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Thursday, March 31, 2022

«Les diplomates doivent s'adapter aux nouvelles technologies» - Heidi.news

A quel point la technologie influence-t-elle l’exercice de la diplomatie? L’ambassadeur Benedikt Wechsler, responsable de la division numérique du Département fédéral des affaires étrangères, voit dans ces nouveaux outils des perspectives intéressantes en matière de politique étrangère. Mais il relève également le besoin d’instaurer une gouvernance internationale dans ce nouvel espace. La diplomatie doit davantage se rapprocher de la science pour anticiper les innovations de rupture, estime-t-il.

Heidi.news — La numérisation a-t-elle beaucoup influencé la diplomatie?

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«Les diplomates doivent s'adapter aux nouvelles technologies» - Heidi.news
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Entrevue avec Sylvain Carle | « Les technologies peuvent nous aider » - La Presse

Figure bien connue du capital-risque, Sylvain Carle a annoncé récemment qu’il se joignait au nouveau fonds montréalais d’Innovobot. Son objectif : investir dans les jeunes pousses qui ont un effet positif sur la société. Quatre questions à celui qui se décrit comme « un nerd idéaliste et pragmatique ».

Publié à 11h00
Karim Benessaieh
Karim Benessaieh La Presse

La Presse : Rares sont les sociétés technos qui ne prétendent pas que leur innovation va améliorer le monde ou la société. En quoi ce qu’on appelle en anglais le Tech for Good est-il plus convaincant ?

Sylvain Carle : Effectivement, c’est assez répandu, cette idée-là. En premier, il y a nos intentions, pourquoi on le fait. Dans le cadre de notre fonds Innovobot, on identifie cinq objectifs de développement durable des Nations unies comme étant ceux qu’on met de l’avant, notamment celui que j’avais à cœur depuis longtemps, l’objectif 13 pour les changements climatiques. Un fonds comme Innovobot va identifier les opportunités de technologies « habilitantes », qui vont nous permettre d’atteindre ces objectifs, de faire avancer cette cause, de façon mesurable.

Je viens du monde numérique, c’est quelque chose que j’adore, cette intersection des mondes numérique et physique.

Avez-vous des exemples d’entreprises dans lesquelles vous voulez investir qui ont un effet positif sur la société ?

Innovobot a justement fait un réinvestissement dans CarbiCrete, qui prend du carbone et le met dans des blocs de ciment. On remplace un processus qui était polluant auparavant par un processus carboneutre, ou même carbonégatif. Ça, je trouve ça très concret, entre ce qu’on dit et ce qu’on fait. On ne peut pas que numériser les choses : si on veut vraiment intervenir pour l’environnement, il faut intervenir dans le monde physique.

On peut bien parler de métavers et de concepts pour le futur de l’humanité, il y a des enjeux présents réels pour l’éducation, la santé. Les technologies et l’innovation peuvent clairement nous aider là-dedans. Dire qu’on va améliorer la santé des Canadiens, c’est un peu creux, mais si on dit qu’on veut que 20 % de plus de gens aient accès à des soins à domicile, on peut le compter, ça.

Un autre exemple récent : une entreprise qui s’appelle Oxia-Initiative. Elle fait des systèmes pour mesurer, créer les fameux rapports ISO 14002 sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Qu’estimez-vous apporter à Innovobot ?

Ce que j’ai beaucoup aimé d’Innovobot, c’est que ce sont des entrepreneurs humains, des entrepreneurs qui travaillent pour les entrepreneurs. Ça, c’est complémentaire à mon approche. Ils ne sont pas très connus au Québec, ce sont des Montréalais qui ont travaillé partout dans le monde, c’est un peu une diaspora qui est revenue à Montréal récemment. Je pense que je vais amener dans l’écosystème francophone plus de connexions, au gouvernement, chez Investissement Québec.

Il y a aussi mon expertise en investissement, après huit ans d’investissements en amorçage, en préamorçage, à travailler avec différents programmes d’accélérateurs, dans des écosystèmes et en réseau.

Innovobot, c’est quand même assez récent, le fonds date de deux ans. Auparavant, Innovobot avait des activités de recherche et d’innovation qui touchaient plus les grandes entreprises, ce volet est bien développé. C’est un élément important pour moi de faire le lien entre les start-up agiles et qui ont de nouvelles solutions et les entreprises plus établies qui ont des enjeux, mais aussi des moyens.

Comment va l’écosystème des jeunes pousses au Québec ? Quelles sont ses forces et faiblesses ?

Il va assez bien après deux années de COVID. Après les trois premiers mois d’ajustement, elles ont généralement été favorisées par la crise. Les investissements ont continué de monter, on commence à avoir de plus en plus d’entrepreneurs en série, des gens qui sont dans leur deuxième, troisième, quatrième entreprise. On commence également à avoir de plus en plus de bons programmes à tous les stades.

En ce qui concerne l’exportation et la commercialisation… L’enjeu, il y a 10 ans, c’était l’ambition. Ce n’en est plus un. Mais est-ce qu’on a les moyens de nos ambitions ? C’est encore difficile. Exporter une technologie, c’est beaucoup aller rencontrer des gens dans des salons. Il faut reprendre ça, on est en déficit de ce genre d’évènements dans les deux dernières années.

Le dernier élément, c’est qu’il y a plus d’investissements, mais on pourrait en faire encore plus. On a un manque à gagner très important si on se compare à d’autres pays, nos entreprises sont moins valorisées. Et il faut plus de vélocité entre chaque ronde, ça prend trop de temps.

Pour des considérations de concision et de lisibilité, cette entrevue a été éditée.

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Entrevue avec Sylvain Carle | « Les technologies peuvent nous aider » - La Presse
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Vitesco Technologies recrute sur ses deux sites, dont celui de Foix - LaDepeche.fr

l'essentiel Vitesco Technologies a lancé une campagne de recrutement de 11 personnes en CDI sur ses deux sites, dont celui de Foix. L’entreprise recherche majoritairement des ingénieurs pour répondre aux enjeux d’électrification.

Vitesco Technologies recrute. Difficile de passer à côté de l’information, inscrite en grand sur une banderole tendue près du site fuxéen, juste au-dessus du rond-point. De quoi permettre aux nombreux automobilistes qui empruntent cette route d’être interpellés. L’usine ex-Continental, devenue Vitesco, recherche à embaucher pas moins de 11 personnes en contrat à durée indéterminée (CDI). Et ce, sur ses deux sites, celui de Foix donc, et celui de Boussens, dans la Haute-Garonne.

L’équipementier automobile allemand, dont le siège social est situé à Toulouse, recherche des « compétences pointues pour répondre aux enjeux d’électrification ».En effet, l’entreprise indique que pour « répondre aux problématiques d’informatique de production et d’industrialisation », elle recherche des « talents » désireux de s’investir à ses côtés. Ainsi, les postes qui sont à pourvoir immédiatement, concernent des profils d’ingénieurs qualité, d’industrialisation ou encore d’informatique de production. « Vitesco Technologies est une entreprise pionnière dans l’électrification. Travailler dans notre usine de Foix-Boussens, c’est pouvoir développer différentes compétences et mener une multitude de missions, que ce soit en termes de business avec les nombreux défis imposés par le virage électrique ; que par la diversité de profils de nos clients constructeurs, affirme Michel Bouguennec, directeur des deux usines. Cette diversité, nous la recherchons aussi au niveau des candidats qui nous rejoignent. »

En effet, l’entreprise - qui possède une surface de production de 12 000 m² et travaille avec 600 collaborateurs sur ses deux sites - cherche des profils divers « qu’il s’agisse de l’âge, de la nationalité ou encore du sexe ». Elle précise : « À titre d’exemple, nous comptons 50 % de femmes au sein de notre comité de direction et près de 190 dans la totalité de l’effectif. »
Au-delà des deux sites d’Occitanie, Vitesco affirme « rivaliser avec les plus grandes usines d’Europe du secteur ».

