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Tuesday, May 31, 2022

Median Technologies élargit son portefeuille de services avec Imaging Lab - Boursier.com

Median Technologies élargit son portefeuille de services avec Imaging Lab
Crédit photo © Reuters

(Boursier.com) — Median Technologies annonce aujourd'hui que la société élargit son portefeuille de services avec Imaging Lab, une nouvelle entité dont la mission est de mettre à profit les technologies de l'IA, de l'exploration des données (Data Mining) et les radiomics pour exploiter les données d'imagerie des essais cliniques en oncologie.
La création d'Imaging Lab matérialise la convergence entre les activités de iCRO, pour la gestion des images dans le développement de nouveaux médicaments en oncologie et celles de iBiopsy, pour la mise au point de logiciels dispositifs médicaux ciblant le diagnostic précoce des cancers, en particulier à ce jour, le cancer du poumon.

"Nous voyons se dessiner un changement de paradigme, qui consiste, pour les laboratoires pharmaceutiques, à développer de plus en plus de nouveaux candidats médicaments ciblant des patients atteints de cancers en stade précoce", précise Fredrik Brag, CEO et fondateur de Median Technologies. "La synergie entre nos activités iCRO et iBiopsy est parfaite pour répondre à ce changement : iBiopsy(R) développe des logiciels dispositifs médicaux intégrant les technologies de l'IA, qui permettent de diagnostiquer des pathologies en stade très précoce, lorsque les malades sont encore asymptomatiques. En parallèle, iCRO a une grande connaissance du traitement de l'image et de sa gestion dans les essais cliniques. La fertilisation croisée de nos deux activités va permettre d'exploiter de façon inégalée les données d'imagerie, en conjonction avec les autres informations cliniques et de proposer aux sociétés biopharmaceutiques des outils pour les décisions de Go/NoGo dans les essais", ajoute Fredrik Brag.

Concrètement, Imaging Lab va apporter de nouvelles réponses sur quatre axes conditionnant le succès des essais cliniques : la sélection des patients inclus dans les essais, notamment avec l'inclusion de patients diagnostiqués à des stades précoces des maladies grâce aux technologies de l'IA, la prédiction de la réponse à la thérapie, la mesure de la progression de la maladie et l'évaluation de la sécurité des candidats médicaments. Le but est d'optimiser le plan de développement clinique des candidats médicaments, en facilitant notamment les décisions de Go/No-Go afin d'augmenter le taux de succès des essais cliniques. Ce taux est particulièrement faible en oncologie, générant un coût moyen de développement de 2,8 milliards de dollars pour la mise sur le marché d'une nouvelle molécule, contre en moyenne 1 milliard de dollars par nouvelle molécule mise sur le marché pour les autres aires thérapeutiques.

"En nous basant sur notre expérience de la gestion des images dans les essais cliniques, nous constatons que les données des essais sont très largement sous-exploitées. Nous pouvons extraire beaucoup plus d'informations des images via l'utilisation massive du Data Mining, de l'IA et des radiomics et, avec ces technologies, aider au mieux nos clients et partenaires biopharmaceutiques dans leurs développements cliniques", indique Nicolas Dano, COO iCRO de Median Technologies.

L'équipe Imaging Lab sera présente à la conférence annuelle de l'ASCO à Chicago du 4 au 6 juin (dates de l'exposition industrielle) sur le stand 2098 Hall d'exposition A, pour rencontrer la communauté pharmaceutique.

©2022

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Airbus lance un centre pour les technologies hydrogènes en Grande-Bretagne - AeroBuzz.fr

Airbus annonce développer un "centre de développement zéro émission" à Filton, en Grande-Bretagne. Dédié aux technologies hydrogènes, le centre britannique, parmi trois autre en Europe, accompagnera le développement du programme ZEROe d'avions zéro émission. Le premier réservoir devrait être testé en 2023.

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V Rising : la Recherche, comment débloquer toutes les technologies ! - jeuxvideo.com

News astuce V Rising : la Recherche, comment débloquer toutes les technologies !

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Dans V Rising, vous débloquez tout un tas de nouvelles recettes afin de pouvoir améliorer votre personnage et son château. Bien que traquer des boss représente une majeur partie de cette mécanique, la recherche vous accompagnera tout du long pour trouver encore plus de crafts. Retrouvez dans ce guide toutes nos astuces sur comment fonctionne la recherche et qu'est-ce qu'elle déverrouille.

Sommaire

  • La recherche
    • Comment déverrouiller de nouvelles technologies
    • Les différents établis et comment les débloquer
    • Technologies importantes
    • Recherches aléatoires et Presse à papier

La recherche

Si vous vous demandez quelles sont les différentes recette à déverrouiler, retrouvez ici Notre liste complète des technologies à débloquer.

Très vite, vous allez débloquer de nouvelles structures pour votre château vous permettant de faire de la recherche et de déverrouiller de nouvelles technologies. En l'utilisant, vous remarquerez de nombreuses cases marquées d'un point d'interrogation. Ce sont les technologies qu'il vous reste à trouver. Cela peut être de l'équipement, des décorations, des structures, etc. Il existe deux moyens de débloquer ces nouvelles technologies :

  • Les grimoires : Ce sont des livres avec la catégorie Savoir. Chaque livre déverrouille une seule technologie. Il vous suffit d'avoir le grimoire dans votre inventaire et d'aller à la bonne station de recherche pour le débloquer. C'est précisé en description du livre. La nouvelle technologie aura un trait jaune tournoyant autour de l'icône. Vous pouvez obtenir des grimoires en ouvrant des coffres, en tuant des ennemis, etc. Vous ne pouvez pas les fabriquer vous-même.
  • Technologie aléatoire : En fonction de la structure de recherche utilisée, vous pouvez dépenser certaines ressources(Papier, Parchemin ou Plan) pour dévoiler une technologie de manière aléatoire. Disposez du nombre nécessaire de ces ressources dans votre inventaire et cliquez simplement sur le bouton Découverte dans l'atelier de recherche. N'oubliez pas d'apprendre ensuite la nouvelle technologie en cliquant dessus. Nous reviendrons plus bas sur la manière de farm ces ressources.

Amenez ce livre à l'Athenaeum pour débloquer un nouveau bijou.

V Rising : la Recherche, comment débloquer toutes les technologies !

Il existe trois établis de recherche différents et chacun dispose de sa propre liste de technologie. Voici leur liste et la manière de les obtenir :

  • Bureau de recherche : Vous l'obtenez lors de la mission de départ pendant la construction de votre château. Utilisez du papier pour obtenir une technologie aléatoire.
  • Bureau : Affrontez Nicholaus le déchu (niveau 37) pour obtenir cette structure. Utilisez des parchemins pour obtenir une technologie aléatoire.
  • Athenaeum : Remportez la victoire sur Raziel le berger (niveau 60) afin de débloquer cet établi. Utilisez des plans pour obtenir une technologie aléatoire.

Cette salle contient tout le nécessaire pour une recherche efficace.

V Rising : la Recherche, comment débloquer toutes les technologies !

Technologies importantes

Outre les différentes structures cosmétiques et les espaces de rangement, la recherche permet d'améliorer grandement votre équipement mais aussi l'efficacité de vos établis. En effet, ce n'est que comme cela que vous pourrez débloquer le stuff de tier X.5. C'est-à-dire un tier entre celui que vous portez actuellement et celui d'au-dessus. L'armure disposera en plus de bonus de set. Les différents sols à rechercher permettront quant à eux d'améliorer l'efficacité de vos différents établis de fabrication. Les technologies sont très importantes pour avancer convenablement dans V Rising.

Retrouvez Notre liste complète des technologies à débloquer.

Le bonus de ce set recherché vous aidera dans votre aventure.

V Rising : la Recherche, comment débloquer toutes les technologies !

Recherches aléatoires et Presse à papier

Dans un premier temps, vous n'aurez d'autres choix que de vous rendre dans les zones indiquant qu'elles contiennent tel ou tel type de ressources pour la recherche. Ouvrez votre carte et jetez un œil aux lieux importants pour préciser votre recherche. Par exemple, les Camps de bandits offrent beaucoup de papier, les Camps de la milice plutôt des Parchemins et enfin les Avant-postes de l'armée, des Plans.

Il existe malgré tout un moyen bien plus simple d'obtenir ces ressources, les fabriquer vous-même. Afin d'en avoir la possibilité, vous devez dans un premier temps vaincre Nicholaus le déchu (niveau 37) et fabriquer le Bureau qu'il laisse en récompense. Une fois fait, il vous faudra de la chance. Que ce soit avec un grimoire ou une découverte aléatoire, vous pouvez débloquer la Presse à papier. Ce processus peut parfois être long, mais le jeu en vaut la chandelle. Vous serez en mesure de fabriquer vous-même les différents Papiers, Parchemins et Plans afin d'accélérer grandement vos recherches et de débloquer du bien meilleur équipement.

