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Tuesday, August 31, 2021

L'OMS publie un nouveau répertoire des technologies sanitaires innovantes pour la COVID-19 et d'autres maladies prioritaires - Organisation mondiale de la Santé

La pandémie de COVID-19 a montré que les pays avaient besoin de technologies innovantes pouvant les aider à améliorer les résultats sanitaires en leur offrant des solutions rapides malgré le manque d’infrastructures et de ressources. Cependant, bon nombre des nouvelles technologies qui sont arrivées sur le marché sont trop coûteuses ou inadaptées pour les pays à revenu faible ou intermédiaire.

Pour faire en sorte que tous les pays bénéficient de l’innovation en santé, l’OMS a dressé un répertoire de 24 nouvelles technologies pouvant être utilisées avec peu de ressources.

« Les technologies innovantes élargissent l’accès aux soins de santé partout dans le monde, mais il faut veiller à ce qu’elles soient disponibles dans tous les établissements de santé, d’un prix raisonnable et de qualité garantie », a déclaré la Dre Mariângela Simão, Sous-Directrice générale de l’OMS chargée de l’Accès aux médicaments et aux produits de santé. « L’OMS continuera de collaborer avec les gouvernements, les bailleurs de fonds et les fabricants pour que ces outils puissent être fournis de façon durable pendant et après la crise de la COVID. »

L’objectif principal de ce répertoire était de sélectionner et d’évaluer les technologies qui peuvent influer dès à présent et à l’avenir sur la préparation et la riposte à la COVID-19, améliorer les résultats sanitaires et la qualité de vie, ou répondre à un besoin médical non satisfait. Quinze de ces technologies sont déjà disponibles dans le commerce dans les pays, tandis que les autres sont encore des prototypes.

Le répertoire comprend des produits simples comme un colorant à ajouter à l’eau de Javel pour repérer à l’œil nu les surfaces et les objets non stérilisés, et des équipements plus complexes mais faciles à utiliser, par exemple un système de surveillance respiratoire portatif et des ventilateurs à batterie longue durée pouvant être utilisés sans électricité ou lorsque l’alimentation en électricité est irrégulière. La liste comprend également un conteneur abritant une antenne médicale pouvant être déployée en cas d’urgence.

Certaines de ces technologies sont déjà utilisées et ont prouvé leur utilité dans des programmes pilotes. Par exemple, le concentrateur d’oxygène à énergie solaire s’est révélé très efficace dans un hôpital régional pour enfants (en anglais) de l’État de Galmudug, en Somalie, pour le traitement de la pneumonie, qui tue 900 000 enfants par an.

Des études ont montré qu’un accès fiable à l’oxygène pouvait réduire de 35 % les décès par pneumonie chez les enfants. Compte tenu de la pénurie d’oxygène dans de nombreux pays, le concentrateur est un atout essentiel pour le traitement des malades de la COVID-19 hospitalisés.

L’OMS évalue les technologies innovantes depuis 10 ans, et certains des produits sélectionnés apportent maintenant des solutions à des problèmes de santé prioritaires dans les pays qui ont peu de ressources. L’un des exemples les plus importants est une application pour smartphone qui permet à l’utilisateur d’enregistrer instantanément une mesure précise de la tension artérielle. Selon un rapport publié par l’OMS la semaine dernière, le nombre d’adultes âgés de 30 à 79 ans qui souffrent d’hypertension est passé de 650 millions à 1,28 milliard au cours des 30 dernières années et près de la moitié de ces personnes ne savent pas qu’elles sont hypertendues.

Les smartphones sont largement répandus, même dans les zones les plus reculées et dans les situations où les ressources sont limitées. La plateforme logicielle transforme les smartphones existants en un dispositif médical capable de mesurer la tension artérielle avec précision, sans qu’il soit nécessaire d’utiliser d’autres appareils ou accessoires. L’autre avantage de cette application est que même en l’absence d’un agent de santé qualifié, les patients peuvent contrôler eux-mêmes et mieux gérer leur tension.

Le répertoire comprend une évaluation complète des technologies réalisée par un groupe d’experts internationaux travaillant avec les équipes techniques de l’OMS, d’après des critères de conformité aux spécifications de l’OMS en matière de performance, de qualité et de sécurité ; d’adaptation aux situations où les ressources sont limitées ; d’accessibilité économique ; de facilité d’utilisation ; et d’agrément par les autorités compétentes. Ces informations sont essentielles pour aider les gouvernements, les organisations non gouvernementales et les bailleurs de fonds à décider quels produits acheter.

Les conclusions concernant l’adéquation de chaque technologie sont indiquées au moyen d’un système simple de notation aux couleurs des feux de circulation, indiquant si le produit est recommandé (utilisation sans limite connue) ; recommandé avec prudence (l’utilisation peut être limitée par des impératifs d’entretien et par le besoin de personnel formé) ; ou non recommandé (produit inadéquat, dangereux ou trop coûteux).

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Alfi Technologies lance une presse à béton intelligente et connectée - Construction Cayola

Alfi Technologies lance une presse à béton intelligente et connectée

En juillet 2021, Alfi Technologies faisait visiter sa nouvelle presse à béton Adler A580e installée à Bermont (90) dans l’entreprise Courtot Matériaux (crédit photo Alfi Technologies)

Par Ch. Raynaud, le 31 août 2021.

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PME française basée dans le Maine et Loire et dans l’Oise, Alfi Technologies conçoit, fabrique et installe des lignes pour la fabrication des matériaux de construction, et des équipements pour l’intralogistique. En juillet dernier, l’entreprise inaugurait la dernière-née de sa gamme presse béton : la presse Adler A580e.
 
En juillet, Alfi Technologies faisait visiter sa nouvelle presse à béton Adler A580e installée à Bermont (90) dans l’entreprise Courtot Matériaux. Cette presse, fruit des dernières technologies est une machine-outil qui se règle entièrement du pupitre. « Elle bat tous les records avec une cadence régulière de 9s 6 sur un poste de 8 heures, soit 320 planches à l’heure ! », souligne Yann Jaubert, Président/CEO d’Alfi Technologies, « co-conçue avec nos clients du béton, cette presse a été pensée avec et pour les préfabricants de produits béton. Elle est dédiée aux opérateurs, machinistes, pour leur faciliter la vie, leur faire gagner du temps et de l’efficacité, et permet d’économiser 30% d’énergie, de baisser le budget moules de 40%, et plus encore... grâce à une éco-conception du process ». La presse A580e offre des hautes cadences de production, un taux de disponibilité machine optimum, une bonne qualité des produits pressés et une hauteur constante, mais aussi un environnement digital repensé pour les nouvelles générations d’opérateurs.
 
