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Monday, February 28, 2022

Sur quelles technologies les métavers reposent-ils ? - Sud Ouest

En octobre 2021, Facebook a annoncé le développement d’un nouvel environnement virtuel baptisé Metaverse. Cette information a entraîné de nombreuses réactions tant sous la forme de commentaires dans les médias que de déclarations d’intention dans les entreprises. Comme souvent face à une innovation technologique, les réactions sont contrastées : enfer annoncé pour certains, paradis pour d’autres. Qu’en penser ?

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De quoi parle-t-on ?

Le concept de métavers vient de la littérature de science-fiction. Le terme est apparu la première fois dans un roman de 1992, « Le samouraï virtuel » de Neal Stephenson, pour décrire un univers généré par ordinateur auquel on accède à l’aide de lunettes et d’écouteurs. D’autres romans avaient auparavant décrit des mondes virtuels plus ou moins similaires sous d’autres termes : simulateur dans un roman de Daniel F. Galouye de 1968, ou cyberespace dans les romans de William Gibson du début des années 1980, par exemple.

Les premières réalisations concrètes de ce concept remontent aux années 1990-1995 pour « Active Worlds », aux États-Unis, ou 1997 pour « Le deuxième monde », en France. Elles ont longtemps été limitées par les capacités techniques du moment.

Aujourd’hui, il existe un grand nombre de métavers, la plupart méconnus, et c’est l’annonce de Facebook/Meta qui a remis sur le devant de la scène médiatique ces environnements.

Même s’il n’existe pas de définition précise, on peut lister quelques éléments caractéristiques d’un métavers :

  • C'est une réalisation informatique qui permet de créer un univers virtuel – ou monde ou environnement virtuel – dans lequel nous pouvons interagir
  • L'environnement virtuel créé est composé d'éléments de paysage ou de décor, d'objets divers et d'êtres animés autonomes ou contrôlés depuis le monde réel (on parle alors d'avatars).
  • L’environnement peut reproduire une partie du monde réel (la ville de Paris, dans “Le deuxième monde”), matérialiser des éléments abstraits de celui-ci (les éléments logiciels d’un ordinateur dans le film “Tron”, ou les interconnexions de réseaux informatiques dans le cyberespace de la littérature cyberpunk) ou proposer quelque chose de totalement nouveau.
  • Les lois de cet environnement virtuel et l'aspect et le comportement de ce qui le compose peuvent être similaires à ceux du monde réel, ou non (on peut donner à un avatar humain la possibilité de survoler une ville, par exemple).
  • L'accès à cet environnement se fait à travers des interfaces classiques (clavier, souris et/ou manette, écran éventuellement tactile) ou spécifiques (casque, lunettes, gants, etc.) qui permettent de percevoir le monde (via une représentation visuelle, sonore, haptique, olfactive) et d'interagir avec ce qui le compose.

À travers ces interfaces, diverses activités sont possibles : se déplacer, observer, créer ou modifier des éléments, en acquérir ou en échanger ; collaborer ou rivaliser avec d’autres personnes présentes.

L’environnement est accessible et utilisable simultanément par un très grand nombre de personnes.

L’environnement persiste dans la durée et évolue en permanence, qu’on y accède ou non, on le retrouve ainsi rarement dans l’état où on l’a laissé.

L’ensemble de ces caractéristiques permet à une société virtuelle de se développer, avec une culture propre, une économie.

D’où vient ce concept ?

Première idée reçue à déconstruire : les métavers ne sont pas issus d’une révolution technologique récente initiée par Facebook. Ils reposent sur de nombreux développements scientifiques, technologiques, applicatifs et évènementiels parfois anciens.

Les métavers s’inscrivent dans le domaine de la réalité virtuelle (RV) apparue au début des années 1980 et reposant sur une représentation immersive d’un environnement virtuel avec laquelle l’utilisateur peut interagir pour se déplacer et réaliser des tâches variées. La richesse de cette représentation et de cette interaction génère un sentiment de présence dans l’environnement virtuel qui favorise l’implication de l’utilisateur. Focalisées sur la compréhension de phénomènes, la conception d’objets ou systèmes et l’apprentissage de tâches, les applications de la RV se sont d’abord cantonnées à des secteurs comme les transports, l’industrie, l’architecture et l’urbanisme, la médecine, puis se sont ouvertes à d’autres domaines comme le tourisme, la culture et le divertissement.

Dans les années 1990, le développement des technologies numériques a permis la création d’environnements virtuels collaboratifs dans lesquels différents utilisateurs pouvaient être simultanément immergés. A la croisée de différents domaines (RV, communication médiatisée, environnements de travail numériques), les premiers environnements multi-utilisateurs ciblaient encore souvent des situations professionnelles, notamment la fabrication de véhicules (voitures, avions, lanceurs de satellites) dont les acteurs sont le plus souvent localisés sur des sites différents. Assez vite, cependant, on a vu émerger des environnements destinés à des publics et des activités plus larges. Mentionnons par exemple le « Deuxième monde » lancé en 1997 par Canal+ ou bien « Second life » lancé en 2003, qui a compté jusqu’à un million d’utilisateurs et reste aujourd’hui accessible.

Capture d’écran du jeu Second Life.
Capture d’écran du jeu Second Life.

Des recherches ont été menées sur les architectures nécessaires au passage à une plus grande échelle (en France, dans le cadre du projet Solipsis, par exemple). Le développement continu des technologies numériques a ensuite permis la diffusion à large échelle de matériels et logiciels précédemment cantonnés aux laboratoires de recherche ou des très grandes entreprises. L’apparition dans les années 2010 de casques de réalité virtuelle de très bonne qualité mais à coût nettement réduit a notamment permis le développement de nouveaux usages de cette technologie dans les environnements professionnels et domestiques.

Les métavers s’inscrivent aussi dans l’évolution récente des jeux vidéo. Ces jeux proposent depuis longtemps l’exploration de mondes virtuels, mais plusieurs tendances ont profondément changé la donne ces dernières années.

L’approche « monde ouvert » sur laquelle reposent certains jeux permet l’exploration libre du monde proposé, et non plus seulement la simple progression dans une structure narrative prédéterminée. Les jeux multi-joueurs en ligne sont devenus courants. La liberté d’action permet, au-delà de la simple coprésence, la collaboration ou la rivalité entre les joueurs. Les jeux leur permettent de communiquer par texte ou oralement, de se socialiser, de s’organiser en équipes, en clans. Certains sont conçus comme des plateformes qui évoluent dans le temps à travers des mises à jour et ajouts significatifs (décors, objets, personnages animés, etc.), au point que l’on parle pour ces jeux de « saisons », comme pour les séries télévisées.

Des jeux permettent d’acquérir – en récompense à des actions ou contre de la monnaie virtuelle achetée dans le monde réel – des armes, ballons et autres objets, des tenues, des véhicules, des bâtiments, etc. Certains permettent aussi de créer des objets, de les échanger ou de les vendre. Une économie se crée ainsi au sein de ces environnements, inscrite dans la durée et avec des conséquences bien tangibles dans le monde réel. Ces sociétés et économies virtuelles attirent dans le secteur des jeux vidéo des entreprises d’autres secteurs comme ceux de la musique, pour y organiser des concerts, ou du luxe, pour y vendre des objets griffés.

Dofus (2004), Roblox (2006), Minecraft (2011), GTA online (2013), Fortnite (2017) ou les éditions récentes de Call of Duty (2003) illustrent la plupart des caractéristiques citées. Les briques technologiques créées pour réaliser ces environnements ont atteint un niveau très élevé de maturité et sont aujourd’hui utilisées dans de nombreux autres secteurs. Les « moteurs graphiques » Unity et Unreal sont ainsi couramment utilisés pour des applications dans les domaines de l’architecture, du cinéma ou de l’ingénierie. Ces briques pourraient jouer un rôle important dans la réalisation de nouveaux métavers, et sont valorisées comme telles.

L’engouement pour les métavers coïncide aussi avec un questionnement sur l’avenir des réseaux sociaux et la place des GAFAM, et de nouvelles possibilités offertes par les technologies de type blockchain. Les réseaux sociaux tels que nous les connaissons sont de formidables outils de communication, avec un effet démultiplicateur pour le meilleur et pour le pire. Les métavers ouvrent de nouvelles possibilités, proposent de nouvelles interactions sociales, au-delà de la simple communication à base de textes courts ou d’images. Ils sont l’occasion de repartir sur de nouvelles bases, avec l’espoir – pour les plus optimistes – qu’elles ne conduiront pas nécessairement aux mêmes dérives.

Les technologies blockchain offrent les moyens de créer de la rareté numérique (des objets numériques ne pouvant exister qu’en nombre fini), de vérifier l’authenticité et la propriété d’un objet, de tracer son histoire, de permettre à son créateur ou sa créatrice de percevoir une redevance sur ses reventes par le biais de « contrats intelligents ». On voit se construire au-dessus de ces technologies de nouveaux jeux/mondes comme Decentraland ou Axie Infinity dans lesquels les joueurs/utilisateurs sont aussi les créateurs et administrateurs du monde virtuel, et peuvent en tirer de réels profits.

Cette implication des utilisateurs dans la création et l’administration permet d’envisager à terme des mondes bien plus complexes. Ces nouveaux mondes s’inscrivent dans ce qu’on qualifie de « Web3 », un Internet décentralisé (au sens du pouvoir, pas de l’architecture informatique) qui permettrait aux utilisateurs de reprendre le contrôle aux acteurs qui dominent le système actuel.

Des décennies de romans et de films de science-fiction nous ont préparé aux métavers (Matrix, Real Player One ou Free Guy par exemple, en plus des romans ou films déjà cités). La pandémie de Covid nous a poussé à déployer en masse des moyens informatiques pour nous coordonner, communiquer et collaborer. Des réunions de travail, des cours, des conférences, des concerts et autres performances artistiques en public se sont déroulés dans des conditions inédites. Malgré certaines difficultés, une étape a été franchie avec la numérisation de ces activités. Peut-on envisager ces expériences et d’autres sous des formes numériques plus riches, à plus grande échelle, telles que nous les promettent depuis longtemps les fictions sur les métavers ?

Dans un texte de 2005, Cory Ondrejka (un des créateurs de Second Life) disait : > « Le métavers sera si énorme que seules des approches distribuées de la création pourront générer son contenu. Les utilisateurs devront donc construire le monde dans lequel ils vivront. […] Ces résidents attireront des utilisateurs occasionnels qui joueront à des jeux, constitueront un public et deviendront des clients. Cela constituera l’offre et la demande d’un énorme marché de biens et de services. Les créateurs ayant la propriété et les droits sur leurs créations, cela permettra la création de richesse et de capital qui alimenteront la croissance. Ce n’est qu’alors que le Metaverse basculera et que le monde, tant réel qu’en ligne, ne sera plus jamais le même. ».

