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Sunday, October 31, 2021

Autun | Métiers du bâtiment : technologies de pointe et missions variées - Le JSL

Égyptienne, grecque ou romaine, les grandes civilisations ont constitué des peuples de bâtisseurs. Qui travaille aujourd’hui dans la construction perpétue en quelque sorte cette dimension présente chez l’homme. « Je suis toujours fasciné à l’idée que l’ouvrage que j’entreprends, que je vois prendre forme et évoluer jusqu’à sa terminaison, me survivra. Ce sentiment me pousse à mettre tout mon cœur dans sa réalisation. Un ouvrier ou un compagnon partageant ce ressenti possède déjà une qualité fondamentale », confie Manuel de Sousa, chef d’entreprise autunois ayant toujours baigné dans le monde du bâtiment ( lire par ailleurs ).

La polyvalence de mise

Aujourd’hui bien plus qu’autrefois, les techniques sont nombreuses et les chantiers variés. « L’adaptabilité des membres de mon équipe est essentielle. Nous devons aussi bien maîtriser les matériaux traditionnels que sont briques, parpaings ou mortier que les procédés composites sophistiqués intégrant isolants et autres fluides, mis en œuvre...

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IAI : 127 M NIS pour adapter ses drones et d'autres technologies au marché civil - The Times of Israël

L’Israel Aerospace Industries (IAI), l’entreprise de construction aéronautique israélienne, a mis en place un fonds de 127 millions de shekels pour adapter et commercialiser certaines de ses technologies militaires existantes pour le marché civil grand public, en partenariat avec la start-up israélienne de robotique SixAI.

La première phase du fonds se concentrera sur trois initiatives principales, selon l’annonce : les technologies de production, d’extraction et de stockage de l’énergie; le développement de drones commerciaux, y compris des plates-formes de commandement et de contrôle en milieu urbain; et l’automatisation des lignes de production et des machines autonomes dans l’espace de fabrication, alias Industrie 4.0.

Le fonds sera détenu et exploité conjointement par IAI et SixAI, basés à Neve Ilan près de Jérusalem et fondés par l’entrepreneur technologique israélien Ran Poliakine, le fabricant de la solution de recharge sans fil Powermat. Poliakine est également le fondateur et PDG de la société d’imagerie médicale Nanox, qui est entrée en bourse sur le Nasdaq l’année dernière.

Il a fondé SixAI en 2019 pour fournir des solutions robotiques d’intelligence artificielle (IA) à des industries telles que les usines de semi-conducteurs, la vente au détail, la sécurité et l’agro-technologie. La même année, SixAI a conclu une co-entreprise avec la société japonaise Musashi Seimitsu, une société affiliée de Honda Motor Corporation et un fabricant mondial de pièces de transmission automobile, pour développer des technologies d’IA pour la quatrième révolution industrielle, ou Industrie 4.0, qui verra l’automatisation et la numérisation du processus de fabrication.

L’entreprise a travaillé sur des « robots entièrement autonomes » – un chariot élévateur robotisé et un robot d’inspection visuelle – pour s’intégrer aux travailleurs humains dans un environnement d’usine. Et plus tôt cette année, SixAI a formé une entreprise avec le fournisseur sud-coréen de solutions de test de semi-conducteurs ISC et la société d’investissement axée sur la technologie Yozma Group Korea.

Depuis 1953, l’IAI, propriété du gouvernement, a développé et fabriqué des systèmes avancés pour la sécurité aérienne, spatiale, maritime, terrestre, cyber et intérieure, fournissant des solutions technologiques aux clients gouvernementaux et commerciaux du monde entier, notamment des satellites, des drones, des missiles, des systèmes d’armes et des munitions, des systèmes sans pilote et robotiques et des radars. La société est l’un des plus grands employeurs technologiques d’Israël avec des bureaux et des centres de R & D en Israël et dans le monde entier.

« l’IAI a l’une des plus grandes ‘opérations de haute technologie’ en Israël avec quelque 15 000 employés – dont 10 000 dans le secteur de l’ingénierie – 4,5 milliards de dollars de revenus, 1 milliard de dollars d’investissements annuels en R&D, et c’est un leader dans l’enregistrement de brevets », a déclaré Hezi Israel, vice-président de l’IAI et responsable des partenariats commerciaux.

La technologie Drone Guard développée par Aerospace Industries. (Autorisation)

La société élargit maintenant ses efforts pour adapter la technologie militaire au marché civil, après l’avoir fait ces dernières années dans les secteurs de l’exploitation minière, de l’agriculture et de la cybersécurité, a déclaré Hezi Israel au Times of Israel dans une interview mercredi.

Selon l’accord, IAI et SixAI travailleront ensemble pour filtrer et identifier les technologies qui peuvent fournir de « vraies réponses » au marché civil dans des industries telles que la production alimentaire, la logistique, la chaîne d’approvisionnement, la médecine et la santé, la fabrication et l’automobile, a déclaré Poliakine.

L’année dernière, alors que la pandémie de COVID-19 s’accélérait dans le monde entier, l’IAI a mis ses laboratoires et ses ingénieurs au travail pour trouver des moyens d’utiliser certaines de ses technologies dans le domaine médical pour aider à sauver des vies.

Le nouveau fonds sera utilisé pour mettre en place des startups dans différents domaines qui feront progresser ces technologies à des fins commerciales, ont déclaré Poliakine et Israël au Times of Israel.

En tant qu’entrepreneur en série, Poliakine a déclaré que l’idée était de tirer parti du réseau et de la connaissance du marché de SixAI « et de le transformer en véhicule qui amènera la technologie d’IAI dans le monde civil ».

Le Tactical Radar 2138 développé par l’lsrael Aerospace Industries (IAI) est facilement transportable et offre une couverture à 360 degrés. (Autorisation)

L’IAI a un « énorme avantage » avec les technologies de pointe existantes qui peuvent être exploitées pour introduire des solutions révolutionnaires pour aider à répondre à certains des problèmes humanitaires urgents du monde tels que la pénurie alimentaire, le changement climatique et l’avenir du travail, a déclaré Poliakine.

Il a cité la technologie satellitaire actuellement utilisée à des fins de défense qui peut être adaptée à un usage agricole et à la surveillance des conditions météorologiques et des changements environnementaux; des solutions de gestion de flotte et de logistique « dans lesquelles l’IAI est un leader » qui peuvent être utiles pour les processus de la chaîne d’approvisionnement et la fabrication; les procédures d’assurance de la qualité et de précision dans les missiles, les aéronefs et autres technologies aérospatiales qui peuvent être adaptées aux marchés des véhicules autonomes et des machines; les drones militaires « qui sont silencieux et ont une longue portée économe en énergie » qui peuvent être utilisés commercialement; et des technologies de cybersécurité et de sécurité avancées qui peuvent être utilisées dans le domaine médical.

Le fondateur de SixAI, Ran Poliakine, à gauche, avec Boaz Levy, président d’IAI. (Autorisation)

« Presque toutes les technologies sont pertinentes pour le marché civil », a déclaré Poliakine.

Israël a déclaré que l’IAI estime que « le prochain moteur de croissance est sur le marché civil. Nous avons des atouts que nous avons développés au fil du temps, nous avons des technologies uniques à portée de main. Nous croyons qu’avec un partenaire et des fonds engagés, nous pouvons faire beaucoup plus que ce que nous faisons maintenant. Cet [accord] nous permettra de nous concentrer sur la défense, et le partenariat se concentrera sur le marché civil. »

Israël a déclaré que la phase initiale de l’accord se déroulerait sur cinq ans et qu’il prévoyait un partenariat à long-terme avec SixAI où ils « augmenteront la taille des financements si nécessaire et feront venir des investisseurs privés qui ont demandé à se joindre à eux ».

Poliakine a déclaré que l’un des défis possibles sera le « fossé culturel » entre une énorme opération de défense avec des milliers d’employés et des processus différents et « de jeunes ingénieurs du monde des startups » qui sont plus habitués à se déplacer rapidement et avec agilité. « Mais nous pouvons surmonter cela. »

Boaz Levy, président et chef de la direction de l’IAI, a déclaré dans un communiqué que la société était « ravie de former ce partenariat avec SixAI » dans le cadre de sa « nouvelle feuille de route stratégique visant à tirer parti des technologies et des capacités de R & D pour créer des technologies à double usage pour une mise en œuvre commerciale ».

