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Monday, July 31, 2023

Julien Thiel (Deasyl): Deasyl propose des technologies visant à réduire l'impact environnemental de l'industrie ... - BFM Business

BFM BUSINESS PARTENAIRE - Ce vendredi 28 juillet, Julien Thiel, président co-fondateur de Deasyl, s’est penché sur une réinvention de la chimie pour aller vers plus de circulaires et réduire l'emprunte carbone du secteur, dans l’émission Objectif Croissance présentée par Vincent Touraine. Objectif Croissance est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.

Le | Durée : 3:53

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Julien Thiel (Deasyl): Deasyl propose des technologies visant à réduire l'impact environnemental de l'industrie ... - BFM Business
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Sunday, July 30, 2023

REPORTAGE - Coupe du monde de rugby 2023 : comment la technologie permet à l'équipe de France de se préparer - TF1 INFO

Et pour le mental, Mickaël Campo travaille avec l’équipe de Fabien Galthié depuis quatre ans. Gérer ses émotions pour être plus performant individuellement, mais aussi collectivement. “On peut être très bon techniquement, on peut être très bon physiquement, si au moment où on arrive sur le terrain, on est pris par les émotions, collectivement ou individuellement, fondamentalement on ne sera pas capables de pouvoir mettre en place nos ressources et on ne sera pas performant”, conclut Mickaël Campo. Le premier match test de la France aura lieu samedi 5 août en Écosse. Vous pourrez suivre cette rencontre à partir de 16h sur TF1.

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REPORTAGE - Coupe du monde de rugby 2023 : comment la technologie permet à l'équipe de France de se préparer - TF1 INFO
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« Je voulais montrer que ces technologies peuvent se retourner contre le régime » - Mediapart

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« Je voulais montrer que ces technologies peuvent se retourner contre le régime »  Mediapart
« Je voulais montrer que ces technologies peuvent se retourner contre le régime » - Mediapart
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Friday, July 28, 2023

L'Unesco alerte contre les effets néfastes des technologies à l'école - L'Éclaireur Fnac

Dans un rapport, l’Unesco appelle à réguler la technologie numérique en milieu scolaire, alertant sur plusieurs points problématiques.

L’utilisation du numérique dans le milieu scolaire a de nombreux avantages, mais elle peut aussi avoir « des effets néfastes ». C’est ce qu’indique l’Unesco, l’organe de l’ONU dédié à l’éducation, aux sciences et à la culture, dans son rapport « Les technologies dans l’éducation : qui est aux commandes ? », publié mercredi. Elle assure que son usage doit être « régulé », alertant sur plusieurs points problématiques, à commencer par la profusion du matériel mis à disposition des élèves sans encadrement suffisant pour une utilisation raisonnée.

Autrement dit, fournir des ordinateurs portables aux élèves n’est pas suffisant, car l’apprentissage ne s’améliore pas sans accompagnement pédagogique. Les bienfaits en matière d’apprentissage disparaissent également si la technologie est utilisée de manière excessive. Elle peut ainsi devenir un outil de distraction, comme tel est le cas avec les smartphones. « On a trouvé que la simple proximité avec un appareil mobile distrayait les élèves et avait un impact négatif sur l’apprentissage dans 14 pays », indique le rapport. Pourtant, moins d’un quart des pays interdisent leur utilisation.

Se concentrer sur les résultats d’apprentissage

Le rapport souligne aussi le manque de « données solides sur la valeur ajoutée que les technologies numériques apportent à l’éducation », ainsi que le manque d’impartialité des quelques études disponibles sur le sujet vu qu’« une grande partie des données probantes proviennent des entités qui cherchent à vendre ces technologies ». L’Unesco cite l’exemple de Pearson, éditeur britannique qui « a financé ses propres études » afin de « contester une analyse indépendante qui avait montré l’absence d’impact de ses produits »

Pour l’organe de l’ONU, il ne faut pas se concentrer sur les ressources numériques mais sur les résultats d’apprentissage. Il précise que les inégalités en matière d’apprentissage se creusent entre élèves lorsque l’enseignement se fait exclusivement à distance et que le contenu en ligne n’est pas toujours adapté au contexte. Le passage rapide à l’apprentissage en ligne lors de la pandémie de COVID-19 a par exemple exclu au moins un demi-milliard d’élèves dans le monde, « principalement les plus pauvres et les habitants des zones rurales »

Encadrer l’utilisation du numérique dans le milieu scolaire

L’évolution rapide des technologies impose en outre un rythme d’adaptation contraignant aux systèmes éducatifs. « La culture numérique et la pensée critique sont de plus en plus indispensables, notamment du fait de l’essor de l’IA générative », indique l’Unesco. Ce processus d’adaptation a déjà commencé, avec 54% des pays observés ayant défini les compétences qu’ils souhaitent développer pour l’avenir. Cependant, seulement 11 des 51 gouvernements concernés ont mis en place des programmes d’études sur l’IA. Les notions d’éducation de base, comme la lecture, sont également essentielles dans le cadre de l’utilisation du numérique. Les élèves maîtrisant le mieux la lecture sont par exemple beaucoup moins susceptibles d’être trompés par des emails frauduleux. 

Autre problème : les données recueillies par le matériel mis à disposition des élèves. Alors que selon une étude, « 89% des 163 produits technologiques éducatifs recommandés pendant la pandémie pouvaient surveiller les enfants », seuls 16% des pays garantissent juridiquement la confidentialité des données dans le domaine de l’éducation. Face au manque de gouvernance et de réglementation adaptées, l’Unesco appelle à « réguler la façon dont les nouvelles technologies sont utilisées dans l’éducation »

« La révolution numérique recèle un potentiel incommensurable mais, tout comme des mises en garde ont été formulées quant à la manière dont elle doit être encadrée dans la société, il faut accorder une vigilance comparable à la manière dont elle est utilisée dans l’éducation », a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco. « Elle doit être utilisée pour enrichir le processus d’apprentissage et pour favoriser le bien-être des élèves et des enseignants, et non à leur détriment », a-t-elle affirmé.

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Thursday, July 27, 2023

Ommic, histoire d'une trahison : un patron français accusé d'avoir livré des technologies sensibles aux Russes - Le Parisien

La société Ommic est une belle aventure industrielle made in France. Forte d’une centaine de salariés et implantée dans le Val-de-Marne, cette entreprise est l’une des rares en Europe à produire des semi-conducteurs, ces puces électroniques que l’on retrouve dans tous les objets connectés du quotidien. Grâce au développement d’une technologie innovante dont le secret est jalousement gardé, les ingénieurs tricolores sont parvenus à inventer un modèle de puces surpuissantes, surperformantes et potentiellement dangereuses. Raison pour laquelle ces matériels sont l’objet d’une réglementation ultra-stricte.

