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Thursday, May 4, 2023

Ce vélo électrique ultra connecté met le paquet sur des technologies de pointe - Frandroid

Présenté au salon du cycle de Taipei sous forme de prototype fonctionnel, le vélo électrique OKGO Smart E-Bike est un condensé de technologies. Écran tactile, MAJ à distance, ou encore système d’empreintes digitales : il ne fait pas les choses à moitié.

OKGO Smart E-Bike
Source : OKGO

Ces dernières années, plusieurs entreprises se sont positionnées sur le créneau du vélo électrique connecté. Le vélo conserve sa principale fonction, non sans jouir d’un design généralement moderne, voire futuriste, mais va encore plus loin en devenant un objet technologique à part entière.

On peut ici citer les modèles Cowboy, Angell, VanMoof ou encore Ellipse. À cette petite liste vient s’ajouter la jeune pousse OKGO, dont le bien nommé Smart E-Bike tente lui aussi de se faire une place parmi les grands. Présenté au salon du cycle de Taipei, ce modèle est à l’état de prototype fonctionnel pour le moment.

Commandes vocales et empreintes digitales

Il n’empêche, la quantité de technologies embarquées fait clairement hausser les sourcils. Débutons avec l’écran tactile qui trône au milieu du guidon. Outre les traditionnelles informations de conduite (vitesse, distance, mode d’assistance), cette dalle fait aussi office de GPS avec des indications de navigation.

Surtout, elle donne accès à des commandes vocales si vous ne souhaitez pas tactilement interagir avec, et ainsi garder les deux mains sur le guidon. À côté de la poignée droite, un capteur d’empreintes digitales permet quant à lui de déverrouiller l’ensemble du système pour ainsi profiter de l’assistance électrique.

OKGO Smart E-Bike
Source : OKGO

Du côté de la sécurité, l’OKGO Smart E-Bike s’appuie sur des clignotants, mais aussi et surtout un système de surveillance d’angles morts. Ce dernier alerte le conducteur lorsqu’un véhicule s’approche par l’arrière, via un symbole affiché sur l’écran ou des vibrations dans les poignées.

Un tel vélo connecté est évidemment équipé d’une puce GPS, qui permet d’accéder à sa localisation en temps réel. Les mises à jour logicielles à distance sont aussi de mise.

Des secrets encore à dévoiler

Au chapitre des équipements mécaniques, cette monture profite d’une suspension arrière Kindshock – débattement inconnu -, de freins à disque mécaniques, d’une batterie dans le tube inférieur, d’un moteur moyeu arrière, d’une chaîne traditionnelle et d’un cadre pour le moins original composé de carbone.

Évidemment, il manque à ce stade une fournée non négligeable d’informations techniques. Quitte à se répéter, ce OKGO Smart E-Bike n’est qu’un prototype potentiellement amené à évoluer. Sur le papier, cela peut forcément donner envie. Mais en pratique, à voir de quoi il sera capable.

D’ailleurs, OKGO semble vouloir se concentrer vers une clientèle professionnelle, nous apprend New Atlas, qui a pu échanger avec un représentant de la marque. Le grand public n’y a donc pas droit à l’heure d’écrire ces lignes, même s’il reste intéressant de voir à quel point l’univers des vélos électriques peut embrasser celui des nouvelles technologies.


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Wednesday, May 3, 2023

La Chine met en garde le Japon contre la restriction d'exportation des technologies de puces - L'Usine Nouvelle

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Uber Technologies, Inc. : Croissance spectaculaire, communication tapageuse - Zonebourse.com

Tout n'est pas rose à la lecture des résultats trimestriels, mais la plate-forme enregistre une excellente performance de croissance et confirme progressivement la soutenabilité de son modèle d'affaires.

Les volumes — le nombre de voyages, tous segments confondus — croissent de 24% par rapport au premier trimestre de l'an passé, et le chiffre d'affaires consolidé de 33%. L'activité mobilité — c'est-à-dire l'activité de taxis — voit la valeur totale des transactions progresser de 43% ; l'activité livraison de repas, beaucoup plus concurrentielle, de 12% seulement.

La configuration ne change pas : seul segment à être réellement profitable, l'activité mobilité subventionne le développement des deux autres segments — l'activité livraison et l'activité logistique, encore embryonnaire, à fort potentiel mais qui peine à décoller. 

En affichant un profit cash — ou "free cash-flow" — consolidé de $549 millions, la direction envoie un signal fort aux investisseurs. Ces derniers interpréteront ce nombre selon leurs sensibilités, qui peuvent ici sensiblement diverger.