Retrouvez sur LinkedIn Christine Raynaud, rédactrice en chef de Prescription Béton.

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Monday, August 30, 2021

Comment les Français perçoivent-ils les nouvelles technologies ? - Trust My Science

Comment les Français perçoivent-ils les nouvelles technologies ? C’est le sondage qu’a mené GetApp auprès de 836 professionnels de PME en France. De l’intérêt pour le développement technologique à ses conséquences sur l’économie et l’emploi, en passant par son essor et sa perception au sein de la société, ce sondage complet montre que, malgré certaines inquiétudes de divers ordres, les technologies intéressent les Français.

En France, les nouvelles technologies font l’objet d’une appréciation mitigée auprès des professionnels. Si la majorité d’entre eux se montrent curieux et décidés à suivre l’actualité technologique, une certaine fraction considère la rapidité de développement des technologies comme difficile à suivre correctement. De plus, leur impact économique, tant au niveau des emplois que du développement des entreprises, ne remporte pas le consensus. Pour faire la lumière sur ce sujet, GetApp a effectué un sondage auprès de 836 professionnels français de PME entre le 17 février et le 1er mars 2021.

Une véritable passion pour les technologies

Les données sont claires : 74% des personnes interrogées déclarent suivre les nouvelles technologies avec attention. Des assistants numériques à l’intelligence artificielle en passant par la 5G ou la réalité virtuelle, les Français semblent se passionner pour l’essor technologique. Et il ne s’agit pas simplement de se tenir au courant de l’actualité ; ils vont jusqu’à essayer et se procurer les appareils les plus récents lorsque ceux-ci sont disponibles à l’achat.

graphique adoption nouvelles technologies
Les Français montrent un grand intérêt pour les nouvelles technologies et suivent leur développement, leurs actualités, mais aussi les éventuelles controverses à leur sujet. © GetApp

Cette passion et cette attention particulière s’incarnent dans les 84% de personnes interrogées qui se déclarent « bien » à « très bien informées » sur tout ce qui a trait aux nouvelles technologies. Les Français ne se contentent pas de suivre assidument l’actualité, ils scrutent également le développement de nouveaux dispositifs ainsi que les potentiels débats qui en émergent, notamment les dissensus ou les controverses.

Technologies et économie : une perception mitigée

L’impact économique des nouvelles technologies fait en revanche l’objet d’un regard plus critique. Moins de la moitié (41%) des personnes interrogées considèrent que l’essor technologique constitue un moteur de compétitivité pour l’économie globale. En outre, les conséquences du développement technologique sur l’emploi ne sont pas considérées comme de nature à dynamiser la création d’emplois (22% des répondants). En effet, plus d’un tiers des répondants (37%) estiment que la technologie pourrait se substituer à eux.

Cependant, 35% déclarent que les avantages de la technologie sont plus nombreux que ses désavantages, soulignant ainsi un certain optimisme des Français, malgré une vision parfois mitigée. La question de la balance entre technologie et emploi est d’autant plus importante qu’elle se fait l’écho de la peur d’une certaine partie de la population sur le risque d’être remplacé par une machine.

Un regard critique sur impact sociétal des technologies

L’impact sociétal de la technologie fait, quant à lui, l’objet d’un jugement relativement sévère. Si 22% des personnes interrogées pensent que le gouvernement devrait ouvrir des discussions publiques avec la population concernant les éventuelles controverses technologiques, seulement 15% estiment que les autorités politiques renseignent correctement les citoyens sur les effets des technologies en matière de santé, alimentation, environnement, etc.

sondage impact societal technologies
L’apport sociétal des technologies ne fait pas l’unanimité. © GetApp

Pour intégrer correctement les technologies à son quotidien ou à son entreprise (dans le but direct d’augmenter la productivité de celle-ci), il est nécessaire de pouvoir en suivre le développement et la performance afin de prendre des décisions avisées quant à son emploi. Toutefois, de l’avis de 30% des répondants, l’évolution de la technologie va trop vite, est difficile à suivre. À l’inverse de l’optimisme pointant sous les conséquences économiques de l’essor technologique, le statut de ce dernier au sein de la société reste encore précaire et doit être amélioré, en passant notamment par une meilleure communication du gouvernement.

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Sunday, August 29, 2021

Seine-et-Marne : des technologies de pointe pour lutter contre le Covid-19 à l'école de Jouarre - actu.fr

Des films antimicrobiens ont été posés sur les principales surfaces en contact direct avec les enfants et les agents.
Des films antimicrobiens ont été posés sur les principales surfaces en contact direct avec les enfants et les agents. (©Batinett)

« Tout ce qui peut s’additionner pour faire baisser la charge virale est bon à prendre. » À Jouarre, le maire, Fabien Vallée veut mettre toutes les chances de son côté afin d’éviter les risques liés au Covid-19 dans les écoles qui, selon lui, sont « des réacteurs de contamination. »

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Ainsi, en plus du protocole strict, avec le gel et le port du masque, et des désinfections régulières dans les locaux et les salles de classe, du nouveau matériel permettra à la fois aux agents de travailler plus facilement, mais également de réduire de manière préventive le développement de bactéries.

Du film antimicrobien sur les surfaces

Depuis la fin de l’année dernière, des films antimicrobiens autocollants sont installés dans l’école élémentaire, sur toutes les tables des salles de classe, celles des cantines, sur les poignées de portes ou encore sur les rambardes de l’établissement. Ils ont une durée de vie de cinq ans.

Les ions argent contenus à l’intérieur de ces films s’activent depuis la couche superficielle au contact de l’humidité et permettent de ralentir la prolifération des bactéries, en bloquant leur métabolisme ou en interrompant leur mécanisme de multiplication, entre deux protocoles de nettoyage et de désinfection.

Non allergisant et non irritant, il ne représente aucun danger pour la peau des enfants.

« C'est un procédé qui est utilisé à l'hôpital, dans les pansements notamment, pour aider à la cicatrisation. »

Fabien ValléeLe maire de Jouarre

Cette technologie brevetée, qui existe depuis 2013 dans le domaine de l’agroalimentaire, du médical et des transports en commun, a été soumise à des tests d’efficacité antibactérienne et antivirale et s’avère efficace contre les coronavirus.

C’est le groupe Hexis, fabriquant français d’adhésifs, qui a mis au point cette méthode, appelée Pure Zone®, et distribuée en région parisienne par la société Batinett.

Selon l’Université de Bordeaux, elle entraînerait « une diminution de la quantité de virus infectieux jusqu’à 76 % ».

Les ultraviolets pour purifier l’air

Une autre technologie sera testée à Jouarre à la rentrée : les ultraviolets (UV-C).