« Des perspectives d’évolution à l’international »

De fait, la société indique que les candidats aux postes recherchés pourraient être amenés à interagir dans un milieu technologique « porteur », offrant des « perspectives d’évolution à l’international ». « L’usine échange quotidiennement avec les constructeurs automobiles du monde entier et propose diverses passerelles vers l’expatriation », poursuit-elle.

Et pour cause, l’usine fuxéenne, spécialisée dans les cartes électroniques pour l’automobile, est située à la « pointe » de l’innovation, comme son homologue haut-garonnais.« L’usine bénéficie d’une infrastructure moderne et performante grâce à l’automatisation de ses entrepôts, la robotisation (utilisation de cobots ou de robots collaboratifs) ou encore l’intelligence artificielle », conclut Vitesco technologies.

Autant d’atouts que l’entreprise met en avant afin de trouver de nouveaux collaborateurs.Et même des jeunes, puisqu’elle a décidé d’ouvrir par ailleurs 55 postes d’alternants et 70 stages cette année. Une preuve que le site fuxéen se porte bien ?« Les commandes de la part des constructeurs sont au rendez-vous et l’usine doit maintenant se structurer pour faire face à la demande. » De bons indicateurs pour l’avenir du site de Foix à en croire ces propos.

Une situation sociale tendue

Lorsqu’on évoque la situation chez Vitesco Technologies, à Foix, difficile de passer sous silence les événements qui ont été mis en lumière en fin d’année dernière au sujet du contexte social. Pour rappel, une vague de soutien et de mobilisation avait été mise en place suite à la mise à pied, puis au licenciement, de trois salariés. En cause : une réunion d’échanges autour des thématiques « environnement, sécurité, hygiène » — tenue le 18 septembre en présence des représentants d’une entreprise extérieure — durant laquelle ils auraient exprimé leurs points de vue. À l’époque, l’organisation syndicale mobilisée déplorait « une ambiance générale qui se détériore fortement depuis la mise en place du nouveau comité de direction » et craignait pour la suite. De son côté, l’entreprise, malgré nos multiples sollicitations, n’avait pas souhaité s’exprimer. Relancée, elle a confirmé ne pas vouloir faire de commentaire.

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Figure bien connue du capital-risque, Sylvain Carle a annoncé récemment qu’il se joignait au nouveau fonds montréalais d’Innovobot. Son objectif : investir dans les jeunes pousses qui ont un effet positif sur la société. Quatre questions à celui qui se décrit comme « un nerd idéaliste et pragmatique ».

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Karim Benessaieh
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La Presse : Rares sont les sociétés technos qui ne prétendent pas que leur innovation va améliorer le monde ou la société. En quoi ce qu’on appelle en anglais le Tech for Good est-il plus convaincant ?

Sylvain Carle : Effectivement, c’est assez répandu, cette idée-là. En premier, il y a nos intentions, pourquoi on le fait. Dans le cadre de notre fonds Innovobot, on identifie cinq objectifs de développement durable des Nations unies comme étant ceux qu’on met de l’avant, notamment celui que j’avais à cœur depuis longtemps, l’objectif 13 pour les changements climatiques. Un fonds comme Innovobot va identifier les opportunités de technologies « habilitantes », qui vont nous permettre d’atteindre ces objectifs, de faire avancer cette cause, de façon mesurable.

Je viens du monde numérique, c’est quelque chose que j’adore, cette intersection des mondes numérique et physique.

Avez-vous des exemples d’entreprises dans lesquelles vous voulez investir qui ont un effet positif sur la société ?

Innovobot a justement fait un réinvestissement dans CarbiCrete, qui prend du carbone et le met dans des blocs de ciment. On remplace un processus qui était polluant auparavant par un processus carboneutre, ou même carbonégatif. Ça, je trouve ça très concret, entre ce qu’on dit et ce qu’on fait. On ne peut pas que numériser les choses : si on veut vraiment intervenir pour l’environnement, il faut intervenir dans le monde physique.

On peut bien parler de métavers et de concepts pour le futur de l’humanité, il y a des enjeux présents réels pour l’éducation, la santé. Les technologies et l’innovation peuvent clairement nous aider là-dedans. Dire qu’on va améliorer la santé des Canadiens, c’est un peu creux, mais si on dit qu’on veut que 20 % de plus de gens aient accès à des soins à domicile, on peut le compter, ça.

Un autre exemple récent : une entreprise qui s’appelle Oxia-Initiative. Elle fait des systèmes pour mesurer, créer les fameux rapports ISO 14002 sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Qu’estimez-vous apporter à Innovobot ?

Ce que j’ai beaucoup aimé d’Innovobot, c’est que ce sont des entrepreneurs humains, des entrepreneurs qui travaillent pour les entrepreneurs. Ça, c’est complémentaire à mon approche. Ils ne sont pas très connus au Québec, ce sont des Montréalais qui ont travaillé partout dans le monde, c’est un peu une diaspora qui est revenue à Montréal récemment. Je pense que je vais amener dans l’écosystème francophone plus de connexions, au gouvernement, chez Investissement Québec.

Il y a aussi mon expertise en investissement, après huit ans d’investissements en amorçage, en préamorçage, à travailler avec différents programmes d’accélérateurs, dans des écosystèmes et en réseau.

Innovobot, c’est quand même assez récent, le fonds date de deux ans. Auparavant, Innovobot avait des activités de recherche et d’innovation qui touchaient plus les grandes entreprises, ce volet est bien développé. C’est un élément important pour moi de faire le lien entre les start-up agiles et qui ont de nouvelles solutions et les entreprises plus établies qui ont des enjeux, mais aussi des moyens.

Comment va l’écosystème des jeunes pousses au Québec ? Quelles sont ses forces et faiblesses ?

Il va assez bien après deux années de COVID. Après les trois premiers mois d’ajustement, elles ont généralement été favorisées par la crise. Les investissements ont continué de monter, on commence à avoir de plus en plus d’entrepreneurs en série, des gens qui sont dans leur deuxième, troisième, quatrième entreprise. On commence également à avoir de plus en plus de bons programmes à tous les stades.

En ce qui concerne l’exportation et la commercialisation… L’enjeu, il y a 10 ans, c’était l’ambition. Ce n’en est plus un. Mais est-ce qu’on a les moyens de nos ambitions ? C’est encore difficile. Exporter une technologie, c’est beaucoup aller rencontrer des gens dans des salons. Il faut reprendre ça, on est en déficit de ce genre d’évènements dans les deux dernières années.

Le dernier élément, c’est qu’il y a plus d’investissements, mais on pourrait en faire encore plus. On a un manque à gagner très important si on se compare à d’autres pays, nos entreprises sont moins valorisées. Et il faut plus de vélocité entre chaque ronde, ça prend trop de temps.

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Les organisations explorent et investissent de plus en plus dans les technologies quantiques, dont les premières applications commerciales sont attendues d'ici 3 à 5 ans - Yahoo Actualités

Capgemini SE
Capgemini SE

Relations Presse :
Victoire Grux
Tel.: +33 6 04 52 16 55
Email: victoire.grux@capgemini.com

Les organisations explorent et investissent de plus en plus dans les technologies quantiques, dont les premières applications commerciales sont attendues d'ici 3 à 5 ans

Selon une nouvelle étude de Capgemini, 23 % des organisations dans le monde
travaillent actuellement sur les technologies quantiques ou prévoient de les utiliser, passant ainsi du cadre de la recherche scientifique à des solutions concrètes

Paris, le 31 mars 2022 - Une nouvelle étude publiée aujourd’hui par le Capgemini Research Institute révèle que près d’un quart (23 %) des organisations travaillent (ou prévoient de travailler) sur l’exploitation des technologies quantiques, et les premières applications commerciales majeures sont attendues dans les 3 à 5 prochaines années. En outre, 20 % des organisations prévoient d’accroître leurs investissements dans ces technologies au cours de l'année prochaine.