« Les technologies militaires de l’IAI ont contribué de manière significative à la sécurité de l’État d’Israël, mais ont également été une source de diffusion de la technologie qui a profité au marché civil », a-t-il déclaré.

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Saturday, October 30, 2021

Nouvelles technologies - Une économie bleue durable grâce aux drones sous-marins - RFI

Publié le :

Une jeune entreprise française développe des drones sous-marins pour collecter puis analyser les données recueillies au fond des mers à l’aide de programmes d’intelligence artificielle. La mission de ces robots aquatiques autonomes est de permettre aux industries maritimes de s’engager vers une économie bleue durable plus respectueuse des milieux océaniques.

L’océan est le plus grand puits carbone de la planète, nous rappellent depuis des lustres les experts du GIEC, le Groupe intergouvernemental des Nations unies sur le réchauffement climatique. Mais nos activités humaines et nos rejets de CO2 dégradent fortement les processus maritimes naturels qui permettent de réguler le climat mondial. 

Un sujet incontournable des discussions de la COP26 qui s’ouvre à Glasgow en Écosse selon les scientifiques et même l’astronaute Thomas Pesquet, recommandant de mettre en place une industrie océanique durable, afin de soulager la planète de nos émissions carbone.

Des drones sous-marins autonomes et multifonctions

Pour soutenir les développements de cette nouvelle économie bleue bien plus responsable, la jeune pousse marseillaise Notilo Plus créée en 2016, conçoit des mini robots subaquatiques autonomes et intelligents, nous précise Nicolas Gambini, responsable et co-fondateur de Notilo Plus.

Nos robots permettent de réaliser différents types de missions dont l’objectif est de recueillir facilement des données en milieu sous-marin. Par exemple, ils permettent d’inspecter les coques des navires, de contrôler des barrages, d’aller vérifier l’état de la faune et de la flore dans un endroit immergé… Nos drones aquatiques fonctionnent d’une manière très simple pour aller chercher un type d’information précise comme des images vidéo ou de collecter des données plus spécialisées à l’aide de différents capteurs. Ces informations numérisées remontent automatiquement vers nos serveurs informatiques pour être analysées par de puissants programmes d’intelligence artificielle. Les industries maritimes emploient nos drones, mais la recherche scientifique aussi, par exemple, pour vérifier l’état de la Grande Barrière de corail en Australie. Les applications de ces robots sont multiples, mais toujours avec l’objectif de soutenir le développement d’une économie bleu respectueuse de l’environnement.

Les drones sous-marins de Notilo Plus sont autonomes, mais surtout multifonctions. De petites dimensions et manipulables par une seule personne, ces robots subaquatiques sont bardés de capteurs installés en fonction des besoins des industries maritimes.

Ils s’adressent par exemple, aux fermes aquacoles, aux transports maritimes, mais aussi aux organismes de la sécurité civile ou encore aux instituts de recherche océanique. Ces drones sous-marins permettent aussi d’optimiser, l’installation et la maintenance des éoliennes offshore qui produisent une électricité renouvelable et décarbonée, sans nuire à la biodiversité et à la tranquillité de nos amis les poissons.

Vous avez des questions ou des suggestions, vous pouvez nous écrire à nouvelles.technologies@rfi.fr 

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COP26 | Mettre les technologies numériques au service du climat - La Presse

Les changements climatiques et la révolution numérique sont probablement les deux plus grandes forces qui façonnent le monde où nous vivons aujourd’hui. Mais c’est à nous de décider si les technologies numériques serviront à résoudre ou à exacerber nos enjeux de durabilité.

Eliane Ubalijoro, Damon Matthews et Graham Carr Respectivement directrice du pôle pancanadien de Future Earth, titulaire d’une chaire de recherche en science du climat et en durabilité, et recteur de l’Université Concordia

En effet, le matériel de télédétection, les superordinateurs et l’intelligence artificielle nous aident à faire le suivi, l’analyse et la projection de données allant des émissions de carbone aux tendances en matière de déforestation en passant par les effets sur la biodiversité. De plus, selon le cadre intitulé Des perturbations numériques pour la durabilité, l’ère numérique crée des « possibilités systémiques favorables aux transformations sociales à grande échelle requises pour bâtir un monde juste et sans danger climatique ».

Lors d’un récent projet soutenu par la fondation ClimateWorks, des chercheurs de l’initiative Sustainability in the Digital Age (« durabilité à l’ère numérique ») et de Future Earth ont compilé une base de données de 200 programmes d’atténuation des changements climatiques axés sur le numérique. Ils ont démontré que ces outils pourraient favoriser un leadership politique et climatique fondé sur les données par la mobilisation des données à l’appui des décisions, l’optimisation numérique des stratégies actuelles, l’incitation aux changements comportementaux et leur automatisation, et l’amélioration de la participation et de l’autonomisation.

Cependant, nous savons que ces mêmes technologies numériques ont également des conséquences extrêmement négatives sur l’environnement et la société. Le recours à l’intelligence artificielle pour améliorer l’exploration, l’extraction et la production pétrolière et gazière ou pour nous pousser à un niveau de consommation non viable, ou encore la consolidation du pouvoir économique et politique entre les mains de l’élite numérique, constituent quelques exemples de ces conséquences.

Outre la façon dont elles sont utilisées, les technologies numériques comportent en elles-mêmes un coût environnemental. Selon des estimations de 2015, les technologies de l’information et des communications représentent près de 5 % de la demande énergétique mondiale. Cette proportion progresse rapidement, car énormément de travail se fait en ligne depuis la pandémie, un transfert irrévocable dans certains cas. Il est essentiel de réduire l’empreinte carbone des technologies informatiques du monde en accroissant l’utilisation sociétale des énergies renouvelables, en concevant des algorithmes écoénergétiques, en verdissant les centres de données et en adoptant une foule d’autres mesures d’optimisation.

Néanmoins, en cette décennie d’action, nous devons aussi tirer parti des capacités numériques pour contribuer à changer les normes, les règles, les dynamiques de pouvoir et les mentalités qui continuent de limiter notre action transformatrice pour la durabilité.

Dans les pays riches, les citoyens-électeurs désignent systématiquement l’action contre les changements climatiques comme une priorité urgente, même en temps de pandémie. Nous comptons sur nos gouvernements pour réglementer les secteurs (y compris celui des technologies) qui soulèvent des questions de santé, de sécurité et d’éthique. Or, nous devons inclure parmi ces questions les enjeux climatiques et environnementaux.

Deux grandes forces des technologies numériques, soit leur capacité à collecter des données et à les diffuser en temps réel, ont le pouvoir de transformer les dynamiques du marché pour favoriser la transparence et la mobilisation collective à l’échelle locale et mondiale. À l’instar des actionnaires activistes qui font pression sur les entreprises pour rendre écologiques leurs activités, accroître la transparence selon les principes FAIR et CARE lèverait le voile sur la façon dont les technologies numériques sont utilisées et l’intensité de cette utilisation, ce qui rehausserait l’obligation redditionnelle. Ainsi mieux informés, les citoyens pourraient reconnaître les tentatives d’écoblanchiment et inciter les fournisseurs de services – et, à terme, les entreprises du secteur financier et d’autres domaines – à choisir des cibles et des sources d’énergie meilleures pour la population et la planète.

PHOTO MICHAEL PROBST, ASSOCIATED PRESS

Éoliennes et centrale au charbon à Luetzerath, en Allemagne

Transparence est synonyme de responsabilité

Au lieu d’attendre que les gouvernements agissent de façon décisive, de grandes entreprises technologiques tentent déjà de réduire leur impact environnemental et aident leurs clients à en faire autant. Toutefois, la majorité des entreprises et des grandes organisations ne reconnaissent pas encore le rôle des nouvelles technologies dans l’accélération des dégâts causés à l’environnement de la planète ni la priorité d’agir pour le climat à l’intensité requise pour éviter des répercussions catastrophiques. Pendant ce temps, le climat se réchauffe et s’emballe. L’adoption de mesures incitatives et de règlements gouvernementaux pour la durabilité numérique ainsi que l’envoi de signaux clairs au sujet de l’élaboration de normes de surveillance, de présentation et de vérification des données produiront de meilleurs résultats en moins de temps.