« Ces rayons sont des décontaminants utilisés aussi dans le milieu hospitalier qui ont été dérivés pour des espaces standards. Nous avons fait des acquisitions sous deux formats : des plaques d’éclairage de plafond et une boîte à lampe UV », explique Fabien Vallée.

« Réduire la charge virale en milieu clos »

Dans le premier cas, les lampes à UV permettront de pomper l’air grâce à un système d’aspiration, de le décontaminer, de le purifier et de le redistribuer ensuite. « Ça recycle l’air et le renouvelle en continu, y compris quand il n’y a personne dans le bâtiment. Ça permet d’avoir un volume d’air propre tout le temps. Or, on sait que la contamination est liée à la charge virale dans un milieu clos. Ouvrir les fenêtres c’est bien, mais l’hiver avec les enfants c’est plus compliqué », développe le maire.

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Quant au deuxième format, il servira davantage à sécuriser les agents avant la mise en place du protocole de nettoyage. Les rayons de la « flasheuse » permettent dans ce cas de « griller les bactéries » qui circulent dans une pièce en seulement quelques minutes.

Elle pourrait par la suite être mise à disposition des commerçants.

Cependant, Fabien Vallée précise :

« Si on a un cas dans une classe, on est obligé de fermer la classe et dans ce cas, on fera bien sûr une décontamination avec la vaporisation de produits chimiques dans la pièce, mais on ne peut pas recourir à du chimique tout le temps. Il faut apprendre à utiliser chaque produit et technologie au bon endroit, au bon moment, en établissant un protocole global pour être le plus efficace possible. »

La municipalité de Jouarre a certes investi dans des procédés coûteux puisque les dépenses liées au Covid avaient été évaluées à 25 000 € pour 2020 et devraient s’élever à environ 40 000 € pour 2021, mais « ce sera vite rentabilisé », rassure le maire, qui poursuit, « on a désormais un équipement de base, polyvalent, qui permet de sécuriser au mieux les écoles. »

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Havas Group lance Havas Sovereign Technologies pour accompagner ses clients sur les technologies - OFFREMEDIA

Havas Sovereign Technologies propose à ses clients un accompagnement de bout en bout dans l’appropriation des innovations, la protection de leur réputation et l’atténuation des risques liés aux nouvelles technologies.
L’offre Havas Blockchain est intégrée à la nouvelle plateforme qui proposera également une nouvelle série d’offres pour un accompagnement à 360° sur l’ensemble des sujets liés aux technologies.

Cet accompagnement repose sur quatre piliers : expertise en intelligence technologique, conseil stratégique en gouvernance numérique, déploiement d’infrastructures digitales et accompagnement global en communication.

Le champ de l’innovation technologique est source d’opportunités pour tous et les crises n’épargnent personne, c’est pourquoi Havas Sovereign Technologies s’adresse aux entreprises et aux start-up, mais aussi aux institutions publiques et aux organisations non-gouvernementales.

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Technologie : la pluie sur commande - LCI

Aux Émirats arabes unis, la pluie provoquée artificiellement est déjà une réalité. Des vidéos, tournées il y a quelques jours, montrent des automobilistes sur le bas-côté. Ils n'ont tellement pas l'habitude de la pluie dans ce pays, l'un des plus arides du monde. À Dubaï, la dernière technique consiste à utiliser des drones pour envoyer des décharges électriques dans les nuages. L'objectif est d'assembler les petites gouttes d'eau pour en former des grosses afin qu'elles tombent et qu'elles résistent aux fortes chaleurs locales.

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Technologies souveraines : Havas lance Havas Sovereign Technologies - Image - CB News

Havas Group a annoncé vendredi le lancement de Havas Sovereign Technologies, une nouvelle entité qui a pour ambition d’accompagner ses clients « de bout en bout » dans « l’appropriation des innovations, la protection de leur réputation et la mitigation des risques liés aux nouvelles technologies », selon un communiqué. Dirigée par Fabien Aufrechter, jusqu’alors directeur de Havas Blockchain, la structure s’intègre justement à l’offre Havas Blockchain qui poursuit cependant son activité, via une plateforme qui proposera donc également une nouvelle série d’offres « pour un accompagnement à 360 sur l’ensemble des sujets liés aux technologies souveraines », poursuit-il. Un accompagnement qui reposera sur quatre piliers : expertise en intelligence technologique ; conseil stratégique en gouvernance numérique ; déploiement d’infrastructures digitales ; accompagnement global en communication. Dans les faits, Havas Sovereign Technologies s’adressera aux entreprises et aux start-up, mais aussi aux institutions publiques et aux organisations non-gouvernementales. Selon M. Aufrechter, « Havas Sovereign Technologies accompagnera les marques et les institutions dans leur quête pour ne plus proposer juste la technologie, mais la technologie la plus juste ».

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Saturday, August 28, 2021

Nouvelles technologies - Le français Axon'Câble connecte Mars à la Terre - RFI

Publié le :

Retour sur les nouvelles technologies qui ont marqué le début de l’année 2021. Aujourd'hui, prenons un peu de hauteur. Direction Mars ! Le rover Perseverance de la Nasa qui a débarqué sur la Planète Rouge intègre une technologie haut de gamme développée par une entreprise française permettant de connecter Mars à la Terre.

Mars ne ressemble en rien à notre bonne vieille Terre. Ce monde désertique trop chaud ou trop froid est constamment bombardé de rayons cosmiques que seuls les engins martiens à roulettes osent, pour l’instant, affronter. Encore faut-il pouvoir interagir avec ces robots bardés de capteurs en tout genre.

Après Curiosity en 2012, les technologies développées depuis 1990, par l’entreprise française Axon'Câble, équipent le nouveau rover Perseverance de la Nasa. La société, située à Montmirail dans la Marne, a fabriqué sur-mesure les circuits et les câbles de cette interconnexion de précision entre les différents instruments intégrés dans les robots martiens. « Et sans un câblage résistant aux conditions extrêmes qui règnent sur la Planète Rouge, aucune image, ni aucun son » ne pourraient être diffusés de Mars jusqu’à la Terre, nous précise Emilien Fournaise, ingénieur en charge du spatial chez Axon'Câble.

« Nos câbles équipent une partie du robot Perseverance, précisément l’appareil qui se nomme la SuperCam et les micros qui font partie de cet instrument de mesure sonores et par rayon laser français qui a été développé par le CNES, le Centre national d'études spatiales. Toutes les données récupérées par la SuperCam passent par nos câbles dont nous avons assuré la conception et la fabrication dans nos installations industrielles dans la Marne pour maîtriser l’ensemble de cette production comprenant aussi les liaisons électriques complètes de tout l’appareillage.