La convergence des éléments cités plus haut nous amène-t-elle au point de bascule ? De nombreuses questions scientifiques, technologiques, politiques, juridiques, économiques et sociologiques (entre autres) se posent encore. L’excitation actuelle retombera-t-elle avant qu’on ait pu y répondre ? Saura-t-on y répondre ? D’autres préoccupations rendront-elles toutes ces interrogations futiles ? Difficile de formuler un avis définitif…

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OPA : Lagardère, Akka Technologies et Befimmo en vedette - Le Revenu

Le marché a été dominé par la guerre en Ukraine, mais les opérations financières déjà « dans le tuyau » se sont concrétisées, à l’image des OPA sur Lagardère, Akka Technologies et Befimmo, ainsi que le projet de scission de Technicolor.

Les nouveautés

Lagardère : Vivendi a déposé son projet d’OPA au prix rehaussé.

Vivendi, qui détient désormais 45,13% du capital, s’engage, à titre principal, à acquérir les actions non détenues au prix unitaire de 25,50 euros (dividende attaché) et, à titre subsidiaire, à offrir aux actionnaires de recevoir pour chaque action présentée (et conservée jusqu’à la date de clôture de l’OPA) un droit de la céder au prix unitaire de 24,10 euros jusqu’au 15 décembre 2023 inclus.

Le prix offert dans le cadre de l’offre principale (25,50 euros) reflète une prime de 30,8% par rapport au cours du 15 septembre 2021 (dernière séance avant l’annonce par Vivendi de son projet d’acquisition du bloc auprès d’Amber Capital). Sous réserve du feu vert de l’AMF, l’offre devrait se dérouler du 14 avril au 20 mai 2022. 

Akka Technologies : OPA d’Adecco au prix de 49 euros par action. Le groupe français d’ingénierie et de conseil passe donc sous pavillon suisse, comme annoncé le 28 juillet 2021, avec l’acquisition par Adecco d’une participation majoritaire lui permettant de détenir 64,72% du capital. En conséquence, le groupe lancera une OPA en Belgique et en France sur les titres Akka Technologies restants au prix de 49 euros par action et de 100.000 euros plus intérêts échus par obligation convertible, correspondant à une valeur des fonds propres de 1,5 milliard d’euros. Le prix de l’offre représente une prime de 99% par rapport au cours de l’action de 24,60 euros au 26 juillet 2021, et une prime de 108% sur la moyenne des cours pondérée par les volumes des 3 derniers mois.

Befimmo : projet d’OPA amicale de Brookfield à 47,50 euros par action. Après de longues discussions entre les parties, RE Invest Belgium, société contrôlée par un fonds immobilier de Brookfield, a déposé auprès de l’Autorité des Services et Marchés Financiers belge un avis formel en vue du lancement d’une OPA volontaire et conditionnelle visant à acquérir toutes les actions Befimmo. Le prix proposé s’élève à 47,50 euros par action, représentant une prime de 51,8% par rapport au cours de clôture du 24 février 2022 (31,30 euros) et valorise cette société immobilière, qui détient 61 immeubles de bureaux et 8 espaces de coworking, à 1,35 milliard d’euros.

Technicolor : projet de scission de Technicolor Creative Studios. Le spécialiste des technologies de l’image a l’intention d’introduire en Bourse sa filiale, un leader des effets visuels, et de distribuer à cette occasion 65% du capital de TCS à travers un apport en nature aux actionnaires de Technicolor. Cette dernière restera une entité cotée et conservera une participation maximale de 35% dans TCS après distribution. La distribution envisagée permettra donc aux actionnaires de Technicolor de recevoir des actions TCS, tout en restant actionnaires de Technicolor Hors-TCS. Cette distribution devrait être finalisée au cours de la dernière partie du 3e trimestre 2022. 

Les opérations en cours

LV Group : l’OPR se termine mercredi 2 mars 2022. LVMH qui détient de concert 99,99% du capital de ce holding de contrôle (Louis Vuitton, Berluti, Celine, Kenzo, Givenchy, etc.), s’engage à acquérir les 2.652 actions non détenues au prix de 10.000 euros par action. Ce prix fait ressortir une prime – par transparence – de 17% sur le dernier cours coté de LVMH, le 14 décembre 2021, et une prime de 21% sur la moyenne des 60 dernières séances avant cette date. L’opération s’inscrit dans le cadre d’une démarche de simplification juridique du groupe LVMH visant en particulier à réduire le nombre de holdings intermédiaires. L’offre créerait ainsi la possibilité de procéder à une fusion simplifiée entre LV Group et LVMH à l’issue du retrait obligatoire.

Les résultats

Prodware : Phast Invest dépasse le seuil des 90%. A l’issue de son OPA au prix de 8,80 euros, close le 18 février 2022, le concert composé de cette structure et de ses dirigeants et actionnaires historiques détient désormais 92,82% du capital de cette société spécialisée dans l’édition-intégration et l’hébergement de solutions de gestion. Néanmoins, Phast Invest avait précisé n’avoir pas l’intention de mettre en œuvre de retrait obligatoire.

A savoir

Worldline : vers une cession des activités TSS aux fonds Apollo. A la suite d’une revue stratégique approfondie de ses activités Terminaux, Solutions et Services (TSS), Worldline est entré en négociations exclusives avec les fonds d’investissement gérés par Apollo sur la base d’une offre ferme d’achat pour 100% des titres de TSS pour un prix comprenant un montant de 1,7 milliard d’euros, ainsi que des actions de préférence pouvant atteindre un montant allant jusqu’à 0,9 milliard d’euros sur la base de la création de valeur future de TSS. La finalisation de l’opération, soumise à l’approbation des régulateurs et autorités concernés, est envisagée pour le second semestre 2022.

Bruits de marché

Ralph Lauren très entourée à Wall Street. L’action du groupe américain spécialisé dans les vêtements et accessoires de luxe a gagné 5,1% cette semaine, à 133,16 dollars, portant sa capitalisation à 6,2 milliards de dollars. Selon le site d’information Axios, qui s’appuie sur plusieurs sources proches du dossier, «le géant du luxe LVMH a eu des discussions exploratoires avec Ralph Lauren au cours des deux dernières années sur une éventuelle acquisition de la marque de mode américaine». Jusqu’à présent, LVMH a hésité à acquérir des grandes marques américaines au regard de la différence d’approche du luxe entre l’Europe et les États-Unis, explique Axios. Mais, depuis le rachat du joaillier Tiffany, le groupe de Bernard Arnault serait plus confiant.

Etudes et recherche

Fusions & acquisitions : le prix d’acquisition des PME non cotées reste à un haut niveau. Au 4e trimestre 2021, l’Argos Index poursuit la correction amorcée au 3e trimestre à 10 fois l’excédent brut d’exploitation (Ebitda). Ce niveau, qui reste élevé, correspond à la moyenne des cinq dernières années (2017-2021). La baisse de l’indice traduit les inquiétudes des acteurs économiques sur les conséquences des vagues successives de Covid, la désorganisation des chaînes de valeur, l’envolée des prix de l’énergie et des matières premières et les perspectives d’une reprise de l’inflation, explique Argos Wityu.  A noter : l’écart de multiples entre les secteurs Tech-Santé et Industrie-Service est très marqué, à plus de 4 fois l’Ebitda en moyenne.

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Bentley mise sur la technologie d'impression 3D. - Journal du luxe

Le constructeur investit trois millions de livres dans l'impression 3D en vue d'optimiser la fabrication de pièces et d'outils au sein de sa manufacture britannique.

Impression 3D, technologie, durabilité et personnalisation.

Bien décidé à faire de son usine de Crewe un centre tourné vers la technologie et le numérique, Bentley entend bien y renforcer ses technologies d'impression 3D. Avec cet investissement, l'automobiliste envisage ainsi de doubler sa capacité de fabrication additive.

Les équipements en place au sein du département d'impression 3D avaient d'ores et déjà permis de réaliser 15.000 pièces en 2021 et ce, dans plus de 25 matériaux différents. "L'un des principaux avantages du projet est d'être axé sur l'efficacité en réduisant le coût et la complexité d'une myriade d'emplois" précise Peter Bosch, membre du conseil d'administration de Bentley Motors. Si l'initiative incarne l'évolution de la supply chain, elle représente également une progression dans l'offre de la marque puisque l'optimisation du système d'impression devrait en effet améliorer les options de personnalisation au sein des véhicules.

bentley impression 3D
©Bentley

L'impression 3D s'insère du reste dans la stratégie durable Beyond100 de l'entreprise en permettant d'assurer une production au plus juste, réduisant de fait les déchets et les coûts de transport. Une façon pour Bentley de se positionner également comme un leader de l'industrie en matière d'innovation et d'ingénierie, une ambition confortée par des résultats financiers en hausse de 31% en 2021.

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Saturday, February 26, 2022

Nouvelles technologies - Le premier océan numérique du monde - RFI

Publié le :

La société française Mercator Ocean International à Toulouse a été choisie par l’Europe pour créer le premier océan numérique du monde. L’objectif de ce jumeau océanique est de réaliser des simulations afin de mieux comprendre les conséquences des activités humaines dans les milieux marins.

Avec les derniers développements des technologies de virtualisation 3D, il devient possible de créer, sur des superordinateurs, un monde parallèle au notre, qui serait aussi fidèle que l’original. Ces doubles numériques permettent d’étudier l’évolution des désordres environnementaux qui s’amplifient sous la pression des activités humaines. Et les données issues des observations océaniques, satellitaires ou par des capteurs en mer, que recueille et analyse la société Mercator Ocean International, offrent désormais la possibilité de créer le premier océan numérique du monde.

Le besoin d'accéder aux informations numériques sur l'océan

L’objectif de cette simulation informatique du réel est d’anticiper les conséquences du réchauffement climatique sur les milieux marins et de comprendre le rôle prépondérant de l’océan dans la régulation du climat, nous précise Pierre Bahurel, directeur général de Mercator Ocean International.

