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Tuesday, November 30, 2021

Nouvelles technologies, marques féministes, influenceuses sans complexes : les révolutions du marché du sextoy - Yahoo Actualités

C'est une révolution à bas bruit qu'a lancée Womanizer en débarquant sur le marché des objets vibrants en 2014. Cette invention allemande de stimulation du clitoris sans contact, par un système de pulsation d'air, a ringardisé le vibromasseur qui focalise sur la pénétration en négligeant la sensibilité de l'organe du plaisir féminin. Quatre millions d'exemplaires ont été vendus dans le monde, auxquels s'ajoutent les nombreuses déclinaisons proposées par la concurrence. La marque suédoise Lelo a lancé avec succès le Sona, dans la lignée de ses produits haut de gamme mêlant technologie et design.

"On peut parfois passer sept ans sur un projet de recherche et développement, affirme Quentin Bentz, son responsable France. Si le Womanizer permet des orgasmes rapides et répétés, au point qu'on peut lui reprocher un côté mécanique, Sona favorise une montée plus lente et progressive." C'est à peine si Lelo emploie encore le terme de sextoy, qui évoque un peu trop le canard de bain, lui préférant celui d'"accessoire intime", plus chic.

Les jouets sexuels s'invitent dans le quotidien

Chez Passage du désir, plus d'une vente sur quatre de jouet sexuel concerne désormais aussi des accessoires sans contact fonctionnant par pulsation d'air. L'enseigne ouverte en 2007 a popularisé le concept de "love stores", des boutiques élégantes à Paris, Lille, Marseille, Nantes et Bordeaux, par opposition aux sinistres sex-shops. "Le design, la technologie et les nouvelles méthodes de stimulation ont bou...


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Robotique : la société toulousaine Naïo Technologies présente son dernier robot désherbeur à Las Vegas - ladepeche.fr

l'essentiel En janvier prochain, le robot viticole TED de l'entreprise Naïo Technologies sera présenté en exclusivité au marché américain à l’occasion du CES 2022 à Las Vegas, sous le pavillon de la Région Occitanie.

Un robot toulousain, d’Escalquens, à Las Vegas. C’est un peu le rêve américain qui se concrétise. Ce sera du 5 au 8 janvier 2022 le cas de « TED », le robot viticole dernière génération de la société Naïo Technologies, spécialisée dans la robotique agricole et fondée en 2011 par deux ingénieurs Aymeric Barthes et Gaëtan Séverac, qui aura son stand chez l’oncle Sam dans le très couru CES 2022 Innovation Award à Las Vegas (Nevada).

Le marché américain a déjà souri à Naïo Technologies qui a lancé, en 2019, son robot de désherbage mécanique Dino. L’entreprise haut-garonnaise a installé un bureau Naïo USA, à Salinas (Californie), « pour répondre à un marché local et à des demandes de plus en plus fortes. »

« Les problématiques de main-d’œuvre et le besoin de réduire l’usage de pesticides sont des problématiques globales, explique la nouvelle présidente directrice générale de Naïo Technologies Ingrid Sarlandie. Avec ses robots agricoles autonomes, Oz, Dino et Ted, Naïo répond à ces enjeux pour une production agricole durable, en phase avec les Hommes et l’environnement. »

Environ 150 000 euros le désherbeur

Le robot TED, qui intéresse les exploitants agricoles aisés, se vend au bas mot à près de 150 000 euros, confie-t-on du côté de la communication de l’entreprise escalquinoise. Avec toutes les options de l’intelligence artificielle embarquée, l’outil, qui fonctionne en autonomie avec la cartographie de la parcelle qu’il doit désherber, a séduit bon nombre d’agriculteurs qui souhaitent optimiser leurs coûts de production.

Dès janvier prochain, Naïo Technologies lancera des démonstrations de son robot TED en mode « RaaS » – qui combine la robotique et l’intelligence artificielle – chez ses nouveaux clients californiens. Manifestement, une expérience qui enthousiasme les Toulousains.