Les différentes contraintes pour nos câblages ont été de maîtriser les très importantes variations de températures entre les nuits et jours martiens qui peuvent descendre à -150°C et remonter à plus de 150°C. Pour l’exploration de Mars, une contrainte forte nous obligeait également de ne pas transporter par inadvertance d’éléments biologiques sur les câbles afin que les instruments du rover réalisent des mesures précises sans les polluer avec des particules provenant de la Terre. La résistance aux radiations cosmiques pouvant endommager les matériaux faisait aussi partie du cahier des charges. Puis, la fiabilité du matériel demandée était très poussée, puisqu'il est absolument impossible de réparer ces systèmes de connexions une fois débarqué sur la Planète Rouge. »

Mais l’espace n’est pas le seul champ d’activé de l’entreprise Axon'Câble. Les technologies de pointes que la société développe sont largement employées par les industries de l’aéronautique, de l’automobile, de la défense, ou des télécoms. Du fond des océans, jusqu'aux planètes lointaines, son expertise dans le domaine des transmissions de données est mondialement reconnue dans les secteurs de l’énergie, les centres de recherche ou encore les laboratoires médicaux.

Vous avez des questions ou des suggestions, vous pouvez nous écrire à nouvelles.technologies@rfi.fr

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De technophile à technophobe? Le pape veut encadrer les nouvelles technologies - Sputnik France

Le pape François
© AP Photo / Alessandra Tarantino

Le pape François a appelé les responsables politiques à mieux contrôler les nouvelles technologies, qui peuvent selon lui menacer la «dignité humaine». Ce n’est pas la première fois qu’il réagit sur le sujet.

À l’offensive sur la question des vaccins contre le Covid-19, le pape François s’est encore engagé sur un sujet de société ce 27 août, en parlant de nouvelles technologies devant une assemblée de parlementaires catholiques.

S’il a salué les «merveilles de la science et de la technologie», le souverain pontife a également invité les politiques à se montrer attentifs aux dérives qui peuvent en découler. Le pape a appelé de ses vœux une «législation prudente» visant à encadrer ces nouvelles technologies, afin de mieux servir «le bien commun». Il a insisté sur la désinformation sévissant sur les réseaux sociaux.

«Je pense, par exemple, au fléau de la pédopornographie, à l'exploitation des données personnelles, aux attaques contre des infrastructures critiques comme les hôpitaux, aux mensonges diffusés via les réseaux sociaux», a ainsi déclaré le pape à son audience.

Le chef de l’Église a souligné que certaines innovations pouvaient «menacer la dignité humaine» si elles étaient livrées à elle-même et aux forces du marché. Il a cependant appelé à trouver un équilibre pour que l’édiction de règles et de normes ne «freine pas le progrès technologique».

Le «don de Dieu»

Ce n’est pas la première fois que le pape François prend position vis-à-vis des nouvelles technologies. En 2014, le pontife avait notamment fait une sortie médiatique remarquée, en qualifiant Internet de «don de Dieu», à l'occasion de la fête de Saint-François de Sales, patron des journalistes.

Le successeur de Benoît XVI s’est également souvent fait connaître pour son utilisation des réseaux sociaux. Présent sur de nombreuses plateformes, dont Twitter où il est suivi à l’heure actuelle par près de 19 millions d’abonnés, soit bien plus que certaines stars de la chanson ou que des footballeurs comme Paul Pogba ou Antoine Griezmann.

En 2014, le pape était d’ailleurs le leader le plus influent du réseau à l’oiseau bleu, devant Barack Obama, révélait le cabinet en relations publiques Burson- Marsteller. Nombre de ses tweets étaient relayés plus de 10.000 fois.

Une vie numérique qui ne va pas sans quelques ratés. En novembre dernier, le pontife, ou plus vraisemblablement un membre de son équipe, avait ainsi apposé une mention «J’aime» sous une photo érotique, provoquant l’hilarité des réseaux sociaux.

Plus généralement, le pape François est connu pour ses prises de position progressistes, dans la droite ligne du concile Vatican II. Ce 26 août, il a notamment nommé une femme «numéro 2» d’un des ministères de l’État catholique, en la personne d’Alessandra Smerilli. Celle-ci est devenue secrétaire du dicastère du Développement humain intégral. C'est la première fois qu'une femme se voit confier un tel poste à responsabilités au Saint-Siège.

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Caen. 25e Nuit des chauves-souris : des « petits bijoux de technologies » - Ouest-France

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Caen. 25e Nuit des chauves-souris : des « petits bijoux de technologies »  Ouest-France
Caen. 25e Nuit des chauves-souris : des « petits bijoux de technologies » - Ouest-France
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Friday, August 27, 2021

Agriculture, entre le présent et les technologies - Journal Métro

L’agriculture joue un rôle clé dans le combat contre les changements climatiques, la croissance de la population et les crises mondiales. Métro s’est intéressé à cet enjeu.

Les développements et innovations technologiques, y compris l’intelligence artificielle et la robotique, touchent déjà différentes industries. L’agriculture et les champs du monde entier ne font pas exception.

Les spécialistes s’attendent à ce que l’utilisation de technologies émergentes sur le terrain joue un rôle clé dans l’amélioration de la productivité et des rendements nécessaires pour nourrir une population croissante. Ces nouveaux outils sont en train de redéfinir le travail journalier des agronomes et des producteurs de denrées alimentaires, alors de donner à la main-d’œuvre agricole avec les compétences nécessaires sera crucial pour une adoption massive.

L’automatisation des processus existants et le développement de processus signifient que de nombreux travailleurs devront réapprendre leur métier. Tous les emplois dans l’écosystème, mais aussi les compétences et les capacités requises pour réussir dans ces professions, sont en voie d’être redéfinis.

Selon Tanha Talaviya, chercheure au Département d’ingénierie informatique à l’Université Indus Ahmedabad, en Inde, l’automatisation en agriculture représente la principale préoccupation ainsi que le principal problème émergent dans le monde entier.

«La population augmente énormément et avec cette augmentation, la demande pour la nourriture et l’emploi augmentent également. Les méthodes traditionnelles utilisées par les agriculteurs n’étaient pas suffisantes pour répondre à ces exigences. Ainsi, de nouvelles méthodes automatisées ont été introduites. Ces nouvelles méthodes satisfaisaient les besoins alimentaires et offraient également des occasions d’emploi à des milliards de personnes. L’intelligence artificielle dans l’agriculture a apporté une révolution agricole», explique Mme Talaviya dans la revue spécialisée Science Direct.

«La principale préoccupation est d’auditer les différentes applications de l’intelligence artificielle en agriculture comme pour l’irrigation, le désherbage, la pulvérisation à l’aide de capteurs et autres moyens embarqués dans des robots et des drones. Ces technologies évitent l’utilisation excessive d’eau, de pesticides, d’herbicides, maintient la fertilité du sol, en plus d’aider à l’utilisation efficace de la main-d’œuvre, à élever la productivité et à améliorer la qualité.»