Vu l’omniprésence des technologies numériques, les nouveaux cadres réglementaires doivent être fondés sur des preuves et mettre à contribution de multiples intervenants.

Les données ne manquent pas, mais pour concevoir ces nouvelles normes, nous devons d’abord nous entendre sur la façon d’évaluer la visée et les répercussions des technologies numériques et de leurs applications. La Coalition pour la durabilité de l’environnement numérique est bien placée pour amorcer ce travail en rassemblant les gouvernements, l’industrie, le milieu de la recherche et les groupes de citoyens.

Les technologies numériques ont déjà fait la preuve de leur pouvoir. Exploitées judicieusement, elles mettent entre nos mains le pouvoir de créer des économies plus vertes et inclusives.

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Grâce à ses technologies vertes, Hisense contribue à atteindre la carboneutralité et s'inscrit dans le développement durable - LeLézard.com

Classé dans : L'environnement, Science et technologie, Chasse, pêche et plein air

QINGDAO, Chine, 29 octobre 2021 /CNW/ - La Conférence des Nations-Unies sur les changements climatiques (COP26) débutera le 31 octobre. Les participants qui s'y réuniront proviennent d'environ 200 pays et discuteront des mesures à prendre pour protéger et restaurer les écosystèmes. Déterminée à utiliser des technologies vertes, Hisense continue d'intégrer des initiatives de protection de l'environnement dans tous les aspects de la fabrication, de la chaîne d'approvisionnement et de la conception de produits écoénergétiques.

Technologies plus vertes

Depuis 2018, Hisense a réduit la quantité de HFC-245fa (pentafluoropropane) dans ses produits grâce à l'innovation technologique, a réinventé sa production de réfrigérateurs en utilisant une technologie de moussage et a réduit ses émissions de gaz à effet de serre. D'ailleurs, elle a pu réduire ses émissions de CO2 d'environ 5 847,3 tonnes. De plus, en 2021, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a publiquement reconnu la technologie de moussage comme étant une innovation écologique dans l'industrie des réfrigérateurs.

Technologies plus vertes de Hisense (PRNewsfoto/Hisense)

Plus d'économies d'énergie

Hisense a réduit la consommation d'énergie de ses téléviseurs laser de 100 pouces à environ 250 watts, tandis qu'un téléviseur à cristaux liquides de même taille consomme plus de 800 watts. À l'avenir, Hisense diminuera encore la consommation d'énergie de ces téléviseurs, la faisant passer à moins de 200 watts.

Économies d'énergie de Hisense (PRNewsfoto/Hisense)

Fabrication durable

Hisense suit strictement les principes de conservation de l'énergie et de protection de l'environnement à toutes les étapes de la fabrication, depuis la sélection des matières premières jusqu'à la production et au traitement. Par exemple, lorsque Hisense fabrique une nouvelle série de téléviseurs, elle optimise le système global de dissipation de la chaleur, réduit l'épaisseur du panneau arrière et économise 4 626 tonnes de plastique chaque année, ce qui équivaut à éliminer 514 millions de sacs de plastique.

Fabrication durable de Hisense (PRNewsfoto/Hisense)

En marge de la COP26, CNBC a lancé son Conseil ESG, un sommet de discussion sous forme de table ronde auquel participent les chefs de la direction des entreprises les plus importantes au monde. Avant d'y prendre la parole, Jia Shaoqian, présidente de Hisense et membre du Conseil ESG de CNBC, a fait part au public mondial de ses idées et des mesures qu'elle adopte en matière d'innovation technologique et de développement durable.

Jia Shaoqian a également déclaré que, comme l'entreprise a une influence sociale et une responsabilité sociale, elle devrait toujours se concentrer sur les facteurs ESG et sur l'objectif d'être une entreprise verte, saine, qui consomme peu d'énergie et protège l'environnement. Elle doit s'inscrire dans le développement durable en étant moins énergivore, en utilisant une énergie plus verte et en respectant l'environnement. Pour Hisense, le développement durable représente un effort de longue haleine. À l'interne, Hisense adopte une initiative à long terme visant à créer un meilleur environnement pour les entreprises et les employés. À l'externe, l'entreprise assure la protection de l'environnement et respecte sa responsabilité sociale pour veiller à ce que les droits des consommateurs et l'environnement mondial soient protégés.

Photo - https://mma.prnewswire.com/media/1673824/Hisense_Greener_Technology.jpg 
Photo - https://mma.prnewswire.com/media/1673825/Hisense_Energy_Saving.jpg 
Photo - https://mma.prnewswire.com/media/1673826/Hisense_Sustainable_Manufacturing.jpg

SOURCE Hisense


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Takeda Pharmaceutical Company Limited (TOKYO : 4502/NYSE : TAK) (« Takeda ») a annoncé aujourd'hui ses résultats financiers pour le premier semestre de l'exercice 2021 (période close le 30 septembre 2021). Au vu des solides résultats du premier...


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Communiqué envoyé le 29 octobre 2021 à 21:51 et diffusé par :

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Viviez : une nouvelle action d’envergure jeudi prochain à Sam Technologies - Centre Presse Aveyron

Action au rond-point des Tuileries, hier après-midi, avant la plus grosse manifestation organisée depuis deux ans, en fin de semaine prochaine, devant l’usine de Viviez.

Après avoir invité le Premier ministre à venir les rencontrer à l’usine SAM le 23 septembre dernier mais être restés sans réponse, les salariés avaient en tête de saisir l’opportunité de la présence de Jean Castex, en visite à l’usine voisine de Ratier, à Figeac, hier après-midi, pour tenter de s’inviter. Mais, au lieu de garder cela confidentiel, les salariés de la SAM ont averti, haut et fort, de l’action qu’ils s’apprêtaient à mener, invitant même la population à les suivre. À quelques mois de l’élection présidentielle, les services du Premier ministre ont-ils appréhendé cette action ou même redouté un quelconque affrontement, puisque "les salariés de la SAM n’ont plus rien à perdre", comme le confiait l’un d’entre eux ?

Toujours est-il que les délégués syndicaux de la SAM (Ghislaine Gistau, Sébastien Lallier et David Gistau) ont été rapidement contactés par les services du Premier ministre afin de leur proposer de rencontrer officiellement Jean Castex, hier, en toute fin de journée, à Figeac. Cette nouvelle donne était exposée lors d’une assemblée générale improvisée, hier, en tout début d’après-midi, dans les locaux de l’usine à l’heure où les salariés auraient dû partir en covoiturage jusque dans le Lot. Au sortir de la réunion, il était décidé que seuls les délégués syndicaux se rendraient à Figeac (ces derniers se retiraient rapidement pour préparer l’entrevue) alors que l’ensemble des salariés présents (environ 150 personnes) se déplaceraient au rond-point des Tuileries, juste à côté de l’usine de Viviez, afin de mener, comme mardi dernier, une opération de distribution de tracts auprès des automobilistes. Une occupation des axes routiers toujours sous l’œil vigilant de la police nationale. Mais quel que soit ce qui ressortira du dialogue avec Jean Castex, les salariés de la SAM maintiennent la tenue d’une grosse manifestation jeudi 4 novembre prochain, devant l’usine.

"Ce sera l’une des plus grosses actions depuis deux ans !", insiste David Gistau, le secrétaire de l’union départementale de la CGT. Les salariés "en grande souffrance et épuisés psychologiquement", vont jeter leurs dernières forces dans la bataille.

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Friday, October 29, 2021

Répression syndicale : Vitesco Technologies licencie 3 salariés pour avoir critiqué l'entreprise - https://ift.tt/2HDLMAp

Le 18 septembre dernier, Thomas Vialettes, Richard Fitoussi et Ciaran Cullen, salariés de l’entreprise automobile Vitesco Technologies, une entreprise d’automobiles, ont assisté aux ateliers « environnement, sécurité et hygiène » organisés par l’entreprise en partenariat avec Véolia. Ils y ont notamment dénoncé le greenwashing de Vitesco et le nouveau plan sur les risques psychosociaux de la médecine du travail, qui responsabilise davantage les salariés en souffrance. Ces interventions ont rapidement attiré l’attention de la direction, qui leur a répondu par une mise à pied conservatoire avec retenue sur salaire. Ils ont par la suite reçu, le 14 octobre, leur lettre de licenciement pour « faute grave », justifiée par l’entreprise par une soi-disant « atteinte à l’image de la société » et « une attitude dénigrante et constamment rebelle ». Une réussite, donc, pour des ateliers supposés favoriser « l’échange » et où toute opposition se trouve finalement réprimée !