« En France, TED est déjà présent chez de grands noms, comme Hennessy et Grands Chais de France, complète Julien Laffont, responsable stratégie et développement chez Naïo Technologies. Nous avons acquis une grande expertise sur le sol américain avec Dino : avec huit robots en service et plus de 5 000 hectares désherbés, il est temps pour Naïo de se déployer plus largement aux Etats-Unis sur le marché de la viticulture ».

Pionnier dans la robotique agricole, Naïo Technologies conçoit, développe et commercialise des robots autonomes 100 % électriques pour assister les agriculteurs dans leurs tâches quotidiennes. La société emploie 70 personnes et totalise 230 robots qui désherbent dans 20 pays.

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Comment la Chine utilise les nouvelles technologies pour surveiller journalistes et étudiants - Marianne

C’est une information qui ne faisait presque plus l’ombre d’un doute mais qui est aujourd’hui confirmée par Reuters : la Chine utilise bien des nouvelles technologies dans la surveillance de cibles prédéfinies. Selon le document consulté par l’agence de presse, journalistes et étudiants internationaux sont surveillés par les autorités chinoises.

Passé le 29 juillet dernier, un appel d’offres de 200 pages auquel Reuters a eu accès, met en évidence les rouages d’un système de surveillance commandé par la province centrale du Henan. Entre autres : 3 000 caméras de reconnaissance faciale reliées à des bases de données nationales et régionales, des caméras capables d’identifier avec précision un individu et pas moins de 2000 agents chargés de traiter ces images sont au service de cet outil, à en lire le document édité par le gouvernement du Henan.

Reuters explique notamment que des alertes se déclenchent automatiquement lorsqu’un journaliste présent dans la région s’enregistre dans un hôtel, achète un billet de train ou encore traverse l’une des frontières de la province.

Les journalistes classés en trois catégories

C’est la société chinoise Neusoft qui a été chargée de concrétiser l’apparition de ce « bijou » de surveillance. L’entreprise a remporté le 17 septembre dernier l’appel d’offres pour un montant de près de 700 000 euros. Quelques jours seulement après que des journalistes étrangers de la BBC, de la Deutsche Welle, du LA Times ou encore de l'AFP ont couvert les inondations dévastatrices dans le Henan, ont été pris pour cible par une campagne nationaliste sur le twitter chinois Weibo.

L’appel d’offres, attribué à l’entreprise informatique basée à Shenyang au nord-est de la Chine, indique par ailleurs que les journalistes sont classés en trois catégories : rouge, orange et vert, en fonction des risques perçus par les autorités.

Un procédé déjà utilisé

L’usage d’un tel système par les autorités chinoises n’est pas nouveau. L’empire du Milieu avait notamment profité de l’épidémie de Covid-19 pour imposer une inquiétante surveillance de sa population. Déjà adepte des codes couleurs, le gouvernement via l’application Alipay avait mis en place dès l’hiver 2020 un algorithme qui attribuait un code couleur en fonction du niveau de santé et permettant ainsi de restreindre les mouvements des utilisateurs.

A LIRE AUSSI : Chine : Derrière la disparition de Peng Shuai, un système bien huilé

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Monday, November 29, 2021

Entre frugalité et technologies, quatre choix de société pour atteindre la neutralité carbone - Le Monde

C’est une contribution supplémentaire qui viendra alimenter le débat riche et complexe sur l’atteinte de la neutralité carbone. Après l’association négaWatt et le gestionnaire national du Réseau de transport d’électricité (RTE), l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) présente à son tour ses travaux prospectifs articulés autour de quatre scénarios, allant d’une option misant fortement sur la sobriété à une autre axée sur les innovations technologiques.

Les premières conclusions de cette étude intitulée « Transition(s) 2050 », publiées mardi 30 novembre à l’issue de deux ans de travaux, seront complétées par une série de publications thématiques attendue début 2022.

Un lotissement de résidences secondaires à Biscarosse (Landes).