Voici les différentes recettes de recherche et comment les obtenir :

  • Papier : Est directement débloqué. Se fabrique avec de la fibre végétale et de la sciure.
  • Parchemin : Se débloque en tuant Gueule-Givre (Niveau 56). Se fabrique avec de la poudre de gemme(différentes gemmes dans un Broyeur) et u papier.
  • Plan : Se débloque en tuant Makta (Niveau 72). Se fabrique avec du Parchemin, du minerai d'argent et du Spectral Dust (Poudre de gemme plus Cristal fantôme dans un Broyeur).

Cette presse à papier ravira votre soif de connaissance !

V Rising : la Recherche, comment débloquer toutes les technologies !
Sommaire de la solution complète de V Rising

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Votez pour les septièmes Trophées de la simulation et des technologies numériques 2022 - L'Usine Nouvelle

Pour la septième année consécutive, Industrie & Technologies, L’Usine Nouvelle et Teratec organisent les Trophées de la simulation numérique et des technologies numériques. Objectif : récompenser les projets de la simulation numérique, HPC (High performance computing) et IA. Et ce, dans trois catégories : Start-up, Innovation et Co-design. Pour voter, rendez-vous en bas de cette page. Les votes sont ouverts jusqu'au 9 juin à minuit.

Catégorie Start-up

Ce trophée est attribué à une start-up (immatriculée depuis moins de 5 ans à la date d’ouverture des candidatures) qui s’est particulièrement illustrée par son innovation dans la simulation numérique, le HPC/HPDA, l’Intelligence artificielle et le calcul quantique.

Les projets nommés :

  • ALTRANSINNOV pour le projet TRANSLOCATOR d'inspection autonome des réseaux électriques.

La start-up Altrans propose des solutions d'inspection automatique des réseaux câblés. Son innovation est constituée par des capteurs distribués et formant un réseau d’intelligence artificielle (IA) pour la détection des précurseurs des défauts dans les câbles. L'approche IA repose sur des algorithmes quantiques permettant de caractériser finement ces précurseurs.

Le projet d’innovation est structuré sur trois phases. La première vise à réaliser un logiciel d’intelligence artificielle (IA) distribué pour l’identification automatique et contextuelle des sources de défauts naissants. Ce brevet sera ensuite intégré dans le produit de surveillance autonome dédié à la haute et moyenne tension (TransElec HT/MT v2.0), prévu au début du premier semestre 2023. La deuxième phase de R&I vise à réaliser, via la définition des algorithmes quantiques en cours de développement, du produit de sensing avec un seul point et qui fonctionne sur le principe actif : une forme d’onde spéciale est émise depuis une extrémité du câble et elle va interagir, au niveau quantique, avec les sources de défauts. La caractérisation quantique de ces interactions ondes-défauts permettra de localiser et de surveiller l’évolution des défauts. La troisième phase de R&I repose sur la poursuite des expérimentations des systèmes pilotes en cours d’exploitation sur des réseaux réels en collaboration avec trois partenaires : ENEDIS, EDF, Shanghai Electric. L’objectif de cette phase est de finaliser les cycles d’adoption, ce qui est prévu pour la fin de l’année 2022.

  • DiAgRAMS pour le projet DiagRAMS Technologies

DiagRAMS Technologies propose un logiciel de maintenance prédictive. Issue de plusieurs années de R&D chez Inria (l’institut national de recherche en sciences du numérique), la solution DiagRAMS apporte une rupture technologique en IA industrielle permettant de relever les challenges liés à la détection d’anomalies, au diagnostic de dysfonctionnements et à la prédiction de pannes sur tous les équipements industriels. DiagRAMS permets aux industriels d’exploiter et de valoriser les données déjà présentes dans l’usine. Grâce à son innovation, il devient possible d’analyser les données de production et de maintenance jusqu’ici sous-exploitées pour suivre les conditions réelles d’utilisation des équipements sans ajouter de nouveaux capteurs dédiés à la maintenance.

  • SIPEARL pour le projet RHEA

Les supercalculateurs sont indispensables pour relever des défis scientifiques, environnementaux et sociétaux stratégiques : intelligence artificielle, santé, météo, modélisation climatique, gestion de l'énergie, ingénierie, défense... Mais, l'Europe est en retard pour les équipements de supercalcul : elle utilise un tiers des ressources mondiales et n'en produit que 5%. Pire, 100% des microprocesseurs qui sont le coeur de ses supercalculateurs sont non-européens. Cette dépendance a de graves répercussions sur notre propriété intellectuelle, notre sécurité et, donc, notre souveraineté. Pour y pallier, l'Union Européenne a investi afin de s'équiper de supercalculateurs d'envergure mondiale et de microprocesseurs haut de gamme conçus en Europe. SiPearl est la société indépendante française issue de cette volonté. Son produit, Rhea, sera le premier microprocesseur au monde spécialisé dans le supercalcul. Il permettra aux supercalculateurs européens de réaliser 1 milliard de milliards de calcul par seconde en consommant 2 fois moins d’énergie à puissance égale avec une sécurité sans faille. En traitant en une fraction de seconde des volumes colossaux de données sensibles, Rhea contribuera à faire progresser en Europe la recherche contre le cancer, la prévision des inondations ou le développement de véhicules plus sûrs afin d'améliorer la vie quotidienne de tous. Depuis son lancement en janvier 2020, la conception de Rhea a permis d'embaucher 103 personnes.

Catégorie innovation

Ce trophée est attribué à un produit, une technologie ou un service développé par une entreprise technologique, qui apporte une innovation significative dans le domaine de la simulation numérique ou de l’analyse de données.

Les projets nommés :

  • CERFACS-SAFRAN AIRCRAF ENGINES pour le projet Etude numérique par méthode “Particle-In-Cell” de moteur à effet Hall pour la propulsion spatiale à l’aide de maillages non structurés.

En quelques décennies, l’espace a pris une importance cruciale dans notre société moderne. Avec le déploiement de méga-constellations de satellites, leur nombre va considérablement augmenter. Ces satellites seront principalement équipés de systèmes de propulsion électrique, et surtout de propulseurs de Hall. Cependant les processus gouvernant la physique des plasmas au sein des propulseurs de Hall restent mal compris, ce qui force les industriels à réaliser de coûteuses campagnes expérimentales pour certifier le produit fini. Pour pallier cette difficulté, la simulation numérique par méthode de Particle-In-Cell (PIC), adaptée à la physique de ce type de plasmas, est un outil précieux. Elle permet de décrire des effets cinétiques spécifiques à ces plasmas et qui ne peuvent être représentés avec précision par des méthodes fluides. Du fait du coût des simulations PIC et des phénomènes complexes en jeu, les codes existants dans la littérature restent limités à des configurations académiques discrétisées sur des maillages structurés. Pour surmonter ces défis, le code AVIP PIC est développé au CERFACS avec l’objectif de disposer d’un outil prédictif capable de modéliser des configurations industrielles. Pour ce faire, AVIP PIC utilise des maillages non structurés, ce qu’aucun autre code de la communauté ne peut faire actuellement. Cette innovation est un travail de longue haleine qui est rendu possible grâce au soutien de l’industriel Safran au sein de la chaire ANR POSEIDON.

  • NAUPACTE pour le projet NAVPACTOS

Navpactos est une bibliothèque C++ constituant un langage et une boîte à outils pour la modélisation et l'exécution des calculs de simulation numérique. Il unifie et simplifie la description des calculs, connaît les éléments finis, les maillages et les matrices creuses, les fonctions et les champs; il construit et optimise « à l’exécution » les chaînes de calcul correspondantes et sait les dériver. Pour parvenir à ce résultat, Naupacte a conçu une expression tensorielle dont la richesse des opérateurs permet de procéder aux analyses formelles nécessaires aux contrôles, à l’optimisation, à la dérivation, pour fournir l’indispensable « calculateur virtuel ». Sa richesse fait du tenseur, associé à la performance de son calculateur, un objet communicable à tous les niveaux supérieurs de la boîte à outils pour assurer l’unité des programmes et leur simplicité par masquage des calculs. Ergonomie et puissance de développement, fiabilité, performance et maintenabilité du code résultant sont les atouts donnés à l’ambition des concepteurs comme à l’optimisation des compétences personnelles et des ressources matérielles. Sa phase de commercialisation commence, le produit basé sur plus de 3000 règles algébriques ayant été longuement testé par des dizaines de milliers de tests unitaires pour les tenseurs, et des centaines de cas applicatifs.