Dans un communiqué paru le 22 octobre dernier, la CGT dénonce, des licenciements pour « délit d’opinion », qui visent à instaurer un climat d’intimidation auprès des travailleurs. Via ce « management par la peur », la direction souhaite ainsi faire taire toute forme de contestation ou d’opposition au discours officiel de l’entreprise. Par ailleurs, la CGT met en avant que de nombreux salariés ont fait remonter des incivilités de la part de responsables d’équipe, dénonciations qui, elles, n’ont reçu aucune réponse de la part de la direction. Deux poids, deux mesures, donc, dans le traitement des comportements jugés « dénigrants ». Ces techniques de répression ne sont pas nouvelles pour Vitesco Technologies, qui a déjà été condamné à de nombreuses reprises pour des pratiques de discrimination syndicale. [Le dernier procès avait notamment été porté par 5 salariés, parmi lesquels Richard Fitoussi et Ciaran Cullen, et avait donné lieu à une condamnation de l’entreprise par la Cour d’Appel de Toulouse. Ces trois licenciements constituent donc une nouvelle attaque envers les syndicats, et plus largement envers toute action contestataire, et s’inscrivent dans la continuité de la politique managériale de Vitesco Technologies.

Par ailleurs, ces licenciements sont à replacer dans un contexte plus large de réduction des effectifs et de diminution des conditions de travail impulsées par l’entreprise. L’année dernière, elle avait notamment imposé un gel des salaires ainsi qu’un plan de réduction des effectifs, alors qu’aucun motif économique ne justifiait de telles mesures. Cette réduction concernait en priorité les salariés proches de la retraite mais comportait également un arrêt des contrats pour une centaine d’intérimaires et de sous- traitants. Suite à ces décisions, c’est une hausse de la charge de travail et une dégradation des conditions de travail des travailleurs qui ont été observés.

En pleine crise économique, ces pratiques sont monnaies courantes : les entreprises n’hésitent pas à recourir à la répression syndicale et les patrons d’entreprise sont déterminés à ne céder aucune amélioration des conditions de travail. Il est essentiel de dénoncer l’intégralité de ces politiques répressives et d’exprimer soutien et solidarité envers les travailleurs qui les subissent !

Un appel à soutien pour Thomas Vialettes, Richard Fitoussi et Ciaran Cullen a notamment été lancé via pétition en ligne.

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« Pour Emmanuel Macron, la transition écologique est avant tout une transition technologique » - Le Monde

Emmanuel Macron s’exprime lors de la présentation du plan d’investissement « France 2030 » à l’Elysée, le 12 octobre 2021.

Avec l’ouverture, dimanche 31 octobre, de la conférence de Glasgow (Ecosse) sur les changements climatiques (COP26), l’actualité devrait être à nouveau rythmée par les promesses, les objectifs, chiffrés ou non, et les engagements des responsables politiques ou des capitaines d’industrie. En ce genre d’occasions, la question des moyens à mettre en œuvre pour atteindre les buts poursuivis est généralement éludée, ou ramenée à une question subsidiaire sans importance, un peu comme si la parole politique avait le pouvoir de s’imposer aux lois de la nature.

Cette question, celle du « comment », entremêle deux enjeux étroitement connectés. Le premier est celui de l’avenir du système technique, le second, celui de l’évolution culturelle des sociétés. Le premier est omniprésent dans le débat public, le second en est à peu près absent. On le voit, jusqu’à la caricature, dans les récentes déclarations des dirigeants des plus gros exportateurs d’hydrocarbures, comme l’Arabie saoudite ou l’Australie.

« J’annonce aujourd’hui l’objectif zéro émission de l’Arabie saoudite d’ici à 2060 grâce à une stratégie d’économie circulaire du carbone », a ainsi déclaré, le 26 octobre, Mohammed Ben Salmane, le prince héritier du royaume. L’engagement princier repose entièrement sur les technologies futures (et très probablement imaginaires) qui permettront de brûler tout le pétrole du sous-sol et de circulariser tout le carbone produit. Le premier ministre australien, Scott Morrison, a dit la même chose, à la date (2050) et au combustible (le charbon) près.

Maintenir nos façons de faire

Loin d’être aussi caricatural, Emmanuel Macron mise, lui aussi, face au défi climatique, sur d’hypothétiques révolutions technologiques plutôt que sur des évolutions sociales et culturelles. Le discours de présentation du plan France 2030, prononcé le 12 octobre, suffit pour s’en convaincre. Déploiement du premier avion bas carbone d’ici la fin de la décennie, de petits réacteurs nucléaires modulaires, de l’hydrogène « vert », mise en production de deux millions de véhicules électriques et hybrides… L’agriculture ? Le mot « agro-écologie » n’apparaît nulle part dans le discours présidentiel, et tout l’avenir de nos campagnes s’y trouve réduit à ce triptyque : « le numérique, la robotique, la génétique ».

Le mot « sobriété » n’apparaît pas non plus dans le discours présidentiel, quand les mots « innovation », « innovant » sont prononcés à plus de soixante-dix reprises. Il n’est évidemment pas anormal ni très surprenant de parler d’innovation dans un discours sur la relance industrielle du pays. Mais l’ample discours du 12 octobre – qui occuperait quelque dix pleines pages du Monde – est bien plus que la simple annonce d’un grand plan structurant la réindustrialisation de la France face au défi environnemental et climatique.

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FMO, CDC et AgFunder lancent une plate-forme sur les technologies agro-alimentaires africaines - Commodafrica

La société néerlandaise de financement du développement, FMO, et l’institution de financement britannique CDC Group s’associent à la société de capital-risque agirfoodtech de la SIlicon Valley, AG Funder, via son site d’actualités AFN, pour lancer une plateforme d'information et de recherche dédiée aux technologies agroalimentaires africaines, dénommée  AFN Africa.

La  nouvelle plate-forme fera la promotion des technologies agroalimentaires et créera un écosystème  cohérent d'entrepreneurs, d'investisseurs, de prestataires d'assistance technique, d'agences gouvernementales et de groupes industriels, dans le but de sensibiliser, d'investir et d'adopter les technologies agroalimentaires à travers l'Afrique. Elle  produira également des rapports de recherche basés sur des données, des outils d'écosystème entrepreneurial, des guides de financement, des cartes de marché et plus encore.

AFN Afrique rendra compte des innovations tout au long de la chaîne de valeur alimentaire. En particulier, la plate-forme se concentrera sur des solutions qui favorisent la résilience climatique et des technologies qui permettent de nouvelles opportunités de marché pour les personnes mal desservies, telles que les petits agriculteurs et les femmes. Ces informations seront partagées avec les 90 000 abonnés d' AFN dans le monde.

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Robots, 5G, IA: Bercy veut recenser les technologies françaises prometteuses d'ici fin 2021 - Le Figaro

Les entreprises ont jusqu'au 17 décembre pour répondre à cet «appel à manifestation d'intérêt» consacré à «la transition vers l'industrie du futur».

Intelligence artificielle, 5G, «blockchain», «cloud», robotique: le gouvernement a lancé vendredi le premier «appel à manifestation d'intérêt» pour identifier d'ici à la fin 2021 les «technologies françaises les plus prometteuses pour la transition vers l'industrie du futur». Les entreprises doivent se faire connaître avant le 17 décembre, indique dans un communiqué le ministère des Finances et de la relance vendredi soir.

L'annonce survient après la visite d'Emmanuel Macron lundi dans une entreprise de robotique intelligente à Saint-Etienne, durant laquelle il a annoncé que le plan d'investissement France 2030 allait consacrer 800 millions d'euros sur cinq ans pour lancer une filière de robotique afin d'améliorer la compétitivité de l'industrie française. «La robotisation des usines, et plus généralement l'utilisation des nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle et demain la 5G vont nous permettre de développer et relocaliser des productions en France. Cela ne se fera pas sans une offre française structurée et puissante, qui pourra être exportée avec succès», a déclaré la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher citée dans le communiqué de Bercy.