Certes, sur le papier, en GAAP, en retranchant des cash-flows d'exploitation les investissements dans les immobilisations, Uber réalise un profit cash de $549 millions. Mais que penser des $470 millions de rémunérations en stock-options — soit la quasi intégralité dudit profit cash — qui ne sont eux pas retranchés du calcul ? 

Bon point : la plate-forme étend sa domination et prouve sa capacité à générer des profits. Moins bon point : pour l'instant, ces profits retombent surtout dans la poche de l'équipe de direction. A ce sujet, pour l'anecdote, le directeur général et le directeur financier ont empoché l'an passé la bagatelle de $37 millions à eux deux, hors avantages en nature.

On prendra aussi quelques saines précautions avec les EBITDA "ajustés" de chaque segment, puisque ceux-ci excluent les dépenses de R&D — comptabilisées au niveau consolidé, d'accord, mais non moins structurelles peu importe le segment. 

Dans un registre plus positif, soulignons qu'Uber gagne des parts de marché — en écrasant peu à peu ses concurrents, dont Lyft aux Etats-Unis — et fait preuve d'un réel pricing power : la qualité de la franchise et de sa plate-forme est clairement reconnue par le public. 

Cependant, le groupe doit désormais composer avec plus de $9 milliards d'échéances de dettes sur les cinq prochaines années. La tapageuse communication autour du "free cash-flow" record est sans doute motivée par ces impératifs de refinancement. 

La direction envisage des cessions d'actifs. Reste à voir lesquels, et s'ils trouveront preneur aux valorisations espérées vu les conditions de marché dégradées. 

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Tuesday, May 2, 2023

Intelligence artificielle: Geoffrey Hinton quitte Google pour préserver sa liberté de parole - RFI

Publié le :

Geoffrey Hinton, chercheur canadien spécialiste de l'intelligence artificielle, est à l’origine de la technologie servant au logiciel d’intelligence artificielle ChatGPT. Dans un entretien accordé au New York Times, il dit quitter Google pour pouvoir alerter sur les dangers liés aux progrès réalisés dans le domaine.

En quittant Google, Geoffrey Hinton va pouvoir parler des dangers de l'intelligence artificielle, une technologie à laquelle il a consacré de nombreuses années de recherche : « Une partie de lui regrette maintenant le travail de sa vie », dit l'article du New York Times. « Je me console avec l'excuse normale : si je ne l'avais pas fait, quelqu'un d'autre l'aurait fait », a-t-il nuancé.

Dans un tweet confirmant sa démission, il a réfuté toute volonté de critiquer le géant de la tech qui selon lui « s'est comporté de façon très responsable ».

Des travaux sur les réseaux de neurones 

Le déclic remonte à très loin : 1972, Geoffrey Hinton n'est qu'un étudiant parmi d'autres à l'Université d'Édimbourg, en Écosse. Mais il est déjà obsédé par les réseaux de neurones : un système mathématique inspiré du cerveau humain qui a la capacité de corriger ses propres erreurs. À l'époque, personne n'y voit une révolution. Mais Geoffrey Hinton va passer sa vie à perfectionner ces algorithmes. En 2012, avec deux étudiants de l'université de Toronto,  Ilya Sutskever et Alex Krishevsky, ce Britannique qui a émigré au Canada développe un système capable d'analyser des milliers de photos et d'apprendre à identifier des objets communs comme des fleurs et des voitures. Google investit dans cette découverte (44 millions de dollars).  Il devient alors le Monsieur « intelligence artificielle» du groupe américain.

Selon Geoffrey Hinton, à mesure que les entreprises améliorent leurs systèmes d'IA, ils deviennent de plus en plus dangereux. Et la compétition entre Microsoft et Google accentue le phénomène. En février dernier en effet, Google lançait son robot conversationnel, baptisé Bard, quelques mois après celui de ChatGPT, le logiciel de la startup américaine OpenAI.

Le chercheur en informatique a plusieurs craintes. La première : qu'Internet soit inondé de fausses informations avec des photos, des vidéos et textes générés par IA, impossibles à différencier de la réalité. Il estime également que l'IA peut totalement bouleverser le marché du travail en faisant disparaître certains métiers comme les traducteurs par exemple. 