  • SITOWIE pour le projet PREDIBAT GREEN

Sitowie propose aux gestionnaires de parcs immobiliers « Predibat », un logiciel de maintenance prédictive de bâtiment en SaaS pour optimiser leurs programmes de travaux. Les premiers modules incluent les modèles de dégradations des matériaux, ainsi que la génération automatique partielle des maquettes numériques. « Predibat Green » permettra de coupler la force prédictive des modèles physiques déjà créés avec les performances énergétiques du bâti et autres impacts environnementaux. Cette fonctionnalité permet de coupler des modèles de vieillissement de matériaux avec la performance énergétique du bâtiment, la prévision de l’impact des stratégies futures de maintenances sur celle-ci, mais aussi les aspects de confort des occupants notamment par la prise en compte des risques climatiques. Le projet Prédibat Green a pour ambition de fournir aux exploitants d’actifs immobiliers une solution leur permettant de connaître précisément le futur des bâtiments pour concilier optimisation de la performance énergétique et optimisation budgétaire, d’en connaître l’impact carbone et comment cela contribue à la résilience vis-à-vis du changement climatique. Dans un contexte règlementaire qui se durcit (Plan Climat, Décret tertiaire, Taxonomie européenne...), il devient primordial d’aider les acteurs du secteur à rationnaliser leur programmation de travaux pour les aider à atteindre les objectifs fixés par la loi.

Catégorie co-design

Ce trophée est attribué à un binôme (ou un groupement) associant une grande entreprise (au moins 5000 salariés et/ou plus de 1,5 milliard d'euros de chiffre d’affaires) et une PME (moins de 250 personnes et un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d'euros) ou une entreprise et un laboratoire ou centre de recherches ayant collaboré sur un projet lié à la simulation numérique, du HPC/HPDA, de l’Intelligence artificielle et du calcul quantique, que ce soit au stade de la recherche, du développement ou de la mise en œuvre.

Les projets nommés :

  • DASSAULT SYSTEMES et Airbus DS GEO pour le projet Jumeau Virtuel de la Terre

Dans le cadre du Plan de relance voulu par l'Etat français, Airbus et Dassault Systemes se sont rapprochés pour créer un partenariat afin de développer de nouveaux services basés sur l'acquisition satellitaire et la simulation 3D dans des environnements réels et de grandes échelles, le jumeau virtuel de la Terre. Airbus Defense & Space leader du relevé satellitaire fournit les modèles 2D et/ou 3D. Ces modèles représentent la surface terrestre, les bâtiments, les infrastructures, la canopée. A partir de ceux-ci, Dassault systèmes préparera des modèles de simulations dans différents domaines d'applications, pour différents types d'industries ou organisations étatiques, régionales…. Les domaines d’applications sont l'aérodynamisme, l'aéroacoustique, le management thermique, l'électromagnétisme. Cette liste de domaines n'est pas exhaustive. A partir de ces simulations il sera possible de proposer de nouveau services qui auront pour objectifs d'évaluer des risques, d'aider au développement de nouvelles infrastructures en environnement et situations réelles, d'améliorer des infrastructures/produits existants en environnement et situations réelles, d'améliorer les conditions de vie de nos concitoyens en limitant par exemple l'impact des ondes électromagnétiques, des nuisances sonores, des montées des eaux, de sauvegarder la santé de nos concitoyens en prévenant les risques de dispersions de polluants, d'agents pathogènes, d'agents radioactifs...

  • OKTAL Synthetic Environment et NUMALIS pour le projet Trustworthy sensor simulation for Ai

Le but du projet est de développer une méthode itérative de génération de dataset ex nihilo, en exploitant des outils de simulation capteurs à haut niveau de représentativité physique, et des outils d'analyse d'explicabilité et de robustesse. Les travaux proposés viseront à évaluer le niveau de confiance que l’on peut attribuer à des données synthétiques lors de leur utilisation pour faire l’apprentissage d’un réseau de neurones. Pour cela, les sociétés OKTAL-SE et NUMALIS mettront à contribution leurs outils : Les outils de simulation physique d'OKTAL-SE, pour générer différents types de données capteurs (LiDAR, caméra visible et IR, RADAR, GNSS), et propose de fournir des données à différents niveaux de la chaîne de traitement ; les outils d'analyse de Numalis, pour la mesure de robustesse et l’explicabilité de leurs décisions. Ce projet innovant permet de lever deux verrous scientifiques majeurs, liés à l'intelligence artificielle : celui du manque de données d’entraînement dans des contextes de frugalité, et celui des problématiques d'explicabilité des résultats.

  • IRT SYSTEM X et RTE pour le projet HSA (Hybridation Simulation Apprentissage)

Le projet HSA (Hybridation Simulation Apprentissage) a pour objectif de concevoir de nouvelles approches basées sur l'IA dans le but d’hybrider les simulations physiques classiques du monde industriel. Cette hybridation a pour but d’améliorer le compromis qualité/coût des simulations numériques pour un usage donné afin d’améliorer les décisions prises lors de la conception et du pilotage des systèmes physiques complexes. Durant les dernières décennies, la simulation numérique s'est positionnée comme un outil incontournable pour la conception et le pilotage des systèmes physiques complexes. Cependant, les simulateurs physiques se heurtent aujourd’hui à plusieurs limitations comme le coût de calcul, l’incertitude sur les données, ou bien la difficulté à converger vers un résultat satisfaisant. Dans ce contexte, les approches d’apprentissage des systèmes physiques complexes basés sur les données se sont avérées intéressantes pour adresser ces limitations. Néanmoins, cela se fait souvent au prix d'une certaine précision, et d’une moins bonne maitrise du comportement du modèle physique, ce qui peut entraver l’utilisation industrielle de ces modèles. Afin d’orienter ces efforts vers une meilleure applicabilité sur les problèmes réels, les partenaires proposent un nouveau cadre de benchmarking nommé : « Learning Industriel Physical Simulations », dédié aux simulateurs hybrides des applications industrielles. Ce benchmark a été testé sur le cas d’usage du réseau électrique en collaboration avec RTE. Il a cependant été conçu d’une manière modulable et configurable afin d’adresser plusieurs types de physiques relatives à des systèmes industriels différents.

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Sunday, May 29, 2022

Nordische Technologies Et CIPET, Basés En Inde, Annoncent Une Batterie Aluminium-graphène Pour Les Gadgets Et La Technologie EV - fr.techtribune.net

La start-up indienne Nordische Technologies affirme avoir lancé une Batterie de poche en aluminium-graphène pour l’électronique grand public, les gadgets et la future technologie EV en association avec l’Institut central d’ingénierie et de technologie pétrochimiques (CIPET), Bangalore.

La société a déclaré dans un communiqué que la batterie à cellules en aluminium-graphène est la batterie la plus rapide au monde, non toxique, ininflammable et sans lithium sans cobalt avec une longue durée de vie.

“Cette cellule de poche innovante en aluminium-graphène et future batterie de véhicule électrique est le résultat de nos recherches approfondies au cours des cinq dernières années. Il s’agit d’une batterie légère et performante avec une durée de vie de cinq à sept ans. Ces batteries rechargeables, non toxiques et les batteries recyclables peuvent être chargées sur plus de 3 000 cycles », a déclaré Sabyasachi Das, CTO de Nordische Technologies, dans un communiqué.

La société a également déclaré que ses autres dispositifs de stockage d’énergie innovants sont la batterie au carbone ultra-plomb (ULCB) et la batterie au carbone ultra-plomb (ULCFB).

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Top 12 des derniers exemplaires de technologies disparues - Topito

Dans la vie on invente des trucs (parfois même on invente des trucs qu’on regrette) et puis chemin faisant, progrès agissant, on passe à autre chose laissant derrière nous les tous derniers exemplaires d’une longue série d’objets à l’utilité désuète. On vous livre les derniers vestiges d’un autre temps.

1. La dernière cabine téléphonique new-yorkaise

Et la France alors ? Eh bien on a beau avoir annoncé en 2018 l’éradication totale des cabines téléphoniques, il en resterait en réalité 26 dans et peut-être encore d’autres dans ce qu’on appelle des zones blanches non couvertes par le réseau Orange.

2. La dernière vespasienne de Paris

Pour éviter de chier et pisser à tout va, la Mairie de Paris a eu la bonne idée de faire installer des vespasiennes (qui doivent leur nom à l’empereur romain Vespasien à qui l’on prête par erreur l’invention des urinoirs publics) en 1870. Désormais on ne trouve plus qu’une seule vespasienne dans la capitale, boulevard Arago dans le 14eme.