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Ommic, histoire d'une trahison : un patron français accusé d'avoir livré des technologies sensibles aux Russes - Le Parisien
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L'Unesco alerte sur les risques d'avoir un téléphone à l'école - BFMTV

L'organisation s'inquiète de l'utilisation importante des appareils numériques à l'école, pointant du doigt les problèmes d'attention des élèves ainsi que des baisses de performance.

Des ordinateurs distribués sans travail pédagogique préalable, des savoirs basiques qui se perdent, des enfants distraits: la technologie numérique en milieu scolaire, peut avoir "des effets néfastes" et doit être "régulée", affirme l'Unesco.

Si le numérique a "drastiquement amélioré l'accès aux ressources d'enseignement et d'apprentissage", notamment en Ethiopie ou en Inde, où des bibliothèques en ligne, très populaires, ont vu le jour, et l'apprentissage à distance a sauvé l'éducation pendant la pandémie de Covid-19, ces technologies sont aussi largement promues par les fabricants, non sans certaines manipulations.

L'organisation onusienne pour l'éducation, les sciences et la culture, note ainsi le "manque" de données "impartiales" sur l'impact des technologies éducatives.

"Une grande partie des données probantes proviennent des entités qui cherchent à vendre ces technologies", regrette son rapport publié mercredi et intitulé "Les technologies dans l'éducation: qui est aux commandes?".

Il cite l'exemple d'un éditeur britannique, Pearson, qui "a financé ses propres études" afin de "contester une analyse indépendante qui avait montré l'absence d'impact de ses produits".

Se concentrer sur les résultats

Or, il faut "se concentrer sur les résultats d'apprentissage, et non sur les ressources numériques", souligne l'Unesco. Au Pérou, "lorsque l'on a distribué plus d'un million d'ordinateurs portables sans les intégrer à la pédagogie, l'apprentissage n'a pas connu d'amélioration", relève le rapport.

"Aux États-Unis, une analyse portant sur plus de deux millions d'élèves a révélé que les inégalités d'apprentissage s'étaient creusées lorsque l'enseignement avait été exclusivement dispensé à distance", poursuit-il.

Les technologies peuvent se révéler "néfastes" en cas d'utilisation "inappropriée ou excessive", une enquête de l'OCDE suggérant notamment "un lien défavorable entre l'utilisation excessive des technologies de l'information et de la communication et la performance des élèves", ajoute-t-il.

"On a trouvé que la simple proximité avec un appareil mobile distrayait les élèves et avait un impact négatif sur l'apprentissage dans 14 pays, pourtant, moins d'un sur quatre a interdit l'utilisation des (smartphones) dans les établissements scolaires", analyse encore l'Unesco.

Surveillance et données exposées

A ceci se superposent des questionnements éthiques, car "les données des enfants sont exposées". Selon l'Unesco, qui cite une autre étude, "89% des 163 produits technologiques éducatifs recommandés pendant la pandémie pouvaient surveiller les enfants".

Pourtant, "seuls 16% des pays garantissent explicitement la confidentialité des données dans l'éducation par la loi". Il est indéniable que "tout le monde", élèves inclus évidemment, "devrait s'initier à la technologie" car elle "fait partie de nos compétences de base aujourd'hui", note à l'AFP Manos Antoninis, le directeur du rapport, interrogé par l'AFP. Mais cela ne passe pas forcément par la technologie elle-même, insiste-t-il.

"Les enfants qui savent mieux lire ont cinq fois plus de chances de ne pas être trompés par des mails d'hameçonnage. Cela ne nécessite rien de technologiquement avancé. Il suffit juste d'avoir de bonnes capacités de lecture et de réflexion critique", remarque l'expert.

"Manque de réglementation adaptée"

L'Unesco, dans un communiqué, appelle donc à "réguler la façon dont les nouvelles technologies sont utilisées dans l'éducation", où sévit un "manque de gouvernance et de réglementation adaptées".

La révolution numérique, qui dispose d'un "immense potentiel", doit être "encadrée" dans l'éducation, comme elle l'est dans le reste de la société, affirme Audrey Azoulay, la directrice générale de l'organisation.

Et la patronne de l'Unesco d'avertir: "La technologie doit améliorer le processus d'apprentissage et servir le bien-être des élèves et des enseignants, plutôt qu'être utilisée à leur détriment."

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Elle appelle ainsi à "placer les besoins de l'apprenant au premier plan et soutenir le travail des enseignants. Les interactions en ligne ne peuvent en aucun cas remplacer les interactions humaines."

J.R. avec AFP

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Wednesday, July 26, 2023

Numérique à l'école : l'Unesco pointe de possibles effets "néfastes" sur l'apprentissage - France Inter

Évidemment, le numérique, introduit en milieu scolaire, a fait preuve de nombreux atouts : il a donné un accès illimité à des ressources de savoir et d'apprentissage, notamment dans les pays en voie de développement, et a également permis aux écoliers du monde entier de maintenir un lien lors de la pandémie de Covid-19. Cependant, son usage doit absolument être "régulé" et repensé, sous peine "d'effets néfastes", affirme l'Unesco par le biais d' un rapport rendu public ce mercredi.

L'organe de l'ONU dédié à l'éducation, aux sciences et à la culture, alerte ainsi sur plusieurs points, dont le plus problématique reste la profusion du matériel mis à disposition des élèves à peu près partout sur la planète, mais sans encadrement suffisant pour une utilisation raisonnée. En clair, il ne suffit pas de distribuer des millions d'ordinateurs portables aux écoliers : sans accompagnement pédagogique, le matériel mis à disposition peut se transformer en objet de distraction, voire en outil de manipulation.

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Se concentrer sur les résultats, pas sur les ressources

Le rapport de l'Unesco, justement intitulé "Technologies dans l’éducation : qui est aux commandes ?", s'interroge notamment sur la promotion faite de ces technologies en milieu scolaire par des fabricants eux-mêmes chargés de fournir le matériel, dont on estime qu'il doit, en milieu scolaire, "se renouveler tous les 36 mois".

Les auteurs notent également le "peu de données solides sur la valeur ajoutée que les technologies numériques apportent à l’éducation", mais aussi le manque d'impartialité des quelques études disponibles sur le sujet, car "une grande partie des données probantes proviennent des entités qui cherchent à vendre ces technologies".

Aller plus loin : Les enfants face au numérique

Derrière les moyens matériels, l'intégration de ces supports à l'encadrement pédagogique est indispensable, souligne encore l'étude qui appelle à "se concentrer sur les résultats d'apprentissage, et non sur les ressources numériques". L'Unesco cite alors le cas des États-Unis, où "une analyse portant sur plus de deux millions d'élèves a révélé que les inégalités d'apprentissage s'étaient creusées lorsque l'enseignement avait été exclusivement dispensé à distance" ou encore le cas du Pérou : un million d'ordinateurs portables y ont été distribués aux élèves, mais sans accompagnement pédagogique spécifique. Résultat : "l'apprentissage n'a pas connu d'amélioration", relèvent  les auteurs de l'étude.