Selon l'étude Quantum technologies: How to prepare your organization for a quantum advantage now, la Chine (43%) et les Pays-Bas (42%) comptent la plus grande part d'entreprises travaillant ou prévoyant de travailler sur les technologies quantiques, dépassent largement l'Allemagne et le Royaume-Uni (26 % chacun), contre 23 % en moyenne au niveau mondial.

Même si la grande majorité de ces organisations a commencé il y a plus de deux ans à travailler sur les technologies quantiques, 28 % d’entre elles ont déclaré avoir débuté au cours des deux dernières années. Globalement, les technologies quantiques commencent à passer du cadre de la recherche aux applications concrètes : parmi les organisations travaillant sur les technologies quantiques, près de 20 % ont atteint la phase de mise en application (expériences ou « preuves de concepts »), tandis que 23 % ont identifié des cas d’usage pertinents et se préparent à leur mise en œuvre.

Ces entreprises ont l'intention d’exploiter cette technologie de diverses manières, pour améliorer la durabilité des opérations, découvrir de nouveaux matériaux pour la fabrication de batteries, sécuriser des informations, rendre les capteurs médicaux plus performants ou encore réduire la nocivité des gaz industriels. Les entreprises de services financiers utilisent les technologies quantiques pour évaluer de façon plus plus précise les actifs à risque, optimiser les portefeuilles pour obtenir de meilleurs rendements et détecter les fraudes. Par ailleurs, les entreprises pharmaceutiques tentent de raccourcir le cycle de développement des médicaments en s’appuyant sur l’informatique quantique.

Le Capgemini Research Institute a mené des discussions approfondies avec plus de 30 experts du secteur dans le monde entier afin de déterminer de quelle manière les acteurs les plus avancés font déjà usage des technologies quantiques. Elham Kashefi, professeur d'informatique quantique à la School of Informatics de l'Université d'Édimbourg, Directeur de Recherche CNRS à l’université de la Sorbonne et co-fondatrice de VeriQloud Ltd, a déclaré : « Cela pourrait prendre encore une décennie pour construire un ordinateur quantique universel à tolérance de pannes. Toutefois, nous pouvons quand même voir dans un avenir proche des applications ayant un impact réel sur les dispositifs quantiques, à condition d'optimiser et d'adapter les algorithmes quantiques pour le matériel émergent encore sensible aux perturbations, au « bruit », avec des processus de vérification sur mesure. »

Le rapport souligne que les technologies quantiques ont atteint différents niveaux de maturité dans les applications attendues :

  • L’informatique quantique présente le potentiel le plus élevé parmi tous les champs d'application quantiques, mais c’est également le moins mature. Son développement s'est accéléré, stimulé par l’intérêt des investisseurs, l’expansion des cas d’usage et les avancées technologiques. En moyenne, une majorité d’organisations travaillant sur les technologies quantiques estiment que les premières applications commerciales de l’informatique quantique devraient voir le jour dans les cinq ans ;

  • La communication quantique pourrait répondre aux nouvelles exigences en matière de sécurité de l’information1, en particulier pour sécuriser l’échange d’informations avec des tiers, protéger les infrastructures sensibles (technologies IoT et cloud) au sein d'une organisation ou encore sécuriser les centres de données cloud. Des solutions cryptographiques quantiques sont déjà utilisées. Cependant, 58 % des organisations travaillant sur les technologies quantiques attendent la mise en place de normes avant de faire de la sécurité quantique une priorité ;

  • Les capteurs quantiques représentent davantage une niche, mais sont également plus matures. Ils vont devenir plus petits, plus économes en énergie et moins chers, et pourraient profondément transformer de nombreux secteurs. Les capteurs quantiques peuvent accélérer la précision des mesures, notamment dans les secteurs de la santé/du diagnostic, de la défense, de l'automobile, du génie civil, de la construction, du pétrole/gaz, de l'espace et des télécommunications2.

Sept organisations sur dix travaillant sur les technologies quantiques ont convenu qu’en raison des longs cycles de développement produit dans leurs entreprises, elles doivent dès à présent consacrer du temps à construire les bases d’une approche quantique (les compétences adéquates, l’identification de problèmes/cas d’usage, la réalisation d’expériences en laboratoire ou la conclusion de partenariats) et intégrer les technologies quantiques à leurs processus. Plus de la moitié (58 %) des organisations travaillant sur les technologies quantiques ont déclaré avoir obtenu le soutien de leur comité exécutif pour des initiatives quantiques au cours de l'année passée.

Pascal Brier, Directeur Innovation de Capgemini et membre du Comité exécutif du Groupe, a déclaré : « Les récentes avancées dans les technologies quantiques devraient permettre d’accéder à une nouvelle ère pour l’informatique, les capteurs et la cybersécurité au cours des cinq prochaines années. Notre étude confirme que de plus en plus d’organisations se forment sur ces technologies et les expérimentent à travers des applications concrètes. Au cours des deux dernières années, nous avons observé l'émergence de leaders dans le secteur financier et un fort intérêt notamment dans le secteur automobile. Il est essentiel de se préparer dès aujourd’hui pour être en mesure de tirer parti de ces technologies de nouvelle génération lorsque les applications commerciales se généraliseront. C'est pourquoi notre équipe d'experts en technologie quantique dans le monde entier s’efforce de libérer ce potentiel pour les clients. »

Bien que les applications commerciales à grande échelle ne soient pas attendues avant quelques années, le rapport recommande aux organisations de commencer dès maintenant à se préparer à l’avantage quantique, c'est-à-dire à la possibilité d'obtenir des performances nettement supérieures à ce qui est réalisable avec les technologies actuelles. Une fois le cas d’usage établi, les organisations peuvent commencer l'expérimentation avec une petite équipe d'experts. En outre, il est essentiel d’expérimenter sur les cas d’usage quantiques les plus intéressants à petite échelle, de conclure des partenariats à long terme avec des partenaires technologiques et d’élaborer une stratégie à long terme pour développer les compétences dans ce domaine.

Pour lire le rapport complet, cliquer ici : https://www.capgemini.com/research/quantum-technologies/

Méthodologie
En novembre et décembre 2021, Capgemini a recueilli les commentaires de 857 organisations en leur demandant si elles travaillaient sur les technologies quantiques ou prévoyaient de les utiliser, et a interrogé 200 cadres travaillant ou prévoyant de travailler sur ces technologies. En outre, l’enquête a été complétée par plus de 30 entretiens approfondis avec des professionnels des technologies quantiques dans de grandes organisations ainsi que des startups, des universitaires travaillant sur les technologies quantiques, des professionnels du capital-risque du secteur, ainsi que des communautés autour des technologies quantiques.

A propos de Capgemini
Capgemini est un leader mondial, responsable et multiculturel, regroupant 325 000 personnes dans plus de 50 pays. Partenaire stratégique des entreprises pour la transformation de leurs activités en tirant profit de toute la puissance de la technologie, le Groupe est guidé au quotidien par sa raison d’être : libérer les énergies humaines par la technologie pour un avenir inclusif et durable. Fort de 55 ans d’expérience et d’une grande expertise des différents secteurs d’activité, Capgemini est reconnu par ses clients pour répondre à l’ensemble de leurs besoins, de la stratégie et du design jusqu’au management des opérations, en tirant parti des innovations dans les domaines en perpétuelle évolution du cloud, de la data, de l’Intelligence Artificielle, de la connectivité, des logiciels, de l’ingénierie digitale et des plateformes. Le Groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 18 milliards d'euros en 2021.
Get the Future You Want* | www.capgemini.com

*Capgemini, le futur que vous voulez

À propos du Capgemini Research Institute
Le « Capgemini Research Institute » est le centre de recherche de Capgemini. Il publie régulièrement des études sur l’impact des technologies digitales au sein des organisations et des grands secteurs économiques. L’équipe de l’Institut s’appuie sur le réseau international d’experts de Capgemini et travaille en étroite collaboration avec les partenaires académiques et technologiques du Groupe. Il dispose de plusieurs centres de recherche dédiés en Inde, à Singapour, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Il a été récemment classé N°1 mondial pour la qualité de ses recherches par des analystes indépendants.