3. La dernière guillotine

Si Hamida Djandoubi a fait les frais de la dernière exécution à la guillotine en Europe en 1977, la dernière exécution publique par ce charmant procédé date de 1937. J’ai pas de photo de l’objet mais en même temps est-ce que vous avez vraiment envie de voir à quoi ressemblait une exécution publique à la guillotine ?

4. Les derniers pneumatiques

S’il y a bien un truc qui me fascine plus qu’Internet, l’exploration spatiale, et le chirurgien de Nicole Kidman ce sont les pneumatiques. Cet objet hallucinant servait de livraison rapide de colis par un réseau de tubes qui sillonnait tout Paris. Malgré l’ingéniosité d’un tel système de communication, les PTT interrompent ce service définitivement le 30 mars 1984 à 17h21 et personnellement, ça me rend très triste.

5. Les derniers iPod

On se replongeait il y a peu dans les souvenirs qu’on a tous des iPod. La faute aux mastodontes Deezer et Spotify, ces baladeurs numériques sont devenus obsolètes et Apple a annoncé le 10 mai 2022 avoir livré ses derniers iPod avant d’en arrêter la production. RIP.

6. Le dernier Videoclub

Si en France ils sont rares et se comptent sur les doigts de la main, le tout dernier vidéo club des Etats-Unis a fermé ses portes depuis 2014 déjà. L’enseigne Potomac Video faisait partie des résistants mais sa dernière adresse à Washington a elle aussi fini par mettre la clé sous la porte.

7. Le dernier cinéma porno

En 2019 on perdait le Beverley, mythique cinéma porno parisien humidifié depuis des lustres par de joyeuses cartes de France. Toutefois ce n’était pas vraiment le tout dernier cinéma X puisqu’on trouve encore quelques discrètes salles obscures comme l’Atlas boulevard de Clichy. M’enfin, c’est quand même plus simples de s’astiquer chez soi bon sang.

8. Le dernier métro à classe

Quand le métro a ouvert ses portes en 1900 on a tous trouvé ça vachement bien. Voilà pourquoi on mis un peu de temps avant de se dire que c’était un peu casse-couille cette histoire de première et seconde classe pour un transport en commun quotidien. Essayez seulement d’imaginer que jusqu’en 1990, en payant 10 centimes de plus on avait droit au wagon du milieu, plus spacieux, moins dangereux, et avec des banquettes en cuir pendant que la majorité de la population s’entassait dans les autres wagons brinquebalants. Le 1er août 1991 voyait donc s’éteindre le tout dernier métro à classe.

9. Dernier train à vapeur

Alors qu’en 1953 on construisait la toute dernière locomotive à vapeur en France, son tout dernier convoi fut lancé sur les rails le 29 mars 1974. En réalité, elles existent toujours pour certaines lignes comme en haute montagne, mais ne servent plus pour des passagers.

10. Le dernier magnétoscope

On produisait encore 15 millions dans les années 80 mais 20 ans plus tard avec l’avènement du DVD, les magnétoscopes n’avaient plus lieu d’être. Leur production s’est définitivement arrêtée en juillet 2016 annonçant par la même occasion la fin de la production des VHS. Triste.

11. Le dernier Minitel

Le samedi 30 juin 2012, n’était pas un jour comme un autre puisqu’on désactivait les tout derniers codes Minitel… Pour ceux qui n’ont pas connu les joies du 3615, ça ne change pas grand chose, pour les autres c’est la fin d’une époque.

12. Le dernier dirigeable

Quelle époque les zeppelins ! Malheureusement en 1937, on a du leur dire adieu. L’incendie de Lakehurst dont la photo ci-dessous est assez éloquente a signé la fin de leur exploitation quelque peu dangeureuse.

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Top 12 des derniers exemplaires de technologies disparues - Topito

Dans la vie on invente des trucs (parfois même on invente des trucs qu’on regrette) et puis chemin faisant, progrès agissant, on passe à autre chose laissant derrière nous les tous derniers exemplaires d’une longue série d’objets à l’utilité désuète. On vous livre les derniers vestiges d’un autre temps.

1. La dernière cabine téléphonique new-yorkaise

Et la France alors ? Eh bien on a beau avoir annoncé en 2018 l’éradication totale des cabines téléphoniques, il en resterait en réalité 26 dans et peut-être encore d’autres dans ce qu’on appelle des zones blanches non couvertes par le réseau Orange.

2. La dernière vespasienne de Paris

Pour éviter de chier et pisser à tout va, la Mairie de Paris a eu la bonne idée de faire installer des vespasiennes (qui doivent leur nom à l’empereur romain Vespasien à qui l’on prête par erreur l’invention des urinoirs publics) en 1870. Désormais on ne trouve plus qu’une seule vespasienne dans la capitale, boulevard Arago dans le 14eme.

3. La dernière guillotine

Si Hamida Djandoubi a fait les frais de la dernière exécution à la guillotine en Europe en 1977, la dernière exécution publique par ce charmant procédé date de 1937. J’ai pas de photo de l’objet mais en même temps est-ce que vous avez vraiment envie de voir à quoi ressemblait une exécution publique à la guillotine ?

4. Les derniers pneumatiques

S’il y a bien un truc qui me fascine plus qu’Internet, l’exploration spatiale, et le chirurgien de Nicole Kidman ce sont les pneumatiques. Cet objet hallucinant servait de livraison rapide de colis par un réseau de tubes qui sillonnait tout Paris. Malgré l’ingéniosité d’un tel système de communication, les PTT interrompent ce service définitivement le 30 mars 1984 à 17h21 et personnellement, ça me rend très triste.

5. Les derniers iPod

On se replongeait il y a peu dans les souvenirs qu’on a tous des iPod. La faute aux mastodontes Deezer et Spotify, ces baladeurs numériques sont devenus obsolètes et Apple a annoncé le 10 mai 2022 avoir livré ses derniers iPod avant d’en arrêter la production. RIP.

6. Le dernier Videoclub

Si en France ils sont rares et se comptent sur les doigts de la main, le tout dernier vidéo club des Etats-Unis a fermé ses portes depuis 2014 déjà. L’enseigne Potomac Video faisait partie des résistants mais sa dernière adresse à Washington a elle aussi fini par mettre la clé sous la porte.

7. Le dernier cinéma porno

En 2019 on perdait le Beverley, mythique cinéma porno parisien humidifié depuis des lustres par de joyeuses cartes de France. Toutefois ce n’était pas vraiment le tout dernier cinéma X puisqu’on trouve encore quelques discrètes salles obscures comme l’Atlas boulevard de Clichy. M’enfin, c’est quand même plus simples de s’astiquer chez soi bon sang.

8. Le dernier métro à classe

Quand le métro a ouvert ses portes en 1900 on a tous trouvé ça vachement bien. Voilà pourquoi on mis un peu de temps avant de se dire que c’était un peu casse-couille cette histoire de première et seconde classe pour un transport en commun quotidien. Essayez seulement d’imaginer que jusqu’en 1990, en payant 10 centimes de plus on avait droit au wagon du milieu, plus spacieux, moins dangereux, et avec des banquettes en cuir pendant que la majorité de la population s’entassait dans les autres wagons brinquebalants. Le 1er août 1991 voyait donc s’éteindre le tout dernier métro à classe.

9. Dernier train à vapeur

Alors qu’en 1953 on construisait la toute dernière locomotive à vapeur en France, son tout dernier convoi fut lancé sur les rails le 29 mars 1974. En réalité, elles existent toujours pour certaines lignes comme en haute montagne, mais ne servent plus pour des passagers.

10. Le dernier magnétoscope

On produisait encore 15 millions dans les années 80 mais 20 ans plus tard avec l’avènement du DVD, les magnétoscopes n’avaient plus lieu d’être. Leur production s’est définitivement arrêtée en juillet 2016 annonçant par la même occasion la fin de la production des VHS. Triste.

11. Le dernier Minitel

Le samedi 30 juin 2012, n’était pas un jour comme un autre puisqu’on désactivait les tout derniers codes Minitel… Pour ceux qui n’ont pas connu les joies du 3615, ça ne change pas grand chose, pour les autres c’est la fin d’une époque.

12. Le dernier dirigeable

Quelle époque les zeppelins ! Malheureusement en 1937, on a du leur dire adieu. L’incendie de Lakehurst dont la photo ci-dessous est assez éloquente a signé la fin de leur exploitation quelque peu dangeureuse.