Un métier millénaire clé

Il y a aussi le cas de centaines de millions de pasteurs qui gèrent des pâturages qui couvrent un tiers de la surface terrestre de la Terre et leur rôle clé dans l’agriculture. En raison de leur importance, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture propose qu’on observe, en 2026, l’Année internationale des prairies et du pastoralisme.

«Il est important de noter que lorsqu’on parle d’agriculture, on ne se limite pas à la production de plantes. Les systèmes alimentaires, l’élevage, l’aquaculture et la foresterie sont également pris en compte. L’élevage est une partie importante de la valeur de production de l’agriculture, alors que le pastoralisme est un élément central dans la promotion de l’agriculture familiale. Les éleveurs ont besoin que les prairies, où les pâturages sont générés, prennent de l’expansion et ils en prennent soin. C’est un mode de vie qui va avec une production à petite échelle qui est moins destructrice avec la durabilité avec l’environnement», indique Juan Ernesto Sepulveda, un expert en sécurité alimentaire, qui détient un doctorat en économie de l’Université de Campinas, au Brésil.

«Espérons que cela placera les pasteurs sur le devant de la scène afin que nous puissions tous apprendre», résume Ian Scoones, professeur et chef du programme de recherche PASTRES (Pastoralism, Resilience and Uncertainty, pastres.org).

Métro s’est entretenu avec Ian Scoones pour en apprendre plus.

Trois QUESTIONS à…  

Ian Scoones, professeur et chef du programme de recherche PASTRES (Pastoralism, Resilience and Uncertainty, pastres.org), qui est présent dans six pays sur trois continents et qui est établi à l’Université de Sussex, au Royaume-Uni.

Quelles nouvelles technologies sont utilisées en agriculture moderne ?

Les défis reliés aux changements climatiques et à la variabilité accrue de l’environnement nécessitent des compétences et des technologies particulières. L’un des groupes de personnes les plus qualifiés et capables de résoudre ce problème sont les pasteurs, des éleveurs de bétail qui vivent dans certains des environnements les plus difficiles de la planète. Ils utilisent des méthodes de pâturage qualifiées pour tirer le meilleur parti de la variabilité et s’assurer que les animaux ont la meilleure nutrition malgré les ressources fluctuantes. Les déplacements flexibles à travers les parcours sont au cœur de cette stratégie.

Comment est-ce que cela touche les pasteurs ?

Trop souvent, les compétences des éleveurs et l’importance de la mobilité sont ignorées ou, pire, remises en cause par des plans d’implantation et de modernisation mal pensés au nom du «progrès». Mais cela peut saper les compétences et les technologies mêmes qui sont essentielles pour prospérer dans un monde incertain. Heureusement, l’Année internationale des prairies et du pastoralisme est proposée en 2026, et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture vient de l’approuver.

Dites-nous en plus par rapport aux changements climatiques et l’agriculture.

Les pasteurs ont toujours vécu avec et à partir de la variabilité. Ils ont appris à répondre à l’incertitude. Ce sont là les compétences nécessaires pour vivre avec les changements climatiques. Alors que la production animale industrielle peut entraîner des émissions élevées et des effets nocifs sur le climat, les systèmes extensifs mobiles avec pâturage léger peuvent préserver l’environnement et sauver le climat.


Des investissements en hausse

Les dépenses mondiales en technologies et systèmes agricoles intelligents et connectés, y compris l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique, devraient permettre de tripler les revenus d’ici 2025, atteignant 15,3 milliards de dollars, selon BI Intelligence Research.

Les dépenses consacrées aux technologies et solutions d’intelligence artificielle dans le seul secteur agricole devraient passer de 1 milliard de dollars en 2020 à 4 milliards de dollars en 2026, atteignant un taux de croissance annuel composé de 25,5%, selon Markets&Markets.

La surveillance de l’agriculture utilisant l’Internet des objets est le segment des technologies agricoles intelligentes et connectées à la croissance la plus rapide, qui devrait atteindre 4,5 milliards de dollars d’ici 2025, selon PwC.

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Susciter l'intérêt envers les sciences et les technologies: Square Enix veut davantage de filles en sciences - Pèse sur start

L’éditeur Square Enix Montréal offrira la chance à 30 jeunes femmes identifiées par le mouvement montréalais Les Filles & le code d’assister gratuitement à l’exposition L’INFINI du studio PHI – que l’on connaît comme promoteur de création de projets multidisciplinaires immersifs et comme incubateur de talents et d’idées d’avant-garde.

À travers son mouvement Les Filles & le code, Concertation Montréal fait le pari d’intéresser les filles et les femmes aux sciences. Avec l’exposition L’INFINI (en cours jusqu’au 7 novembre), celles-ci pourront rencontrer Coline Delbaere, productrice de l’expérience interactive, sur le parcours des femmes en technologies.

Kadidia Haïdara (Concertation Montréal- Mouvement Montréalais Les Filles & le Code)_ Julie Tremblay, Productrice, L’INFINI_Patrick Naud (Sqaure Enix)

Expérience virtuelle à bord de la Station spatiale internationale  

L’exposition INFINI, c’est «la plus grande expérience multisensorielle et collective en réalité virtuelle au monde. Celle-ci permet de vivre une expérience hors du commun en participant au quotidien d’astronautes internationaux pendant leur mission spatiale à bord de la Station spatiale internationale», dit le communiqué. 

Un rabais de 30% sera offert aux étudiants à l’achat d’un billet pour l’expérience immersive.

De son côté, Patrick Naud de Square Enix a annoncé en mars dernier «un soutien financier aux Scientifines et à Technovation Montréal, deux organismes québécois œuvrant à renforcer l’intérêt des filles âgées de 8 à 18 ans pour les sciences et la technologie. Il était important pour nous de continuer nos efforts afin d’intéresser les jeunes, et plus particulièrement les filles, aux sciences et aux technologies. Pour accroître la diversité, il est primordial pour nous d’exposer le plus de filles possible au potentiel d’un avenir en sciences et en technologies et potentiellement dans l’industrie du jeu vidéo».

Rappelons que l’éditeur Square Enix Montréal a créé des titres acclamés par la critique, comme Hitman Sniper, Hitman GO, LaraCroft GO et Deus Ex GO. Leurs jeux ont été téléchargés plus de 130 millions de fois dans 175 pays.