Plus d’informations sur https://www.capgemini.com/fr-fr/capgemini-research-institute/
Abonnez-vous ici aux rapports du Capgemini Research Institute

1Les standards de sécurité actuels sont basés sur la factorisation de grands nombres premiers composites et sont actuellement impossibles à décrypter avec la capacité de calcul classique disponible. Mais ces standards sont de plus en plus vulnérables : d’ici la fin de cette décennie, on s’attend à ce qu’un ordinateur quantique suffisamment puissant soit en mesure de briser les algorithmes basés sur la factorisation.
2 Il pourrait s'agir de gravimètres quantiques pour la prospection ou la surveillance des terres ou des eaux, de capteurs quantiques pour le contrôle et la sécurité des processus, de capteurs et d'oscillateurs pour la navigation sans GPS, ou de magnétomètres et de capteurs pour l'imagerie biomédicale.

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Les fabricants d'armes nucléaires russes utilisent des technologies suédoises - EURACTIV France

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Aujourd’hui dans les Capitales

STOCKHOLM

Les fabricants russes d’armes nucléaires utilisent des technologies suédoises. Douze des fabricants d’armes nucléaires de l’État russe utilisent des technologies provenant d’entreprises industrielles suédoises, selon une enquête du journal suédois Expressen.

Des documents ont révélé que des équipements provenant de sociétés telles que Sandvik, SKF et Atlas Copco ont été vendus et fournis à des organisations participant au programme nucléaire militaire russe.

Dans certains cas, ces technologies ont été acquises par la Russie par l’intermédiaire les filiales russes d’entreprises suédoises et, dans d’autres cas, directement par des distributeurs russes.

Après l’annexion de la Crimée en 2014 et les sanctions imposées par l’UE, la Suède a interdit la vente de produits à usage militaire à la Russie.

Cependant, après une enquête interne, Atlas Copco a confirmé que l’entreprise avait trouvé plus de 50 transactions qui violaient ses propres règles, selon Expressen.

Les technologies relatives au travail des métaux sont particulièrement attrayantes pour les fabricants russes de matériel nucléaire et les accords révélés portent notamment sur des équipements de coupe de précision, des tours, des fraises et des forets pour minéraux lourds. Des produits suédois tels que des équipements de compression figurent également sur la liste des achats des fabricants nucléaires russes.

«  Nous prenons cela très au sérieux et nous pensons que notre filiale russe a violé nos règlements internes  », a déclaré Sara Hägg Liljedal, directrice de la communication chez Atlas Copco, dans une réponse par courriel à Expressen.

Depuis le début de son invasion de l’Ukraine en février, la Russie a plusieurs fois laissé entendre qu’elle avait la capacité d’utiliser des armes nucléaires et que son arsenal nucléaire était en état d’alerte.

Toutefois, Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a déclaré mardi 29 mars que la Russie n’envisageait pas d’utiliser d’armes nucléaires dans ce qu’elle appelle son «  opération militaire spéciale  » en Ukraine et a réitéré sa position selon laquelle l’utilisation de telles armes ne ferait suite qu’à une «  menace pour son existence. »

(Charles Szumski | EURACTIV.com)

BERLIN

La dirigeante de la région allemande du Nord Stream 2 admet que le gazoduc était une «  erreur  ». Manuela Schwesig, la première ministre du Mecklembourg-Poméranie occidentale, où le gazoduc Nord Stream 2 était en cours de construction, a renoncé à soutenir le gazoduc, admettant pour la première fois que sa défense de longue date du projet controversé était une erreur. Lire plus (en anglais).

(Julia Dahm | EURACTIV Allemagne)

PARIS

Élections présidentielles : pas de restrictions pour les positifs à la Covid-19. Les Français positifs à la Covid-19 pourront voter librement aux élections présidentielles du 10 et 24 avril prochain, selon le porte-parole du gouvernement. Lire la suite.

(Davide Basso | EURACTIV France)

VIENNE

L’Autriche déclare un plan de «  pré-alerte  » pour garantir son approvisionnement en gaz. Le gouvernement, comme celui de l’Allemagne avant lui, a déclenché un mécanisme de «  pré-alerte  » pour gérer l’approvisionnement en gaz en réponse à la Russie qui a déclaré qu’elle n’accepterait que des roubles pour les livraisons de gaz à l’avenir. Lire plus (en anglais).

(Nikolaus J. Kurmayer | EURACTIV Allemagne

LA HAYE

Un député du parti au pouvoir veut accélérer le forage de gaz en mer du Nord. Le député Jereon van Wijngaarden du parti du Premier ministre Mark Rutte, le VVD, veut accélérer le processus d’obtention d’un permis de forage de gaz en mer du Nord. Lire plus (en anglais).

(Sofia Stuart Leeson | EURACTIV.com)


ROYAUME-UNI – IRLANDE

LONDRES

Le programme «  Homes for Ukrainians  » connaît des retards au ministère de l’Intérieur. Le programme permettant aux personnes de parrainer un réfugié ukrainien pour qu’il reste chez elles pendant six mois, en échange d’un paiement mensuel de 350 livres sterling de la part du gouvernement, n’a permis d’accorder que 2 700 visas, plus de deux semaines après son lancement, a révélé le ministère de l’Intérieur britannique mercredi 30 mars. Lire plus (en anglais). 

(Benjamin Fox | EURACTIV.com)

DUBLIN 

L’Irlande manque de logements pour les réfugiés ukrainiens. Les réfugiés ukrainiens arrivant en Irlande pourraient bientôt devoir être logés dans des tentes, le gouvernement cherchant des propriétés disponibles pour l’hébergement. Lire plus (en anglais).

(Molly Killeen | EURACTIV.com)


SCANDINAVIE ET PAYS BALTES

STOCKHOLM

Des chasseurs russes armés d’armes nucléaires ont violé l’espace aérien suédois. Deux avions de combat russes armés de missiles nucléaires ont violé l’espace aérien suédois au début du mois de mars, selon des informations fournies par la chaîne suédoise TV4. Lire plus.

(Charles Szumski | EURACTIV.com)

OSLO

Volodymyr Zelensky demande à la Norvège des armes dans un discours historique au parlement. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a demandé que davantage d’armes soient livrées à l’Ukraine pour lutter contre l’invasion de la Russie, lors de son discours devant le parlement norvégien mercredi 30 mars. Lire plus (en anglais).

(Charles Szumski | EURACTIV.com)

 HELSINKI

La population vieillissante de la Finlande augmente à une vitesse record. La population âgée de la Finlande, l’une des plus importantes au monde par rapport au reste de la population du pays, augmente à grande vitesse, selon une nouvelle étude. Lire plus (en anglais).

(Pekka Vänttinen | EURACTIV.com)

VILNIUS

La Lituanie devrait bientôt lever l’obligation de porter un masque en intérieur. En Lituanie, les personnes ne devront plus porter de masque à l’intérieur, sauf dans les établissements de santé et les transports publics, a annoncé mercredi le ministère de la Santé. Lire plus (en anglais). 

(Giedre Peseckyte | EURACTIV.com)


EUROPE DU SUD

ROME | MOSCOU

L’Italie demande un cessez-le-feu à Vladimir Poutine. Lors d’un appel téléphonique mercredi, le Premier ministre Mario Draghi a demandé à M. Poutine d’instaurer un cessez-le-feu le plus rapidement possible «  afin de protéger la population civile et de soutenir les efforts de négociation  ». Lire plus (en anglais).