« Le fait de pouvoir accéder à une information numérique sur l’océan et de visualiser facilement les données concernant son état ou son environnement présente un intérêt qui dépasse aujourd’hui le seul cadre de la recherche scientifique », explique Pierre Bahurel. « Les citoyens ont aussi besoin d’accéder à ces informations, les décideurs politiques ou les industriels aussi. C’est l’objectif du jumeau numérique de l’océan que nous sommes en train de développer. Cette réplique informatique de l’environnement marin intègre plusieurs composantes, comme l’état de la température, le niveau d’oxygène, du CO2, la présence ou non de glaces, la dérive des icebergs, la quantité de polluants, celui des phosphates, l’état de la biodiversité ou encore la force des vagues et le niveau de la mer. »

« Ce double informatique des environnements marins intègre tous les paramètres qui sont nécessaires pour reproduire sur un superordinateur l’océan réel », ajoute-t-il. « C’est donc un super logiciel qui offre une simulation fidèle dans laquelle on peut naviguer dans toutes les dimensions et se déplacer librement dans un espace 3D, mais aussi dans le temps afin de réaliser des prévisions. Cela permet d’effectuer des expériences rigoureuses, comme de savoir ce qui se passe si on augmente, par exemple, le niveau de CO2 et de déterminer ainsi quel sera son impact sur l’acidité de l’eau. Autre exemple, si l’on introduit un polluant dans une rivière, ce modèle numérique offre la possibilité de savoir comment et à quelle vitesse cette pollution va se propager en fonction de sa position d’origine, à 10, 50, 100 ou encore 500 km, de la mer », détaille Pierre Bahurel.

Un outil d'aide à la prise de décision

Lors du récent One Summit Ocean, l’Espagne, l’Italie, la Norvège, le Portugal, le Royaume-Uni et la France se sont engagés à transformer la société Mercator Ocean International en une « organisation intergouvernementale en charge du premier océan numérique du monde ». Cette nouvelle structure est destinée aux chercheurs, aux industries de la mer, aux gouvernements mais aussi aux associations et à l’ensemble de la société civile.

Ce jumeau numérique océanique constituera ainsi un outil d’aide à la décision ouvert à tous et à tous les pays, pour trouver ensemble des solutions à la crise climatique mondiale.

Vous avez des questions ou des suggestions, vous pouvez nous écrire à nouvelles.technologies@rfi.fr 

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Thursday, February 24, 2022

Veritas Technologies annonce le lancement de sa solution NetBackup 10 - Global Security Mag

Veritas Technologies annonce le lancement d’une nouvelle technologie qui permet le déploiement de sa stratégie de gestion autonome des données optimisée pour le cloud. Cette stratégie vise à simplifier la façon dont les entreprises gèrent les données et à automatiser la protection contre les menaces telles que les ransomwares.

À l’occasion de son événement Conquer Every Cloud 2022, Veritas a dévoilé sa stratégie pour fournir une gestion autonome des données, dans laquelle NetBackup exploite l’intelligence artificielle et l’hyper-automatisation pour s’optimiser et se restaurer en toute autonomie dans les environnements multi-clouds. Cet engagement est souligné par le lancement de Veritas Cloud Scale Technology, une nouvelle génération de l’architecture NetBackup modernisée pour fonctionner à l’échelle du Web. Cette technologie de pointe, ainsi que la toute dernière version du logiciel phare de l’entreprise : NetBackup sont aujourd’hui toutes deux disponibles.

Technologie Cloud Scale

La technologie Veritas Cloud Scale, intégrée à NetBackup, sera à la base de cette stratégie. Cette technologie, basée sur une architecture de microservices conteneurisée, programmable et alimentée par l’IA, fournit des services de gestion de données unifiés et autonomes dans n’importe quel cloud. Les avantages de la technologie Cloud Scale se concrétisent grâce au lancement de NetBackup 10.

NetBackup 10

Cloud Scale, NetBackup 10 est optimisée pour le cloud, elle applique les technologies du Web comme l’automatisation, pour offrir une gestion des données moins coûteuse, efficace et sécurisée dans les environnements multi-clouds.

• NetBackup 10 offre des fonctionnalités améliorées de stockage multi-cloud et de hiérarchisation orchestrée - incluant la prise en charge étendue d’Amazon Web Services et de Microsoft Azure, afin de réduire le coût du stockage des sauvegardes jusqu’à 95 %.

• Les services de déduplication de pointe de NetBackup ont été mis à jour pour aider à encore minimiser son empreinte sur le cloud, tandis que les services de calcul élastiques peuvent être mis à disposition et adaptés aux besoins de l’entreprise au bon moment réduisant encore les coûts.

• Avec la prise en charge de l’ensemble des principales distributions Kubernetes, NetBackup 10 offre désormais un service de restauration multi-cloud multiplateforme, permettant aux utilisateurs de récupérer les données qu’ils souhaitent sur n’importe quelle distribution Kubernetes. Une meilleure efficacité grâce à des opérations simplifiées et automatisées

• NetBackup SaaS Protection est désormais intégré à NetBackup 10 pour fournir, à des fins de gouvernance et de conformité, une vue unique sur l’ensemble du parc de protection des données d’un client.

• NetBackup 10 comprend une nouvelle version de base entièrement intégrée de NetBackup IT Analytics, anciennement connu sous le nom de Veritas APTARE, pour fournir des analyses et des rapports complets basés sur l’intelligence artificielle, qui rationalisent les services de protection des données et diminuent les risques.

• NetBackup 10 propose de nouvelles fonctions de détection et de protection automatisées pour permettre la gestion d’un plus grand nombre de charges de travail de platform-as-a-service - dont Apache Cassandra et toutes les principales distributions Kubernetes et Microsoft Azure Managed SQL et Azure SQL.

Amélioration de la résilience aux attaques par ransomwares grâce à une analyse intégrée des logiciels malveillants

• NetBackup propose désormais une analyse automatique des malwares pendant les restaurations de données afin de garantir une récupération sans infection.

• La détection d’anomalies proposée par NetBackup, basée sur l’IA, permet désormais de lancer automatiquement une analyse des logiciels malveillants. Cette combinaison de services de détection des ransomwares dans NetBackup 10 offre une flexibilité granulaire adaptée au contenu qui permet une restauration rapide de données propres.

• NetBackup 10 étend la prise en charge du stockage immuable, notamment sur Microsoft Azure Blob Storage.

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Veritas Technologies annonce le lancement de sa solution NetBackup 10 - Global Security Mag

Veritas Technologies annonce le lancement d’une nouvelle technologie qui permet le déploiement de sa stratégie de gestion autonome des données optimisée pour le cloud. Cette stratégie vise à simplifier la façon dont les entreprises gèrent les données et à automatiser la protection contre les menaces telles que les ransomwares.

À l’occasion de son événement Conquer Every Cloud 2022, Veritas a dévoilé sa stratégie pour fournir une gestion autonome des données, dans laquelle NetBackup exploite l’intelligence artificielle et l’hyper-automatisation pour s’optimiser et se restaurer en toute autonomie dans les environnements multi-clouds. Cet engagement est souligné par le lancement de Veritas Cloud Scale Technology, une nouvelle génération de l’architecture NetBackup modernisée pour fonctionner à l’échelle du Web. Cette technologie de pointe, ainsi que la toute dernière version du logiciel phare de l’entreprise : NetBackup sont aujourd’hui toutes deux disponibles.

Technologie Cloud Scale

La technologie Veritas Cloud Scale, intégrée à NetBackup, sera à la base de cette stratégie. Cette technologie, basée sur une architecture de microservices conteneurisée, programmable et alimentée par l’IA, fournit des services de gestion de données unifiés et autonomes dans n’importe quel cloud. Les avantages de la technologie Cloud Scale se concrétisent grâce au lancement de NetBackup 10.

NetBackup 10

Cloud Scale, NetBackup 10 est optimisée pour le cloud, elle applique les technologies du Web comme l’automatisation, pour offrir une gestion des données moins coûteuse, efficace et sécurisée dans les environnements multi-clouds.

• NetBackup 10 offre des fonctionnalités améliorées de stockage multi-cloud et de hiérarchisation orchestrée - incluant la prise en charge étendue d’Amazon Web Services et de Microsoft Azure, afin de réduire le coût du stockage des sauvegardes jusqu’à 95 %.

• Les services de déduplication de pointe de NetBackup ont été mis à jour pour aider à encore minimiser son empreinte sur le cloud, tandis que les services de calcul élastiques peuvent être mis à disposition et adaptés aux besoins de l’entreprise au bon moment réduisant encore les coûts.

• Avec la prise en charge de l’ensemble des principales distributions Kubernetes, NetBackup 10 offre désormais un service de restauration multi-cloud multiplateforme, permettant aux utilisateurs de récupérer les données qu’ils souhaitent sur n’importe quelle distribution Kubernetes. Une meilleure efficacité grâce à des opérations simplifiées et automatisées

• NetBackup SaaS Protection est désormais intégré à NetBackup 10 pour fournir, à des fins de gouvernance et de conformité, une vue unique sur l’ensemble du parc de protection des données d’un client.

• NetBackup 10 comprend une nouvelle version de base entièrement intégrée de NetBackup IT Analytics, anciennement connu sous le nom de Veritas APTARE, pour fournir des analyses et des rapports complets basés sur l’intelligence artificielle, qui rationalisent les services de protection des données et diminuent les risques.

• NetBackup 10 propose de nouvelles fonctions de détection et de protection automatisées pour permettre la gestion d’un plus grand nombre de charges de travail de platform-as-a-service - dont Apache Cassandra et toutes les principales distributions Kubernetes et Microsoft Azure Managed SQL et Azure SQL.

Amélioration de la résilience aux attaques par ransomwares grâce à une analyse intégrée des logiciels malveillants

• NetBackup propose désormais une analyse automatique des malwares pendant les restaurations de données afin de garantir une récupération sans infection.

• La détection d’anomalies proposée par NetBackup, basée sur l’IA, permet désormais de lancer automatiquement une analyse des logiciels malveillants. Cette combinaison de services de détection des ransomwares dans NetBackup 10 offre une flexibilité granulaire adaptée au contenu qui permet une restauration rapide de données propres.

• NetBackup 10 étend la prise en charge du stockage immuable, notamment sur Microsoft Azure Blob Storage.

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Veritas Technologies annonce le lancement de sa solution NetBackup 10 - Global Security Mag

Veritas Technologies annonce le lancement d’une nouvelle technologie qui permet le déploiement de sa stratégie de gestion autonome des données optimisée pour le cloud. Cette stratégie vise à simplifier la façon dont les entreprises gèrent les données et à automatiser la protection contre les menaces telles que les ransomwares.

À l’occasion de son événement Conquer Every Cloud 2022, Veritas a dévoilé sa stratégie pour fournir une gestion autonome des données, dans laquelle NetBackup exploite l’intelligence artificielle et l’hyper-automatisation pour s’optimiser et se restaurer en toute autonomie dans les environnements multi-clouds. Cet engagement est souligné par le lancement de Veritas Cloud Scale Technology, une nouvelle génération de l’architecture NetBackup modernisée pour fonctionner à l’échelle du Web. Cette technologie de pointe, ainsi que la toute dernière version du logiciel phare de l’entreprise : NetBackup sont aujourd’hui toutes deux disponibles.