Sans accompagnement correct à la réception de ces outils, les élèves en font une utilisation "excessive" ou "inapproprié", et l'effet est tout simplement contre-productif : "La simple proximité avec un appareil mobile distrayait les élèves et avait un impact négatif sur l'apprentissage dans 14 pays, pourtant, moins d'un sur quatre a interdit l'utilisation des (smartphones) dans les établissements scolaires", analyse encore l'Unesco.

Exposition des données personnelles

Se pose également la question de l'intérêt des fabricants face aux milliards de données personnelles recueillies par le matériel mis à disposition des élèves : "Les données des enfants sont exposées", confirme l'Unesco, qui cite une autre étude, dans laquelle "89% des 163 produits technologiques éducatifs recommandés pendant la pandémie pouvaient surveiller les enfants". Pourtant, "seuls 16 % des pays garantissent explicitement la confidentialité des données dans l'éducation par la loi".

Face à cette révolution numérique, et son "immense potentiel", Audrey Azoulay, la directrice générale de l'organisation, réclame donc un encadrement du milieu scolaire à la hauteur : "La technologie doit améliorer le processus d'apprentissage et servir le bien-être des élèves et des enseignants, plutôt qu'être utilisée à leur détriment." Le rapport rappelle que, sans réflexion à long terme, "la numérisation de l’éducation risque également de profiter aux apprenants déjà privilégiés et de marginaliser encore plus d’autres élèves, creusant ainsi les inégalités d’apprentissage."

Face à cela, l'Unesco rappelle l'essentiel : le travail d'accompagnement des enseignants, qui doivent être suffisamment formés, car "les interactions en ligne ne peuvent en aucun cas remplacer les interactions humaines."

Aller plus loin  :  Éducation : comment la technologie peut-elle (vraiment) aider les enseignants ?

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Monday, July 24, 2023

Billet | La technologie indésirable qui s'empare de nos chambres d'hôtel - La Presse

Dans mon hôtel situé dans les Alpes suisses, je suis rentrée du souper, fatiguée par le décalage horaire et un peu éméchée, pour découvrir qu’un téléviseur placé à l’intérieur du miroir de la salle de bains avait été allumé pendant le service de préparation à l’arrivée. J’ai appuyé sur tous les boutons du panneau mural, puis j’ai essayé les interrupteurs d’un boîtier de commande situé à côté du lit. Rien n’y a fait.

Comme je ne trouvais rien qui ressemble à un téléphone dans la chambre (n’oubliez pas que j’étais un peu ivre), j’ai filé dans le hall et je suis revenue avec un réceptionniste pour éteindre mon « miroir intelligent ». Vingt minutes plus tard, déjà en pyjama, j’ai dû faire face à un nouveau problème : aucun interrupteur, aucun bouton n’éteignait les lumières de la salle de bains. J’ai fermé la porte, j’ai mis un masque sur mes yeux et je me suis débrouillée.

Désormais, je dois m’habituer à l’abondance de technologies intelligentes dans les chambres d’hôtel. Des lumières à commande vocale. Des concierges avec chatbot. Des codes QR sur les téléviseurs. L’enregistrement par navigateur ou application mobile. L’envoi d’un texto au voiturier pour ma voiture. Ne me parlez même pas des rideaux motorisés – essayer de voir l’océan à Miami était aussi difficile que de s’attaquer à William Faulkner. Tout cela est exaspérant. Et accablant.

Une étude récente du magazine spécialisé Hospitality Technology et du William F. Harrah College of Hospitality de l’Université du Nevada à Las Vegas a interrogé 100 hôteliers et a constaté que l’adoption, dans l’ensemble du secteur, de fonctions en libre-service telles que les bornes d’enregistrement et les clés de chambre mobiles est en plein essor.

Les partisans de cette initiative affirment que ces investissements présentent de nombreux avantages pour les clients, qu’il s’agisse de personnaliser l’expérience hôtelière, d’anticiper les besoins des clients, de réduire les points de friction ou de libérer du personnel.

Neha Jaitpal, gestionnaire général mondial du secteur Building Technologies d’Honeywell, supervise les solutions « intuitives » pour plus de deux millions de chambres d’hôtel dans le monde, travaillant pour des entreprises telles qu’Accor et Fairmont Hotels & Resorts. « Imaginez que vous arriviez dans votre chambre d’hôtel après une longue journée de voyage et qu’elle soit déjà réglée selon vos préférences, qu’il s’agisse de la température, de l’éclairage ou même de la position des rideaux », explique-t-elle.

Grâce à l’automatisation, les chambres d’hôtel peuvent être personnalisées sans qu’il soit nécessaire d’interagir avec l’humain.

Neha Jaitpal, gestionnaire général mondial du secteur Building Technologies d’Honeywell

« Les chambres d’hôtel intelligentes sont synonymes d’autonomisation », a déclaré Robert Firpo-Cappiello, rédacteur en chef de Hospitality Technology. « Les interactions sans contact ont été un pivot de survie pour les hôtels pendant la pandémie. Les gens y sont désormais habitués. Il n’y a pas de retour en arrière possible. »

Oui, certains (jeunes) voyageurs à qui j’ai parlé l’adorent.

« À l’hôtel Wynn, j’ai aimé qu’Alexa ferme les stores, éteigne les lumières et fasse jouer de la musique, a déclaré Eddie Burns, 25 ans, batteur et musicien itinérant. Je suis arrivé super tard et c’était génial de tout gérer depuis le lit. »

Un système qui gaspille l’énergie mentale

Mais, s’il vous plaît, pouvons-nous revenir en arrière ? Ces « améliorations pour les clients », présentées comme très demandées par les hôteliers et les entreprises technologiques qui les fabriquent, ne le sont pas pour moi. Elles ont été, en fait, des obstacles – entre moi et le sommeil, moi et la vue que j’avais payée, moi et des oreillers fermes (à Miami, cette demande n’était pas une option sur la tablette, et aucun humain n’a répondu au téléphone à l’entretien ménager). Ce qui était autrefois simple est aujourd’hui ridiculement compliqué.

« J’avais l’habitude d’entrer dans une chambre d’hôtel et de me détendre. Maintenant, c’est tout un travail de comprendre comment utiliser les lumières et éteindre la télévision, qui, bien sûr, est réglée sur la station promotionnelle de l’hôtel », a dit Jill Weinberg, 67 ans, directrice régionale du Musée américain du mémorial de l’Holocauste et, comme moi, cliente frustrée de l’hôtel. « Voilà un tout nouveau système pour lequel je dois gaspiller de l’énergie mentale chaque fois que je voyage. »

Un autre problème avec les chambres d’hôtel « personnalisées » ? Elles sont impersonnelles. La fonctionnalité « sans friction » ne crée pas de caractère ou d’âme ; ce sont les gens qui le font. J’aime être accueilli par la réception, discuter avec le concierge d’idées de restaurants et bavarder avec les autres membres du personnel qui, le plus souvent, ont des conseils locaux intéressants. Je me fiche qu’une chambre « sache » que j’aime le pilates et que le thermostat soit réglé sur 20 degrés. Et je ne vais pas télécharger une application juste pour demander des serviettes. Ne puis-je pas simplement demander au service d’entretien ?