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Top 12 des derniers exemplaires de technologies disparues - Topito
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Les technologies émergentes : sont-elles dangereuses ? - BuzzWebzine.fr

Les différentes technologies comme l’intelligence artificielle (IA), l’internet ou les robots facilitent la vie quotidienne et professionnelle pour plus d’un. Mais certaines d’entre elles doivent être surveillées de près à cause des risques qu’elles représentent.

technologies émergentes

Les révolutions technologiques n’ont-elles que de bons côtés ? La réponse est évidemment non. En effet, l’homme doit s’attendre aux éventuels impacts négatifs des nouvelles technologies. Parmi celles-ci figurent à savoir l’IA, la biologie synthétique, la robotisation ou encore la numérisation des données. D’ailleurs, beaucoup de scientifiques s’alarment comme quoi les inventions de l’homme pourraient un jour se retourner contre lui.

Dans cet article :

Intelligence artificielle : ce qu’il faut savoir

Plusieurs entreprises de renom comme Google utilisent des IA dans leurs produits et services. Leur objectif étant d’améliorer l’utilisation des outils mis à disposition des utilisateurs. Le résultat positif à l’instar de la reconnaissance vocale. Mais l’intelligence artificielle est utilisée dans plusieurs autres domaines comme la robotique, les systèmes de navigation des véhicules autonomes, la recherche scientifique ou encore la réalité virtuelle.

L’avantage avec une IA, c’est qu’une fois lancée dans un ordinateur, elle peut apprendre sans cesse à partir de données réelles. Certains algorithmes parviennent même à penser comme un humain. Les robots guidés par l’IA dans les salles d’opération en sont les preuves.

intelligence artificielle

Nous devons toutefois faire attention, car cette efficacité peut causer une dépendance et entraîner une utilisation abusive. Les principales préoccupations se tournent notamment sur l’attitude selon laquelle l’IA peut être utilisée pour résoudre les soucis de la vie. D’ailleurs, il existe des applications qui peuvent décider à la place des utilisateurs. C’est exactement le genre de situation qu’il faut éviter. En effet, les IA ne sont pas et ne seront jamais douées de conscience comme les êtres humains. Une vision apocalyptique plane autour de l’humanité dans la mesure où l’IA sera la solution à tous les problèmes.

La reconnaissance faciale : révolutionnaire, mais…

La reconnaissance faciale n’est pas nouvelle. Si son application s’est tout d’abord répandue avec les smartphones, elle a connu un franc succès dans le domaine de la cybersécurité pour renforcer le niveau de sécurité contre les attaques informatiques. Dans le monde de l’espionnage et de la surveillance, les gouvernements et les services de renseignements sollicitent beaucoup aussi cette technologie. Pour rappel, la reconnaissance faciale fonctionne avec une IA.

Mais sa crédibilité et son utilité se trouvent aujourd’hui compromises par certaines mauvaises pratiques. Citons entre autres la technologie du deepfake qui peut recréer intégralement le visage d’un être humain, et ce, de façon très simple. Cela soulève de nombreuses questions éthiques et morales, car n’importe qui peut accéder à ce genre de technologie. Il sera en effet facile de duper une personne sans parler de l’usurpation d’identité. Et jusqu’ici, la technologie n’a pas de solutions concrètes pour contrer le deepfake.

Biologie moléculaire : la technologie émergente la plus dangereuse

Plusieurs scientifiques s’accordent à dire que la plus grande menace de la technologie innovante se rattache à la biologie et à ses recherches : modification génétique, régénération cellulaire, développement de super anticorps, création de cellules et bien d’autres. La biologie est à deux doigts de franchir la limite des tabous avec le clonage. Nul doute que dans un avenir proche, la science sera capable de créer un être humain de manière artificielle.

Biologie-synthetique

De son côté, la biologie synthétique progresse lentement, mais produit des résultats concrets. Son objectif, être capable de réécrire l’ADN. Avec l’appui de l’ingénierie, de l’informatique, de l’IA et surtout de la chimie, ce n’est pas de la science-fiction. Ce sera une réalité dans un avenir proche. Les questions d’origines de la vie seront remises en cause et avec, un bouleversement sur les normes et pratiques sociales. Par ailleurs, la production d’aliments génétiquement modifiés verra aussi le jour.

Quels sont les effets négatifs des technologies émergentes sur la santé ?

Aujourd’hui plus que jamais, les gens deviennent hyperconnectés grâce à internet et notamment aux appareils de connexion. Si l’objectif est de rapprocher les gens puis faciliter leur quotidien, il ne faut pas nier que la technologie produit des effets néfastes sur la santé physique, psychique et sociale. Par exemple, une recherche menée auprès de personnes âgées de 19 à 32 ans révèle que les individus utilisant de façon régulière les réseaux sociaux sont plus enclins à se sentir isoler. De plus, une revue scientifique publiée en 2016 stipule le lien entre les réseaux sociaux et les problèmes de santé mentale comme la dépression.

En outre, les technologies comme les tablettes ainsi que les smartphones peuvent causer la fatigue oculaire. Raison pour laquelle il faut limiter le temps passé devant les écrans. La luminosité et le rayonnement des appareils sont en effet nocifs pour la santé. Pour les plus petits, ils sont susceptibles de manquer d’attention, d’être sujets à l’obésité ou d’avoir des comportements agressifs s’ils sont trop dépendants de la technologie et de ce qu’elle a à offrir.

Bref, les nouvelles technologies semblent ne pas vouloir arrêter de s’émerger. C’est aux humains, de poser certaines limites, en se posant les bonnes questions d’éthique et de morale pour leur avenir. Autrement, elles changeront la conception même de la vie et des pratiques sociales, économiques et culturelles. Mais il est nécessaire de se préparer au pire tout en continuant à faire des recherches, à innover et à développer notre connaissance.

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Saturday, May 28, 2022

Climat : « Certaines des technologies envisagées pour maintenir habitable la Terre relèvent du cauchemar » - Le Monde

Sur le front du climat, l’information la plus frappante de ces derniers jours n’est ni la sécheresse qui s’installe en France, ni la succession des canicules qui ont mis plusieurs semaines durant des dizaines de millions d’Indiens et de Pakistanais au seuil de l’invivable. Non : l’actualité climatique la plus inquiétante de ces dernières semaines est la création, au sein du Forum de Paris sur la paix, de la Commission mondiale sur la gouvernance des risques liés au dépassement climatique. Le lancement de ses travaux, le 17 mai, est passé inaperçu en France, où seul Le Monde, sous la plume d’Audrey Garric, en a rendu compte. Son mandat devrait pourtant retenir toute notre attention.

La quinzaine de membres de cette commission – anciens commissaires européens, chefs d’Etat ou ministres de pays du Nord et du Sud, diplomates de haut niveau, etc. – se pencheront sur des problématiques qui n’ont jusqu’ici jamais été examinées à un tel niveau. Cette fois, il est officiellement question de réfléchir aux conditions de déploiement de techniques de géo-ingénierie – c’est-à-dire des méthodes de modification climatique à grande échelle –, non seulement sur leur faisabilité, leurs bénéfices et leurs risques, mais aussi leur gouvernance.

Le simple fait que ces techniques soient aujourd’hui officiellement mises à l’agenda devrait susciter une profonde inquiétude. Cela signifie d’abord que l’espoir s’estompe de voir le climat terrestre préservé d’une dérive catastrophique. Ensuite, la radicalité de certaines solutions envisagées pour maintenir l’habitabilité d’une Terre surchauffée donne à comprendre la gravité de la situation. Certaines de ces technologies relèvent d’un cauchemar dystopique inimaginable il y a seulement quelques années. Elles sont désormais sur la table – pas encore celle de la diplomatie de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, mais au moins dans son antichambre.

Un tabou tombé

« Si la réduction considérable et rapide des émissions doit être l’objectif central de toute politique climatique, l’action collective contre le [réchauffement] doit prendre en compte l’ensemble des réponses possibles pour réduire activement les risques, explique ainsi la nouvelle commission dans sa présentation. Ces options comprennent des mesures d’adaptation considérablement élargies pour réduire la vulnérabilité climatique, l’élimination du carbone pour retirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère, et éventuellement la géo-ingénierie solaire pour refroidir la planète en réduisant le rayonnement solaire entrant. »

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Démonstration d'une nouvelle technologie pour la lutte contre le terrorisme dans des lieux très fréquentés - NATO

À travers le monde, des stations de métro, des aéroports et d’autres lieux de passage et de rassemblement très fréquentés ont été la cible d’attentats terroristes qui ont fait des morts et ont endommagé des infrastructures. Dans le cadre du programme DEXTER, axé sur la détection des explosifs et des armes à feu dans le cadre de lutte contre le terrorisme, l’OTAN a mis au point un prototype destiné à faire face à la menace que les armes à feu et les explosifs font peser sur les lieux très fréquentés. Après des travaux de recherche menés pendant trois ans avec le parrainage du programme OTAN pour la science au service de la paix et de la sécurité (programme SPS), le prototype a été testé avec succès pendant un mois dans une station du métro romain, en Italie.