Technologie Cloud Scale

La technologie Veritas Cloud Scale, intégrée à NetBackup, sera à la base de cette stratégie. Cette technologie, basée sur une architecture de microservices conteneurisée, programmable et alimentée par l’IA, fournit des services de gestion de données unifiés et autonomes dans n’importe quel cloud. Les avantages de la technologie Cloud Scale se concrétisent grâce au lancement de NetBackup 10.

NetBackup 10

Cloud Scale, NetBackup 10 est optimisée pour le cloud, elle applique les technologies du Web comme l’automatisation, pour offrir une gestion des données moins coûteuse, efficace et sécurisée dans les environnements multi-clouds.

• NetBackup 10 offre des fonctionnalités améliorées de stockage multi-cloud et de hiérarchisation orchestrée - incluant la prise en charge étendue d’Amazon Web Services et de Microsoft Azure, afin de réduire le coût du stockage des sauvegardes jusqu’à 95 %.

• Les services de déduplication de pointe de NetBackup ont été mis à jour pour aider à encore minimiser son empreinte sur le cloud, tandis que les services de calcul élastiques peuvent être mis à disposition et adaptés aux besoins de l’entreprise au bon moment réduisant encore les coûts.

• Avec la prise en charge de l’ensemble des principales distributions Kubernetes, NetBackup 10 offre désormais un service de restauration multi-cloud multiplateforme, permettant aux utilisateurs de récupérer les données qu’ils souhaitent sur n’importe quelle distribution Kubernetes. Une meilleure efficacité grâce à des opérations simplifiées et automatisées

• NetBackup SaaS Protection est désormais intégré à NetBackup 10 pour fournir, à des fins de gouvernance et de conformité, une vue unique sur l’ensemble du parc de protection des données d’un client.

• NetBackup 10 comprend une nouvelle version de base entièrement intégrée de NetBackup IT Analytics, anciennement connu sous le nom de Veritas APTARE, pour fournir des analyses et des rapports complets basés sur l’intelligence artificielle, qui rationalisent les services de protection des données et diminuent les risques.

• NetBackup 10 propose de nouvelles fonctions de détection et de protection automatisées pour permettre la gestion d’un plus grand nombre de charges de travail de platform-as-a-service - dont Apache Cassandra et toutes les principales distributions Kubernetes et Microsoft Azure Managed SQL et Azure SQL.

Amélioration de la résilience aux attaques par ransomwares grâce à une analyse intégrée des logiciels malveillants

• NetBackup propose désormais une analyse automatique des malwares pendant les restaurations de données afin de garantir une récupération sans infection.

• La détection d’anomalies proposée par NetBackup, basée sur l’IA, permet désormais de lancer automatiquement une analyse des logiciels malveillants. Cette combinaison de services de détection des ransomwares dans NetBackup 10 offre une flexibilité granulaire adaptée au contenu qui permet une restauration rapide de données propres.

• NetBackup 10 étend la prise en charge du stockage immuable, notamment sur Microsoft Azure Blob Storage.

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Veritas Technologies annonce le lancement de sa solution NetBackup 10 - Global Security Mag

Veritas Technologies annonce le lancement d’une nouvelle technologie qui permet le déploiement de sa stratégie de gestion autonome des données optimisée pour le cloud. Cette stratégie vise à simplifier la façon dont les entreprises gèrent les données et à automatiser la protection contre les menaces telles que les ransomwares.

À l’occasion de son événement Conquer Every Cloud 2022, Veritas a dévoilé sa stratégie pour fournir une gestion autonome des données, dans laquelle NetBackup exploite l’intelligence artificielle et l’hyper-automatisation pour s’optimiser et se restaurer en toute autonomie dans les environnements multi-clouds. Cet engagement est souligné par le lancement de Veritas Cloud Scale Technology, une nouvelle génération de l’architecture NetBackup modernisée pour fonctionner à l’échelle du Web. Cette technologie de pointe, ainsi que la toute dernière version du logiciel phare de l’entreprise : NetBackup sont aujourd’hui toutes deux disponibles.

Technologie Cloud Scale

La technologie Veritas Cloud Scale, intégrée à NetBackup, sera à la base de cette stratégie. Cette technologie, basée sur une architecture de microservices conteneurisée, programmable et alimentée par l’IA, fournit des services de gestion de données unifiés et autonomes dans n’importe quel cloud. Les avantages de la technologie Cloud Scale se concrétisent grâce au lancement de NetBackup 10.

NetBackup 10

Cloud Scale, NetBackup 10 est optimisée pour le cloud, elle applique les technologies du Web comme l’automatisation, pour offrir une gestion des données moins coûteuse, efficace et sécurisée dans les environnements multi-clouds.

• NetBackup 10 offre des fonctionnalités améliorées de stockage multi-cloud et de hiérarchisation orchestrée - incluant la prise en charge étendue d’Amazon Web Services et de Microsoft Azure, afin de réduire le coût du stockage des sauvegardes jusqu’à 95 %.

• Les services de déduplication de pointe de NetBackup ont été mis à jour pour aider à encore minimiser son empreinte sur le cloud, tandis que les services de calcul élastiques peuvent être mis à disposition et adaptés aux besoins de l’entreprise au bon moment réduisant encore les coûts.

• Avec la prise en charge de l’ensemble des principales distributions Kubernetes, NetBackup 10 offre désormais un service de restauration multi-cloud multiplateforme, permettant aux utilisateurs de récupérer les données qu’ils souhaitent sur n’importe quelle distribution Kubernetes. Une meilleure efficacité grâce à des opérations simplifiées et automatisées

• NetBackup SaaS Protection est désormais intégré à NetBackup 10 pour fournir, à des fins de gouvernance et de conformité, une vue unique sur l’ensemble du parc de protection des données d’un client.

• NetBackup 10 comprend une nouvelle version de base entièrement intégrée de NetBackup IT Analytics, anciennement connu sous le nom de Veritas APTARE, pour fournir des analyses et des rapports complets basés sur l’intelligence artificielle, qui rationalisent les services de protection des données et diminuent les risques.

• NetBackup 10 propose de nouvelles fonctions de détection et de protection automatisées pour permettre la gestion d’un plus grand nombre de charges de travail de platform-as-a-service - dont Apache Cassandra et toutes les principales distributions Kubernetes et Microsoft Azure Managed SQL et Azure SQL.

Amélioration de la résilience aux attaques par ransomwares grâce à une analyse intégrée des logiciels malveillants

• NetBackup propose désormais une analyse automatique des malwares pendant les restaurations de données afin de garantir une récupération sans infection.

• La détection d’anomalies proposée par NetBackup, basée sur l’IA, permet désormais de lancer automatiquement une analyse des logiciels malveillants. Cette combinaison de services de détection des ransomwares dans NetBackup 10 offre une flexibilité granulaire adaptée au contenu qui permet une restauration rapide de données propres.

• NetBackup 10 étend la prise en charge du stockage immuable, notamment sur Microsoft Azure Blob Storage.

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Akka technologies : L'OPA d'Adecco sur Akka Technologies, valorisé 2 milliards d'euros, bientôt ouverte - BFM Bourse

(BFM Bourse) - Le géant suisse des ressources humaines a finalisé le rachat d'un bloc majoritaire du capital d'Akka auprès des fondateurs et de la Compagnie Nationale à Portefeuille (famille Frère). Adecco va lancer son offre publique sur le solde du capital, au prix de 49 euros.

La première étape du projet de rapprochement entre le groupe français de conseil en ingénierie et R&D externalisée Akka Technologies et Modis, la branche de conseil en technologie d'Adecco, annoncé fin juillet 2021, se concrétise avec l'acquisition effective par le groupe suisse de 59,91% du capital d'Akka auprès de la famille Ricci et de Swilux, holding de la Compagnie Nationale à Portefeuille. Le montant de l’opération valorise Akka 2 milliards d'euros, dette comprise.

Les frères Maurice (Mauro) Ricci et Jean-Franck Ricci ont choisi de rémunérer leur apport non pas en cash mais en actions nouvelles Adecco Group, sur la base d'une valorisation équivalent à 45 euros pour chacune de leurs actions d'Akka. Swilux sera rémunéré en numéraire. Cette holding détenue par la famille Frère via la Compagnie Nationale à Portefeuille était entrée au capital en octobre 2020 à 22,50 euros par action, ce qui représentait une forte prime sur le cours de l'époque.

Avec les quelques pourcents qu'il détenait par ailleurs, Adecco est désormais à la tête d'une participation de 64,72% dans Akka Technologies. Le rapprochement de Modis, l'entreprise de services high-tech du groupe zurichois, et d'Akka, leader dans les services de recherche et développement en ingénierie, "crée un acteur de premier plan de l'ingénierie et des solutions numériques dans le marché de la Smart Industry", fait valoir l'acquéreur.

Le groupe Adecco a annoncé le lancement d'une offre publique d'acquisition obligatoire sur les titres Akka Technologies restants, au même prix en espèces de 49 euros par action (et 100.000 € plus intérêts échus par obligation convertible), offrant aux actionnaires une liquidité immédiate avec une prime de 99% par rapport au dernier prix coté précédant l'annonce (108% par rapport à la moyenne pondérée des cours des trois mois précédant).

L'OPA était initialement prévue pour la fin du premier trimestre 2022. Adecco précise qu'il a l'intention de procéder si les conditions sont réunies à une offre de reprise simplifiée et au retrait de la cote d'Akka, prévoyant que le processus soit totalement achevé d'ici la fin du premier semestre.

Guillaume Bayre - ©2022 BFM Bourse

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Veritas Technologies annonce le lancement de sa solution NetBackup 10 - Global Security Mag

Veritas Technologies annonce le lancement d’une nouvelle technologie qui permet le déploiement de sa stratégie de gestion autonome des données optimisée pour le cloud. Cette stratégie vise à simplifier la façon dont les entreprises gèrent les données et à automatiser la protection contre les menaces telles que les ransomwares.

À l’occasion de son événement Conquer Every Cloud 2022, Veritas a dévoilé sa stratégie pour fournir une gestion autonome des données, dans laquelle NetBackup exploite l’intelligence artificielle et l’hyper-automatisation pour s’optimiser et se restaurer en toute autonomie dans les environnements multi-clouds. Cet engagement est souligné par le lancement de Veritas Cloud Scale Technology, une nouvelle génération de l’architecture NetBackup modernisée pour fonctionner à l’échelle du Web. Cette technologie de pointe, ainsi que la toute dernière version du logiciel phare de l’entreprise : NetBackup sont aujourd’hui toutes deux disponibles.

Technologie Cloud Scale

La technologie Veritas Cloud Scale, intégrée à NetBackup, sera à la base de cette stratégie. Cette technologie, basée sur une architecture de microservices conteneurisée, programmable et alimentée par l’IA, fournit des services de gestion de données unifiés et autonomes dans n’importe quel cloud. Les avantages de la technologie Cloud Scale se concrétisent grâce au lancement de NetBackup 10.