Les autres voyageurs le veulent aussi.

Stephanie Fisher, conseillère auprès de l’agence de voyages de luxe Local Foreigner, a expliqué que nombre de ses clients « demandent des hôtels avec un service personnalisé qui privilégient les relations avec les clients ».

Les meilleurs souvenirs viennent de la connexion avec les gens, pas avec les appareils.

Stephanie Fisher, conseillère

Heureusement pour moi et pour beaucoup d’autres clients, tous les hôtels ne considèrent pas la technologie comme le remède miracle du futur. Certains, comme les Graduate Hotels, une chaîne d’hôtels de charme situés dans des villes universitaires comme Ann Arbor, dans le Michigan, et Nashville, dans le Tennessee, sont – à l’exception du Wi-Fi et de quelques téléviseurs intelligents – délibérément analogiques.

« Nous sommes attachés à la nostalgie, à la notion de transport des clients vers une époque plus simple, c’est pourquoi nous n’avons jamais voulu utiliser de télécommande, explique Ben Weprin, fondateur des Graduate Hotels. Nous voulons que les clients s’immergent dans la communauté universitaire et reviennent ensuite dans leur chambre pour décompresser. Notre devise est la suivante : sortir du métavers et entrer dans l’univers. »

En Europe, la seule technologie proposée dans les chambres des hôtels Rocco Forte est l’internet à haut débit. Cela ne veut pas dire que la technologie est ignorée : les portiers utilisent une oreillette pour communiquer le nom d’un client à la réception afin qu’il reçoive un accueil personnalisé lorsqu’il s’enregistre, et des systèmes d’arrière-plan enregistrent les préférences afin que le personnel de salle puisse se « souvenir » de la commande de café de spécialité d’un client le matin. Ce n’est pas à la pointe de la technologie. C’est là l’essentiel.

Et cela me convient parfaitement. Bien que l’idée d’un éclairage centré sur l’homme et adapté à mon rythme circadien soit noble, s’il vous plaît, donnez-moi juste un interrupteur. Peut-être aussi une bonne vieille ligne fixe avec un humain à l’autre bout du fil. J’irai mieux que bien. Je serai une invitée plus heureuse et plus détendue.

Cet article a été publié à l’origine dans The New York Times.

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Saturday, July 22, 2023

Intelligence artificielle : la Chine a un nouveau plan très clair pour remporter sa guerre technologique face aux Etats-Unis - jeuxvideo.com

News JVTech Intelligence artificielle : la Chine a un nouveau plan très clair pour remporter sa guerre technologique face aux Etats-Unis

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Après les puces informatiques et le cloud computing, la guerre technologique entre la Chine et les États-Unis va maintenant s’inviter sur le terrain de l’intelligence artificielle. Le ministère de l'Industrie et des technologies de l'information chinois vient de prendre une immense décision.

La Chine veut devenir le numéro 1 de l’IA

La Chine, dans sa quête pour devenir un leader mondial en matière d'intelligence artificielle (IA), prévoit de mettre en place une infrastructure informatique nationale solide. Le ministère de l'Industrie et des technologies de l'information s'est engagé à accélérer le développement de cette infrastructure afin de soutenir les percées dans le domaine de l'intelligence artificielle générative. Pékin considère cette technologie comme essentielle pour renforcer son statut de leader économique et politique mondial, mais aussi pour rivaliser avec les États-Unis dans la course technologique.

Après les puces informatiques et plus récemment le cloud computing, c’est donc maintenant au tour de l’intelligence artificielle d’entrer dans la danse des domaines technologiques sur lesquels la Chine et les États-Unis se livrent une bataille. Les autorités chinoises ont récemment assoupli certaines réglementations pour encourager le développement des services d'IA, ce qui a entraîné une frénésie d'activité dans le pays impliquant de grosses entreprises, des startups et même des universités.

Une politique concentrée sur l’intelligence artificielle

Comme nous vous l’expliquions plus haut, la Chine a pour objectif de bâtir une infrastructure informatique nationale solide afin de favoriser l'essor de l'intelligence artificielle (IA). Le ministère de l'Industrie et des technologies de l'information s'est engagé à soutenir l'expansion de la puissance informatique nécessaire pour réaliser des percées dans le domaine de l'IA générative, une technologie de plus en plus privilégiée par Pékin dans sa rivalité technologique avec les États-Unis. Le ministère a, en effet, l'intention de mettre en place des mesures pour guider le développement de « haute qualité » des réseaux informatiques et des grands modèles de langage. Ces initiatives reflètent l'importance que la Chine accorde à l'IA pour assurer son leadership économique et politique mondial.

Crédit photo : Pexels

Intelligence artificielle : la Chine a un nouveau plan très clair pour remporter sa guerre technologique face aux Etats-Unis

Bien que Pékin n'ait pas encore mis en place de politiques spécifiques pour soutenir le développement de l'IA, les signaux positifs ont suscité un engouement dans le pays, avec de nombreuses entreprises et acteurs cherchant à créer l'équivalent chinois de ChatGPT (OpenAI). Alors que la Chine reconnaît l'importance stratégique de l'IA pour la compétitivité économique et politique, le pays doit surmonter certains défis majeurs, notamment le manque de puces haut de gamme causé par les restrictions américaines. Malgré cela, la frénésie d'activité dans le domaine de l'IA en Chine, avec la participation des principales entreprises et des entrepreneurs innovants, offre des perspectives prometteuses pour l'avenir de la technologie dans le pays.

En surmontant les défis technologiques et en encourageant la coopération entre les acteurs de l'industrie, la Chine pourrait bien consolider sa position sur l’échiquier de l'intelligence artificielle. Alors que la course technologique avec les États-Unis se poursuit, la voie vers la suprématie en matière d'IA reste ouverte et le pays qui parviendra à exploiter pleinement le potentiel de cette technologie aura sans doute un gros impact sur le futur paysage économique et politique mondial.

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Le ministère des Armées investit dans une technologie qui va améliorer les lunettes de tir de précision - Zone Militaire

Créé en décembre 2020 par le ministère des Armées et géré par Bpifrance afin de compléter le Fonds d’investissement de défense [Definvest], le Fonds innovation défense [FID], doté de 200 millions d’euros, vise à soutenir la croissance des entreprises dont les technologies sont susceptibles d’avoir des applications militaires.

Ces derniers mois, le FID a notamment participé aux levées de capitaux de Dust Mobile [protection des communications mobiles sensibles], d’Outsight [solutions logicielles en réalité virtuelle 3D LiDAR], de XXII [analyse de flux vidéos en temps réel grâce à de l’intelligence artificielle] et d’Exotrail [moteurs pour nano-satellites].