8000 dossiers de modernisation d'entreprises

Lors du plan de relance lancé fin 2020, quelque 8000 dossiers de modernisation d'entreprises avaient reçu des aides publiques pour acheter de nouvelles machines et se moderniser, mais une grande partie de ces budgets ont bénéficié in fine à des constructeurs étrangers par manque d'offre française.

VOIR AUSSI - Marion Carré : «La technologie est une aubaine pour valoriser la Culture»

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Thursday, October 28, 2021

Les ambitions d'AET Technologies à la hausse - Bref Eco

Le constructeur de fours industriels spéciaux AET Technologies entre dans une nouvelle phase. Le fonds Yotta Capital Partners vient de prendre la majorité de son capital et a confié au nouveau président un plan ambitieux de croissance.

Le Groupe AET Technologies (Meylan) s’est imposé au fil des années comme incontournable dans l’ingénierie thermique. L’entreprise conçoit, fabrique et maintient des machines chauffantes pour les environnements industriels les plus exigeants : en microélectronique, en énergie, pour la recherche et la métallurgie. Son dirigeant Jean-Yves Poriel a souhaité transmettre son entreprise.

Doubler le chiffre d'affaires

C’est un duo formé du fonds Yotta...

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Les ambitions d'AET Technologies changent d'échelle - Bref Eco

Le constructeur de fours industriels spéciaux AET Technologies entre dans une nouvelle phase. Le fonds Yotta Capital Partners vient de prendre la majorité de son capital et a confié au nouveau président un plan ambitieux de croissance.

Le Groupe AET Technologies (Meylan) s’est imposé au fil des années comme incontournable dans l’ingénierie thermique. L’entreprise conçoit, fabrique et maintient des machines chauffantes pour les environnements industriels les plus exigeants : en microélectronique, en énergie, pour la recherche et la métallurgie. Son dirigeant Jean-Yves Poriel a souhaité transmettre son entreprise.

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C’est un duo formé du fonds Yotta...

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Un partenariat entre GreenGT Technologies et Kouros pour développer des camions à hydrogène - Auto Infos

Un partenariat entre GreenGT Technologies et Kouros pour développer des camions à hydrogène

Les programmes de recherche et de développement se précisent autour de la mobilité lourde à hydrogène.

© Transports Chabas

GreenGT Technologies et la société d’investissement industriel Kouros engagent un partenariat technologique et industriel de long terme pour développer ensemble des solutions de mobilité lourde électriques-hydrogène.

GreenGT Technologies, spécialiste de la conception et du développement de solutions électriques-hydrogène de forte puissance pour l’industrie de la mobilité, et Hyliko, filiale du groupe Kouros, fournisseur d’un service intégré de mobilité lourde hydrogène à destination des transporteurs et chargeurs, officialisent « un accord de licence de technologies, de transfert de savoir-faire et de service d’ingénierie visant à concevoir, fabriquer, commercialiser et exploiter une nouvelle gamme de véhicules lourds à propulsion électrique-hydrogène ».

Sous le pavillon de Kouros, Hyliko propose un service de décarbonation des flottes comprenant le leasing et la maintenance complète des camions hydrogène, leur intégration à la supply chain 4.0, la fourniture de l’hydrogène carburant, la gestion et la certification des crédits carbone permettant d’atteindre plus vite les objectifs de décarbonation.

« La société française GreenGT Technologies s’apprête à faire rouler le premier camion porteur 44 tonnes électrique-hydrogène, développé dans le cadre du programme CATHyOPÉ. Ce consortium français réunissant trois partenaires, GreenGT Technologies, les Transports Chabas et Carrefour, soutenu dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA) opéré par l’Ademe, a été créé pour concevoir, réaliser et exploiter un camion de transport de 44 tonnes (un porteur de 26 tonnes et sa remorque de 18 tonnes) à propulsion électrique-hydrogène, dans les conditions réelles d’opération d’une ligne logistique de Carrefour dans le sud de la France », détaille un communiqué commun, avant d’ajouter : « Ce camion est pensé pour égaler les performances (puissance de 530 ch, autonomie de 500 km, ravitaillement en moins de 15 minutes) d’un véhicule conventionnel de même tonnage, sans aucune émission à l’échappement grâce au système hybride électrique-hydrogène. Le groupe motopropulseur est conçu autour d’une pile à combustible à hydrogène de 170 kW ».

« GreenGT Technologies est très heureux de conclure ce partenariat avec Kouros. Cet accord s’inscrit dans la suite du programme CATHyOPÉ et concrétise cinq années d’un intense travail de recherche et de développement qui va donner naissance à une nouvelle génération de véhicules », se réjouit Jean-Michel Bouresche, directeur général du groupe.

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Etude internationale : les technologies qui attirent les consommateurs - YouGov

Des smartphones compatibles avec la 5G, des technologies qui permettant d'écouter librement de la musique ou des podcasts, des appareils facilitant les tâches ménagères… Quelles sont les technologies qui attirent les consommateurs ?

Une enquête mondiale menée auprès de plus de 18 000 personnes dans 17 pays montre que si l'argent ou la disponibilité du produit n'étaient pas un problème, les consommateurs souhaiteraient acquérir un téléphone 5G (38%), un aspirateur robot (34%) et des écouteurs sans fil (30%).

Dans la suite du classement mondial, on retrouve de la domotique avec les sonnettes vidéo (24%) et les enceintes connectées (19%).  De plus, environ 1 consommateur sur 5 cite les équipements de sport connectés (22%) et les bracelets de fitness (21%).

La PlayStation 5 et la Xbox Series X sont quant à elles respectivement convoitées par 22% et 13% des répondants.


L’aspirateur robot est la technologie qui séduit le plus les Français (37%), suivi du smartphone 5G (31%) et des écouteurs sans fil (23%).

Au niveau mondial, on observe que les consoles de jeux nouvelle génération sont davantage recherchées par les 18-24 ans. Pour autant, les jeunes suivent la tendance globale en souhaitant avant tout profiter d’écouteurs sans fil (44%), de smartphones 5G (42%) et d’aspirateurs robots (34%).

Méthodologie

Etude Omnibus réalisée en septembre 2021 auprès de 18 921 personnes dans 17 pays (Royaume-Uni, Allemagne, France, Italie, Espagne, Etats-Unis, Emirats arabes unis, Danemark, Australie, Suède, Chine, Hong Kong, Singapour, Indonésie, Inde, Pologne, Mexique). Toutes les enquêtes ont été menées en ligne. Les échantillons sont représentatifs de la population nationale selon la méthode des quotas. Pour l'Inde et le Mexique, les échantillons sont représentatifs de la population urbaine en ligne. Pour l'Indonésie et Hong Kong, les échantillons sont représentatifs de la population en ligne.

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[COP26] Six technologies prometteuses pour préserver le climat - L'Usine Nouvelle

Des pompes à chaleur nouvelle génération

Encore peu présente dans les applications industrielles, la pompe à chaleur (PAC) gagne en performance et espère se faire une place dans la transition énergétique. Quelques projets de R & D ont vu le jour en France, à l’instar de Paco, qui atteint 130 °C, et de Transpac, une PAC transcritique de 30 kilowatts qui cible une température de 120 °C. L’enjeu est important pour les fabricants comme pour les utilisateurs. La technologie est envisagée pour électrifier des processus encore fortement dépendants des énergies fossiles et pour valoriser la chaleur fatale. Grâce aux PAC de nouvelle génération, les industriels de l’agroalimentaire, de la chimie et des matériaux élèvent la température de leur chaleur de récupération pour sécher (80 °C), créer de la vapeur (120 °C) et cuire (150 °C). Si les performances des équipements – souvent sur-mesure – s’améliorent, les coûts d’investissement élevés couplés aux freins culturels et réglementaires (F-Gaz) limitent encore leur démocratisation. # Laurent Rousselle

Des jumeaux numériques pour gérer l’énergie

Alors que la plupart des jumeaux numériques visent à gagner en productivité et, indirectement, en consommation d’énergie, d’autres s’intéressent directement aux dispositifs de gestion énergétique. C’est le cas d’un outil mis au point par le Laboratoire de génie chimique de Toulouse (Haute-Garonne) et testé sur un site de l’entreprise Vynova. Le logiciel a proposé une meilleure configuration des échangeurs thermiques installés dans cette usine qui produit du monochlorure de vinyle. Résultat : près de 8 % d’économies sur la consommation thermique totale et 50 % sur la seule vapeur. Le système a aussi permis de se rendre compte que l’installation de nouveaux échangeurs thermiques – en plus des quatre déjà présents – ne générerait pas d’économies supplémentaires. L’outil vise à équiper des chaînes flexibles, capables de s’adapter à des productions différentes, pour valoriser la chaleur quelles que soient les circonstances. Participant ainsi à la sobriété de l’industrie 4.0. # Gautier Virol