NetBackup 10

Cloud Scale, NetBackup 10 est optimisée pour le cloud, elle applique les technologies du Web comme l’automatisation, pour offrir une gestion des données moins coûteuse, efficace et sécurisée dans les environnements multi-clouds.

• NetBackup 10 offre des fonctionnalités améliorées de stockage multi-cloud et de hiérarchisation orchestrée - incluant la prise en charge étendue d’Amazon Web Services et de Microsoft Azure, afin de réduire le coût du stockage des sauvegardes jusqu’à 95 %.

• Les services de déduplication de pointe de NetBackup ont été mis à jour pour aider à encore minimiser son empreinte sur le cloud, tandis que les services de calcul élastiques peuvent être mis à disposition et adaptés aux besoins de l’entreprise au bon moment réduisant encore les coûts.

• Avec la prise en charge de l’ensemble des principales distributions Kubernetes, NetBackup 10 offre désormais un service de restauration multi-cloud multiplateforme, permettant aux utilisateurs de récupérer les données qu’ils souhaitent sur n’importe quelle distribution Kubernetes. Une meilleure efficacité grâce à des opérations simplifiées et automatisées

• NetBackup SaaS Protection est désormais intégré à NetBackup 10 pour fournir, à des fins de gouvernance et de conformité, une vue unique sur l’ensemble du parc de protection des données d’un client.

• NetBackup 10 comprend une nouvelle version de base entièrement intégrée de NetBackup IT Analytics, anciennement connu sous le nom de Veritas APTARE, pour fournir des analyses et des rapports complets basés sur l’intelligence artificielle, qui rationalisent les services de protection des données et diminuent les risques.

• NetBackup 10 propose de nouvelles fonctions de détection et de protection automatisées pour permettre la gestion d’un plus grand nombre de charges de travail de platform-as-a-service - dont Apache Cassandra et toutes les principales distributions Kubernetes et Microsoft Azure Managed SQL et Azure SQL.

Amélioration de la résilience aux attaques par ransomwares grâce à une analyse intégrée des logiciels malveillants

• NetBackup propose désormais une analyse automatique des malwares pendant les restaurations de données afin de garantir une récupération sans infection.

• La détection d’anomalies proposée par NetBackup, basée sur l’IA, permet désormais de lancer automatiquement une analyse des logiciels malveillants. Cette combinaison de services de détection des ransomwares dans NetBackup 10 offre une flexibilité granulaire adaptée au contenu qui permet une restauration rapide de données propres.

• NetBackup 10 étend la prise en charge du stockage immuable, notamment sur Microsoft Azure Blob Storage.

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Veritas Technologies annonce le lancement d’une nouvelle technologie qui permet le déploiement de sa stratégie de gestion autonome des données optimisée pour le cloud. Cette stratégie vise à simplifier la façon dont les entreprises gèrent les données et à automatiser la protection contre les menaces telles que les ransomwares.

À l’occasion de son événement Conquer Every Cloud 2022, Veritas a dévoilé sa stratégie pour fournir une gestion autonome des données, dans laquelle NetBackup exploite l’intelligence artificielle et l’hyper-automatisation pour s’optimiser et se restaurer en toute autonomie dans les environnements multi-clouds. Cet engagement est souligné par le lancement de Veritas Cloud Scale Technology, une nouvelle génération de l’architecture NetBackup modernisée pour fonctionner à l’échelle du Web. Cette technologie de pointe, ainsi que la toute dernière version du logiciel phare de l’entreprise : NetBackup sont aujourd’hui toutes deux disponibles.

Technologie Cloud Scale

La technologie Veritas Cloud Scale, intégrée à NetBackup, sera à la base de cette stratégie. Cette technologie, basée sur une architecture de microservices conteneurisée, programmable et alimentée par l’IA, fournit des services de gestion de données unifiés et autonomes dans n’importe quel cloud. Les avantages de la technologie Cloud Scale se concrétisent grâce au lancement de NetBackup 10.

NetBackup 10

Cloud Scale, NetBackup 10 est optimisée pour le cloud, elle applique les technologies du Web comme l’automatisation, pour offrir une gestion des données moins coûteuse, efficace et sécurisée dans les environnements multi-clouds.

• NetBackup 10 offre des fonctionnalités améliorées de stockage multi-cloud et de hiérarchisation orchestrée - incluant la prise en charge étendue d’Amazon Web Services et de Microsoft Azure, afin de réduire le coût du stockage des sauvegardes jusqu’à 95 %.

• Les services de déduplication de pointe de NetBackup ont été mis à jour pour aider à encore minimiser son empreinte sur le cloud, tandis que les services de calcul élastiques peuvent être mis à disposition et adaptés aux besoins de l’entreprise au bon moment réduisant encore les coûts.

• Avec la prise en charge de l’ensemble des principales distributions Kubernetes, NetBackup 10 offre désormais un service de restauration multi-cloud multiplateforme, permettant aux utilisateurs de récupérer les données qu’ils souhaitent sur n’importe quelle distribution Kubernetes. Une meilleure efficacité grâce à des opérations simplifiées et automatisées

• NetBackup SaaS Protection est désormais intégré à NetBackup 10 pour fournir, à des fins de gouvernance et de conformité, une vue unique sur l’ensemble du parc de protection des données d’un client.

• NetBackup 10 comprend une nouvelle version de base entièrement intégrée de NetBackup IT Analytics, anciennement connu sous le nom de Veritas APTARE, pour fournir des analyses et des rapports complets basés sur l’intelligence artificielle, qui rationalisent les services de protection des données et diminuent les risques.

• NetBackup 10 propose de nouvelles fonctions de détection et de protection automatisées pour permettre la gestion d’un plus grand nombre de charges de travail de platform-as-a-service - dont Apache Cassandra et toutes les principales distributions Kubernetes et Microsoft Azure Managed SQL et Azure SQL.

Amélioration de la résilience aux attaques par ransomwares grâce à une analyse intégrée des logiciels malveillants

• NetBackup propose désormais une analyse automatique des malwares pendant les restaurations de données afin de garantir une récupération sans infection.

• La détection d’anomalies proposée par NetBackup, basée sur l’IA, permet désormais de lancer automatiquement une analyse des logiciels malveillants. Cette combinaison de services de détection des ransomwares dans NetBackup 10 offre une flexibilité granulaire adaptée au contenu qui permet une restauration rapide de données propres.

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Wednesday, February 23, 2022

Le guide pour se faire une place dans une entreprise technologique - ZDNet France

Le guide pour se faire une place dans une entreprise technologique

De nombreux professionnels trouvent le réseautage et la recherche d'emploi stressants et intimidants. LinkedIn, les médias sociaux et les sites d'offres d'emploi en ligne ont éliminé le travail de fond, mais le réseautage peut encore être un défi. Avec ces quelques conseils, vous pouvez éliminer le stress du processus et faire en sorte que votre réseau travaille pour vous.

Si le réseautage peut conduire à de nouvelles opportunités de carrière, il permet bien plus encore. Votre réseau peut vous apporter du soutien, des conseils et de la confiance, ainsi que des modèles et des conseils professionnels. Le réseautage en ligne est peut-être moins personnel que les méthodes traditionnelles en face à face, mais il est aussi plus pratique, plus souple et plus accessible.

Nous examinons ici les avantages de se constituer un réseau et vous donnons nos meilleurs conseils en la matière pour vous guider dans votre démarche.

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Pourquoi le réseautage peut vous mener plus loin que l'envoi de candidatures ?

Envoyer des CV non sollicités ou postuler à des postes sur des sites d'offres d'emploi est peut-être le moyen le plus simple de postuler à un emploi, mais ce n'est pas le plus efficace.

Les grandes entreprises technologiques reçoivent des milliers de candidatures pour chacun de leurs postes. Les candidats qui se contentent d'envoyer un CV n'ont qu'une seule chance de faire bonne impression et de décrocher un entretien d'embauche.

Le réseautage peut améliorer ces chances de plusieurs manières :

  • Les personnes à qui vous vous adressez peuvent faire en sorte que votre CV passe l'étape de la présélection et se retrouve entre les mains du responsable du recrutement, évitant ainsi l'une des étapes les plus difficiles.
  • Des références solides et des réseaux professionnels vous donnent de la crédibilité.
  • Une référence aide à dresser un portrait complet de vous, mieux que le seul CV.
  • De nombreux employeurs préfèrent les candidats qui ont un lien avec leur entreprise, même mineur.
  • Le fait d'avoir une référence peut accélérer le processus de candidature et vous aider à obtenir des entretiens plus rapidement et plus efficacement.
  • Les connexions du réseau peuvent vous signaler de nouvelles ouvertures de postes, ou même vous recommander à un recruteur.

Le réseautage n'est pas aussi angoissant que vous le pensez

Le réseautage peut sembler beaucoup plus effrayant qu'il ne l'est, en particulier pour les introvertis. Mais le réseautage le plus efficace est authentique, et non formel. Il s'agit moins de rencontres animées que d'envoi occasionnel d'e-mails.

Restez dans le domaine de la conversation. Vous essayez de nouer des relations et d'instaurer la confiance, pas de postuler à un emploi. Vous voulez être réfléchi, honnête et attentionné. Lorsque quelqu'un fait quelque chose pour vous, aussi minime soit-il, montrez-lui votre reconnaissance et rendez-lui la pareille si et quand vous le pouvez.

Même si vous n'obtiendrez pas toujours la réponse que vous attendez, vous ne devez pas craindre de demander des conseils, des avis ou du soutien à votre réseau. Dans de nombreux cas, votre contact sera flatté et désireux de vous aider.

Quelques conseils pour décrocher un emploi dans la tech grâce au réseautage

Ces cinq conseils de réseautage peuvent vous aider à décrocher un nouveau poste dans la tech.

1. Dressez une liste de personnes à qui vous pourriez vous adresser

Commencez votre processus de réseautage en établissant une liste de contacts qui travaillent actuellement dans une entreprise technologique. Il peut s'agir de toute personne qui, à votre avis, peut vous aider et de toute personne que vous pourriez aider. Essayez d'inclure des professionnels qui se situent au niveau de votre carrière actuelle, au-dessus et en dessous.

Comme nous l'avons fait ci-dessous, classez la liste en sections. Les regroupements peuvent inclure :

  • les personnes que vous connaissez et avec lesquelles vous interagissez régulièrement ;
  • les personnes avec lesquelles vous avez perdu le contact ;
  • les personnes avec lesquelles vous avez un lien faible ;
  • les anciens de l'université ;
  • les personnes que vous souhaitez rencontrer.

Bien que chaque personne nécessite une approche de contact unique, vous pouvez utiliser des stratégies similaires pour de nombreuses personnes qui partagent la même catégorie.