La dernière opération réalisée par le FID a consisté à prendre part, aux côtés de Jolt Capital, de Ventech Capital et de CIPIO PARTNERS, à une levée de fonds de 21 millions d’euros au profit de l’entreprise Microoled, spécialiste de la technologie DELO [diode électroluminescente organique ou OLED, pour Organic Light-Emitting Diode].

« Sébastien Lecornu, ministre des Armées, se félicite de la levée de capitaux de 21 millions d’euros en faveur de la société Microoled. […] Cette levée de fonds permettra à Microoled de financer la montée en puissance commerciale des nouveaux produits à haute luminance ainsi que la construction de la nouvelle ligne de production », a fait savoir le ministère des Armées, via un communiqué diffusé le 20 juillet.

La technologie DELO repose sur l’utilisation de diodes électroluminescentes superposées et composées de couches nanométriques de matériaux semi-conducteurs organiques. Par rapport à celle relative aux écrans à cristaux liquides [LCD], elle donne un meilleur rendu des couleurs ainsi qu’un angle de confort de vision plus étendu. Et le tout avec une consommation énergétique moindre. En outre, elle permet de concevoir des micro-écrans flexibles, dont l’intérêt, explique le ministère des Armées, est « d’afficher des éléments virtuels au plus près de l’œil ».

Cependant, et à l’heure actuelle, les écrans conçus selon cette technologie ont une durée de vie assez limitée [pour le moment] et ils sont sensibles l’humidité.

« Depuis 2007, l’entreprise […] a développé un vaste registre de technologies, dérivées de l’univers du semi-conducteur et protégées par plus de 170 brevets issus d’une collaboration étroite avec les équipes du CEA/Leti. Microoled dispose ainsi de nombreux atouts pour devenir leader du marché des écrans miniatures ultralégers pour l’affichage tête haute. Pour répondre aux exigences du ‘light AR’, plusieurs tailles sont actuellement disponibles [de 0,2 à 0,6 pouces] qui permettent d’afficher des informations de manière précise et rapide, tout en se contentant de consommations ne dépassant pas quelques milliwatts », explique Bpifrance.

Aussi, les applications de la technologie DELO sont nombreuses… Mais au moins deux intéressent plus particulièrement les armées : les jumelles de vision nocturne et les lunettes de fusil de précision.

« Pour ces applications, les enjeux principaux sont d’obtenir une haute qualité et netteté d’image, un encombrement minimal du dispositif d’affichage mais également une faible consommation d’énergie pour limiter la taille de la batterie et augmenter la durée de fonctionnement », souligne le ministère des Armées.

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Friday, July 21, 2023

LeapMotor pourrait vendre ses technologies à un constructeur non-chinois - Automobile Propre

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Après des débuts timides en 2019, LeapMotor s'affirme aujourd'hui comme une des start-ups les plus dynamiques en Chine. Elle pourrait aussi être la première à vendre ses technologies à un constructeur étranger.

Avec un peu plus de 110 000 voitures écoulées en 2022, LeapMotor s’est positionné comme un des 5 principaux nouveaux constructeurs chinois avec LI Auto, Nio, Xpeng et Neta, même si la marque a connu un sérieux trou d’air en janvier dernier.

Certes, ses ventes ont par le passé surtout été portées par la petite T03, mais depuis quelques mois, le CUV C11 et la berline C01 ont pris le relais. En particulier avec l’arrivée du prolongateur d’autonomie. Sur le premier semestre 2023, ces modèles ont ainsi représenté 87% de ses ventes en Chine.

LeapMotor a en outre montré des progrès significatifs en matière de technologie, en étant par exemple le premier constructeur à intégrer directement sa batterie au châssis dans la C01. Pas vraiment une batterie « Cell to Body » puisque la batterie reste composée de modules, intégrés directement à la structure du soubassement.

Le constructeur a confirmé être en discussions avancées avec un constructeur étranger afin de lui vendre sa technologie sous licence. On sait que ce ne sera pas Audi, engagé avec SAIC… Si l’affaire venait à se conclure positivement, LeapMotor serait la première start-up chinoise à vendre sa technologie à l’étranger. Mais pas le premier constructeur chinois, puisque Geely a déjà vendu sa plateforme SEA

À lire aussi Essai vidéo – LeapMotor T03 : une concurrente de la Fiat 500e à un prix imbattable

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Nouvelle hausse en Europe, mais sans le secteur technologique - Capital.fr

(AOF) - Les marchés européens ont enregistré une nouvelle séance de progression, en dépit de la baisse des valeurs technologiques. L'indice CAC 40 a gagné 0,79% à 7 384,91 points et se rapproche de la zone de résistance des 7 400 points. L'EuroStoxx50 a progressé de seulement 0,26% à 4 373,43 points, affaibli par le secteur technologique. Le Nasdaq Composite reculait ainsi de 1,15% vers 17h30 tandis que le Dow Jones s'adjugeait 0,77%.

Le rythme des publications de résultats des sociétés s'est accéléré des deux côtés de l'Atlantique. Deux noms emblématiques de la cote américaine, Netflix et Tesla, sont sanctionnés, perdant respectivement plus de 8% et plus de 6%.

Les mauvaises nouvelles ne s'arrêtent pas là pour le secteur technologique. Le fondeur taïwanais, TSMC, qui approvisionne tous les grands noms de l'industrie des semi-conducteurs, a lancé un avertissement sur ses revenus, désormais anticipé en recul de 10%. A Paris, Soitec et STMicroelectronics ont terminé parmi les plus forts replis de l'indice SBF 120.

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Publicis, première société du CAC 40 à dévoiler ses résultats semestriels, vise désormais le haut de sa fourchette d'objectifs 2023. Cette nouvelle bonne surprise de la part du groupe de communication a été saluée.

Les statistiques économiques ont été reléguées au second plan. L'indice des indicateurs avancés a reculé de 0,7% en juin aux Etats-Unis après avoir déjà baissé de 0,6% en avril. Il était attendu en repli de 0,6%. Toujours aux Etats-Unis, les ventes de logements anciens ont atteint 4,16 millions d'unités en juin en rythme annualisé, ressortant en-dessous du consensus de 4,20 millions. Elles s'étaient élevées à 4,30 millions en mai.  

© AOF

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Thursday, July 20, 2023

Mauna Kea Technologies : un 2e trimestre dynamique - Boursier.com

Mauna Kea Technologies : un 2e trimestre dynamique

(Boursier.com) — Au 2e trimestre 2023, le chiffre d'affaires total de Mauna Kea Technologies s'élève à 2,68 millions d'euros (+77%), dont 2,18 ME de ventes, en hausse de +44%, et 499 kE de redevances de licence et de technologie correspondant aux revenus trimestriels récurrents issus de la JV avec Tasly Pharmaceutical. Les ventes de systèmes affichent une forte croissance de +93% au 2e trimestre, bénéficiant notamment de nouvelles ventes aux Etats-Unis. Les ventes de consommables ont augmenté de +40% au cours du trimestre, principalement tirées par le programme PPU.

