérant les données qu’il collecte.

Metaverse et processeurs d’appareils mobiles

La réalité augmentée sur les téléphones mobiles devra fonctionner sur des lunettes telles que celles que l’on trouve dans le grand public. Pour rendre cela possible, nous aurions besoin de petits processeurs mobiles ultrarapides pouvant être intégrés dans des lunettes conventionnelles, des appareils VR, des processeurs mobiles haut de gamme avec une faible latence et des fréquences d’images élevées. De plus, des éléments optiques compatibles avec des composants en silicium standard peuvent être introduits. À terme, cela peut entraîner une accélération du transfert de données.

Metaverse et informatique de périphérie

Edge Computing

L’utilisation de l’edge computing est de plus en plus populaire dans les espaces commerciaux. En effet, elle favorise une transmission de données plus rapide avec des délais minimaux. Et cela est essentiel pour des expériences virtuelles immersives de haute qualité.

Cependant, avec des millions de personnes partageant des expériences virtuelles dans le monde entier, le cloud ne peut pas prendre en charge la quantité de puissance de traitement nécessaire pour prendre en charge le système. Au lieu de rapprocher le traitement des utilisateurs, l’informatique distribuée peut rendre toute l’expérience beaucoup plus fluide.

L’infrastructure Internet

Les startups et les entreprises informatiques s’efforcent de surmonter les défis liés à la fourniture d’un monde virtuel immersif en temps réel. En tant que service, le metaverse ne repose pas sur une application pour fonctionner. Ce n’est pas non plus un monde ni un jeu.

Il s’agit plutôt d’une nouvelle génération d’Internet, permettant une interaction en temps réel. L’infrastructure est ce qui forme le metaverse. Ce dernier propose un vaste monde virtuel avec des textures très détaillées. Cela nécessiterait des vitesses Internet très élevées, une bande passante élevée et une latence très faible.

5G

Avec la 5G, les fréquences des ondes millimétriques atteignent des niveaux incroyablement élevés, permettant des expériences VR. On s’attend à ce que la 6G remplace bientôt la 5G. Cependant, la technologie 6G n’est pas disponible pour le moment. Selon certains experts, sa vitesse pourrait être une à deux fois plus rapide que la 5g, ce qui équivaut à un téraoctet par seconde. Vous pourriez ainsi vous permettre de télécharger 142 heures de contenu Netflix en une seconde.

De plus, le réseau 6G permettra au cyberespace de prendre en charge la cognition et l’action humaines en temps réel, selon un livre blanc de NTT Docomo. Les interfaces sensorielles utilisant des dispositifs portables et des microdispositifs montés sur le corps se sentiraient et ressembleraient à la vraie vie.

La technologie des interfaces cerveau-machine et le monde du metaverse

Les interfaces cerveau-machine nous permettent de contrôler les avatars, divers objets et transactions numériques avec nos signaux cérébraux. Cette technologie devrait s’imposer sur les marchés des jeux vidéo et de la productivité de la main-d’œuvre. Elle ne jouera pas un rôle majeur dans les premières années du metaverse.

Cependant, au milieu des années 2030, certains premiers utilisateurs pourraient commencer à utiliser des interfaces cerveau-machine pour se connecter au néocortex. Le néocortex fait partie du cortex cérébral du cerveau humain, à l’origine du fonctionnement cognitif supérieur. Plusieurs entreprises développent déjà des interfaces cerveau-ordinateur.

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...