Les 24 et 25 mai 2022, des représentants de l’industrie et des pouvoirs publics concernés ont été invités à assister en tant qu’observateurs à une simulation en conditions réelles, et à réfléchir aux possibilités de commercialisation du dispositif DEXTER. 

Les trois technologies mises au point dans le cadre de ces travaux permettront de repérer à distance et instantanément parmi la foule les personnes qui portent des armes à feu ou des explosifs. Le dispositif permettra d’aller plus loin encore que les systèmes en place et de détecter ces menaces discrètement, sans devoir procéder à des contrôles aléatoires de passagers ni avoir recours à des postes de contrôle. Le dispositif DEXTER regroupe des technologies dans un système qui peut être équipé de détecteurs supplémentaires en fonction des besoins liés à l’évolution des menaces. 

« Le programme DEXTER a permis de mettre au point une solution associant des technologies de lutte contre le terrorisme et des technologies avancées, au service des objectifs et des priorités stratégiques de l’OTAN », a déclaré le secrétaire général adjoint de l’OTAN pour les défis de sécurité émergents, M. David van Weel. Le dispositif DEXTER est un livrable important du plan d’action de l’OTAN pour la lutte contre le terrorisme. S’appuyant sur les tout derniers progrès dans les domaines des capteurs, de la détection et de l’intelligence artificielle, ce dispositif est un parfait exemple de l’usage que l’OTAN entend faire des technologies émergentes et des technologies de rupture. 

« Si un tel résultat a pu être obtenu, c’est non seulement grâce au savoir-faire scientifique et technologique, mais aussi grâce à la forte cohésion entre les partenaires et à une volonté commune de mieux protéger les citoyens contre des attentats comme ceux qu’on a connus », a déclaré M. Gilberto Dialuce, président de l’Agence nationale italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et le développement économique durable (ENEA). Onze organismes publics et institutions de recherche de quatre pays de l’OTAN (France, Allemagne, Italie et Pays-Bas) et de quatre pays partenaires (Finlande, République de Corée, Serbie et Ukraine) ont participé au programme DEXTER.

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Friday, May 27, 2022

Nationale - À l'assaut des technologies spatiales - L'Expression

Le développement des technologies spatiales est, désormais, au centre de la coopération qui s'annonce riche entre l'Algérie et l'Italie. À la faveur de son périple à Rome, le président de la République Abdelmadjid Tebboune, n'a pas manqué de rappeler «Certaines réalisations du pays dans les technologies spatiales, en ce sens que l'Algérie dispose actuellement de trois satellites et oeuvre à la réalisation de quatre autres.»
Le président Tebboune a, en effet, assuré de l'existence de perspectives prometteuses au partenariat économique entre les deux pays et a affirmé: «Qu'aucune limite n'existe entre l'Algérie et l'Italie.». «Nous avons des ressemblances dans plusieurs domaines et nous aspirons à renforcer le partenariat économique dans divers secteurs, à l'instar de l'industrie navale, l'aviation et les industries légères à l'exemple de l'agroalimentaire et les meubles», a détaillé le chef de l'État qui a particulièrement mentionné le secteur spatial alors qu'il répondait aux préoccupations et interrogations des représentants de la diaspora en Italie.
Il a alors appelé les opérateurs algériens à lancer des projets avec leurs homologues d'Italie, d'autant, dira-t-il, que l'Algérie offre toutes les facilités pour réaliser cet objectif. «Rien n'empêche la création d'une banque algéro-italienne pour permettre à notre communauté en Europe de transférer légalement les fonds et créer des sociétés mixtes algéro-italiennes, y compris dans la géophysique», a en substance déclaré le chef de l'État algérien qui a donc appelé les chercheurs algériens établis en Italie à créer des associations et à nouer contact avec leur pays pour transférer leurs connaissances et contribuer au développement de l'économie nationale.
«L'heure est venue pour concrétiser de véritables projets dans le domaine de la recherche scientifique, et les portes sont ouvertes à tous», a-t-il soutenu.
Les technologies spatiales sont ainsi évoquées au moment, où, l'Algérie renforce son armada spatiale de quatre nouveaux satellites, en cours de construction, lesquels élèveront le total des satellites algériens à sept unités.
L'Algérie dispose déjà de trois satellites et compte en lancer quatre autres», a donc fait savoir le président Tebboune alors qu'il s'adressait aux Algériens établis en Italie.
Le président Tebboune a également exprimé le souhait de lancer avec «l'Italie, pays ami» une coopération dans le domaine de la construction navale civile ou militaire, en sus d'autres perspectives.
Le président italien, Sergio Mattarella a affirmé, de son côté, que l'Italie oeuvrait dans le cadre de l'Union européenne (UE), à intensifier la coopération entre les États de l'Union et l'Algérie, un partenaire stratégique à tous les niveaux. «L'Italie, pays au coeur de l'UE, appelle à intensifier la coopération avec l'Algérie.
Les agendas méditerranéens fixés par l'UE sont justement un signe pour aller de l'avant dans ce sens», a indiqué le président Mattarella lors d'un point de presse conjoint avec le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Il s'agit, selon la même source, de la coopération dans le domaine de la sécurité, l'industrie et les infrastructures, la transition énergétique, les énergies nouvelles et renouvelables, notamment l'électricité et l'hydrogène, la promotion des investissements, les PME/ PMI et les start-up, les ressources en eau et la sécurité hydrique, la pêche et l'aquaculture, l'industrie minière, notamment la filière marbre, la coopération technique et la recherche scientifique, l'industrie cinématographique.
Gageons que les accords portant sur divers domaines, notamment le spatial, prendront forme en juillet prochain, à la faveur du 4e Sommet intergouvernemental algéro-italien, prévu pour les 18 et 19 juillet 2022, à Alger.

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Démonstration d'une nouvelle technologie pour la lutte contre le terrorisme dans des lieux très fréquentés - NATO

À travers le monde, des stations de métro, des aéroports et d’autres lieux de passage et de rassemblement très fréquentés ont été la cible d’attentats terroristes qui ont fait des morts et ont endommagé des infrastructures. Dans le cadre du programme DEXTER, axé sur la détection des explosifs et des armes à feu dans le cadre de lutte contre le terrorisme, l’OTAN a mis au point un prototype destiné à faire face à la menace que les armes à feu et les explosifs font peser sur les lieux très fréquentés. Après des travaux de recherche menés pendant trois ans avec le parrainage du programme OTAN pour la science au service de la paix et de la sécurité (programme SPS), le prototype a été testé avec succès pendant un mois dans une station du métro romain, en Italie.

Les 24 et 25 mai 2022, des représentants de l’industrie et des pouvoirs publics concernés ont été invités à assister en tant qu’observateurs à une simulation en conditions réelles, et à réfléchir aux possibilités de commercialisation du dispositif DEXTER. 

Les trois technologies mises au point dans le cadre de ces travaux permettront de repérer à distance et instantanément parmi la foule les personnes qui portent des armes à feu ou des explosifs. Le dispositif permettra d’aller plus loin encore que les systèmes en place et de détecter ces menaces discrètement, sans devoir procéder à des contrôles aléatoires de passagers ni avoir recours à des postes de contrôle. Le dispositif DEXTER regroupe des technologies dans un système qui peut être équipé de détecteurs supplémentaires en fonction des besoins liés à l’évolution des menaces. 

« Le programme DEXTER a permis de mettre au point une solution associant des technologies de lutte contre le terrorisme et des technologies avancées, au service des objectifs et des priorités stratégiques de l’OTAN », a déclaré le secrétaire général adjoint de l’OTAN pour les défis de sécurité émergents, M. David van Weel. Le dispositif DEXTER est un livrable important du plan d’action de l’OTAN pour la lutte contre le terrorisme. S’appuyant sur les tout derniers progrès dans les domaines des capteurs, de la détection et de l’intelligence artificielle, ce dispositif est un parfait exemple de l’usage que l’OTAN entend faire des technologies émergentes et des technologies de rupture. 

« Si un tel résultat a pu être obtenu, c’est non seulement grâce au savoir-faire scientifique et technologique, mais aussi grâce à la forte cohésion entre les partenaires et à une volonté commune de mieux protéger les citoyens contre des attentats comme ceux qu’on a connus », a déclaré M. Gilberto Dialuce, président de l’Agence nationale italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et le développement économique durable (ENEA). Onze organismes publics et institutions de recherche de quatre pays de l’OTAN (France, Allemagne, Italie et Pays-Bas) et de quatre pays partenaires (Finlande, République de Corée, Serbie et Ukraine) ont participé au programme DEXTER.