Inquiétudes partagées

En mars, le milliardaire Elon Musk - un des fondateurs d'OpenAI - et plusieurs scientifiques réclamaient une pause de six mois dans la recherche sur les IA plus puissantes que GPT-4, en évoquant « des risques majeurs pour l'humanité ». Geoffrey Hinton ne faisait pas alors partie des signataires. Mais dans le New York Times, il estime que les scientifiques ne devraient pas faire encore monter en puissance ces IA « avant de savoir s'ils sont capables de les contrôler » et pointe la nécessité d'une réglementation mondiale.

En 2018, le Dr Hinton ainsi que Yoshua Bengio et Yann LeCun avaient reçu le prix Turing, souvent appelé « le prix Nobel de l'informatique », pour leurs travaux.

À lire aussi : Faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ?

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Des technologies véritablement éthiques pour construire un meilleur avenir, est-ce possible ? - JDN

Les entreprises qui souhaitent emprunter le chemin de l'IA éthique et responsable doivent passer de la priorité des profits à court terme à une prise en compte plus large de l'impact de leurs actions.

Ces derniers mois ont vu un tsunami bouleverser la scène technologique. Notre nouvelle normalité est marquée par des annonces révolutionnaires quasi-quotidiennes, la plupart concernant l’intelligence artificielle et l’automatisation. En février, ChatGPT a presque réussi un examen de médecine. Autant dire que les prouesses de ce colosse de l’IA générative ressemblent toutes à autant de miracle. Cela suscite une préoccupation croissante sur l'impact que les nouvelles technologies auront sur la société. 

Est-ce que l'IA et l'automatisation remplaceront nos emplois ? Est-ce que notre dépendance croissante à la technologie érodera encore plus notre vie privée et notre autonomie personnelle ? Le risque est bien réel. Cependant, cela dépendra de la façon dont sera créée la technologie qui conditionnera notre avenir. Et la réponse, selon de nombreux experts, se trouve dans la technologie éthique. En priorisant l'innovation responsable, les entreprises peuvent créer des solutions qui répondent non seulement aux besoins de leurs clients, mais qui contribuent également au bien commun. Cela nécessite de développer des technologies socialement et environnementalement responsables, en tenant compte des impacts potentiels sur les individus et les communautés.

Rien de nouveau sous le soleil ! Mais certains principes doivent être intégrés dans l'ADN de chaque entreprise. Encore plus lorsque cette entreprise conçoit et déploie des modèles algorithmiques.

Responsabiliser grâce aux flux de décision et à la traçabilité

La responsabilisation consiste à reconnaître le rôle que joue le développeur et l'utilisateur dans les résultats d’un modèle. La responsabilité nécessite que les individus et les organisations identifient et atténuent de manière proactive les impacts négatifs provenant des systèmes pilotés par les données. Toutes les parties impliquées doivent reconnaître leur rôle et travailler ensemble pour minimiser les dommages.

L'intégration d'un flux de décision couplé à sa représentation graphique doit permettre aux utilisateurs de créer, d'approuver, d'annoter, de déployer et d'auditer les processus de cette prise de décision. Une vigilance systématique dans le processus décisionnel contribue également à renforcer la fiabilité lors des différents points de contrôle.

Les modèles algorithmiques, en toute transparence

La transparence en matière d'innovation responsable se traduit par une communication claire sur les intentions, le périmètre et les limites d’un modèle. Les organisations peuvent y parvenir grâce à une meilleure traçabilité des données assurant ainsi aux utilisateurs une confiance dans les données qu’ils manipulent. L'interprétabilité de l'IA permet à ses utilisateurs de comprendre ce qui se passe au sein des systèmes et d'identifier de potentiels problèmes comme les fuites d'informations, les biais du modèle, sa robustesse et la causalité. Notons que grâce à l’IA, il devient possible d’obtenir l’explicabilité des données et des modèles dans un langage simple et adapté à tout public. L’IA peut ainsi parler le langage de Monsieur ou Madame Tout-le-Monde !

Les trois règles d’or : qualité, qualité et qualité

L’important avant de s’engager sur la route de l’IA est de s’assurer avant tout de la qualité des données. Ce fil conducteur est indispensable pour tous ceux qui construisent des modèles algorithmiques.

Prenons l’exemple de la sécurité. Les entreprises soucieuses de la protection de la vie privée et de la sécurité doivent envisager de mettre en place des dispositifs de protection de l'information pour signaler si telle ou telle donnée contient des informations potentiellement privées ou susceptibles d'être reliées à une personne. Cela permet aux utilisateurs de traiter les données sensibles avec prudence et leur facilite la prise de décision en matière de mesures de protection supplémentaires pour des modèles spécifiques. Tout le travail préliminaire pour s’assurer d’une qualité idéale des données est clé pour des modèles éthiques. 