Patrick Naud, Chef de studio, Square Enix Montréal Head of Studio, Square Enix Montréal

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Susciter l'intérêt envers les sciences et les technologies: Square Enix veut davantage de filles en sciences - Pèse sur start
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Dell Technologies dépasse les attentes - Bourse Direct

Dell Technologies a annoncé hier soir, pour son trimestre clos, un bénéfice ajusté par action de 2,24$, à comparer à un consensus de 2,05$ et un niveau de 1,92$ un an avant. Les revenus sur le second trimestre ont totalisé 26,13 milliards de dollars, dépassant de 3% les attentes de marché, contre 22,7 milliards de dollars un an avant. Le groupe a notamment profité de fortes ventes de PC d'entreprise. Les revenus ont ainsi grimpé de 15%, alors que le bénéfice ajusté s'est amélioré de 17%.

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Dell Technologies dépasse les attentes - Bourse Direct
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Technologies : une faille informatique découverte sur le cloud de Microsoft, des milliers d’entreprises prévenues - Sud Ouest

Par Sudouest.fr avec AFP

Microsoft a dû avertir jeudi des milliers d’entreprises clientes de son service de cloud (informatique à distance), d’une faille qui a rendu vulnérables leurs données pendant une période prolongée.

Le problème a été découvert il y a deux semaines par Wiz, une société de cybersécurité. « Imaginez notre surprise quand nous avons réussi à avoir complètement accès aux comptes et bases de données de plusieurs milliers de clients de Microsoft Azure, y compris des grandes entreprises », racontent les ingénieurs sur le blog de la firme jeudi.

« Nous avons immédiatement réparé le système pour garantir la sécurité et la protection de nos clients », a réagi Microsoft, confirmant aussi avoir prévenu les organisations potentiellement affectées. A priori, la faille n’a pas été exploitée par des acteurs malveillants.

Le danger persiste

D’après Wiz, Microsoft a en effet rapidement désactivé le système faillible, puis « informé plus de 30 % des clients de Cosmos DB », le cloud concerné, qu’ils devaient changer leurs clefs d’accès.

Mais ils sont potentiellement encore en danger, et d’autres que ceux déjà prévenus pourraient être concernés aussi, car « la faille a été exploitable pendant au moins plusieurs mois, voire des années ».

Le groupe est le deuxième leader au monde du cloud, derrière Amazon. Ce secteur en forte croissance depuis des années a conquis encore plus de clients pendant la pandémie, avec l’explosion du télétravail et des besoins en services numériques, du divertissement à la consommation en ligne.

Des grands groupes possiblement touchés

Des sociétés comme Coca-Cola et Exxon-Mobil « utilisent Cosmos DB pour gérer des volumes de données massifs dans le monde en temps réel », mentionne Wiz. Le cloud sert à stocker des données, mais aussi à les analyser et à les traiter, des commandes aux fournisseurs aux transactions avec les consommateurs.

« Le cauchemar de tout directeur de la sécurité d’une société c’est que quelqu’un récupère ses clefs d’accès et s’en serve pour extraire des gigaoctets de données d’un coup », souligne la firme de cybersécurité.

La nouvelle tombe mal pour Microsoft, dont les serveurs de boîtes mails ont été affectés fin 2020 par une gigantesque cyberattaque aux États-Unis.

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Thursday, August 26, 2021

Encouragement aux sciences et technologies, Square Enix veut davantage de filles en sciences - Le Journal de Québec

Malgré les multiples efforts et incitations aux sciences et technologies, les statistiques montrent que les jeunes femmes préfèrent surtout les sciences humaines, de la santé et de l’éducation plutôt que les domaines du génie, de la physique et de l’informatique. 

Dans ce contexte, l’éditeur Square Enix Montréal offrira la chance à 30 jeunes femmes identifiées par le mouvement montréalais Les Filles & le code d’assister gratuitement à l’exposition L’INFINI du studio PHI – que l’on connaît comme promoteur de création de projets multidisciplinaires immersifs et incubateur de talents et d’idées d’avant-garde.

À travers son mouvement Les Filles et le code, Concertation Montréal fait le pari d’intéresser les filles et les femmes aux sciences. Avec l’exposition L’INFINI (ouverte jusqu’au 7 novembre), celles-ci auront le privilège de rencontrer Coline Delbaere, productrice de l’expérience interactive, sur le parcours des femmes en technologies.

Encouragement aux sciences et technologies, Square Enix veut davantage de filles en sciences

Kadidia Haïdara (Concertation Montréal- Mouvement Montréalais Les Filles & le Code)_ Julie Tremblay, Productrice, L’INFINI_Patrick Naud (Sqaure Enix)

Expérience virtuelle à bord de la Station spatiale internationale

L’exposition INFINI, c’est « la plus grande expérience multisensorielle et collective en réalité virtuelle au monde. Celle-ci permet de vivre une expérience hors du commun en participant au quotidien d’astronautes internationaux pendant leur mission spatiale à bord de la Station spatiale internationale », dit le communiqué. 

Un rabais de 30 % sera offert aux étudiants à l’achat d’un billet pour l’expérience immersive.

De son côté, Square Enix Montréal, par la voix de son chef de studio Patrick Naud, a annoncé en « mars dernier un soutien financier aux Scientifines et à Technovation Montréal, deux organismes québécois œuvrant à renforcer l’intérêt des filles âgées de 8 à 18 ans pour les sciences et la technologie, il était important pour nous de continuer nos efforts afin d’intéresser les jeunes, et plus particulièrement les filles, aux sciences et aux technologies. Pour accroître la diversité, il est primordial pour nous d’exposer le plus de filles possible au potentiel d’un avenir en sciences et en technologie et potentiellement dans l’industrie du jeu vidéo ».

Rappelons que l’éditeur Square Enix Montréal a créé les titres acclamés par la critique, comme Hitman Sniper, Hitman GOmd, LaraCroft GOmd et Deus Ex GOmd. Leurs jeux ont été téléchargés plus de 130 millions de fois dans 175 pays.

Encouragement aux sciences et technologies, Square Enix veut davantage de filles en sciences

Patrick Naud, Chef de studio, Square Enix Montréal Head of Studio, Square Enix Montréal

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AFRIQUE DU SUD : Pretoria adopte les technologies de captage et de stockage de CO2 - AFRIK 21

L’Afrique du Sud démarre les travaux de construction de son premier site de captage et de stockage de carbone (CSC). L’usine en construction est située dans la ville de Léandra au nord-est du pays, une zone considérée comme un épicentre d’émission de CO2, abritant Secunda, la plus grande usine au monde de conversion de charbon en carburant liquide.