L’établissement public, placé sous la double tutelle des ministères de la transition écologique et de la recherche, part d’un constat : si les tendances actuelles se poursuivent, les émissions de gaz à effet de serre de la France n’auront pas diminué suffisamment en 2050 pour qu’elle atteigne – comme elle s’y est engagée – la neutralité carbone.

Pour y parvenir, l’Ademe dessine donc plusieurs voies. A la différence des travaux de RTE, qui portent uniquement sur le système électrique, elle s’intéresse à des schémas globaux couvrant aussi bien les secteurs du bâtiment, de la mobilité, de l’alimentation, de l’agriculture, des forêts ou de l’industrie que de l’énergie. « Préserver le monde vivant, par exemple, est indispensable pour atteindre la neutralité carbone, notamment grâce au stockage de CO2 et à la production de biomasse, explique David Marchal, directeur exécutif adjoint expertises et programmes. Tous ces leviers sont interconnectés. »

Alors que le débat public se concentre largement sur la question des énergies renouvelables et du nucléaire et que le président Emmanuel Macron a annoncé vouloir construire de nouveaux réacteurs, l’Ademe espère élargir le champ des discussions. « La neutralité carbone va bien au-delà de la question énergétique ou de savoir s’il faut construire des EPR, assure Arnaud Leroy, le PDG de l’Ademe. Cela implique des choix de société en termes de gouvernance, de fiscalité, de centralisation ou décentralisation, de régime alimentaire… »

« Génération frugale »

Ces choix de société sont bien au cœur des quatre trajectoires. Pour réduire leur consommation d’énergie au cours des trois prochaines décennies, les Français sont-ils prêts à miser sur la sobriété, au prix de changements radicaux de leurs habitudes, ou préfèrent-ils parier sur le développement de nouvelles technologies et continuer à vivre peu ou prou de la même façon qu’aujourd’hui ?

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Chine: Reuters prouve l'utilisation des nouvelles technologies pour surveiller des cibles - RFI

Publié le :

Caméras de reconnaissance faciale et traçage des téléphones portables pour surveiller les journalistes et les étudiants étrangers, en Chine. Ce système commandé par la province centrale du Henan, selon l'agence Reuters, est le premier exemple connu de la mise en place d'un outil technologique personnalisé de répression des médias.

Avec notre correspondant à Pékin, Stéphane Lagarde

Voilà un document qui prouve ce que beaucoup soupçonnaient déjà : l'utilisation des nouvelles technologies dans la surveillance de cibles prédéfinies par les autorités chinoises, en l'occurrence ici les journalistes et les étudiants internationaux.

Ces 200 pages d'appel d'offres du gouvernement du Henan, consulté par Reuters, contiennent beaucoup d'informations. Le système permet de compiler des fichiers individuels. Il utilise 3 000 caméras de reconnaissance faciale connectées à des bases de données nationales et régionales ; des caméras capables de cerner un individu portant un masque ou des lunettes et dont les images sont exploitées par pas moins de 2 000 agents.

L'achat d'un billet de train, l'enregistrement à l'hôtel, déclenchent l'alerte auprès de différentes forces de sécurité prêtes à entrer en action.

Les journalistes sous surveillance

Ironie de l'histoire, cet appel d'offres portant sur un montant de près de 700 000 euros et attribué le 17 septembre à la société chinoise Neusoft, a été passé le 29 juillet dernier, après que les autorités locales ont perdu la trace des reporters et le contrôle du narratif.

Les inondations du Henan qui ont entraîné la venue des médias avaient alors provoqué pendant plusieurs jours des coupures d'électricité et des pannes de Wifi qui ont rendu les caméras aveugles. Et au retour du réseau, des journalistes de la BBC, de la Deutsche Welle, du Los Angeles Times, de l'Agence France-Presse et d'autres ont été la cible d'une campagne nationaliste sur la plateforme Sina Weibo, comme l'a rapporté le Club des correspondants étrangers en Chine.