Les liens dormants

Les liens dormants sont des personnes que vous n'avez pas vues ou auxquelles vous n'avez pas parlé depuis un certain temps. Les connaissances qui travaillent dans le domaine de la technologie ou pour une entreprise de technologie sont précieuses. Même si leur rôle n'est pas lié à la technologie, ils peuvent vous présenter un professionnel de la technologie au sein de leur organisation.

Comme ces contacts vous connaissent déjà, il sera beaucoup plus facile et efficace de les reconnecter et de les ajouter à votre réseau que d'autres types de contacts.

Les liens faibles

Les liens faibles sont les amis des amis : ceux qui sont connectés à vous indirectement. Il peut s'agir de l'ami d'un collègue de travail, d'un membre de la famille d'un ami de la famille ou d'une personne qui a fréquenté votre école secondaire.

Ces liens informels devraient vous permettre de les contacter de manière moins intimidante pour vous et moins intrusive pour eux. Vous pouvez faire référence à votre lien commun lorsque vous le contactez ou même demander à une personne qui vous connaît tous les deux de faire les présentations.

Les anciens élèves

Le réseau d'anciens élèves de votre université ou école peut être un excellent endroit pour trouver de nouveaux contacts pour votre réseau.

Le fait d'avoir fréquenté la même école permet de briser la glace dans une conversation et crée un sentiment de parenté. De plus, le fait de partager un parcours universitaire avec un professionnel du secteur qui a réussi peut donner du poids à votre diplôme.

Les personnes que vous souhaitez rencontrer

Pour ce groupe, pensez à des personnes qui ont la carrière de vos rêves ou qui travaillent pour une organisation que vous admirez. Vous pourriez vouloir les imiter ou calquer votre parcours professionnel sur le leur.

2. Déterminez la meilleure façon d'entrer en contact avec les personnes que vous souhaitez rencontrer

Le monde numérique nous propose d'innombrables méthodes pour contacter les gens, mais chaque plateforme et chaque moyen a ses avantages et ses inconvénients en matière de réseautage. Vous devez appliquer une certaine stratégie à la méthode que vous utilisez en fonction du type de contact. Voici quelques exemples :

LinkedIn

LinkedIn est une plateforme de mise en réseau, ce qui en fait un excellent point de départ. Complétez ou mettez à jour votre profil avant d'envoyer des demandes de connexion. Votre profil renseigne les contacts potentiels sur vos compétences, votre expérience et votre formation.

Les e-mails

Tout le monde n'utilise pas LinkedIn. Le courrier électronique est votre meilleure chance d'atteindre ces professionnels. Alors que les personnes présentes sur LinkedIn s'attendent à faire du réseautage, le courrier électronique peut être plus personnel et plus confidentiel.

Si vous ne trouvez pas quelqu'un sur LinkedIn, recherchez son adresse électronique professionnelle en ligne. Essayez d'effectuer une recherche sur le site web de son organisation, de consulter les médias sociaux ou d'effectuer une recherche avancée sur Google.

Les messages ou les appels téléphoniques

Cette méthode de contact ne doit être utilisée que pour les contacts que vous connaissez déjà. Contacter un inconnu par téléphone peut être trop invasif et rebutant pour de nombreuses personnes.

Si vous avez établi une relation et souhaitez passer à une conversation téléphonique, demandez à votre contact s'il est prêt à en programmer une. Utilisés à bon escient, les appels téléphoniques peuvent déboucher sur des conversations et des connexions personnelles et perspicaces.

3. Respectez l'étiquette LinkedIn

Sur LinkedIn, vous pouvez inclure un bref message lorsque vous envoyez une invitation. Si votre destinataire est sélectif dans les demandes de connexion qu'il reçoit, il pourra apprécier votre touche personnelle, et être assuré en même temps que vous ne spammez pas les demandes.

Toutefois, faites attention à ne pas envoyer de message trop long. Gardez-le pour l'envoyer une fois l'invitation acceptée. Si vous commencez par un message trop long, vous pourrez paraître trop insistant. Et puis, ça vous évite de perdre du temps et de faire trop d'efforts alors que vous n'êtes pas encore connecté avec une personne.

4. Rédigez et envoyez votre premier message

Pour écrire votre message d'introduction, voici quelques conseils, et quelques erreurs courantes à éviter :

Comment préparer le premier message

  • Faites des recherches sur la personne avec laquelle vous voulez entrer en contact. Apprenez-en le plus possible à partir des informations publiques, notamment son expertise professionnelle, ses anciens employeurs et ses anciens postes.
  • Essayez de comprendre qui elle est, quelles sont ses relations et de quoi vous pourriez parler.
  • Commencez par une introduction qui explique qui vous êtes et ce que vous faites.
  • Dites-lui comment vous avez trouvé son profil, en mentionnant comment vous avez entendu parler d'elle en premier lieu ou comment vous êtes en relation.
  • Mentionnez ses travaux que vous avez admirés.
  • Parlez de quelque chose que vous avez en commun.
  • Positionnez-vous comme un contact souhaitable, quelqu'un qui peut partager des informations et pas seulement quelqu'un qui cherche à obtenir des faveurs.
  • Soyez chaleureux et amical pour faire la meilleure première impression.
  • Posez une question ciblée pour vous assurer que votre message suscite une réponse. Vous pouvez demander à la personne quelle est son expérience de l'entreprise, lui poser des questions sur la culture de l'entreprise, lui demander si l'entreprise recrute ou lui demander de vous présenter.
  • Montrez votre gratitude à la personne qui a pris le temps et fait l'effort de lire votre message et d'y répondre.

Ce qu'il ne faut pas faire lors de l'envoi du premier message

  • Ne commencez pas par demander un emploi ou un entretien. Demandez des conseils ou des informations.
  • Evitez de donner des conseils non sollicités. Cela peut paraître prétentieux, présomptueux ou même offensant.
  • N'envoyez pas votre CV lors du premier contact. Attendez plutôt qu'on vous le demande ou qu'on vous dise où l'envoyer.
  • Ne racontez pas n'importe quoi. Vous ne voulez pas faire perdre son temps à votre interlocuteur ni le perturber.
  • Adoptez un ton amical et conversationnel. Le langage formel (comme "chère madame") peut sembler peu naturel.
  • Evitez de demander des faveurs qui prennent du temps.
  • Posez des questions auxquelles la personne peut répondre sans trop d'efforts. Pensez à des choses auxquelles elle peut répondre spontanément.
  • Demandez des conseils dans le domaine d'expertise de la personne.
  • Lorsque vous contactez des liens dormants, assurez-vous de parler de votre perte de connexion.

5. Continuez à faire la conversation

L'étape suivante de la conversation doit se dérouler comme vous le souhaitez. Vous voulez continuer à montrer votre gratitude et à remercier pour les conseils ou l'aide apportés. La conversation peut trouver une fin naturelle à ce stade, mais vous pouvez également la poursuivre si vous pensez que cela a du sens.

Respectez simplement le temps de votre interlocuteur et évitez de prolonger inutilement la conversation. Si vous le pouvez, proposez un moyen de lui rendre la pareille. Vous devriez également reprendre contact de temps en temps par la suite, pour maintenir le lien.

Source : ZDNet.com

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Béziers : à l’heure des détecteurs de CO2, d’autres technologies existent - Midi Libre

Dans les lieux clos dont les salles de classes, les rayons UV-C pourraient aussi être efficaces.

Les semaines passent et se ressemblent dans les écoles. Avec les dizaines de protocoles différents, les masques qui restent obligatoires ou encore des campagnes massives de tests salivaires mais qu’importe, des classes ferment, à l’instar de la Ville de Béziers qui en comptait huit la semaine dernière.

La solution miracle n’existe sans doute pas, mais certains s’attellent à trouver des alternatives. Notamment, dans les Pyrénées-Orientales. Une école s’est penchée depuis la fin du premier confinement sur des lampes à rayons UV-C.

Des rayons efficaces mais pas reconnus

Une technologie que connaît bien Renaud Geoffray, fondateur et gérant de la société Free for life et TooWood, à Béziers, qui commercialise des mini-lampes à rayons UV-C. "Cette lumière élimine 99,94 % des germes, bactéries et virus donc c’est quasiment évident qu’elle a une utilité pour désinfecter le Covid", détaille-t-il.

Néanmoins, toujours sans contester l’efficacité du produit qui a fait ses preuves un peu plus loin dans l’ex-Languedoc-Roussillon avec aucune classe fermée et très peu de cas de Covid détectés, Renaud Geoffray rappelle que "ce produit ne peut pas être vendu comme étant "anti-Covid"". Et, pour cause, aucun essai officiel n’a approuvé le niveau d’efficacité des rayons UV-C sur le Covid.

"Selon moi, c’est surtout un choix politique de ne pas se pencher davantage sur cette méthode, lance Gilles Bortolus, délégué du Languedoc-Roussillon de l’Institut français des formateurs en risques majeurs et environnement (Iffo-Rme). En 1975, j’étais chargé de sécurité sanitaire et incendie dans un hôpital et nous désinfections les blocs opératoires avec des rayons UV-C. Et le virus du Covid n’est pas plus résistant qu’un autre. Un rapport du Haut conseil de la santé publique de 40 pages explique que ce produit fonctionne pour éliminer ces organismes vivants dans un lieu clos. Mais malheureusement, ce rapport ne promeut pas pour autant son utilisation".

Les générateurs d’ozone, la solution accessible

Les générateurs d’ozone font aussi partie des alternatives dont l’efficacité pourrait être notable. "L’ozone est une forme enrichie de l’oxygène donc en fait, ça brûle les virus, ça les tue, détaille Gilles Bortolus. Encore une fois, à l’hôpital c’est utilisé pour désinfecter le linge avant de le laver." De plus, ces générateurs auraient l’avantage de "ne pas être trop onéreux". "On en trouve de partout, dès qu’il y a eu du monde dans une pièce ou qu’il va y avoir du monde, on l’allume 15 minutes et la pièce est impeccable", poursuit le délégué régional de l’Iffo-Rme.

Ces alternatives séduisent parfois les particuliers mais ne sont pas incluses dans les recommandations officielles de l’Éducation nationale et de la Haute autorité de santé.

Capteurs de CO2, bientôt tous déployés

La Ville de Béziers, elle, a suivi les recommandations ministérielles. Et le maire, Robert Ménard, ainsi que son adjointe aux écoles, Alberte Frey, se sont rendus vendredi 18 février dernier à l’école Sévigné et la crèche de la Gare du Nord pour découvrir les premiers détecteurs de CO2 installés dans ces établissements.

