[CONTENU PARTENAIRE] « On ne comprend et on ne maitrise bien que ce que l’on mesure bien. » L’instrumentation scientifique est un outil incontournable, au cœur des avancées scientifiques de nombreux secteurs. Bertin Technologies est un industriel de l’instrumentation scientifique pour des applications critiques. A ce titre, il cherche à être à la pointe de l’innovation technologique et est en phase avec les politiques de souveraineté qui se développent actuellement, comme l’explique son président Bruno Vallayer.
Quelle est l’activité de Bertin Technologies et à quels secteurs vous adressez-vous ?
Nous proposons à nos clients principalement des équipements de mesure et d’observation. Nous intervenons dans des secteurs qui sont tous au cœur des préoccupations de nos sociétés modernes : la protection des citoyens et des nations, la protection de l’environnement, la préparation de l’avenir par la science. Beaucoup de nos clients sont des scientifiques à qui nous fournissons des systèmes pour leur permettre de produire leur science.
Nous sommes un industriel et nous fabriquons en France et en Europe des produits que nous vendons dans le monde entier. Mais nous avons gardé, et c’est une caractéristique unique de Bertin Technologies, une capacité à travailler sur des projets très exigeants, souvent à la limite de la science et de la technologie, pour livrer à nos clients des prototypes ou des systèmes uniques. L’innovation tient ainsi une grande part dans notre activité car elle est à l’origine des produits que nous vendons, souvent en avance par rapport à l’état du marché, et elle est consubstantielle de notre capacité à développer ces produits uniques. Nous avons d’ailleurs de nombreuses collaborations avec des agences de recherche telles que le CEA, l’ONERA, le CNRS…
En quoi la souveraineté est un axe important pour Bertin Technologies ?
Lorsque les utilisateurs de nos produits ne sont pas des scientifiques, ce sont des opérateurs exigeants qui les utilisent dans des environnements sévères pour des applications critiques (défense, nucléaire, spatial) le plus souvent en lien avec des politiques nationales de souveraineté en France mais aussi chez nos clients étrangers. Le cercle vertueux de notre innovation est de développer un nouveau produit en collaboration avec des besoins de souveraineté dans les pays où nous sommes implantés de façon domestique (France, Suède), mais aussi dans les pays où nous exportons. Nos collaborateurs peuvent être fiers de participer ainsi à la souveraineté de nos pays.
Quels changements ont été amenés par votre reprise par le fond français FCDE ?
Le principal changement de paradigme est l’accès de Bertin Technologies à l’autonomie, dans le respect de nos valeurs et de notre ADN d’innovation et de croissance. L’adossement avec le FCDE va nous permettre d’aller plus loin pour devenir un industriel de référence. Nous allons ainsi pouvoir financer les innovations technologiques que nous développons et prendre pied dans de nouveaux secteurs géographiques.
Quels sont les enjeux opérationnels actuels ?
L’enjeu principal est humain. Nous avons besoin de recruter des hommes et des femmes de talent qui sont passionnés par les défis techniques ou sont des entrepreneurs de technologie. Et c’est un vrai challenge d’être attractif pour des profils techniques de plus en plus rares en France et en Europe.
Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.
L’innovation technologique au service d’applications critiques - BFM Business
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