L'appel d'offres indique que les journalistes sont classés en trois catégories : rouge, orange et vert, en fonction des risques perçus par les autorités.

Le « big data » surveille les Chinois

L'utilisation des nouvelles technologies pour rationaliser l'outil de surveillance étatique n'est pas nouveau, mais c'est la première fois selon Reuters qu'un document en apporte la preuve.

Cette surveillance des Chinois via le « big data » est sortie de l'ombre avec la pandémie de Covid-19. Dès l'hiver 2020, les sociétés d'intelligence artificielle et les professionnels de la surveillance s'étaient vantés de pouvoir scanner les rues à la recherche de personnes souffrant même de légère fièvre et de les signaler aux autorités.

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Nissan garde le cap sur les technologies de conduite autonome - L'Usine Digitale

Nissan garde le cap sur les technologies de conduite autonome
Nissan garde le cap sur les technologies de conduite autonome © Flickr/The Car Spy/CC

Nissan a dévoilé lundi 29 novembre 2021 son plan Ambition 2030. Résolument tourné vers l'électrification, le constructeur a annoncé investir 2 000 milliards de yens au cours des 5 prochaines années. L'objectif : lancer 23 nouveaux modèles électrifiés, dont une quinzaine 100% électriques, pour parvenir à un mix d'électrification de 50% d'ici 2030. Nissan n'oublie toutefois pas les systèmes avancés d'aide à la conduite et les promesses liées au véhicule autonome.

2,5 millions de véhicules avec ProPilot
Nissan assure vouloir faire bénéficier à un plus grand nombre de clients de ses technologies avancées d'aide à la conduite. Le constructeur souhaite embarquer sa technologie ProPilot sur plus de 2,5 millions de véhicule d'ici 2026. Sa technologie ProPilot est par exemple disponible sur les voies rapides. Cela maintient le véhicule au centre de la voie tout en conservant la distance de sécurité avec le véhicule devant lui et en respectant la vitesse définie par le conducteur.

Lors des dépassements, changements de file et prise de sortie, ProPilot gère vitesse, direction et distances de sécurité du véhicule. Lorsque le véhicule s'approche d'un embranchement ou qu'il est possible de doubler, il calcule le meilleur moment pour tourner ou dépasser et notifie le conducteur par des signaux visuels et sonore. Ce dernier doit alors poser les mains sur le volant et autoriser ou non l'action.

Des Lidars sur presque tous les nouveaux modèles
En équipant un nombre grandissant de véhicules de son système d'aide à la conduite, cela permet également au constructeur de collecter de précieuses données en conditions d'utilisation réelle. Ces données sont utiles pour poursuivre le développement de ses technologies de conduite autonome. Cela va dans le sens d'une autre annonce du Japonais : Nissan souhaite intégrer des Lidars de nouvelle génération sur la quasi-totalité de ses nouveaux modèles d'ici l'exercice 2030.

Un signe qui semble aller dans le sens du renforcer des ADAS. Pour la version ProPilot 2.0 qui équipe ses véhicules actuellement en circulation, le Lidar n'est pas nécessaire. Le système fonctionne à l'aide d'une cartographie 3D régulièrement mise à jour ainsi que des données provenant de 7 caméras et 12 sonars.

Les Lidars sont des capteurs assez coûteux qui sont très utilisés pour le développement des véhicules autonomes à l'exception notable de Tesla qui a toujours exclu l'utilisation de ce capteur. A noter que Valeo a récemment présenté la dernière génération de son Lidar dont la production en série doit débuter en 2024. L'équipementier français assure être le seul à produire en masse ce capteur.