(Simona Zecchi | EURACTIV Italie)

MADRID

L’UE et les procureurs espagnols en désaccord sur une enquête pour fraude. Les enquêtes sur les allégations de corruption liées à un marché de masques conclu par le gouvernement régional de Madrid durant les premiers stades de la pandémie, malgré l’insistance des procureurs espagnols sur le fait qu’il s’agissait d’une affaire nationale, vont se poursuivre, a déclaré mercredi le bureau du procureur européen (OEPP). Lire plus (en anglais).

(Catalina Guerrero | EuroEFE.EURACTIV.es)

LISBONNE

Le Portugal pourrait remplacer son premier ministre à mi-mandat. Le président du Portugal a averti mercredi le premier ministre, António Costa, qu’il sera difficile de le remplacer à mi-mandat, estimant que les Portugais «  ont donné une majorité absolue à un parti, mais aussi à un homme  ». Lire plus (en anglais).

(Inês Escobar Lima | Lusa.pt)


GROUPE DE VISEGRAD 

VARSOVIE

Le Kremlin gèle le compte bancaire de l’ambassade polonaise en représailles. La Russie a tenu parole après que les autorités polonaises ont ordonné à 45 diplomates russes de quitter le territoire polonais la semaine dernière. Le Kremlin a annoncé des mesures de rétorsion contre les diplomates polonais et a gelé leur compte bancaire à Moscou. Lire plus (en anglais).

(Bartosz Sieniawski | EURACTIV Pologne)

PRAGUE

Les experts tchèques mettent en garde contre les logiciels antivirus russes. La National Cyber and Information Security Agency met en garde contre les logiciels antivirus russes, car les entreprises russes visées par les sanctions de l’UE peuvent cesser de mettre à jour leurs programmes à tout moment, ce qui rend les clients beaucoup plus vulnérables à de potentielles cyberattaques. Lire plus (en anglais).

(Vojtěch Freitag, Aneta Zachová | EURACTIV République tchèque)

BUDAPEST 

Un quart des Hongrois actifs émigreraient en cas de victoire du Fidesz. Si le parti au pouvoir remporte les élections dimanche, 28 % de la population active pense qu’il ne vaut pas la peine de rester en Hongrie, selon un sondage de l’Institut Republikon, proche de l’opposition, publié mercredi 30 mars, rapporte Telex. Lire plus (en anglais).

(Vlagyiszlav Makszimov | EURACTIV.com with Telex)

BRATISLAVA

La Slovaquie expulse 35 diplomates russes accusés d’espionnage. Le ministère slovaque des Affaires étrangères a décidé d’expulser 35 diplomates russes de Slovaquie mercredi 30 mars après que plusieurs accusations d’espionnage aient fait surface. Lire plus (en anglais).

(Michal Hudec | EURACTIV Slovaquie)


NOUVELLES DES BALKANS

SOFIA

Le bureau du procureur enquête sur une parlementaire pro-russe pour incitation à la guerre contre la Bulgarie. Le bureau du procureur a lancé une enquête pour décider s’il existe des preuves que la députée Elena Guncheva du parti nationaliste pro-russe Vazrazhdane a commis un crime contre le pays en incitant à la guerre contre la Bulgarie. Lire plus (en anglais).

(Krassen Nikolov | EURACTIV Bulgarie)

ZAGREB

Près d’un millier de procès en cours contre des médias et des journalistes. Il y a au moins 951 procès en cours contre des médias et des journalistes en Croatie, dans lesquels les plaignants demandent près de 77,4 millions de kunas (10,32 millions d’euros) de dommages et intérêts, a déclaré mercredi l’Association des journalistes croates (HND) en présentant les résultats d’une enquête. Lire plus (en anglais).

(Željko Trkanjec | EURACTIV Croatie)

BELGRADE 

L’oléoduc adriatique JANAF va suspendre ses livraisons de pétrole à la Serbie. L’oléoduc Adriatique JANAF a annoncé qu’il suspendrait ses livraisons de pétrole à la société pétrolière Naftna Industrija Srbije (NIS), ce qui bloquerait la raffinerie de pétrole de la Serbie et un complexe pétrochimique, Petrohemija, tous deux situés à Pancevo, près de Belgrade. Lire plus (en anglais).

(EURACTIV Serbie | betabriefing.com)

SARAJEVO 

La Commission électorale choisit un nouveau président et affirme que les élections d’octobre sont programmées. Suad Arnautović a été choisie mercredi comme nouveau président de la Commission électorale centrale (SIP) de Bosnie-Herzégovine (B-H) et a déclaré que la SIP se préparait à la tenue d’élections en octobre, malgré le fait qu’un accord sur la modification de la loi électorale n’ait pas encore été trouvé. Lire plus (en anglais).

(Željko Trkanjec | EURACTIV Croatie)

SKOPJE

Le recensement révèle que près d’un tiers de la population macédonienne est albanaise. Le recensement macédonien de 2021 a révélé que plus de 29 % de la population est d’origine albanaise et que la moitié est macédonienne, selon des statistiques publiées mercredi 30 mars. Lire plus (en anglais).

(Exit.al)

TIRANA

Un député démissionne dans le cadre d’un scandale de corruption. Alqi Bllako, un député socialiste, a démissionné de son siège parlementaire et risque d’être arrêté pour son rôle dans un scandale de corruption de 430 millions d’euros, dans ce qui pourrait être le plus grand scandale de corruption du gouvernement albanais. Lire plus (en anglais).

(Exit.al)


AGENDA:

  • Allemagne : Le chancelier Olaf Scholz reçoit son homologue autrichien, Karl Nehammer, à Berlin.
  • Croatie : Un forum sur le gaz est organisé, portant sur les prix du gaz pour les ménages et les entreprises, les mesures prises par le gouvernement pour atténuer les anomalies du marché, l’impact de la guerre en Ukraine sur les marchés du gaz de l’Europe et de la Croatie, le remplacement du gaz russe et l’approvisionnement pour l’hiver prochain.
  • Roumanie : Nicolas Schmit, commissaire européen chargé de l’Emploi et des Droits sociaux, en visite en Roumanie.

***

[Édité par Sarantis Michalopoulos, Alexandra Brzozowski, Daniel Eck, Benjamin Fox, Zoran Radosavljevic, Alice Taylor, Sofia Stuart Leeson]

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Les fabricants d'armes nucléaires russes utilisent des technologies suédoises - EURACTIV France
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Wednesday, March 30, 2022

Numérique et santé : Comment les nouvelles technologies peuvent révolutionner la médecine - 20 Minutes

Même si la question des données de santé fait parfois polémique, le numérique promet un « coup de frais » à la médecine moderne… Mais cette révolution bénéficiera-t-elle aux patients ? C’est en tout cas ce qu’affirme le PDG d’une entreprise française d’assurance santé 100 % en ligne, pour qui elle évitera au système de santé actuel « d’aller dans le mur ».

« On est très protégés là-dessus et il faut que cela continue »

Pour Jean-Charles Samuelian, « la technologie peut nous aider à avoir des programmes personnalisés sur notre santé. Par exemple, si on prépare un marathon, on pourra partager les données de nos objets connectés avec notre équipe médicale qui nous préparera un programme de nutrition, d’examens médicaux, etc. ».

Mais quid de la protection des données personnelles ? Pour Jean-Charles Samuelian, ce sont les patients qui décideront à qui ils en autoriseront l’accès. « En France, il existe déjà plein de réglementations, assure-t-il. Les assurances n’ont pas le droit d’utiliser la donnée médicale pour faire leurs prix, par exemple. On est très protégés là-dessus et il faut que cela continue, c’est très important. »

Découvrez son plaidoyer pour une « santé 2.0 » dans cette vidéo de notre partenaire Brut.