Au 1er semestre 2023, les ventes totales ont atteint 6,85 ME, en progression de +102% par rapport à l'année précédente, impactées positivement par la comptabilisation de 3,30 ME de redevances de licence et de technologie issus de la JV avec Tasly Pharmaceutical.

"Dans le prolongement des très bons résultats du premier trimestre, nous sommes très satisfaits de notre performance commerciale au 2e trimestre, soutenue par une dynamique remarquable des ventes aux États-Unis que ce soit pour les systèmes et les consommables, et également notre programme PPU (pay-per-use), et ce malgré les problèmes persistants d'approvisionnement en fluorescéine", commente Sacha Loiseau, Ph.D., Président-Directeur Général de Mauna Kea Technologies.

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Philippe Tibi : « Nous avons besoin de plusieurs dizaines de milliards d'euros investis dans les technologies en France - Capital Finance

Publié le 20 juil. 2023 à 18:40

Quel bilan tirez-vous de la première phase de l’initiative Tibi ?

Les investisseurs ont honoré leur promesse, fondée sur des perspectives de rentabilité élevée et de plus grande exposition à la thématique séculaire du progrès scientifique et technologique. C’est un bon exemple d’investissement du capital privé au service de l’intérêt général. 6 Md€ d’euros levés auprès de 23 investisseurs institutionnels français ont permis d’engager un total de 30 Md€ en co-investissement. 67 fonds ont été homologués parmi lesquels 45 fonds dans le non-coté. Ceux-ci gèrent un total de 20 Md€, dont trois fonds à plus de 1 Md€ d’encours sous gestion. Cela fait de nous, et de très loin, le premier investisseur dans la tech dans l’Union européenne et le pays qui attire le plus de capitaux étrangers.

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Tuesday, July 18, 2023

L'expérience de l'économiste américaine dans le secteur des grandes technologies est une bonne chose pour l'UE, selon Margrethe Vestager - Zonebourse.com

L'expérience de l'économiste américaine Fiona Scott Morton, qui a travaillé comme consultante pour les grandes entreprises technologiques, lui sera très utile pour son nouveau poste d'économiste en chef à la Commission européenne, a déclaré mardi Margrethe Vestager, chef de la politique antitrust de l'UE, en défendant son choix auprès des législateurs de l'UE.

"Je pense que c'est une bonne chose de venir avec de l'expérience, elle connaît parfaitement notre système", a déclaré Mme Vestager, en réponse aux inquiétudes concernant les conflits d'intérêts liés au travail de consultant de Scott Morton pour Big Tech. (Rapport de Foo Yun Chee)

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Révolution énergétique : découvrez comment les nouvelles technologies peuvent transformer votre maison en un foyer ... - Ctendance

L’écologie est devenue une préoccupation majeure pour un très grand nombre de particuliers, dont vous faites peut-être partie. Cependant, il est parfois ardu de faire des économies d’énergie ou bien d’eau. Heureusement, certaines technologies contribuent à faciliter ce processus. On vous indique ici comment transformer votre maison en un foyer éco-énergétique grâce aux nouvelles technologies. 

Transformer sa maison grâce aux nouvelles technologies

Pour transformer sa maison en foyer éco-énergétique, de nombreuses nouvelles technologies peuvent être d’une grande aide.

Installer des ampoules intelligentes

Les technologies d’éclairage sont devenues plus performantes ces dernières années. En effet, les ampoules LED ont remplacé les ampoules classiques dans les foyers. Celles-ci présentent le bénéfice de consommer beaucoup moins d’énergie et d’avoir une durée de vie supérieure.

À lire Économies d’énergie : Coupez cet appareil de la maison entre 12h et 14h ! 

Une autre technologie vient renforcer l’aspect écologique de ces ampoules : les ampoules intelligentes. Concrètement, il est possible de les contrôler à l’aide d’un smartphone. C’est particulièrement pratique pour être certain de ne pas laisser la lumière allumée chez soi alors que l’on est absent. Par ailleurs, cela permet de contrôler l’intensité de la lumière

Se procurer des prises de courant intelligentes

C’est bien connu : certains appareils sont particulièrement gourmands en énergie, même lorsqu’ils sont en veille. Il existe aujourd’hui des prises de courant intelligentes qui permettent de faire des économies d’énergie.

Les prises de courant intelligentes assurent de contrôler les appareils branchés dessus à distance. Par exemple, cela peut être votre machine à café ou votre télévision. 

Se tourner vers un thermostat technologique 

Le chauffage représente une part considérable de la consommation en énergie d’un logement. De nouveaux thermostats sont apparus sur le marché : intelligents, ils s’adaptent à la routine des habitants de la maison et adaptent le chauffage en conséquence. Cela permet donc d’éviter le gaspillage de chaleur.

À lire La peinture isolante thermique : La solution miracle pour économiser sur vos factures d’énergie ?

La température peut également être contrôlée à distance. Par exemple, si vous revenez plus tôt que prévu du travail, vous pouvez augmenter la température qu’il fait dans votre salon à l’aide de votre smartphone. De même, si vous partez rapidement alors que ce n’est pas prévu, vous pouvez baisser la température même après être sorti. 

La révolution énergétique est en marche dans les foyers

Révolution énergétique : avoir une cuisine connectée

La cuisine est une pièce concernée par la révolution énergétique. En effet, il existe des nouvelles technologies qui permettent d’éviter les gaspillages énergétiques.

Acheter un réfrigérateur connecté 

Les réfrigérateurs connectés présentent de multiples avantages. Effectivement, en premier lieu, ils facilitent la vie de leurs propriétaires. Certains modèles peuvent détecter si des aliments sont périmés ou ont une date d’expiration proche, ce qui limite le gaspillage.

À lire Pompe à chaleur : comment bien choisir son professionnel pour éviter les arnaques ! 

Par ailleurs, il suffit de regarder sur la porte pour connaître le contenu du réfrigérateur. Cela permet de ne pas l’ouvrir, et donc de limiter les pertes de froid. 

Se procurer des appareils contrôlables à distance 

De nombreux appareils que l’on utilise pour cuisiner peuvent être contrôlés à distance. C’est, entre autres, le cas du four. 

Il est possible de connaître le moment exact où son plat doit être mis au four grâce à une notification envoyée sur son smartphone. C’est pratique pour ne pas perdre d’énergie. De plus, le four est en mesure d’envoyer une notification si jamais il n’est pas éteint. 

À lire Sunology Code Promo : 7% de remise sur votre facture !

Avoir une salle de bain écologique au sein de son foyer éco-énergétique 

La salle de bain est une pièce où les gaspillages peuvent être nombreux, qu’il s’agisse d’eau ou bien d’électricité.