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Thursday, May 26, 2022

Dans le métro de Rome, l'Otan teste ses technologies antiterrorisme - TV5MONDE

Dans le métro de Rome, des militaires de l'Otan testent des technologies capables de détecter armes ou explosifs: l'Alliance atlantique, mobilisée par la guerre en Ukraine qui fait rage à ses frontières, est aussi à la manœuvre sur un front plus insidieux, celui du terrorisme intérieur.

Le projet "Dexter" est l'un des projets de recherche scientifique à vocation non militaire de l'Alliance. Il est destiné à sécuriser les métros, les gares et les aéroports où transitent chaque jour des centaines de millions de voyageurs dans le monde, cibles récurrentes d'attentats meurtriers.

Dexter intègre diverses technologies de capteurs et de logiciels pour fournir des informations en temps réel aux policiers ou aux agents de sécurité qui surveillent les passagers dans les espaces publics.

Dans un couloir de métro de la banlieue de la capitale italienne, de grands écrans diffusent cette semaine des images colorées provenant de systèmes radar et laser.

Le radar scannant les voyageurs de passage produit des images 2D et 3D à haute résolution qui révèlent en rouge la présence d'une arme, tandis qu'un système laser permet de détecter des traces d'explosifs.

Les résultats des deux capteurs sont ensuite combinés et analysés par un logiciel, et une alerte est rapidement envoyée aux lunettes intelligentes portées par un policier dans une salle de contrôle.

"Nous sommes en mesure de fusionner et de combiner les informations du premier et du dernier capteur et d'envoyer un message à l'agent de police", explique à l'AFP Henri Bouma, chercheur à l'organisme de recherche néerlandais TNO.

- "Prototype"-

Au cours du dernier mois d'essais, les deux systèmes ont obtenu un taux de réussite de 100% dans la détection des personnes portant des armes ou ayant des traces d'explosifs sur le corps.

Les tests effectués sur des foules encore plus importantes ont atteint un taux de réussite de "plus de 99%", selon M. Bouma.

Selon le secrétaire général adjoint de l'Otan pour les défis de sécurité émergents, David van Weel, cette technologie, moins invasive et plus précise que les fouilles aléatoires, pourrait avoir un "impact tangible" sur la vie des civils.

"Elle pourrait permettre de se rendre à un match de foot ou dans un aéroport en toute sécurité", souligne-t-il.

Une dizaine d'institutions de recherche de pays membres de l'OTAN (Italie, France, Pays-Bas et Allemagne), ainsi que d'autres dans ses pays partenaires (Ukraine, Corée du Sud, Serbie et Finlande) participent au projet.

A ce stade, "ce n'est qu'un prototype", précise Deniz Beten, qui dirige le programme de l'Otan pour la science au service de la paix et de la sécurité.

"Nous espérons que d'ici un ou deux ans, nous serons en mesure de le commercialiser pour l'utiliser dans les métros, les aéroports ou d'autres infrastructures choisies par les pays", ajoute-t-elle.

Dans un contexte de baisse du financement public pour les projets civils de recherche et développement depuis des décennies, des programmes tels que Dexter sont importants pour combler les lacunes du secteur privé et pourraient stimuler sa participation, relève M. Van Weel.

"Notre objectif est de stimuler le suivi réel, qui sera principalement assuré par le secteur privé", détaille-t-il, ajoutant que la technologie de Dexter pourrait faire l'objet de licences.

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Akka Technologies, victime d'une attaque informatique d'importance - Mediacités

C’est une information publiée au conditionnel par nos confrères du site spécialisé LeMagIT et que Mediacités est en mesure de confirmer. Depuis le 24 mai, Akka Technologies est frappée par une attaque informatique importante de type rançongiciel (ou ransomware). Concrètement, des pirates aspirent des données internes, les chiffrent et demandent une rançon pour les restituer.

Ni l’ampleur exacte ni l’origine de l’attaque ne sont connues à ce jour chez Akka Technologies, qui n’a pas donné suite à nos sollicitations. Mais consigne a été donnée par la direction ce mardi aux salariés « de ne pas utiliser de PC Aakkani aucune connexion au VPN ni aux outils Akka jusqu'à nouvel ordre. » Le tout via un envoi de courriel sur des… adresses personnelles des employés, comme a pu le constater Mediacités.

D'après la CFE-CGC Adecco, plusieurs clients d'Akka auraient « donné l’alerte et coupé tout lien avec elle afin de se préserver ». « Ce braquage numérique (...) provoque un vent de panique au sein de la direction comme dans la clientèle et parmi les salariés », croit savoir la section syndicale.

Cette entreprise d’ingénierie et de conseil, qui travaille notamment pour Airbus – emploie 21 000 salariés, dont 2 500 à Blagnac (Haute-Garonne). L’été dernier nous racontions comment elle avait été vendue à Adecco dans . . .

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Wednesday, May 25, 2022

Les nouvelles technologies sauveront-elles la mode ? - FashionUnited.fr

Les marques optent de plus en plus pour des solutions technologiques qui concilient atouts économiques et écologiques.

L’essor de la mode a toujours été lié aux innovations technologiques. Ainsi, l’adjonction de pédales aux métiers à tisser, au Moyen Âge, modifia considérablement les volumes et les échanges commerciaux liés aux étoffes tout en favorisant l’épanouissement d’une industrie dont les frontières dépassaient largement l’univers du textile. Quelques siècles plus tard, la mode, pour vivre en symbiose avec son environnement, peut de nouveau compter sur l’ingéniosité des chercheurs. C’est du moins l’enseignement que l’on tire des différents communiqués provenant de marques annonçant de nouvelles solutions de fabrication, plus rentable, et surtout, plus écologique.

Ainsi, à l’instar du label Le Slip Français notamment qui depuis une décennie se positionne véritablement comme un fer de lance de la filière textile hexagonale grâce à un écheveau pertinent de solutions technologiques (on pense récemment à la technique de tricotage circulaire, dans laquelle Guillaume Gibault a investi 1 million d’euros, et qui permet de fabriquer des sous-vêtements quasiment sans coutures), la marque Paname Collections met à son tour un dispositif conjuguant démarche durable et nouvelles technologies.

Ligne engagée et procédés de fabrication innovants

Fondée en 2017 par Adrien Porte, la marque digitale de vêtements pour homme fabriqués en Europe renforce en effet son engagement dans la mode éthique en créant une nouvelle ligne éco-responsable, baptisée Sapiology, caractérisée par des matières premières et des procédés de fabrication choisis pour leur impact le plus limité possible sur l’environnement. Premier produit de cette ligne : un pull tricoté en 3D et en France. Une nouvelle technologie qui multiplie les atouts. Avantage économique tout d’abord. Habituellement, les différents pans d’un pull sont tricotés séparément avant d’être assemblés les uns aux autres. La 3D autorise le tricotage du pull en une seule pièce, et sans coutures. Nécessitant peu de main d’œuvre, les machines fonctionnent jour et nuit, tout en demandant moins de fil que pour un pull traditionnel. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : un pull fabriqué en 3D sera vendu 35 pour cent moins cher.

Atout écologique ensuite, puisque le tricotage en 3D permet une économie de 30 pour cent de matières premières par pull tout en ne générant que très peu (1 à 2 pour cent) de déchets. Par ailleurs, les coutures étant souvent le point faible d’un produit, ce procédé de fabrication s’accompagne d’une résistance optimale des pièces dans le temps. Pour ce premier pull, Adrien Porte a choisi un coton certifié bio (qui permet d’économiser jusqu’à 91 pour cent d’eau par rapport au coton traditionnel, le tout sans pesticide) et a privilégié une fabrication locale en faisant appel à 3DTEX en Bretagne : un partenaire engagé dont une grande partie des salariés est en réinsertion professionnelle. Les alternatives au modèle bien peu vertueux proposé par les grandes marques viendront vraisemblablement des jeunes labels qui semblent avoir décidé, d’un accord tacite, qu’il n’était peut-être pas tout à fait nécessaire de tuer la planète pour nous habiller.

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Tuesday, May 24, 2022

Pourquoi les nouvelles technologies ne nous rendent-elles pas plus productifs ? - News 24 | Actualités en - News 24

L’objectif n’est pas de remplacer les travailleurs mais d’améliorer leurs performances, a déclaré Zayd Enam, co-fondateur et directeur général de l’entreprise. L’offre de Cresta, a-t-il dit, est rendue possible par les récentes avancées en matière de puissance et de vitesse des logiciels d’IA, qu’il a décrites comme « qui changent la donne ».