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Numérique et santé : Comment les nouvelles technologies peuvent révolutionner la médecine - 20 Minutes
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L'Open Source est l'origine et l'avenir des technologies de l'information - La Tribune.fr

Qui se souvient que dans les années 60 des premiers ordinateurs livrés avec les codes sources de tous les logiciels et le système d'exploitation ? Qui aurait pensé en 1998, à la naissance du mouvement Open Source, que 80% du code source des applications toutes catégories confondues serait Open Source en 2022 (source Gartner)? Et que la plateforme Github réunirait plus de 73 millions de contributeurs actifs ? Si certains entretiennent de vieux mythes et rêvent de le voir disparaître au profit de modèles plus restrictifs, l'Open Source affiche une santé insolente.

« Au cœur d'enjeux majeurs en termes économiques, de souveraineté, de sécurité et d'éthique » comme le rappelle le CNLL (Conseil national du logiciel libre), il séduit aujourd'hui les gouvernements comme les géants de l'informatique et du web (IBM et RedHat, Microsoft et GitHub).

Résolument modernes, le logiciel libre dans les années 80 puis l'Open Source à la fin des années 90, ont été fondés sur des valeurs qui agitent aujourd'hui la société. Il n'a pas attendu l'éveil des consciences pour prôner l'économie collaborative et participative, c'est son essence même. La communauté Open Source est à la fois bénéficiaire et architecte de l'outil : chaque amélioration ou correction de bug apporte une vraie valeur ajoutée et tout l'écosystème s'en trouve renforcé. Un cercle vertueux dans lequel le bien commun n'est pas un vain mot !

L'Open Source n'a pas dû repenser tout son modèle suite aux inquiétudes autour de la sécurité des données ou l'avènement du RGPD : la transparence d'un code ouvert est le meilleur rempart contre les failles de sécurité et la propriété des données garantit une confidentialité renforcée.

Inclusif par excellence, l'Open Source offre une solution robuste librement accessible à tous mais aussi une fenêtre d'expression aux développeurs du monde entier et de tous horizons ! Contribuer à un logiciel Open Source, c'est l'occasion de mettre sa pierre à l'édifice de projets ambitieux, de faire voir et valoir son expertise, apprise ou acquise. L'Open Source se moque des Cvs, des formations ou des origines, il ne voit que des talents... et des solutions.

Mais les vertus de l'Open Source ne s'arrêtent pas là. D'un point de vue purement technique, faire le choix de l'Open Source c'est également se tourner vers la promesse d'un code continuellement amélioré pour offrir une solidité et une performance supérieures à n'importe quel logiciel propriétaire. Un logiciel Open Source n'est ni plus ni moins qu'un logiciel upgradé en permanence : en somme, un code vivant ! Vous pouvez investir autant que vous le voulez dans un logiciel SaaS, il restera toujours un coût final. Alors que plus on investit dans des logiciels Open Source pour les améliorer, plus on crée de la valeur pour le projet, l'entreprise et les utilisateurs.

C'est pourquoi il est crucial, aujourd'hui plus que jamais, de garantir la pérennité du modèle Open Source et de continuer à le faire grandir en nous alliant pour structurer un collectif puissant. C'est tout le sens de notre engagement dans des organisations co-fondées qui portent l'ambition d'un monde Open Source comme la PHP Foundation, OW2 et OSPO.zone. Parce que l'Open Source est un modèle d'avenir et sans doute le seul, nous sommes fiers d'en porter haut et fort les couleurs pour un web toujours plus ouvert.

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Tuesday, March 29, 2022

Dépendance aux énergies fossiles russes : commentaires de l'Académie des technologies - Connaissance des Énergies

Technologies de l'information et de la communication enquête insee auprès des ménages - Aquitaine Online

Cette enquête vise d’abord à collecter des informations décrivant l'équipement des ménages (informatique, Internet, téléphonie fixe et mobile). Elle s’attache ensuite à mesurer les usages des ménages : les lieux, la fréquence et types d’utilisation (administration en ligne et commerce électronique). L’enquête s’intéresse également aux compétences individuelles en informatique et vis-à-vis d’Internet. En 2022, deux nouveaux modules sont ajoutés à l’enquête : les objets connectés et les technologies et l'environnement.

Une enquête nationale qui s'inscrit dans un cadre européen

Depuis 2007, l’enquête sur les technologies de l’information et de la communication (TIC) est réalisée chaque année dans tous les États membres de l’Union européenne, ce qui permet de réaliser des comparaisons internationales. Pour en savoir plus : documentation du Cnis (Conseil national de l'information statistique).

Un échantillon de logements tirés au sort

Afin de disposer de résultats représentatifs de l’ensemble des ménages, il n’est pas nécessaire d’interroger chaque ménage : cela prendrait trop de temps et coûterait trop cher. Un échantillon de logements est donc tiré au hasard. Si le ménage tiré au sort n’est pas équipé et n’utilise pas ou peu Internet, sa participation à l’enquête est tout de même importante, car il reste représentatif de l’ensemble des ménages qui sont dans la même situation.

Des données anonymes et des réponses protégées

La collecte est placée sous la responsabilité de l’Insee. Cette enquête est reconnue d’intérêt général et de qualité statistique à caractère obligatoire. Les réponses sont confidentielles, comme pour toutes les enquêtes menées par l’Institut. Elles sont utilisées uniquement par l’Insee et seulement à des fins d’études.

Ce que l’enquête TIC permet de savoir

Quelques chiffres issus des précédentes enquêtes :

  • En 2021, 86 % des personnes de 15 ans ou plus résidant en France ont utilisé Internet au cours des trois derniers mois, contre seulement 65 % en 2009.
  • 94 % des 15-29 ans sont équipés d’un smartphone contre 36 % des plus de 75 7 % de la population n’a ni smartphone ni connexion Internet à domicile.
  • Une personne sur cinq filtre ou refuse systématiquement les Le taux de filtrage ou de refus systématique des appels est de 32 % pour les plus de 75 ans.

Les enquêtes de l’Insee

L’Insee consacre des moyens importants pour obtenir des estimations fiables et précises de ses indicateurs. Les données sont obtenues soit par des enquêtes à grande échelle auprès des ménages et des entreprises, soit via le recueil de données administratives. Les enquêtes annuelles, comme celle sur les TIC, permettent d’observer l’évolution des comportements économiques et sociaux des ménages et des individus.

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Sunday, March 27, 2022

VIDEO. Téléassistance : pourquoi cette innovation technologique permet de veiller sur les personnes vulnérables - Nouvelle-Calédonie la 1ère - Outre-mer la 1ère

L’internet des objets gagne du terrain y compris en Nouvelle-Calédonie. Une innovation technologique qui permet de développer des solutions d’assistance numérique efficaces notamment pour garantir la sécurité des personnes vulnérables.

Les prémisses de la téléassistance remontent aux années 1970. Le but était alors de permettre le maintien à domicile des personnes âgées ou handicapées, grâce à un système d’alerte. Aujourd’hui, cette technologie ambitionne d’évoluer en se penchant vers l’équipement d’habitations grâce à des capteurs capables de détecter d’autres comportements.

Nutrition, sommeil, temps d’inactivité quotidienne, errances de nuit sont autant de fonctions qui permettraient peu à peu de passer vers un modèle prédictif. Pour cela, la téléassistance à domicile ferait équipe avec les derniers progrès effectués par l’internet des objets et le développement des "smart home" - les habitations intelligentes.

De nombreux capteurs, actionneurs ou modules de communication, installés dans nos domiciles et reliés à internet, pourront ainsi aider les personnes âgées, malades ou dépendantes dans leurs routines quotidiennes, en surveillant en continue – et à moindre coût - leurs constantes physiologiques pour détecter de possibles dégradations de leur état de santé. 

Sur le Caillou, les dispositifs connectés de téléassistance se répandent. La ville de Dumbéa à travers son ambition de devenir une "smart city" à la calédonienne, en est probablement le meilleur exemple.