Gérer sa consommation d’eau lorsque l’on prend sa douche 

Il existe des panneaux de commande électroniques que l’on peut placer dans sa douche. Ceux-ci permettent de régler la température de l’eau et son débit. C’est très pratique pour réduire sa consommation d’eau : il suffit de choisir un débit plus faible. Certains modèles permettent à leur propriétaire d’enregistrer des programmes de lavage spécifiques. 

Jeter son dévolu sur un miroir chauffant 

Il est compréhensible de ne pas vouloir trop chauffer sa salle de bain. En effet, contrairement au salon, il ne s’agit pas d’une pièce où l’on passe de longues heures au cours d’une journée.
Il existe des miroirs technologiques qui émettent de la chaleur. Ils présentent plusieurs bénéfices. L’un d’entre eux est purement pratique : la chaleur permet d’empêcher la condensation de se former sur le miroir. Le second est écologique. Un miroir comme celui-ci est, en effet, moins gourmand en énergie qu’un système de chauffage traditionnel.

En attendant, débranchez ces appareils et faites des économies d’énergie facilement !

À lire Alerte sécheresse : Découvrez si votre région est au bord de la pénurie d’eau !

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Moins de visites sur ChatGPT car les “étudiants tricheurs” sont en vacances - Courrier international

Pour la première fois depuis son lancement en grande pompe en novembre, le robot conversationnel ChatGPT connaît une baisse de son utilisation. Selon plusieurs sites spécialisés dans les mesures d’audience, parmi lesquels Similarweb, la fréquentation de ChatGPT a chuté de près de 10 % à travers le monde entre les mois de mai et juin, avec une baisse notable du nombre de visiteurs uniques de l’ordre de 5,7 %.

“ChatGPT est censé être le produit à la croissance la plus rapide de l’histoire de la tech [100 millions d’utilisateurs en deux mois d’existence, selon un rapport de la banque suisse UBS], alors forcément, ce revirement interroge les professionnels du secteur : pourquoi l’agent conversationnel ne fait-il plus rêver ?” écrit le site américain Insider.

Selon le média économique, une hypothèse est privilégiée : “Les millions d’étudiants qui sont partis en vacances dernièrement n’ont plus besoin de lui pour tricher… euh pardon, pour faire des recherches”, ironise le journaliste. Depuis l’émergence de ChatGPT, la démocratisation des usages de l’IA sème le trouble au sein des universités. Ces dernières se retrouvent déjà confrontées à un soupçon permanent de plagiat pesant sur les travaux rendus par les étudiants.

“Signal d’alerte”

Les élèves feront leur retour sur les bancs des lycées et universités à la rentrée et nul doute qu’ils se connecteront à nouveau à l’application. “Le nombre de visites repartira à la hausse, et la fusée de l’IA générative reprendra son envol vers l’infini et au-delà.”

Mais ce désamour passager n’est pas une bonne nouvelle pour son créateur, l’entreprise OpenAI. Selon Mark Shmulik, analyste pour la société d’investissement Bernstein, cet état de fait suggère que les utilisations des IA conversationnelles demeurent très limitées, la simple déconnexion des étudiants provoquant une baisse prononcée de la fréquentation.

“Si ce trou d’air est effectivement dû à l’absence des étudiants, c’est un véritable signal d’alerte quant au potentiel marchand de ChatGPT.”

Reste que cette explication ne pourra être vérifiée que dans quelques semaines. ChatGPT pourrait tout aussi bien se heurter dès aujourd’hui à un plafond de verre. Après une croissance exponentielle, le vivier de potentiels nouveaux utilisateurs se tarit.

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Saturday, July 15, 2023

AMD met ses technologies FidelityFX à disposition des développeurs avec un SDK sur GitHub - TomsHardware

Les technologies FidelityFX d’AMD étaient déjà accessibles individuellement pour le développement de jeux vidéo, mais il fallait toutes les configurer manuellement. Aujourd’hui, AMD met à disposition une solution complète d’intégration de ces technologies.

Afin de permettre aux développeurs de jeux vidéo d’intégrer toutes les technologies FidelityFX, AMD a développé une solution open source, disponible sur GitHub permettant d’intégrer directement ces technologies dans le développement de jeux : AMD FidelityFX SDK (Software Development Kit).

AMD FidelityFX SDK
AMD FidelityFX SDK © AMD

Trois nouveaux effets et toutes les précédentes technologies disponibles dans le SDK

 Le SDK introduit trois nouvelles technologies :

  • AMD FidelityFX Blur 1.0, effet de flou ;
  • AMD FidelityFX Depth of Field 1.0, technologie de profondeur de champ ;
  • AMD FidelityFX Lens 1.0, outil de nuances légères avec des effets de filtres, d’objectif ou de caméra : aberration chromatique, vignette et grain de pellicule.

Elles comprennent également de nombreux autres effets tels que le calcul adaptatif combiné de l’occlusion ambiante (CACAO), l’accentuation adaptative du contraste (CAS), la super résolution (FSR 1 et 2), le mappage préservant la luminance (LPM), le tri parallèle, le sous-échantillonneur à passage unique (SPD), les réflexions stochastiques dans l’espace de l’écran (SSSR), l’ombrage variable (VS), les réflexions hybrides et les ombres hybrides.

AMD a indiqué qu’au fur et à mesure que sa collection d’effets s’agrandit et devient plus largement utilisée, elle doit améliorer la façon dont les développeurs peuvent les intégrer. Ce SDK est le résultat d’une volonté d’apporter ” simplicité, structure et cohérence ” à ses technologies FidelityFX.

Voici quelques-unes des caractéristiques du SDK et mises en avant par AMD :

  • Norme et style cohérents et beaucoup plus conviviaux ;
  • Démarrage d’application plus simple et permettant de se concentrer sur les détails de l’algorithme de base plutôt que sur le code d’installation ;
  • Un cadre graphique complètement restructuré, robuste, prêt à l’emploi, et totalement indépendant en matière d’API ;
  • Guide pour la création d’une implémentation backend personnalisée pour les moteurs de jeux multi-plateformes des développeurs ;
  • Documentation complète du SDK et des effets de FidelityFX ;
  • Le SDK propose des solutions complètes et préconstruites pour tous les effets, qui peuvent être pris en charge avec moins de 20 lignes de code, pour la plupart d’entre eux ;
  • Il est toujours possible d’intégrer manuellement le code pour les développeurs, mais le SDK permet de le faire en toute simplicité.

Source : gpuopen

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Technologies médicales : paradoxes médicaux en Europe - Le Messager

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Technologies médicales : paradoxes médicaux en Europe  Le Messager
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Friday, July 14, 2023

La Prénessaye. Un atelier de nouvelles technologies mené avec des jeunes - Maville.com

La salle des Marnots a accueilli, pendant deux jours, lundi et mardi, des animations proposées par Nicolas Besnard, animateur multimédia de Loudéac communauté Bretagne Centre. Le premier jour, cinq personnes étaient présentes pour participer à un atelier de réalité virtuelle, avec des lunettes adaptées. Puis, cinq autres personnes ont participé à l’atelier de modélisation sur ordinateur et impression en 3D.