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Une navigation à voile pour le fret

La force vélique, une technologie d’avenir ? Les projets qui fleurissent le laissent penser... L’un des plus avancés est celui de Neoline. Son navire, le Neoliner, d’une capacité de 280 conteneurs, sera équipé de 4 200 m2 de voiles qui lui permettront de réduire de 80 à 90 % les émissions de CO2 par rapport à un bateau propulsé à l’énergie thermique. Il sera construit par le chantier Neopolia, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), et mis en service en 2024. Un système de batteries de seconde vie optimisera le rendement des moteurs. Toujours à Saint-Nazaire, les Chantiers de l’Atlantique développent quant à eux un projet pour grands navires, avec un mât de 95 mètres de hauteur qui supportera une voile Solid Sail en matériau composite, performante et pliable, d’une surface de 1 200 m2. Plus modeste, le projet de Michelin devrait réduire la consommation de fuel de 20 %. Wisamo est une aile gonflable, rétractable et automatisée qui pourra équiper des navires marchands et de plaisance. Un premier navire en sera pourvu en 2022. # Olivier Cognasse

Un captage du carbone plus performant

Entre 2030 et 2050, chaque mois, dix usines d’industrie lourde dans le monde devront être équipées d’installations de captage et de stockage du carbone (CCS). La dernière feuille de route de l’Agence internationale de l’énergie donne le ton : intercepter le dioxyde de carbone (CO2) au sein des cheminées industrielles sera indispensable pour décarboner l’industrie, et les technologies devront se démocratiser au cours de la prochaine décennie. Les acteurs du CCS s’industrialisent. À Dunkerque (Nord), l’IFP Énergies nouvelles (Ifpen) testera un nouveau solvant démixant, via un pilote, à la fin 2021. Pour diminuer les coûts et les délais, l’heure est à la miniaturisation et à la modularisation des installations. Système tournant compact pour le canadien Svante, membranes du côté de l’américain MTR, installations ultra-modulaires et concept de « CCS as a service » chez le norvégien Aker, exploration de dispositifs à rotation rapide par l’Ifpen... Chacun y va de sa stratégie pour mettre le CCS à la portée de toutes les usines. # Nathan Mann

Des plastiques recyclés en boucle fermée

Le recyclage des plastiques pour un même usage dans la production industrielle se heurte aux limites techniques du recyclage mécanique. Aspect, fonctionnalités, agrément au contact alimentaire ont freiné la substitution de résines vierges par des résines recyclées. Mais le recyclage chimique change la donne. Trois familles de solutions existent. La dissolution recourt à des solvants pour séparer le polymère des polluants. La dépolymérisation – choisie par Ineos et Trinseo pour leur usine de Wingles (Pas-de-Calais) – revient aux monomères, en rompant leurs liaisons par hydrolyse chimique ou enzymatique (c’est la techno de Carbios), par méthanolyse ou par glycolyse. La pyrolyse, enfin, utilise la chaleur en l’absence d’oxygène pour convertir les plastiques en liquides et gaz utilisables comme combustible ou pour produire de nouveaux composés intermédiaires des plastiques. C’est la techno du britannique Plastic Energy, associé à Total à Grandpuits (Seine-et-Marne) et à ExxonMobil à Port-Jérôme (Seine-Maritime). # Myrtille Delamarche

Des satellites pisteurs de pollutions

Bien exploitées, les vues du ciel peuvent aider à réduire les émissions et les pollutions sur Terre. La pépite française Kayrros analyse les données recueillies par plusieurs satellites Sentinel du programme Copernicus de l’Agence spatiale européenne, pour pister les fuites de méthane et aider pétroliers et chimistes à mieux les contrôler. Autre utilité : suivre les émissions de CO2, le torchage de gaz, les taux de biomasse au sol... Avec la multiplication des microsatellites et le prochain lancement des satellites Merlin, dédié à l’étude du méthane, et MicroCarb, sur les sources et puits de CO2, d’autres usages d’observation pour le climat pourraient voir le jour. A minima pour pointer les mauvais élèves. La start-up rennaise Unseenlabs traque par exemple la pêche illégale et le dégazage des bateaux avec trois nanosatellites. Depuis 2018, Nestlé utilise une solution d’Airbus pour repérer des déforestations proches de ses fournisseurs et pour mieux cibler ses contrôles et sanctions. Un bon moyen pour réduire les émissions carbone de sa supply chain. # Marion Garreau

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Pour Bill Gates, le secteur des technologies vertes créera les nouveaux Google - Siècle Digital

Lors du SOSV Climate Tech Summit, un forum dédié aux startups spécialisées dans les technologies combattant le réchauffement climatique, Bill Gates a partagé son avis sur les investissements dans le secteur des énergies vertes. Selon lui, il sera aussi prolifique que l’est aujourd’hui celui de la technologie et d’Internet.

Un secteur comparable à celui d’Internet

Le milliardaire et fondateur de Microsoft n’y a pas été par quatre chemins en affirmant que le secteur verrait émerger des entreprises aussi puissantes que les big tech actuelles. « Il y aura, vous savez, des entreprises du type Microsoft, Google, Amazon qui sortiront de cet espace », a-t-il déclaré, avant d’ajouter qu’il y aura également « huit Teslas, dix Teslas ». Pour rappel, la valeur de la firme d’Elon Musk, spécialisée dans les véhicules électriques, a doublé l’année passée et a connu une croissance de plus de 2000 % sur les cinq dernières années. « Tous ceux qui sont investis dans Tesla se trouvent très intelligents aujourd’hui », assure Bill Gates.

Il ne prédit néanmoins pas un avenir tout rose au secteur. Certaines technologies, notamment celles nécessaires pour parvenir à la fusion nucléaire et à la fission nucléaire nécessiteront des milliards de dollars d’investissement. Si elles sont extrêmement prometteuses, il n’est pas encore certain que ces techniques pourront aboutir.

Comme pour toutes les recherches scientifiques, « nous aurons un taux d'échec élevé », prévient le milliardaire. Cependant, les idées seront assez nombreuses pour que « nous ayons une probabilité de succès substantiel », en particulier avec l'aide adéquate du gouvernement, a-t-il ajouté.

Une boule d'énergie avec des rayons d'électricité autour.

Bill Gates estime que la technologie de fusion nucléaire nécessite des milliards de dollars d'investissements. Image : Hal Gatewood / Unsplash

Le rôle des gouvernements est primordial

Justement, Bill Gates a appuyé sur le rôle que les autorités ont à jouer. Selon lui, elles doivent prendre des mesures concrètes pour encourager le développement des technologies vertes, en s’engageant, entre autres, pour atteindre la neutralité carbone. De cette manière, le secteur privé pourrait participer à l’effort pour atteindre cet objectif, en « finançant des parcs solaires » par exemple. Avec l’appui des gouvernements, les investisseurs auront logiquement moins de réticence à miser dans le secteur.

Une chose est sûre : les énergies renouvelables et les technologies vertes doivent connaître un important gain d’investissements, tant il est primordial de tout mettre en œuvre pour lutter contre le réchauffement climatique, dont les effets sur la planète sont de plus en plus visibles.

Bill Gates tient néanmoins à prévenir les intéressés : il s’agit d’investissements à long terme. « Si quelqu'un ne peut pas se permettre de prendre des risques ou si vous attendez des rendements à court terme, vous savez, je chercherais ailleurs », a-t-il déclaré. Enfin, il estime que des domaines sont moins prévisibles que d’autres, à savoir le carburant vert pour les avions, la capture de CO2 dans l’air ou encore l’hydrogène.

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Liquid Intelligent Technologies et Orange signent un partenariat pour étendre le réseau sur l'ensemble du continent africain et construire une société numérique plus sûre. - orange.com

Aujourd’hui, Liquid Intelligent Technologies et Orange ont annoncé un nouveau partenariat visant à tirer le meilleur parti de leurs réseaux existants. Cela devrait permettre aux deux entreprises d’accéder plus facilement aux opportunités de développement de leurs activités dans toute l’Afrique.