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Faurecia : Les technologies d'affichage au coeur de l'habitacle - Zonebourse.com

29.11.2021
Catégorie
Cockpit du futur
Les technologies d'affichage au coeur de l'habitacle
Les technologies d'affichage sont un élément clé de la stratégie du Cockpit du Futur de Faurecia, et servent souvent de point d'entrée pour une expérience connectée, personnalisée et immersive. Deux priorités stratégiques guident le développement technologique de Faurecia dans ce domaine : faire progresser l'interactivité et la flexibilité pour s'assurer que les écrans répondent à une gamme de contextes et de cas d'usage, et permettre aux équipementiers d'intégrer plusieurs interfaces et fonctionnalités sur une seule surface, faisant des écrans un élément rentable du cockpit
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Display series

Depuis leur apparition dans nos voitures, les écrans n'ont cessé de croître en taille, en complexité et en nombre. Les écrans évoluent et passent d'outils purement fonctionnels à des éléments esthétiques qui améliorent les marques des équipementiers et l'expérience de leurs clients dans le véhicule. Pour nous, c'est le signe du succès de la stratégie de Faurecia en matière de technologies d'affichage, qui consiste à offrir une gamme plus large de solutions pour les cas d'utilisation dans l'environnement automobile.

Au fil des années, Faurecia a développé une expertise unique dans les technologies d'affichage et l'intégration de systèmes dans le cockpit du futur. Avec Faurecia Clarion Electronics, nous sommes en mesure de fournir des solutions d'affichage de pointe et économes en énergie pour les véhicules haut de gamme et grand public. Nos équipes de conception internes veillent à ce que les écrans soient intégrés de manière intelligente et ergonomique dans le véhicule, utilisent des matériaux de haute qualité déclinés dans une variété de finitions distinctes, offrant aux constructeurs automobiles une plus grande liberté esthétique et aux utilisateurs finaux un produit plus raffiné.

Faurecia a construit un écosystème de premier ordre pour développer des technologies d'affichage de pointe. En travaillant sur des processus industriels tels que le collage optique, sur du matériel tel que le rétroéclairage avancé, et sur des logiciels pour optimiser le traitement de l'image, nous pouvons améliorer la qualité et la rentabilité de nos produits. Il en résulte à la fois une plus grande gamme de fonctionnalités intégrées aux écrans et une plus grande liberté et finesse esthétiques, ce qui enrichit l'expérience de l'utilisateur.

Alors que les technologies d'affichage évoluent pour répondre à un plus grand nombre de cas d'utilisation dans l'automobile, Faurecia donne la priorité à l'intégration dans le cockpit, à l'optimisation du traitement de l'image et aux fonctionnalités immersives. Celles-ci nous permettront non seulement d'améliorer les configurations d'affichage existantes, mais aussi de repousser les limites des écrans automobiles. Nous pouvons nous permettre d'imaginer des écrans plus petits, modulaires, aux bords invisibles, qui peuvent être connectés les uns aux autres en cas de besoin (par exemple lorsqu'un utilisateur passe de la prise d'un appel téléphonique au visionnage d'un film), ou des écrans qui se fondent dans les surfaces environnantes lorsqu'ils ne sont pas utilisés. Offrir aux occupants des véhicules des expériences connectées uniques en matière de mobilité grâce aux écrans changera la façon dont les utilisateurs interagissent avec le véhicule dans son ensemble et ce qu'ils peuvent en attendre.

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Faurecia SA published this content on 29 November 2021 and is solely responsible for the information contained therein. Distributed by Public, unedited and unaltered, on 29 November 2021 09:29:04 UTC.

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Blockchain et Métavers : des technologies d'avenir - YubiGeek

Facebook qui devient Meta, l’explosion des Crypto-monnaies et des NFT. Nous sommes à l’aube d’une nouvelle air technologique. Tout cela, en lien avec la Blockchain et depuis peu, mis au-devant de la scène, le Métavers.

Métavers, à la fois un sujet vague et complet. Avant toute chose, revenons sur quelque notion basique telle que la Blockchain, les Crypto-monnaies et les NFT.

La Blockchain en quelques lignes 

Pour faire simple, la Blockchain est une façon de faire des transactions de manières décentralisées, c'est-à-dire, ne pas avoir à passer par des intervenants tels que des banques… L’idée de payer en espèce pour ne laisser aucune trace n’existe plus. 