Cresta compte 200 employés, a levé plus de 150 millions de dollars en capital-risque et compte plusieurs dizaines d’entreprises clientes, dont Verizon, Cox Communications et Porsche.

CarMax, le plus grand détaillant de voitures d’occasion du pays, a commencé à essayer le logiciel Cresta en décembre. L’expérience d’IA fait suite à des années d’investissement pour déplacer les opérations informatiques de l’entreprise vers des systèmes plus flexibles basés sur le cloud, a déclaré Jim Lyski, vice-président exécutif pour la stratégie, le marketing et les produits.

Les demandes des clients auprès des centres de contact de CarMax ont tendance à être longues. Les voitures d’occasion couvrent différentes années, les modèles, les caractéristiques et les antécédents de conduite, et les plans de financement pour ce qui est un achat important varient. La gamme de questions est pratiquement illimitée, a déclaré M. Lyski, de sorte qu’une communication purement automatisée n’est pas une option.

Mais un assistant informatique qui pourrait aider à trier toute la complexité automobile, offrant des suggestions et des informations en temps réel, était attrayant. Cresta s’est d’abord formé sur les données du centre de contact CarMax, et l’expérience a commencé avec ses agents de chat en direct, qui ont des conversations textuelles avec les clients.

L’expérience a été encourageante, a déclaré M. Lyski. Il y a eu une amélioration d’environ 10 % du temps de réponse, de la conversion en ventes et de la réduction du temps de session. Et le système continue d’apprendre et de s’améliorer. La société a lancé un projet pilote avec des agents qui traitent les appels vocaux, portant à 200 le nombre total d’agents utilisant la technologie d’intelligence artificielle.

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Akka Technologies est confronté à un ransomware - LeMagIT

Branle-bas de combat, ce mardi 24 mai au matin, chez plusieurs clients d’Akka Technologies : l’entreprise de services numériques (ESN) aurait été frappée par un ransomware. Les premiers clients informés ont rapidement coupé leurs liens avec l’ESN et bloqué les comptes utilisés par les collaborateurs de celle-ci dans leurs systèmes d’information.

Jointe par téléphone dans l’après-midi, la direction de la communication d’Akka Technologies confirme la situation, tout en indiquant ne pas encore être en mesure de préciser l’étendue des dommages, ni la famille de rançongiciel impliquée dans l’attaque.

Akka Technologies vient d’être récemment rachetée par le groupe Adecco, via sa filiale Modis. Les deux entités doivent d’ailleurs être fusionnées pour devenir Akkodis.

Le groupe d’ingénierie et de conseil en technologies est notamment présent en France et en Allemagne (avec MBtech, ancienne ESN captive de Daimler-Benz), et actif sur les secteurs de l’automobile, d’aéronautique, le ferroviaire, l’énergie, la santé, les télécommunications, ou encore l’aérospatiale. Parmi ses clients, on compte notamment Airbus.

Akka Technologies annonçait, le 3 février, sa participation au projet européen PRECINT « qui rassemble un consortium international de 40 partenaires, avec le but commun de fournir un framework et une méthodologie » pour assurer la sécurité et la résilience des infrastructures critiques de l’union – tant d’un point de vue physique que cyber.

Akka Technologies n’est pas la première ESN française frappée par un ransomware. Récemment, Inetum a ainsi été victime de BlackCat. Accenture a également été confronté à cette menace, de même qu’Altran, Econocom, Sopra Steria, Umanis, ou encore Xefi, du moins selon l’un de ses clients et les allégations d’Everest. Outre-Atlantique, Cognizant a également été touché par le passé.

Le risque d’attaque par rebond via les ESN est bien identifié. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) l’évoquait déjà dans son rapport d’activité 2018. Elle est revenue sur le sujet en tout début d’année, à l’occasion de la publication de son panorama de la menace informatique pour 2021.

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Des chaussures sur mesure adaptées à vos usages grâce à... la technologie 3D - LaDepeche.fr

(ETX Daily Up) - Gaspillage, confort, et personnalisation : les nouvelles technologies permettent aujourd'hui aux industries de la mode et de la chaussure de se réinventer pour proposer au public des expériences sur mesure en phase avec leurs préoccupations. Maison Felger pousse l'expérience encore plus loin en faisant rimer artisanat français et technologie 3D, en vue de créer des souliers adaptés à la morphologie des clients, tout comme à leurs habitudes de vie et de marche.

Combien de fois avez-vous succombé à l'achat d'une paire de chaussures par coup de cœur, sans savoir si elle conviendrait à vos habitudes quotidiennes ? Une situation qui génère non seulement de la frustration - quoi de pire qu'un crush qui ne se concrétise pas ? - mais aussi un évident gâchis. Et si la seconde main permet aujourd'hui de pallier ce type de manquements, elle n'est pas le remède à tout. C'est pour cela que Maison Felger, une marque de luxe française, dont l'atelier de fabrication est niché en Bretagne, a fait le choix d'investir dans les nouvelles technologies pour proposer des chaussures parfaitement adaptées aux pieds de ses clients.

"L'histoire de la Maison Felger débute lorsque ses fondateurs Maria et Cyril Karunagaran réalisent que trouver chaussure à son pied est plus difficile qu'on ne s'imagine. Aujourd'hui, une majorité de personnes achètent une paire de chaussures en se basant uniquement sur une sensation de confort éprouvée durant quelques minutes d'essayage. Sans pouvoir s'assurer qu'elles leur conviennent réellement", se présente la marque de luxe.

De la prise de mesure aux derniers ajustements

L'idée est simple. Il s'agit d'utiliser la technologie 3D pour confectionner des chaussures sur mesure, autrement dit non seulement adaptées à la morphologie de chaque client, mais aussi à leur perception du confort, leur style de vie, et leurs habitudes de marche. L'objectif étant de concevoir des souliers qui s'inscrivent dans le temps, sans aucune contrainte. Une chose rendue possible grâce à l'utilisation d'un scanner 3D. En cinq étapes, la maison de luxe parvient à créer une sorte de paire de chaussures idéale, pensée et conçue pour son futur acquéreur, sans rogner sur le savoir-faire français qui fait - aussi - la renommée de la marque.

Dès le premier rendez-vous, le client passe au scanner 3D pour une prise de mesures précise de chaque pied afin que celles-ci soient envoyées à l'atelier de fabrication en Bretagne pour la réalisation d'une première forme sur-mesure par impression 3D. Puis les experts de Maison Felger prennent le temps de recueillir des informations sur ses habitudes de vie et de marche, ses goûts, ou encore les spécificités de ses pieds, pour parvenir au plus près à une paire de chaussures qui lui ressemble. L'heure est ensuite aux derniers ajustements via le prototype d'essai, puis au choix du modèle, de la couleur, de la matière, ou encore des motifs, avant que les souliers ne partent en confection pour quelques semaines. Le tout est joué !

Pour le moment, et parce qu'il s'agit d'une maison de luxe qui mise sur l'artisanat français, cette opération a un coût qui n'est pas accessible à tous, avec de premiers modèles proposés à partir de 1.650 euros. Mais l'utilisation d'une telle technologie pourrait se démocratiser dans les mois et années à venir, permettant au public d'expérimenter le sur-mesure à moindre coût.

L'impression 3D au service de la durabilité

Si Maison Felger a recours à la technologie 3D pour proposer une expérience sur mesure à ses clients, il s'agit aussi de lutter contre la surproduction et le gaspillage. Les marques sont de plus en plus nombreuses à s'intéresser à l'impression 3D, par exemple, pour concevoir des modèles à la demande, en réduisant la consommation d'eau et d'énergie, et en misant sur des souliers entièrement recyclables. A l'automne 2021, Heron Preston innovait avec des chaussures imprimées en 3D, en partenariat avec Zellerfeld. Un lancement bêta, certes, qui promettait toutefois déjà un recyclage à l'infini de chaque paire.

Mais c'est l'entreprise américaine Hilos qui semble avoir le plus avancé sur le sujet, puisqu'elle propose à ce jour pas moins de quatre modèles ayant recours à l'impression 3D. Non contente de réduire son empreinte environnementale, la marque en profite également pour faire du sur-mesure puisque l'impression 3D lui permet de proposer des tailles adaptées à chacun.

Dans un autre registre, la marque britannique Pip & Henry vient de recevoir une dotation pour concevoir la première chaussure extensible qui grandit au même rythme que les pieds des enfants, en vue là aussi de réduire les déchets et le gaspillage, particulièrement polluants pour la planète. Peu importe l'objectif ou l'usage, les nouvelles technologies ont bel et bien commencé à révolutionner notre garde-robe pour une mode plus durable et personnalisée.

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