Avec ce partenariat, Liquid aura accès au vaste réseau d’Orange en Afrique de l’Ouest, notamment au nouveau réseau Djoliba, tandis que réciproquement, Orange pourra bénéficier du réseau panafricain de Liquid. Ainsi, les deux organisations pourront proposer connectivité et services de bout en bout et haut débit sur l’ensemble de leurs réseaux, et leurs clients, actuels et nouveaux, pourront tirer parti de meilleures opportunités pour développer leurs activités.

« Nous sommes heureux non seulement d’entamer ce partenariat avec Orange, mais aussi de devenir un client majeur de Djoliba, car cela solidifie encore davantage les relations entre nos deux entreprises. Notre engagement de longue date à l’égard de la fourniture de services numériques permet à notre clientèle de développer à la fois ses activités et l’économie africaine au sens large. Ce partenariat avec un acteur tel qu’Orange ne fait que renforcer notre offre et les plus grands gagnants, ce sont nos clients. En effet, ils accèdent ainsi aux réseaux, mais bénéficient également de la collaboration de deux opérateurs qui ont fait leurs preuves en matière de développement des entreprises et du numérique africains », indique David Eurin, directeur général des ventes de gros internationales de Liquid Intelligent Technologies (Liquid Sea).

Acteur des télécommunications d’envergure mondiale, Orange propose une connectivité sous-marine, terrestre et satellite exhaustive avec plus de 450 000 km de câbles sous-marins et 45 000 km de fibres optiques répartis entre l’Europe, les États-Unis, l’Afrique et l’Asie, ainsi que plus de 450 points de présence. Orange bénéficie d'une forte présence dans de nombreux pays d'Afrique de l’Ouest, tels que la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée et le Libéria. Djoliba est le premier réseau unifié très haut débit permettant de fournir une connectivité sans couture, avec une meilleure disponibilité grâce à la redondance et la sécurisation du réseau, et une excellente qualité de service. Exploité et maintenu depuis Dakar pour plus d’efficacité, de réactivité et de proximité, il bénéficie d’un centre de supervision dédié. Djoliba est de surcroît le premier réseau offrant une sécurisation complète en Afrique de l’Ouest avec plus de 10 000 km de réseau terrestre à fibres optiques, couplé à 10 000 km de câble sous-marin, des offres à très hauts débits (jusqu’à 100 Gbit/s) et 99,99 % de taux de disponibilité. Ce réseau couvre 16 points de présence avec un maillage de près de 155 sites techniques, et relie 300 points de présence en Europe, en Amérique et en Asie.  Il s’appuie sur le réseau Tier 1 d’Orange et permet donc une connexion sans couture avec les réseaux internationaux du Groupe.

« Je suis absolument ravi de révéler ce partenariat avec Liquid Intelligent Technologies, car il devrait permettre à Orange d’étendre  son portefeuille de solutions convergentes, déjà très vaste, sur le continent africain. Il démontre par ailleurs la volonté d’Orange de fournir une connectivité plus fiable à ses clients partout en Afrique. De plus, ce partenariat illustre clairement notre expertise singulière en matière de cybersécurité, ainsi que le rôle essentiel que nous jouons dans la construction d’une société numérique plus sûre », a déclaré Emmanuel Rochas, PDG d’Orange International Carriers.

Le réseau « One Africa » dispose d’un backbone de 100 000 km couvrant la majeure partie de l’Afrique subsaharienne. Les projets de développement du réseau prévoient l’extension du rayonnement de l’organisation dans les pays du Maghreb comme le Maroc, la Libye, la Tunisie et l’Algérie. « Nous sommes déjà implantés en Égypte et au Maroc et souhaitons désormais compléter notre présence en Afrique du Nord, de sorte de sécuriser l’accès de l’ensemble du continent africain à la connectivité de la fibre haut débit" a cité Eurin. "En nous associant avec un acteur des télécommunications comme Orange, nous renforçons nos offres et répondons aux demandes des entreprises sur un continent en pleine croissance. À nos yeux, un tel partenariat redistribue les cartes pour l’Afrique. »

« Le risque lié à la cybersécurité a considérablement augmenté au cours de l’année passée. Cela est valable à l’échelle mondiale et l’Afrique ne fait pas exception », affirme M. Rochas. Auparavant, Liquid assurait déjà une connectivité fiable et étendue. Désormais, ses clients pourront également bénéficier des solutions de cybersécurité de pointe d’Orange, en raison de la collaboration des deux sociétés en matière de gestion des risques pour la construction d’une société numérique plus sûre.

Pour Liquid, ce partenariat représente un jalon historique de plus pour atteindre son objectif de de devenir le premier fournisseur de services numériques en Afrique. Dans la région, l’entreprise est parvenue à un tel succès en s’appuyant sur les réseaux d’Orange depuis plus de 20 ans, et ce partenariat devrait non seulement renforcer sa capacité à rendre les services numériques plus accessibles, mais aussi contribuer au développement de l’ensemble du territoire africain.  

À propos de Liquid Intelligent Technologies
Liquid Intelligent Technologies est un groupe technologique panafricain implanté dans plus de 20 pays, principalement en Afrique subsaharienne. Liquid s’est fermement établi comme le premier fournisseur d’infrastructure numérique panafricain avec un vaste réseau couvrant plus de 100 000 km. Liquid Intelligent Technologies redéfinit les offres de réseau, de cloud et de cybersécurité via des partenariats stratégiques avec des acteurs mondiaux de premier plan, des applications commerciales innovantes, des services cloud intelligents et une sécurité de classe mondiale pour le continent africain. Liquid Intelligent Technologies constitue désormais un groupe technologique complet à guichet unique qui fournit des solutions numériques sur mesure aux entreprises des secteurs public et privé à travers le continent grâce à plusieurs unités commerciales comme Liquid Networks, Liquid Cloud et Cyber Security et Africa Data Centres. www.liquid.tech

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Wednesday, October 27, 2021

La maison mère d'Yves Rocher mise sur les technologies cloud de Google - ZDNet France

La maison mère d'Yves Rocher mise sur les technologies cloud de Google

Après Renault et LVMH, c'est au tour du groupe français Rocher, vieux de 62 ans, d'annoncer ce jeudi 28 octobre un partenariat pour cinq ans avec Google Cloud. L'ensemble des marques du groupe, parmi lesquelles Yves Rocher, Petit Bateau ou encore Arbonne, auront accès à la technologie de Google Cloud pour mener leur transition numérique et renforcer leur stratégie e-commerce.

Le groupe Rocher mène un « vaste projet d'implémentation informatique », qui va de la gestion des API à la migration vers SAP, en passant par l'analyse des données, a-t-il déclaré par voie de presse. L'idée est d'aider ses marques présentes dans le secteur des cosmétiques, surtout, mais aussi dans l'aménagement, ou encore le textile, à « tirer parti de tout le potentiel du cloud ».

« Notre objectif est véritablement de maximiser l'utilisation du cloud. Nous adoptons ainsi une approche ad hoc pour chacune des plateformes existantes, et tout nouveau projet ou sujet s'appuie donc sur les technologies de cloud computing », explique un porte-parole du groupe à ZDNet.

Le groupe d'envergure internationale entend également faire progresser sa stratégie e-commerce et social selling (via les réseaux sociaux), à l'heure où les parcours d'achat démarrent davantage en ligne et empruntent des relais omnicanaux. L'accent sera mis « sur l'omnicanal en tenant compte des besoins locaux », nous précise-t-on.

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Réduire de 30 % l'empreinte carbone des services informatiques

Concrètement, le groupe, qui revendique 50 millions de clients et 17 500 collaborateurs, entend déplacer la majorité de ses charges de travail, ainsi que ses applications SAP, vers le cloud. Il va également déployer à l'échelle mondiale ses plateformes de données et moderniser sa plateforme e-commerce.

Rocher veut aussi profiter de l'expertise de Google pour réduire son empreinte carbone, en choisissant notamment la région Google Cloud en fonction de son pourcentage d'énergie sans émissions de CO2. Le groupe Rocher a annoncé qu'il souhaitait mesurer et réduire de 30 % d'ici 2030 l'empreinte carbone de ses services informatiques par rapport à 2019.