Avec un peu plus de 460 000 tonnes métriques de CO2 émises en 2018, l’Afrique du Sud, premier pollueur du continent africain suivi de loin par l’Égypte (238 816 tonnes métriques de CO2 en 2018), veut inverser la tendance.  Après avoir adopté une taxe carbone en mai 2019, le pays d’Afrique australe se lance dans les technologies de captage et de stockage de carbone (CSC). La cartographie géologique du site devant abriter la première usine de CSC de l’Afrique du sud a démarré le 24 août 2021 dans le nord-est du pays, plus précisément à  Léandra, une ville considérée comme un point chaud en matière d’émissions de carbone en raison de ses nombreuses centrales à charbon. Elle abrite aussi Secunda, la plus grande usine au monde de conversion de charbon en carburant liquide, construite par Sasol, le géant sud-africain de la chimie.

La première usine de CSC de l’Afrique du Sud entrera en service en 2023, pour une capacité de captage et de stockage de CO2 qui reste à déterminer. Le projet est financé par la Banque mondiale à hauteur de 23 millions de dollars. Nées au cours des années 70, les technologies de captage et de stockage de CO2 consistent à récupérer, comprimer, transporter via des pipelines le carbone issu des processus de production industrielle, puis à l’injecter dans le sous-sol (aquifères profonds, gisement de pétrole ou de gaz en fin d’exploitation, ou encore des veines de charbon non exploitées).

Le CSC, une technologie peu sollicitée

L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que le CSC pourrait contribuer à 20 % des efforts de réduction des émissions en 2050. Ces technologies sont toutefois très peu présentes dans les chaines de valeurs industrielles dans le monde. Selon l’AIE, en 2016, seulement 0,1% des investissements totaux dans l’énergie basse carbone ont été faits dans le CSC. C’est 1,2 milliard de dollars, contre 297 milliards de dollars investis dans les énergies renouvelables et 231 dans l’efficacité énergétique.

Lire aussi-le PNUE évalue la pollution de l’air et le changement climatique

L’Agence française pour la transition énergétique (Ademe), explique la faible adhésion au CSC par le coût élevé de la technologie, soit 100 à 150 euros par tonne de CO2 évité. On lui reproche surtout d’être une solution uniquement compatible avec des sites très fortement émetteurs, nécessitant en plus des adaptations au cas par cas. Mais le cabinet de conseils en ressources naturelles Wood Mackenzie a néanmoins produit une étude dans laquelle il estime qu’elles peuvent répondre efficacement à la problématique mondiale de l’élimination du carbone, si des économies d’échelle sont réalisées dans ce sens.

Boris Ngounou

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"Les technologies spatiales au service de l'agriculture " - Livre blanc - Actualités Techniques de l'Ingénieur

Satellites météorologiques, télécommunications, géolocalisation, ou encore expériences agronomiques à bord de la Station spatiale internationale... Les technologies spatiales s'invitent dans les champs des agriculteurs ! Quelles sont-elles ? Et quel est leur apport à l'agriculture ? Ce sont là les questions que nous explorons en quatre articles, dans ce nouveau dossier.

Dans un premier article, nous effectuons un tour d'horizon des usages agricoles des satellites, publics et privés. On parle ainsi des projets Farmstar, Maiseo, ou encore Nasa Harvest, entre autres. Les applications concernées sont elles aussi nombreuses : achat de prévisions météorologiques, guidage d'engins, estimation de l’indice de production de prairie, gestion raisonnée de l’eau, des pesticides ou de la fertilisation, etc.

Ensuite, nous nous intéressons aux aides de la Politique agricole commune (PAC) de l’Union européenne, versées chaque année aux agriculteurs européens. Les aides sont versées aux agriculteurs selon leurs déclarations. Or, vérifier sur place chaque déclaration est long et fastidieux : il n’est pas possible pour les États de contrôler physiquement toutes les exploitations chaque année. Utiliser les images satellites du programme spatial Copernicus permettrait de simplifier les contrôles tout en réduisant le nombre d’inspections sur le terrain. Nous vous expliquons comment !

Notre troisième article se focalise sur les travaux d'un acteur majeur de la recherche aérospatiale : le CNES. Entretien avec Thierry Chapuis, expert en applications spatiales à la Direction de l’Innovation, des Applications et de la Science du CNES, qui détaille les apports du spatial pour l’agriculture. « Que cela concerne l’observation la Terre, la géolocalisation ou encore les télécommunications, les technologies spatiales participent à l’essor de l’agriculture de précision et de l’agroécologie », affirme-t-il.

Et enfin, décryptage d'un projet pour le moins insolite : étudier l’impact de la microgravité sur des systèmes biologiques complexes afin de trouver des solutions pour la viticulture. C'est l'ambition de la startup Space Cargo Unlimited. Comment ? Notamment en analysant 320 sarments de vigne ayant séjourné, en apesanteur et pendant environ un an, au bord de la Station spatiale internationale !

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« Il faut des usines pour les technologies de demain » Pierre Goguet, CCI France - La Tribune

LA TRIBUNE- Quel regard portez-vous sur la reprise économique en France ?

PIERRE GOGUET- C'est une reprise dynamique qui semble s'inscrire dans une relance globale. La plupart des pays européens suivent la même trajectoire. Elle récompense une stratégie mise en place par le gouvernement de soutien à l'économie et aux entreprises durant cette crise. Les entreprises ont pu garder leur capacité à faire face. Certaines difficultés apparaissent néanmoins.

Comment les entreprises appréhendent-elles la fin des aides ?

Il faut faire des distinctions. Certains secteurs sont vraiment sortis la tête de l'eau et ont des perspectives favorables. Pour ces entreprises, la fin des aides ne leur posera a priori pas de problème. Il faut néanmoins rappeler que les remboursements des PGE durant l'année 2021 seront beaucoup plus importants que prévu. Les entreprises qui se portent bien ont de la trésorerie et utilisent ces prêts pour se désendetter mais aussi pour investir, surtout s'il y a des aides au niveau du plan de relance.

En revanche, d'autres secteurs ne sont pas sortis de la crise. Il s'agit par exemple du transport aérien, du tourisme. Certains secteurs sont touchés par le pass sanitaire. L'autre sujet préoccupant est la situation des jeunes. L'année dernière, plus de 500.000 jeunes ont été embauchés en apprentissage mais le plan de financement du gouvernement qui a facilité ces embauches devrait normalement s'arrêter à la fin de l'année. Le gouvernement doit proroger les aides actuellement en place pour que les jeunes continuent de profiter de cette embellie. L'apprentissage doit être une voie de promotion sociale.

Lire aussi 7 mnDébranchement des aides : la délicate fin du « quoi qu'il en coûte » se profile

Comment envisager au mieux le débranchement des aides ?

Il ne faut pas arrêter les aides d'un coup et être sélectif. Ce serait contreproductif. Dans le même temps, certaines entreprises se portent mieux. Les résultats 2020 de certains grands groupes sont au rendez vous grâce aux mesures comme le chômage partiel qui ont permis cette résilience de l'économie. Il reste à gérer les problèmes de dépendance de certaines filières d'approvisionnement.