Au total, d’ici la rentrée des vacances d’hiver, 418 capteurs seront répartis dans les écoles maternelles, élémentaires, les restaurants scolaires, les crèches et les accueils de loisirs. Un investissement total de 114 638 €, hors subventions, pour ces petits capteurs posés en fond de classe, fabriqués à Perpignan, qui affichent un voyant orange ou sonnent lorsque les fenêtres doivent être ouvertes.

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Tuesday, February 22, 2022

Lectoure. Nouvelles technologies : le Lectourois bientôt 100 % fibre - ladepeche.fr

l'essentiel Le déploiement de la fibre optique arrive bientôt dans les communes du Lectourois qui vont bénéficier de ce service.

Le directeur général de Gers Fibre, Jean-Sébastien Massenez, est venu le 9 février apporter une bonne nouvelle aux maires de Lectoure, Terraube, Marsolan, Saint-Avit-Frandat, Lagarde-Fimarcon et Castéra-Lectourois, réunis dans la salle du conseil de la mairie de Lectoure : la fibre optique arrive dans ces communes qui font partie de la toute première vague du déploiement devant conduire le département du Gers au 100 % fibre en 2025. Pour atteindre cet objectif et mobiliser les 200 millions d’euros nécessaires, il a fallu réunir des financements publics et des financements privés. C’est ce qui a conduit à la création de Gers Fibre, une nouvelle société détenue à 85 % par Gers Numérique et à 15 % par Orange. En tant que membre du conseil d’administration de Gers Fibre, Xavier Ballenghien, maire de Lectoure et président de l’intercommunalité, s’est félicité que l’ensemble du Lectourois, et très bientôt le secteur de Miradoux, bénéficie d’une technologie qui va changer la vie des habitants, d’autant que la fin du cuivre vient d’être annoncée.

Rapidement, les maires présents ont enchaîné les questions, bien décidés à peser de tout leur poids pour la réussite de ce déploiement. L’enjeu de l’adressage est très vite identifié car une adresse erronée ou incomplète peut empêcher l’abonnement à la fibre. Pour parer à toute éventualité, il est convenu que les maires vérifient eux-mêmes les adresses relevées par Gers Fibre sur les communes. Autre enjeu de taille : le raccordement final d’un abonné, c’est-à-dire le branchement de la maison en terrain privé jusqu’en limite de propriété où un point de branchement a été déployé. Le directeur de Gers Fibre a insisté : "Dans le Gers, ce raccordement est gratuit pour l’abonné mais celui-ci doit vérifier qu´il dispose bien d’une gaine pour glisser la fibre. Le plus souvent, il s’agira de la gaine du téléphone. Mais si le cuivre a été enfoui en pleine terre, il faudra que l’abonné fasse des travaux sur son terrain".

Les maires ont demandé à pouvoir communiquer toutes ces informations techniques à leurs habitants et l’engagement a été pris par Gers Fibre de produire cette documentation. La réunion s’est achevée sur la présentation de la carte interactive en ligne sur le site gersfibre.fr, une carte qui permet à chaque habitant de suivre étape par étape l’arrivée de la fibre jusqu’à son domicile.

Avant de conclure, le directeur de Gers Fibre a rappelé que sur le réseau gersois, 3 des 4 grands opérateurs sont déjà présents et que Bouygues Telecom arrivera d’ici le mois d’avril. Chaque futur abonné choisira librement son opérateur. "En matière d’internet, nous offrirons dans nos campagnes le même service que dans les grandes agglomérations".

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Le financement de série A de 16 millions de dollars de SeMI Technologies met en évidence une nouvelle vague de technologies de base de données fondées sur l'IA - LeLézard.com

Classé dans : Les affaires, Science et technologie
Sujets : Acquisitions et fusions d'entreprises, Ententes financières, Capital de risque

AMSTERDAM, 22 février 2022 /PRNewswire/ -- SeMI Technologies, développeur de la base de données de recherche vectorielle open source  Weaviate , a clôturé un financement de série A de 16 millions de dollars codirigé par New Enterprise Associates (NEA) et Cortical Ventures. Cet investissement fait suite à un financement de démarrage de 1,6 million de dollars, mené en août 2020. Ce financement, qui n'avait pas encore été annoncé, a été dirigé par Zetta Venture Partners avec la participation d'ING Ventures.

La nouvelle injection de capital reconnaît la valeur de la position de leader de SeMI Technologies dans les bases de données vectorielles, un nouveau type de base de données ouvrant une nouvelle ère de technologies de base de données fondées sur l'IA. Les bases de données précédentes stockaient simplement des données brutes ; Weaviate stocke des données qui sont traitées par des modèles d'apprentissage automatique, ce qui permet aux utilisateurs de mieux indexer et rechercher leurs données. L'investissement permettra à SeMI Technologies de développer son équipe, sa communauté d'utilisateurs et sa liste de partenaires, d'augmenter le nombre de cas d'utilisation, et de créer et peaufiner ses modèles et modules d'apprentissage machine.

À l'origine, SeMI Technologies est issue d'ING Labs. Les fondateurs, le PDG, Bob Van Luijt, le directeur de la technologie, Etienne Dilocker, et le directeur de l'exploitation, Micha Verhagen, ont décidé de démocratiser les capacités de recherche qui, jusqu'à présent, étaient la « chasse gardée » d'une poignée de grandes entreprises technologiques. La base de données de recherche vectorielle Weaviate est open source et SeMI Technologies donne aux clients la possibilité de l'exécuter sur leur infrastructure (leur permettant de garder le contrôle de leurs données, en toute sécurité derrière leurs propres pare-feu) ou comme une offre SaaS accessible en un clic.

« Nous représentons une troisième vague dans la technologie des bases de données, a indiqué M. van Luijt. La dominance SQL d'Oracle a été suivie par des bases de données NoSQL open-source mises au point par des entreprises comme MongoDB. Weaviate donne à toute entreprise la possibilité de bénéficier de bases de données construites avec, au coeur de leur conception, des capacités d'apprentissage automatique et d'apprentissage profond à leur base. Les premiers cas d'utilisation ont été des cas de langage naturel, mais nous explorons également des images, des vidéos, des fichiers audio et même des cas ésotériques tels que des intégrations de de graphes ou de gènes. »

SeMI Technologies offre des produits et des services autour de sa solution open-source Weaviate. Cela comprend les services gérés, un contrat de licence de service et le support technique. Weaviate a déjà été téléchargé plus de 700 000 fois (un nombre qui augmente d'environ 30 % par mois). Des centaines d'utilisateurs ont appliqué Weaviate dans plus de 100 cas d'utilisation différents dans les industries de la technologie, de la finance, des médias, de la cybersécurité, des soins de santé, ainsi que dans de nombreuses autres industries.

« Nous surveillons de près les progrès en matière d'apprentissage machine et d'intelligence artificielle, et nous attendons que la bonne équipe et le bon produit réinventent notre façon de travailler avec les données », a déclaré Tony Florence, associé directeur général, en charge du département dédié aux technologies chez NEA. « La base de données vectorielle Weaviate permet aux utilisateurs d'interagir avec des données non structurées en tant que vecteurs, à travers le texte, l'audio et les images, ce qui déverrouille des cas d'utilisation incroyablement puissants. Nous sommes ravis de nous associer à M. Van Luijt et à l'équipe de SeMi Technologies pour démocratiser l'accès aux nouvelles applications de données ? de la recherche sémantique neuronale aux systèmes de recommandation vectoriels, et plus encore. »

« Cet investissement nous permettra de faire de Weaviate la norme de facto dans la recherche vectorielle open-source, a déclaré M. Van Luijt de SeMI Technologies. « En prime, NEA et Cortical Ventures apportent les connaissances et l'expérience précieuses des entreprises OSS de haute technologie qui catalyseront notre croissance et le développement de nos produits ».

« Au cours de la prochaine décennie, les applications axées sur l'IA transformeront chaque industrie et tous les aspects de nos vies, créant des milliards de dollars de valeur marchande », a déclaré Igor Taber, associé général chez Cortical Ventures. « Weaviate a le potentiel d'être une technologie de base de données qui alimente ces applications. Nous sommes ravis de travailler avec Bob Van Luijt et toute l'équipe de SeMI Technologies pour bâtir l'entreprise phare du secteur. »

Les restrictions liées à la pandémie s'atténuant enfin, M. van Luijt et l'équipe de SeMI Technologies sont heureux d'avoir plus d'occasions de rencontrer et de faire croître la communauté open source autour du projet Weaviate. Pour en savoir plus, consultez le site suivant : www.semi.technology

À propos de SeMI Technologies

SeMI Technologies construit l'infrastructure logicielle de base pour les applications d'IA. Le moteur de recherche vectoriel Weaviate est leur fleuron open-source. SeMI Technologies a été fondée en 2019 par Bob van Luijt, Micha Verhagen et Etienne Dilocker. Son siège est à Amsterdam, aux Pays-Bas. www.semi.technology ? www.weaviate.io

À propos de NEA

New Enterprise Associates, Inc. (NEA) est une société mondiale de capital-risque qui aide les entrepreneurs à bâtir des entreprises transformationnelles en plusieurs étapes, ainsi que dans différents secteurs et régions. Avec près de 24 milliards de dollars de capitaux engagés cumulatifs depuis sa fondation en 1977, NEA investit dans des entreprises de technologie et de soins de santé à toutes les étapes du cycle de vie d'une entreprise, depuis l'étape de démarrage jusqu'à l'introduction en bourse. Les antécédents d'investissement de la société comprennent plus de 260 introductions en bourse de sociétés de portefeuille et plus de 430 fusions et acquisitions. www.nea.com

À propos de Cortical Ventures

Cortical Ventures est une société de capital-risque qui aide les entrepreneurs à bâtir la prochaine génération d'entreprises utilisant l'IA. La société a été créée par le fondateur de DataRobot, Jeremy Achin, et par Igor Taber, qui était auparavant à la tête du développement d'entreprise chez DataRobot, et a été l'un des premiers investisseurs dans la société alors qu'il était chez Intel Capital. Cortical Ventures a été créée afin d'inventer, d'incuber et d'investir dans les entreprises menant la révolution de l'IA. La société est soutenue par des sociétés de capital-risque et des partenaires de premier plan, des sommités de l'IA et des fondateurs et exploitants majeurs de l'industrie. www.cortical.vc


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Communiqué envoyé le 22 février 2022 à 16:48 et diffusé par :

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Blockchain : définition, bitcoin... Tout ce qu'il faut savoir - JDN

Blockchain : définition, bitcoin... Tout ce qu'il faut savoir [BLOCKCHAIN] La blockchain fait partie des technologies à surveiller dans les années à venir. Elle pourrait révolutionner plusieurs secteurs de l'économie, à commencer par la banque et l'assurance.