« Nous considérons Google Cloud comme un véritable partenaire pour atteindre nos objectifs en matière d'innovation et de croissance durable. Nous travaillerons ensemble pour nous assurer que le développement de nos marques bénéficie des technologies cloud résilientes, innovantes et fiables de Google, ainsi que de son expertise numérique », indique Stanislas Duthier, DSI du groupe Rocher, cité dans un communiqué.

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Répression du 21e siècle : ce que nous réservent les nouvelles technologies - Le Média

Robot-patrouilleur, tour de surveillance mirador, reconnaissance faciale… Le futur de la répression s’est donné rendez-vous la semaine dernière au parc des Expositions de Villepinte à l’occasion de la 22e édition du Milipol Paris, le salon mondial de la sécurité intérieure parrainé par le Ministère français de l’intérieur.

Christophe-Cécil Garnier, journaliste à StreetPress, s’est rendu sur place et il a accepté de nous livrer son témoignage.

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Technologies | Facebook papers : qu'est-il reproché au réseau social ? - DNA - Dernières Nouvelles d'Alsace

On se croirait de retour quelques années en arrière quand Julian Assange (Wikileaks) faisait fuiter au compte-goutte des documents sensibles de l'armée américaine sur la manière dont les États-Unis et leurs alliés mènent la guerre en Irak et en Afghanistan.

Autre lanceur d'alerte et autre sujet, mais même méthode : depuis plusieurs semaines, l'ancienne salariée de Facebook Frances Haugen étrille son ex-entreprise à coups de documents internes fournis à la Securities and Exchange Commission (SEC, organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers, NDLR). Le tout relayé dans les médias américains.

Face à cette nouvelle vague de critiques, Facebook se défend en rappelant ses investissements conséquents pour assainir ses plateformes, lutter contre les contenus trompeurs, haineux et problématiques et soutenir le processus démocratique, y compris dans des langues autres que l'anglais.

Que retenir ?

Des célébrités ont eu le droit de contourner les règles de la plateforme

L'un des premiers "enseignements" de ces fuites, c'est que des célébrités et des politiciens ont contourné les règles de la plateforme avec l'aval de Mark Zuckerberg - le PDG de Facebook - ou d'autres cadres haut placés, rapporte The Financial times. Et ce malgré le mécontentement des salariés à qui le PDG demande par ailleurs une "neutralité irréprochable".

Par exemple, Mark Zuckerberg aurait remis une vidéo contenant de fausses déclarations sur l'avortement alors que son retrait avait engendré des plaintes de politiciens républicains. Il aurait également céder au gouvernement vietnamien qui voulait censurer les publications de dissidents antigouvernementaux. Facebook a ainsi supprimé 2200 publications entre juillet et décembre 2020, contre 834 durant les six mois précédents, indique le Washington Post.

Un support du trafic d'êtres humains

Sur Facebook et Instagram, on peut "acheter et vendre" des servantes philippines, rapportent CNN et Associated press. La société a promis de "sévir", mais l'agence de presse américaine estime que le réseau social est confronté à "un problème plus large de trafic d'êtres humains".

Moins de 5 % des discours haineux retirés

Facebook a retiré moins de 5 % des discours haineux proférés sur sa plateforme, rapporte le Washington Post. L'an dernier, Mark Zuckerberg avait déclaré devant le Congrès américain que son entreprise en supprimait 94 %.

Au printemps, c'était les employés de Facebook eux-mêmes qui alertaient sur la faible capacité de Facebook à modérer les contenus anti-vaccins. Ils précisent que la détection automatique de ces contenus est "mauvaise en anglais" et "pratiquement inexistante ailleurs".

Les boutons "J'aime" et "Partager" sont aussi dans le collimateur des détracteurs de Facebook. Ces fonctionnalités ont "permis la désinformation" et "permis aux discours haineux de se développer sur le réseau social", rapporte le New York Times qui précise qu'aucune action pour y remédier n'a été conduite par Facebook.

87 % des ressources contre la désinformation pour les États-Unis

L’entreprise aurait aussi supprimé les "mesures de protection" destinées à empêcher la diffusion de fausses informations électorales après le jour de l’élection américaine et avant l’attaque du Capitole le 6 janvier dernier. Sans compter des efforts insuffisants, selon des experts du groupe, pour stopper la croissance du mouvement complotiste QAnon aux États-Unis.

La situation en Inde a également été pointé du doigt par les Facebook papers. Les discours haineux et les fake news, notamment antimusulmans, prospèrent sur ce marché immense pour la plateforme. Les fuites montrent que Facebook n'est pas efficace pour modérer les contenus dans les principales langues indiennes, soit l'hindi et le bengali, alors qu'il s'agit des quatrième et septième langues les plus parlées dans le monde.

En fait, la plateforme consacrerait 87 % de ses ressources à la lutte contre les fake news aux États-Unis, ce qui laisse peu de place pour le reste du monde...

Facebook n'attire plus les moins de 30 ans

Selon des données de mars, le nombre d’adolescents utilisant Facebook aux États-Unis a diminué de 13 % depuis 2019. Et la chute pourrait attendre 45 % en 2023, selon des projections.

La durée quotidienne passée sur le réseau a également baissé de 5 % chez les moins de 18 ans. D'où la volonté de l'entreprise de créer un Instagram Kids destiné aux 10-12 ans qui fait un tollé.

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DBV TECHNOLOGIES : Décidément, DBV Technologies peine à convaincre la FDA de l’efficacité de son patch contre l’allergie à l’arachide - Investir

C’est un nouveau coup dur pour la « Peanut Company », qui a décidément beaucoup de mal à faire homologuer aux Etats-Unis son patch de désensibilisation à l’allergie à l’arachide. La Food and Drug Administration (FDA) réclame à DBV Technologies des informations complémentaires sur son « Viaskin Peanut », technologie qui consiste en une administration de l’allergène via un patch, ce qui permet une capture de celui-ci par les cellules dendritiques de la peau sans passage massif dans la circulation sanguine (donc un moindre risque de choc anaphylactique).

La société de biotechnologie francilienne a fait savoir ce matin, à l’occasion de la publication de ses comptes à fin septembre, que l’autorité sanitaire américaine lui avait demandé le 14 octobre « une approche séquentielle du programme de développement du patch modifié Viaskin Peanut (mVP). La FDA souhaite examiner les données de l'étude de DBV sur la libération de l'absorption des protéines avant de faire part de ses observations supplémentaires sur la conception du protocole ‘STAMP’. »

Le patch, présenté comme révolutionnaire par la biotech, a été retoqué à plusieurs reprise par la FDA (l’action a plongé de plus de 90% depuis son record d’octobre 2017, à 86,64 euros). Le gendarme de la santé des Etats-Unis, le plus gros marché potentiel de DBV Technologies, a demandé de nouvelles études cliniques pour pouvoir se prononcer. Aussi, en vue de resoumettre une demande d’autorisation commerciale, trois études sont prévues : « Champ » (Comparison of adHesion Among Modified Patches), désormais achevée, pour sélectionner les nouveaux patchs, « Equal » (EQuivalence in the Uptake of ALlergen), pour évaluer le relargage des protéines d’arachide et « Stamp » (Safety, Tolerability and Adhesion of Modified Patches), qui testera l’innocuité et l’adhésion locale des patchs.

Des fonds jusqu’à la fin du deuxième trimestre 2022

L’étude « Stamp » est la plus longue, elle durera au minimum six mois. Or, elle ne pourra pas débuter tant que la FDA n’a pas validé le protocole. Les demandes d’informations supplémentaires vont donc retarder son lancement. La Bourse, qui espérait un nouveau dépôt de dossier d’autorisation pour le second semestre de l’année prochaine, est déçue. Les actions DBV Technologies, qui espérait initialement commercialiser son « Viaskin Peanut » en 2019, chutent de plus de 20%, retombant sous les 7 euros.

La FDA a indiqué qu’elle fournirait prochainement des recommandations sur la meilleure façon de démontrer la comparabilité de l'absorption des protéines du patch modifié avec le patch de référence (cVP).

Au 30 septembre, DBV Technologies disposait d’une trésorerie de 98,2 millions de dollars contre 196,4 millions en fin d’année dernière, ce qui représente seulement neuf mois d’activités opérationnelles à périmètre constant. Les activités sont financées jusqu’à la fin du deuxième trimestre 2022. 

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...