Les difficultés de recrutement vont-elles représenter un frein à la reprise économique ?

Pour certains secteurs, je pense que ces difficultés vont effectivement représenter un frein. Dans la restauration et l'hôtellerie par exemple, plusieurs établissements ont signalé qu'ils ne pouvaient pas accueillir tous les clients parce qu'ils n'ont pas les capacités de les recevoir correctement. Certains restaurants manquent de collaborateurs. Beaucoup ne sont pas revenus. C'est également le cas dans le bâtiment. Il y a toute une nouvelle cohorte de jeunes qu'il va falloir former à ces professions. La main d'œuvre saisonnière n'a pas été au rendez-vous. Cette pénurie touche beaucoup de métiers.

Lire aussi 4 mnLa pénurie de main-d'oeuvre pèse sur la reprise des entreprises

Quels sont les secteurs frappés par les problèmes d'approvisionnement ?

Plusieurs secteurs comme l'automobile nous ont fait part de difficultés d'approvisionnement. Dans le bâtiment, ces obstacles sont également exprimés notamment dans le bois. Nos scieries n'ont plus assez de bois pour fournir la filière construction. Ces difficultés nécessitent une analyse stratégique à la fois territoriale et par filière. Il s'agit de voir comment les entreprises peuvent diversifier leurs approvisionnements, voire comment la France ou l'Europe peut rapatrier certaines activités. La relance accroît la compétition entre les opérateurs.

Lire aussi 1 mnQuand la pénurie de puces menace la reprise du marché de l'automobile en France

Il existe également des risques sur l'inflation. Le coût du fret pourrait avoir des répercussions sur les prix. Un conteneur sur l'Asie coûte dix fois plus cher qu'avant la pandémie. Cette hausse va se répercuter au moins sur les coûts de fabrication dans un premier temps et sur les prix à la consommation dans un second temps. A ce stade, il semble que les prix à la consommation ne soient pas touchés mais il existe un risque.

Lire aussi 5 mnPour l'instant, l'inflation en Europe ne menace pas la reprise

Emmanuel Macron doit annoncer dans les prochains jours un plan d'investissement destiné à dessiner la France de 2030. Qu'en attendez-vous ?

J'attends des annonces notamment sur les relocalisations. Il faut un volontarisme sur certaines filières pour implanter des usines et des centres de fabrication dans nos territoires. Il faut des usines pour les technologies de demain. L'avenir de nos enfants se joue aujourd'hui dans les choix industriels et technologiques. Je suis préoccupé par les niveaux d'investissement nécessaires dans certaines filières comme les composants électroniques. Il va falloir faire jouer au maximum l'effet levier. La politique du président Macron favorable à l'attractivité de la France a permis d'attirer des investisseurs étrangers même pendant la pandémie. Les industriels étrangers voient la France comme un pays d'investissement. Il faut l'encourager et continuer cette politique incitative.

Notre atout reste néanmoins la formation des jeunes. Il faut être vigilant à ce que le niveau ne s'érode pas. Il faut prendre en compte les problèmes environnementaux et climatiques. La France ne peut pas faire l'impasse sur cette grille de lecture indispensable à la compétitivité de notre économie à terme.

Lire aussi 7 mnEn campagne, Macron trace "la France de 2030" malgré le variant Delta

Grégoire Normand

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Les thèses du mois : Les technologies spatiales au service de l’agriculture - Actualités Techniques de l'Ingénieur

Pour vous accompagner et vous fournir une information toujours plus riche, Techniques de l'Ingénieur s'associe au Réseau National des Ecoles Doctorales - Sciences Pour l'Ingénieur (REDOC SPI). Chaque mois, notre partenaire sélectionne des thèses en lien avec notre dossier mensuel afin de vous permettre de creuser plus loin les thématiques développées dans le dossier.

Pour notre dossier d’août, « Les technologies spatiales au service de l’agriculture« , voici les thèses sélectionnées par le REDOC SPI. Retrouvez le résumé de ces thèses ainsi que les thèses des mois précédents sur le site de notre partenaire.

Robust planning and control of unmanned aerial vehicles
The Hung Pham
Doctorat en Automatique, 15-01-2021
Informatique, Biologie Intégrative et Systèmes Complexes

Model-checking pour l’agriculture de précision
Rim Saddem
Doctorat en Systèmes Automatiques et Micro-Électroniques, 20-06-2019
Laboratoire d’informatique, de robotique et de micro-électronique

Mise en place d’une méthodologie pour l’analyse de données GPS et accéléromètres afin d’améliorer la gestion du pâturage en élevage de bovins laitiers
Lucile Riaboff
Doctorat en Acoustique, 29-05-2020
Laboratoire d’acoustique de l’Université du Mans

Estimation et suivi de la ressource en bois en France métropolitaine par valorisation des séries multi-temporelles à haute résolution spatiale d’images optiques (Sentinel-2) et radar (Sentinel-1, ALOS-PALSAR)
David Morin
Doctorat en Surfaces et interfaces continentales, Hydrologie/06-02-2020
Centre d’études spatiales de la biosphère

Imagerie radar en ondes millimétriques appliquée à la viticulture
Dominique Henry
Doctorat en Electromagnétisme et Systèmes Haute Fréquence, 29-05-2018
Laboratoire d’Analyse et d’Architecture des Systèmes

Evaluation of time-series SAR and optical images for the study of winter land-use
Julien Denize
Doctorat en Signal, image, vision, 13-11-2019
Institut d’électronique et de télécommunications

Télédétection et intégration de connaissances via la modélisation spatiale pour une cartographie plus cohérente des systèmes agricoles complexes : Application aux Hautes Terres, à Madagascar
Arthur Crespin-Boucaud
Doctorat en Géomatique, 23-03-2021
Territoires, Environnement, Télédétection et Information Spatiale

Analyse de données spatialisées issues de la production pour améliorer le diagnostic agronomique en bananeraie – Prise en compte de l’asynchronisme de la culture
Julien Lamour
Doctorat en Génie des procédés, 12-07-2019
Information et technologie pour les agro-procédés

Dégradation du couvert forestier liée à la culture du palmier à huile par télédétection en milieu tropical humide : application au bassin du Congo
Prune Christobelle Komba Mayossa
Doctorat en Géographie, 14-11-2019
Étude des structures, des processus d’adaptation et des changements de l’espace

Which remote sensing indicators to survey shrimp farms in activity and to rehabilitate abandoned sites?
Niken Financia Gusmawati
Doctorat en Biologie des populations et écologie, 13-07-2017
Institut des Sciences Exactes et Appliquées

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...