A noter cependant que les problématiques de sécurité freinent pour le moment le déploiement de ces technologies dans nos lieux de vie. La sécurité des objets et des réseaux utilisés constituent donc le prochain grand défi de la téléassistance numérique. 

Chaque semaine, votre programme Caledinno vous propose d'aller plus loin avec cet article. 

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Comment les nouvelles technologies peuvent révolutionner la médecine - Brut.

Laurent d.
5 heures

Le diagnostic en deux clics, je pense que nous avons pu en avoir une démonstration pendant les périodes de confinement et au-delà. C'est OK quand il s'agit de renouveler une ordonnance ou de demander un check-up, pour le reste, il me semble que relever le numerus clausus et aider les médecins à s'implanter dans les déserts médicaux serait plus efficace... L'exemple d'une préparation pour un Marathon est particulièrement mauvais. Je mets au défi n'importe quel médecin de conseiller un sportif sur sa préparation sans jamais le rencontrer, peu importe la quantité de "data" qu'il aura à sa disposition. Certes, ça fait moins Startup Naïcheune mais si les professions de la Santé ne nécessitent pas un contact humain, je ne sais pas quelles professions le nécessitent... C'est le même type de raisonnement borné et erroné qui fait croire à certains que les nouvelles technologies vont révolutionner l'enseignement... Ça n'arrivera pas car enseigner, ce n'est pas seulement faire passer un savoir d'un humain vers d'autres, c'est d'abord et avant tout donner l'envie et le plaisir d'apprendre et ça, ça ne peut passer que par les rapports humains directs.

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PARIS : Décrypter les nouvelles technologies à saisir pour les TPE- PME » La lettre économique et politique de PACA - Presse Agence

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Impact PME, la journée nationale de la CPME coorganisée avec BFM Business, va décrypter les nouvelles technologies à saisir pour les TPE- PME, le 7 juin 2022 au Carreau du Temple, à Paris.

Cette édition va décrypter les nouvelles technologies à saisir pour les TPE- PME : blockchain, NFT, metavers, crypto monnaies… Elle permettra aussi de recueillir des solutions en matière de fidélisation des salariés, cybersécurité, export, financement, RSE, transition écologique… A travers une plénière, 15 ateliers et conférences.

La rédaction de BFM Business sera délocalisée au Carreau du Temple pour cette journée exceptionnelle retransmise à la TV/radio et en digital.

Pour s’inscrire

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Saturday, March 26, 2022

Nouvelles technologies - Une intelligence artificielle championne du monde de bridge - RFI

Publié le :

Durant deux jours, huit champions du monde de bridge ont affronté une intelligence artificielle de nouvelle génération mis au point par une jeune pousse française. Ce jeu de cartes qui se base sur la collaboration entre tous les participants lors d’une partie résistait encore à la sagacité des programmes IA (Intelligence artificielle). Cette rencontre vient de démontrer qu’une machine est désormais capable de rivaliser avec l’intelligence collective et collaborative des êtres humains.

Une partie de bridge réunit quatre joueurs qui sont répartis en deux équipes adverses. Avant que quiconque ne joue une carte, les participants enchérissent à tour de rôle sur un « contrat ». Cette enchère indique à votre partenaire la stratégie que vous avez décidée pour gagner un certain nombre de plis.

Si ces informations sont connues de tous les joueurs, elles restent toutefois incomplètes, contrairement aux échecs, par exemple, où les coups des compétiteurs sont constamment visibles. Les programmes d’intelligence artificielle étaient, jusqu’à présent, bien incapables de décrypter cette communication non verbale pour pouvoir remporter le moindre tournoi de bridge.

Mais cette semaine huit champions du monde de ce jeu de cartes ont affronté une intelligence artificielle de nouvelle génération mise au point par la jeune pousse française NukkAI.

Collaborer de façon optimale avec les humains

L’objectif de cette confrontation n’était pas forcément que la machine remporte la victoire, ce qui a été au passage le cas, mais de mettre à l’épreuve un programme intelligent capable d’interagir de manière constante avec des humains tout en expliquant ses choix et ses décisions, nous précise Jean-Baptiste Fantun, cofondateur de la jeune pousse NukkAI. 

« C’est une IA de type explicable, car notre approche n’était pas de travailler sur une boîte noire numérique, c’est-à-dire que nous pouvons produire des recommandations d’utilisation et des explications concernant les résultats générés par ce programme. Notre intelligence artificielle ne vise pas à remplacer les humains, mais à collaborer de façon optimale avec eux. Et enfin cette IA a été conçue de manière à ce qu’elle soit le moins énergivore possible », dit-il.

Puis il ajoute : « Pour faire la démonstration des performances du programme, nous avons choisi le bridge qui est le jeu se rapprochant le plus des applications de cette IA dans la vie réelle. Les joueurs doivent prendre des décisions en essayant de deviner, d’après les actions des adversaires et de son partenaire, comment sont réparties les cartes. Et comme dans une partie de bridge, personne dans la vie réelle ne prend de décision en possédant la totalité des données pour résoudre un problème. »

Une intelligence artificielle à vocation d’accompagnement

« Ce jeu de cartes était idéal pour tester notre programme qui permet à la fois une confrontation entre des adversaires et une collaboration entre tous les participants, notamment en début de partie quand chaque joueur doit délivrer des informations à son partenaire, mais aussi les expliquer à la partie adverse. Une situation est très proche de la réalité à laquelle les IA sont souvent confrontées pour suggérer la meilleure prise de décision possible sans avoir toutes les données d’un problème. Le programme d’intelligence artificielle que nous avons conçu sera très utile à tous les domaines critiques dans lesquels pour des raisons de responsabilité ou d’éthique, l’humain doit toujours garder le contrôle sur les décisions de la machine. Le déploiement d’une IA véritablement collaborative dans des secteurs sensibles est pour nous primordial », assure-t-il.

Cette IA a été conçue pour des applications concrètes dépassant largement le cadre des compétitions de bridge. Ce programme capable de communiquer et de collaborer avec ses partenaires biologiques a pour vocation d’accompagner des secteurs tels que l’éducation, l’industrie, l’aviation, la défense, la finance ou encore la médecine. Et toutes les activités qui nécessitent des prises de décisions menées de façon collégiale et concertée, entre des humains et des machines.

Vous avez des questions ou des suggestions, vous pouvez nous écrire à nouvelles.technologies@rfi.fr  

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Friday, March 25, 2022

NanoTemper Technologies lance Spectral Shift, une technologie révolutionnaire qui change la donne en matière de sélection d'affinités - LeLézard.com

Classé dans : Science et technologie, Santé
Sujets : Photo/Multimedia, Product/Service

NanoTemper Technologies a annoncé aujourd'hui le lancement de la technologie Spectral Shift dans son instrument Dianthus, conçu pour gérer les sélections d'affinités les plus complexes dans le cadre de la découverte de médicaments. Cette technologie révolutionnaire supprime les obstacles que rencontrent les scientifiques qui gèrent des interactions moléculaires véritablement complexes, souvent constatées dans les médicaments et cibles médicamenteuses complexes, tels que les chimères ciblant la protéolyse (PROTAC), les protéines intrinsèquement désordonnées (PID) ou les bibliothèques de fragments.

Les capacités des scientifiques sont limitées dans la mesure où les méthodes de sélection traditionnelles telles que la SPR ou l'ITC ne sont pas en mesure de gérer ces interactions moléculaires difficiles, ou offrent au mieux des données de très mauvaise qualité. Par conséquent, les scientifiques finissent par prendre des décisions avec beaucoup d'incertitude, dans la mesure où les conclusions n'indiquent pas clairement les meilleurs résultats. Ou alors, ils passent trop de temps sur le développement de longs tests afin de caractériser des interactions délicates, telles que les complexes ternaires et les interactions binaires avec ligands covalents.