Bien entendu, le chemin vers une technologie éthique n'est pas si évident. Les entreprises qui souhaitent l’emprunter doivent passer de la priorité des profits à court terme à une prise en compte plus large de l'impact de leurs actions sur la société et sur l'environnement. Mais les avantages potentiels sont énormes. En tirant parti de la puissance des technologies éthiques, nous pouvons créer un avenir qui ne sera pas seulement meilleur, mais véritablement transformateur, où la technologie sera exploitée pour créer un monde plus juste et plus équitable pour tous et pour toutes.

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Monday, May 1, 2023

Un fusil à eau bourré de technologies chez Xiaomi - Journal du geek

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Un fusil à eau bourré de technologies chez Xiaomi  Journal du geek
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Voilà le premier "gros" jeu vidéo à utiliser ChatGPT ! - Clubic

Galactic Civilizations IV 4 © © Stardock Entertainment
© Stardock Entertainment

Stardock Entertainment commence à utiliser les technologies d'IA générative pour assister les joueurs avant même qu'ils ne commencent leurs parties.

Le studio est connu pour avoir développé des licences phares de jeux de stratégie comme Ashes of the Singularity, Sins of a Solar Empire ou Galactic Civilizations. C'est cette dernière licence qui se voit dotée de ChatGPT.

Générer du nouveau contenu

Le début d'un jeu comme Galactic Civilizations peut prendre plus de temps que prévu. En effet, les joueurs peuvent personnaliser leurs civilisations, afin que le gameplay leur corresponde au mieux (ou pas, cela dépend des goûts de chacun après tout). S'il est possible de modifier plusieurs paramètres qui peuvent changer le jeu dans son ensemble, il est également possible de choisir des éléments du lore des civilisations.

C'est sur ce dernier aspect que ChatGPT doit intervenir. Dans Galactic Civilizations IV : Supernova, les joueurs peuvent écrire une courte description de leurs civilisations afin que l'IA puisse leur mâcher un travail qui peut prendre, pour certains plus passionnés que d'autres, plusieurs dizaines de minutes.

Combinées à des paramètres très précis comme l'attitude de la civilisation ou ses aspects culturels, les données recueillies par ChatGPT devraient lui permettre de générer une description, des noms d'espèces ou de planète d'origine, voire… une illustration !

En effet, dans un communiqué de presse, Stardock explique que l'intelligence artificielle peut puiser dans l'énorme banque d'images d'aliens du studio « pour fournir des graphismes sur mesure pour leur civilisation personnalisée ». Dans les captures d'écran fournies par les développeurs, le résultat est aussi impressionnant qu'amusant. Mais, après des mois à observer le travail des IA génératives, est-ce vraiment surprenant ?

Galactic Civilizations IV 4 IA © © Stardock Entertainment
© Stardock Entertainment

Une première pour une licence de cette ampleur

L'intégration de ChatGPT, rebaptisé AlienGPT pour l'occasion, va plus loin que la simple création de nouvelles civilisations. Si elle permet de générer des dialogues plus profonds et plus précis liés à celles-ci, elle peut aussi aider à créer de nouvelles quêtes. Ainsi, la durée de vie d'une partie, et du jeu dans son ensemble, risque de s'allonger considérablement, puisque du contenu supplémentaire sera généré naturellement.

Le but n'est pas tant de faciliter le travail des développeurs que de permettre aux joueurs de vivre des aventures plus uniques et plus personnalisées. Surtout, cela leur permet d'avoir accès à un peu plus de contenu dans leur langue maternelle, ce qui n'est pas négligeable pour un genre de jeu où le nombre de langues disponibles est souvent très limité.

Tout cela est possible grâce à la combinaison de la technologie d'OpenAI et du moteur maison de Stardock. Le studio explique : « Au cours des derniers mois, nous avons travaillé à l'intégration de la technologie GPT dans notre moteur Tachyon, la technologie de métagaming de Stardock basée sur le cloud […]. Grâce à l'API ChatGPT d'OpenAI et à Tachyon, nous sommes fiers de démontrer ce que cette technologie peut faire pour les jeux. »

Le jeu est déjà disponible en accès anticipé sur Steam et sur l'Epic Game Store pour la coquette somme de 38,99 euros. Espérons que les joueurs développeront rapidement d'incroyables instructions pour permettre (ou forcer) AlienGPT à générer un contenu toujours plus amusant, voire… intéressant.

Source : Neowin

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...