Grâce aux conseils de Nicolas, les participants ont pu découvrir, mardi, comment créer des formes, via un logiciel spécifique, afin de pouvoir ensuite, l’imprimer en 3D. L’objectif était de réaliser un serpent en forme de chaînette d’une quinzaine de centimètres. Ces animations, très appréciées, seront proposées tout au long de l’été dans plusieurs communes du territoire.

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Intelligence artificielle : l'ONU demande à la communauté internationale de protéger les droits humains - Sud Ouest

La résolution appelle à promouvoir la « transparence » des systèmes d'IA et à veiller à ce que les données destinées à cette technologie « soient collectées, utilisées, partagées, archivées et supprimées » selon des modalités compatibles avec les droits humains.

Le Conseil s'était déjà penché sur les nouvelles technologies dans leur ensemble, mais c'est la première fois qu'il examinait avec attention le développement de l'IA.

Cette résolution souligne l'importance de « garantir, promouvoir et protéger les droits de l'homme tout au long du cycle de vie des systèmes d'intelligence artificielle », a fait valoir l'ambassadeur sud-coréen, Yun Seong-deok, tandis que son homologue américaine Michèle Taylor estimait que la résolution était un « pas en avant » pour le Conseil.

« Nous sommes tout à fait d'accord lorsque cette résolution souligne la nécessité entre autres de mesures de protection, de diligence raisonnable et de supervision humaine en ce qui concerne l'IA », a souligné pour sa part l'ambassadeur belge Marc Pecsteen de Buytswerve au nom de l'Union européenne, appelant à une « approche prudente » pour garantir que les droits humains soient protégés et respectés dans un monde de développement technologique rapide.

Fascinante et inquiétante IA

D'une grande complexité technique, les systèmes d'IA fascinent autant qu'ils inquiètent. S'ils peuvent sauver des vies en permettant un bond en avant des diagnostics médicaux, ils sont aussi exploités par des régimes autoritaires pour exercer une surveillance de masse des citoyens.

Des représentants des Nations unies mais également des dirigeants et experts ont récemment multiplié les appels en faveur de la mise en place de règles pour que ces nouvelles technologies ne mettent pas en danger l'humanité.

L'ambassadeur britannique Simon Manley a demandé vendredi la mise en place de « gardes-fous » et souligné que son pays accueille à l'automne un sommet consacré à l'IA « pour chercher à se mettre d'accord sur des mesures de sécurité, pour évaluer et surveiller les risques importants relatifs aux derniers développements ».

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Thursday, July 13, 2023

Nouvelles technologies : l'intelligence artificielle peut traduire la langue la plus ancienne du monde ! - Tameteo.com

Intelligence artificielle, traduction, langue ancienne
L'intelligence artificielle (IA) est utilisée pour traduire la plus ancienne langue du monde, l'akkadien.

L'intelligence artificielle (IA) est un domaine de la science et de l'informatique qui vise à créer des "machines intelligentes". En d'autres termes, il s'agit de la capacité des appareils électroniques à fonctionner comme s'ils étaient des pensées humaines, en reproduisant des modèles de comportement semblables à ceux de l'homme par le biais de dispositifs et de programmes informatiques.

Cette technologie a été largement utilisée, comme nous l'avons rapporté ici sur Meteored, par exemple pour étudier les tempêtes de sable et les tempêtes solaires, pour la prévention des risques d'ouragans et pour l'imagerie des trous noirs. Aujourd'hui, elle a été utilisée pour déchiffrer la plus ancienne langue du monde : l'akkadien. Le résultat a été publié dans un article de la revue PNAS Nexus.

La plus ancienne langue du monde

Il s'agit de l'akkadien, une écriture cunéiforme sur tablettes d'argile datant de 5 000 ans, similaire au sumérien. Cette langue était utilisée dans plusieurs régions de l'ancienne Mésopotamie, berceau de la plus ancienne civilisation que nous connaissions, telles que l'Akkadia, l'Assyrie, Isim, Larsa, Babylone et Dilmun.

L'akkadien, également connu sous le nom d'akkadien ou d'assyro-babylonien, était une langue sémitique parlée dans l'ancienne Mésopotamie, en particulier par les Assyriens et les Babyloniens. La plus ancienne trace trouvée à ce jour date du XIVe siècle avant J.-C., un morceau de tablette d'argile trouvé à Jérusalem par des archéologues israéliens.

Les hommes de l'époque marquaient des tablettes d'argile avec un alphabet basé sur la forme du coin (d'où le nom de cunéiforme) dès 2 500 av. L'akkadien lui-même a été parlé dans la région entre 3 000 avant et 100 après J.-C., plus tard que la langue sumérienne.

À ce jour, des milliers de tablettes sont conservées en divers endroits du monde, et seule une petite partie de ces documents a été traduite, en raison du manque de spécialistes qualifiés pour le faire et de l'état fragmentaire de la plupart des textes. C'est précisément ce qui a motivé des chercheurs israéliens à utiliser l'IA pour simplifier et accélérer ces traductions.

Comment l'IA a-t-elle été entraînée à traduire la langue ?

Pour commencer à former l'IA, les chercheurs ont réglé la technologie pour qu'elle transcrive l'akkadien cunéiforme en alphabet latin, rendant ainsi la langue plus lisible pour ceux qui ne sont pas proches de l'écriture ancienne. Cette translittération a atteint une précision incroyable de 97 %, ce qui a considérablement simplifié le processus.

Une autre version du modèle d'IA a effectué la traduction directement de l'akkadien vers l'anglais et s'est avérée raisonnable, avec plus d'agilité qu'un humain, bien qu'elle ait parfois généré des "hallucinations" - des séquences de phrases en anglais qui sont grammaticalement correctes mais qui n'ont pas de sens en akkadien.

tablette d'argile, écriture cunéiforme, akkadien
L'écriture cunéiforme était utilisée dans la langue akkadienne, considérée comme la plus ancienne du monde. Crédit : Divulgação/MET/Domínio Público.

Les performances de l'IA dans cette partie ne sont pas parfaites, mais elle a excellé dans la traduction de textes comportant jusqu'à 118 caractères et de documents tels que des décrets royaux et des prophéties. Les textes poétiques et littéraires avaient beaucoup plus de chances de générer ces "hallucinations". Les chercheurs croient néanmoins en une collaboration efficace entre l'homme et la machine. Il est prévu que l'IA produise une première traduction qui reproduise fidèlement le style de chaque texte, puis que les chercheurs entrent en action pour affiner le résultat généré par le logiciel.

"La traduction de toutes les tablettes peut nous faire découvrir les premiers temps de l'histoire, la civilisation de ces peuples, ce qu'ils croyaient, ce dont ils parlaient, ce qu'ils documentaient", a déclaré Gai Gutherz, auteur principal de l'étude, de l'université de Tel-Aviv.

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...