La blockchain est le nouveau buzzword dans le monde des technologies. Tous les secteurs commencent à plancher sur des cas d'usages concrets. Toutefois, peu d'acteurs peuvent se targuer d'avoir mis au point des solutions révolutionnaires. Pour cause : la technologie blockchain est encore très complexe à appréhender.  

La blockchain (dont la traduction en français est chaîne de blocs) est une technologie qui permet de stocker et de transmettre des informations de manière transparente, sécurisée et sans organe central de contrôle. Elle ressemble à une grande base de données qui contient l'historique de tous les échanges réalisés entre ses utilisateurs depuis sa création. La blockchain peut être utilisée de trois façons :

  • Pour du transfert d'actifs (monnaie, titres, actions…)
  • Pour une meilleure traçabilité d'actifs et produits
  • Pour exécuter automatiquement des contrats (des "smart contracts").
Infographie issue du livre blanc "Comprendre la blockchain". © U Change

La grande particularité de la blockchain est son architecture décentralisée, c'est-à-dire qu'elle n'est pas hébergée par un serveur unique, mais par une partie des utilisateurs. Il n'y a aucun intermédiaire, pour que chacun puisse vérifier lui-même la validité de la chaîne. Les informations contenues dans les blocs (transactions, titres de propriétés, contrats…) sont protégées par des procédés cryptographiques qui empêchent les utilisateurs de les modifier a posteriori. 

Les NFT désignent en anglais les non-fungible token, soit des jetons non-fongibles en français. Ils représentent un objet unique qui n'est pas interchangeable, comme une œuvre d'art (photographie, peinture digitale...). Le NFT désigne un fichier numérique, associé à un certificat d'authenticité infalsifiable. Il est conçu grâce à la technologie de la blockchain. Cette dernière permet d'inscrire sur un registre numérique la preuve de la propriété de l'actif. L'Ethereum est la plateforme sur laquelle la majorité des NFT sont distribués. 

En 2021, l'artiste américain "Beeple" (Mike Winkelmann) a vendu une photo numérique nommée "Everyday: the first five thousand days" pour plus de 69 millions de dollars par la maison d'enchères Christie's à New-York. Cette photo numérique en NFT est pourtant consultable et téléchargeable par tous les internautes qui le souhaitent. En vogue sur le marché de l'art, les NFT rassurent les collectionneurs contre les risques de contrefaçon. Ils suscitent toutefois des inquiétudes. Les transactions en NFT venus de portefeuilles liés à des transactions illégales a augmenté en 2021, pour atteindre 1,4 million de dollars au quatrième trimestre, selon Chainalysis

Le bitcoin est le cas d'usage le plus connu de la blockchain. Il a été créé en 2008 par un inconnu dont le pseudonyme est Satoshi Nakamoto. Il désigne à la fois un protocole de paiement sécurisé et anonyme et une crypto-monnaie. N'importe qui peut accéder à cette blockchain (elle est publique, donc ouverte à tous) et donc utiliser des bitcoins. Pour ce faire, il suffit de créer un portefeuille virtuel, téléchargeable sur les stores d'applications. La crypto-monnaie permet d'acheter des biens et services et peut être échangée contre d'autres devises.

Certaines plateformes proposent la conversion de dollars, euros ou yuans en bitcoins. C'est le cas de Paymium, une entreprise française qui permet d'échanger des bitcoins contre des euros. Le bitcoin a un cours très volatile. Il peut augmenter ou diminuer de 20% en seulement deux jours. Cette volatilité est liée à la forte spéculation autour de cette monnaie et à l'absence d'une autorité régulatrice. Début décembre 2017, le cours du bitcoin a dépassé pour la première fois les 15 000 dollars. Il a augmenté de plus 1000% sur l'année 2017. Face à cette envolée, l'Autorité des marchés financiers (AMF) et l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) ont mis en garde les investisseurs sur les risques liés à l'achat de bitcoins.

"Cette valorisation peut aussi bien s'effondrer de la même manière. L'achat/vente et l'investissement en bitcoin s'effectuent à ce jour en dehors de tout marché réglementé. Les investisseurs s'exposent par conséquent à des risques de perte très élevés en cas de correction à la baisse et ne bénéficient d'aucune garantie ni protection du capital investi", indique les deux régulateurs dans un communiqué. Ces derniers seraient de plus en plus sollicités par des épargnants à ce sujet. Au Japon, le bitcoin a été reconnu comme moyen de paiement légal le 1er avril 2017. La capitalisation de la première crypto-monnaie a atteint 191 milliards de dollars en novembre 2017.

La blockchain Ethereum est devenue aussi populaire que le bitcoin. Créée en 2014, Ethereum utilise aussi sa propre crypto-monnaie : l'ether. Son cours est moins élevé (environ 2 300 euros en février 2022, contre 33 000 euros pour le bitcoin). Contrairement au bitcoin, qui permet seulement d'effectuer des transactions simples (principalement des paiements), l'Ethereum va plus loin. Il permet de faire tourner des "smart contract", des programmes autonomes qui exécutent automatiquement des actions validées au préalable par les parties prenantes.

L'Ethereum et ses contrats intelligents intéressent les acteurs de la banque et assurance, mais aussi les professions juridiques. Ces acteurs pourront à l'avenir certifier des transferts de propriété de manière plus sécurisée ou encore verser automatiquement des indemnités. Axa a été le premier assureur à sortir une assurance basée sur la blockchain. En septembre 2017, il a lancé une assurance automatisée pour les retards de vol d'avion.  Basée sur la blockchain Ethereum, cette assurance est en fait un "smart contract", un contrat intelligent qui déclenche un remboursement automatique une fois que le retard a été constaté. Cette offre baptisée Fizzy a été développée avec la start-up Utocat, qui édite une plateforme pour accélérer la conception de prototypes blockchain.

Côté banques, de nombreux projets sont en cours. D'autres industries expérimentent  la blockchain, comme Boeing. Le constructeur américain a déposé une demande de brevet pour un système basé sur la blockchain qui permettrait de renforcer les systèmes GPS des avions. La demande publiée le 14 décembre dernier par l'Office américain des brevets mentionne un "système GPS embarqué de secours et anti-spoofing (usurpation de localisation GPS)" qui pourrait être utilisé en cas de dysfonctionnement du système principal d'un avion.  

La technologie de le blockchain est encore jeune. Quelques applications sont toutefois déjà opérationnelles. Une des plus répandues est la traçabilité des aliments. Carrefour est un des précurseurs avec son QR code apposé sur plusieurs types d'aliments (poulet, tomate, oeuf...) qui permet de tout savoir sur l'origine du produit (provenance, nom du producteur, date d'empaquetage...). Déclencher automatiquement une indemnisation est une application qui intéresse beaucoup les assureurs. Cela est rendu possible via les smart contract, des programmes autonomes qui s'exécutent automatiquement suite à des conditions définies au préalable. 

Axa permet par exemple d'indemniser les passagers d'un vol qui a du retard. La finance a aussi bien avancé sur le terrain de la blockchain, notamment sur le terrain des "security tokens", des titres financiers digitalisés et enregistrés sur la blockchain. Pour l'émetteur du token (ou jeton), il n'y a que des avantages : moins d'intermédiaire, exécution et règlement quasi immédiat et processus moins cher. 

Le monde du jeu vidéo a trouvé un cas d'usage dans la blockchain : digitaliser les features. Grâce à un système de tokens (ou jetons), les joueurs possèdent réellement leurs objets (et non plus l'éditeur) et peuvent donc les acheter, vendre et échanger à leurs guises. Il en existe bien d'autres comme la sécurisation des transactions commerciales dans le trade finance ou encore la désintermédiation dans la publicité

Ce qui différencie la blockchain privée de la blockchain publique est son degré d'ouverture. La blockchain publique peut être consultée et utilisée par tout le monde. Chacun peut lui envoyer des transactions et s'attendre à ce qu'elles soient enregistrées dans le registre (si elles respectent les règles de cette blockchain). C'est le cas des blockchain Bitcoin et Ethereum. Dans la blockchain privée, une organisation peut modifier le protocole quand il le souhaite. Personne ne peut y participer sans être autorisé mais tout le monde peut la consulter.

Les blockchains privées sont beaucoup utilisées par les entreprises pour expérimenter en interne. Elles peuvent aussi permettre de raccorder différents systèmes d'information qui ne se parlent pas bien au sein d'une même organisation. Il existe également la blockchain "permissionned" dans laquelle une entité a l'autorité de contrôle sur le réseau. C'est le cas par exemple de la blockchain Rippe car c'est une start-up (du même nom) qui détermine qui peut valider les transactions sur le réseau.

La blockchain "de consortium" regroupe plusieurs acteurs qui possèdent des droits et les décisions sont prises par la majorité des acteurs. Par exemple, une dizaine d'institutions financières pourraient se mettre d'accord et organiser une blockchain dans laquelle un bloc devrait être approuvé par au moins 8 d'entre elles pour être valide. C'est donc très différent de la blockchain privée et de la blockchain publique. Non seulement, les participants au processus d'approbation sont limités et sélectionnés, mais ce n'est plus la règle de la majorité qui s'impose.

Cette blockchain hybride est un véritable avantage pour les acteurs du secteur financier, car ils opèrent dans des environnements réglementés et sont notamment obligés de connaître l'identité des participants (ce qui n'est pas le cas dans la blockchain publique). Le consortium de blockchain le plus connu est R3. Il compte environ 100 institutions financières dont BNP Paribas. En mai 2017, il a levé 107 millions d'euros.

En France, la blockchain a une définition légale depuis l'ordonnance d'avril 2017 relative aux bons de caisse dans le cadre de la création des titres émis par une entreprise en contrepartie d'un prêt accordé sur une plateforme de crowdfunding. Cette ordonnance modifie l'article L 223-12 du code monétaire et financier qui vient définir la blockchain comme un "dispositif d'enregistrement électronique partagé permettant l'authentification d'opérations sur titres spécifiques, destinés à être échangés sur les plateformes de financement participatif : les minibons".  

Le Conseil des ministres a adopté début décembre 2017 une ordonnance permettant le transfert de propriété de certains titres financiers via la blockchain. C'est une première en Europe. "L'utilisation de cette technologie permettra aux fintech et aux autres acteurs financiers d'offrir de nouvelles solutions pour les échanges de titres, des solutions plus rapides, moins chères, plus transparentes et plus sûres", s'était réjoui le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire. 

De son côté, l'Union européenne a lancé un observatoire et un forum dédiés à la blockchain en partenariat avec le start-up studio ConsenSys, créé en 2014 par le cofondateur d'Ethereum, Joseph Lubin. Au premier semestre de l'année 2022, la Commission européenne doit soumettre une directive sur les marchés de crypto-actifs, baptisée directive MiCA. Seules certaines cryptomonnaies pourraient être autorisées dans l'Union européenne. 

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