« La technologie Spectral Shift permet de révolutionner cela », commente Amit Gupta, responsable des produits chez NanoTemper. « Elle permet non seulement d'effectuer des mesures très précises qui génèrent des données de haute qualité pour l'identification des résultats ou l'optimisation des pistes, mais elle ne nécessite qu'un développement de tests minime ou nul. » Il s'agit de gains considérables pour les scientifiques qui travaillent avec des cibles sans intérêt thérapeutique, telles que les KRAS ou les STAT3. Le fait de connaître enfin un succès accru dans le cadre des campagnes de sélection, et de se sentir confiant quant à l'obtention de résultats fiables, est un grand soulagement.

« Chez NanoTemper, nous entendons créer un monde dans lequel chaque maladie est traitable, c'est pourquoi il est important de créer des outils biophysiques aussi rapidement que possible, afin que les scientifiques puissent gérer leurs caractérisations les plus complexes », déclare Philipp Baaske, cofondateur et PDG de NanoTemper. « Nous l'avons mise entre les mains d'importantes sociétés biopharmaceutiques, et l'adoption précoce de Spectral Shift dans Dianthus a été plus rapide que nous l'imaginions ? elle a confirmé l'impact que nous pensions qu'elle aurait sur le secteur. »

Découvrez par vous-même Spectral Shift et Dianthus ; rendez-vous sur nanotempertech.com/dianthus.

À propos de NanoTemper Technologies

Chez NanoTemper Technologies, notre mission consiste à créer des outils biophysiques destinés aux scientifiques des secteurs de la découverte et du développement de médicaments, qui doivent gérer des caractérisations complexes. Nous sommes passionnés par le fait de travailler aux côtés de scientifiques qui s'efforcent de faire bouger les choses. Si vous rencontrez des difficultés en matière de sélection d'affinités, d'interactions moléculaires, de stabilité des protéines, d'expression des protéines, ou de qualité des protéines, parlons-en.

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.


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Communiqué envoyé le 24 mars 2022 à 13:35 et diffusé par :

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Thursday, March 24, 2022

Ces quatre technologies pourraient nous conduire jusqu'à une forme de vie extraterrestre | Slate.fr - Slate.fr

Temps de lecture : 2 min

Selon certains scientifiques, rechercher des technologies aliennes est un moyen de découvrir une espèce étrangère à la Terre.

Si une technologie comme les voiles solaires était découverte, elle prouverait l'existence d'une vie extraterrestre. | Albert Antony via Unsplash
Si une technologie comme les voiles solaires était découverte, elle prouverait l'existence d'une vie extraterrestre. | Albert Antony via Unsplash

Le projet Galileo s'est donné pour mission d'explorer notre système solaire à la recherche d'indices qui prouveraient l'existence d'une vie extraterrestre. Le postulat: si la recherche biologique de vie ne donne rien, pourquoi ne pas chercher des traces de civilisation, donc des technologies avancées? Science Focus s'est intéressé à cette idée originale, et a décrit quatre de ces technologies.

Des mégastructures

Tout comme les humains, une civilisation avancée d'extraterrestres devrait avoir des besoins en énergie, et tout comme nous, ils pourraient venir à en manquer. En 1960, le physicien anglo-américain Freeman Dyson avait avancé l'hypothèse suivante pour pallier ce problème: au bout d'une longue période d'existence, les extraterrestres voudront utiliser l'énergie exploitable de leur étoile mère. Il avait alors imaginé ce que l'on surnomme la «coquille de Dyson», une sphère construite autour de leur soleil pour enfermer l'énergie et fournir un espace de vie.

La sphère de Dyson est en réalité irréalisable, mais des variantes constituées par exemple d'une vaste constellation de satellites pourraient avoir la même fonction. De telles structures pourraient être détectées grâce aux lois de la thermodynamique, et aux variations de lumière des étoiles avoisinantes.

Des produits chimiques industriels

Les humains rejettent sans arrêt des produits polluants dans l'espace: une civilisation extraterrestre pourrait faire de même. Ces produits seraient non seulement détectables, mais aussi nécessairement liés à une forme d'intelligence.

Pour l'astrophysicien Avi Loeb, chef du projet Galileo, il faut chercher en priorité des traces de tétrafluorométhane et de trichlorofluorométhane, qui sont faciles à détecter.

Des voiles solaires

Tout comme les humains, si des civilisations d'extraterrestres cherchent à traverser l'espace interplanétaire, elles auront besoin d'être propulsées. Les voiles solaires sont des technologies utilisant la puissance de la lumière d'une étoile pour avancer, et ont été conceptualisées par Robert Forward en 1984.

Le projet Breakthrough Starshot, lancé début 2016, a pour objectif de reprendre ce concept pour envoyer des sondes d'un gramme seulement vers le système stellaire Alpha du Centaure. Si une telle activité est détectée dans l'espace et qu'elle ne part pas de chez nous, nul doute qu'elle proviendrait d'une espèce étrangère à la Terre.

Des transports utilisant les trous de ver

Cette expression désigne un objet hypothétique qui relierait deux régions de l'espace-temps entre un trou noir et un trou blanc. Selon l'équipe de recherche du projet, une civilisation suffisamment avancée pourrait être capable de manipuler cette technologie et de traverser une galaxie en un instant. Si les extraterrestres avaient ouvert un réseau de trous de ver, il serait détectable grâce à des microlentilles gravitationnelles.

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Avec ce nouveau projet ambitieux, la chasse aux technologies extraterrestres est désormais ouverte.

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Wednesday, March 23, 2022

« Energypark Haringvliet » : centrale combinant les technologies éoliennes et solaires couplées à (...) - Témoignages.re

Situé à 20 kilomètres au sud de Rotterdam, l’Energypark Haringvliet comprend 6 éoliennes, 115 000 panneaux photovoltaïques, et un stockage de 12 conteneurs de batteries. Ces trois technologies partagent la même connexion au réseau. Le parc a une capacité de production annuelle d’électricité de 140 GWh, l’équivalent de la consommation de 40 000 foyers hollandais.

L’association de l’énergie éolienne et solaire pendant les différentes saisons et leur partage de la même connexion au réseau, permet de lisser la production d’électricité tout au long de l’année. Les batteries quant à elles maintiennent l’équilibre. En outre, la mutualisation des câbles de raccordement à la sous-station économise du temps et réduit les coûts de maintenance et les impacts sur l’environnement.

« Pour atteindre nos objectifs climatiques, nous devons accélérer la transition énergétique. L’Energypark Haringvliet est un excellent exemple de l’utilisation la plus efficace possible des ressources disponibles. En effet, il combine l’énergie éolienne, l’énergie solaire et les batteries de telle sorte que, sur une année, nous fournissons une énergie plus durable, à moindre coût. Et en même temps, l’impact sur l’environnement, le réseau et l’environnement est le plus faible possible. » a déclaré Sandra Grauers Nilsson, responsable de la Business Unit Onshore Wind de Vattenfall.

« L’ouverture de Haringvliet est une grande étape pour les activités éoliennes et solaires de Vattenfall. C’est la preuve de notre compétence à développer et à construire des projets de technologies croisées en Europe. » a ajouté Claus Wattendrup, responsable de l’activité solaire de Vattenfall.

Vattenfall, créé en 1909 et détenu à 100 % par l’État suédois, est l’un des plus grands producteurs et fournisseurs d’électricité, de gaz et de chaleur en Europe. Implanté dans 7 pays européens (Allemagne, Danemark, Finlande, France, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède), Vattenfall rassemble environ 14 millions de clients et près de 20 000 collaborateurs.

Vattenfall s’est donné pour mission de contribuer à une vie sans énergie fossile d’ici une génération. Pour y parvenir, le groupe concentre l’ensemble de ses nouveaux investissements de production dans les énergies renouvelables, soit plus d’1 milliard d’euros par an. Aujourd’hui, Vattenfall est notamment l’un des leaders mondiaux de l’éolien en mer, avec 12 parcs en exploitation dans 5 pays en Europe et plus de 5 GW en développement.

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...