Toutes les transactions de chaque cryptomonnaie et autre seront cryptés et encodés, pour être ensuite stocké dans un historique des transactions… Cela signifie que l’on peut tracer n’importe quelle échange.

Ce nouveau procédé va demander des nouvelles forces de calcule pour permettre son fonctionnement, heureusement, ce n'est pas un problème. 

Ministère de l'économie 
Ministère de l'économie 

Les Cryptomonnaies en quelques lignes 

Les cryptomonnaies sont des devises numériques décentralisées utilisant la technologie de la blockchain. De cette façon, elles auront un suivi, on parlera alors de traçabilité pour les transactions. Ce qui va aussi permettre une fiabilité de ces dernières de par le suivie. Elles peuvent être achetées, échangées, vendues… tout comme des divises tel que l’Euro... La plus connu étant le Bitcoin mais on retrouvera une ribambelle de nouveau projet crypto comme Pi Network.

Pour aller plus loin et en apprendre d'avantage sur ces deux technologies et sur ce système économique, je vous redirige vers un article de Maxence Rose qui vous explique tout cela : les technologies Blockchain et les Crypto-monnaies 

Les NFT en quelques lignes 

Les Non-Fongible Token ou plus connus sous leurs acronymes NFT. Toujours en lien avec la technologie Blockchain, ce sont des “protocoles” informatiques décentralisés permettant à des transactions financières à travers internet, d’être crypté et sécurisé. Elles vont aussi permettre l'authenticité de la possession d’un bien. On prend l’exemple de Spacefox (marque de vêtements et d’accessoires du vidéaste Amixem), le 21 novembre 2021, ils ont sorti leur nouveau braceletCollision” avec pour principe, d’avoir une pierre provenant d’une météorite. Pour certifier aux acheteurs leurs possessions d’un vrai bracelet, les clients de ce produit vont recevoir un NFT certifiant la conformité et l'authenticité du bracelet.    

Maintenant que cela est dit, nous pouvons aborder le Métavers

Le Métavers en quelques lignes 

Concrètement, un métavers s’apparente à un univers numérique en 3D immersif qui a pour objectif de mettre en relation tous les intervenants entre eux avec des approches diverses et varié, tout cela en répondant à de nombreux besoins de l’utilisateur. 

On y retrouvera un aspect Social, avec des espaces d'échanges, des endroits d'interactions entre amis, famille, collègues et inconnus. Nous retrouvons l'équivalent de nos réseaux sociaux traditionnel en version Métavers, ou encore des variantes plus évolué du célébre jeu VRChat. 

Un aspect plus en lien avec le monde du travail, avec des meetings rooms, des espaces de coworking dématérialisés et autres. Cela va permettre de favoriser de nouvelles façons de travailler, d'aborder une nouvelle industrie technologique...

Un aspect Loisir et divertissement qui permettra de voir apparaître des jeux de plus en plus évolués, des univers uniques, des créations des plus incroyables... Une multitude de possibilités s'offrent à nous avec cette technologie. Ainsi que d'autre option que nous n'avons pas encore imaginé. 

Le lien entre toutes ces technologies et innovations 

Un des éléments qui va lier toutes ces innovations sera l’aspect économique. On retrouvera la création de valeur qui sera commune à nos 2 mondes. Les NFT sont déjà des passerelles entre les 2 mondes, les cryptomonnaies aussi. Tout cela va créer une économie à la fois virtuelle et réelle non négligeable qui va engendrer la course au Métavers. On retrouvera par exemple Facebook qui a changé de nom et est devenu Meta. L'entreprise n'a fait qu'affirmer sa volonté de se placer en tant que pionnier de cet univers parallèle.

On retrouvera aussi Nvidia Omniverse, Roblox Corporation et d'autres société. Une multitude d'entreprises qui vont créer et façonner un avenir commun et numérique.

Maintenant que les bases sont présentes, nous vous retrouverons dans un futur article ou nous irons plus loin dans les détails du Métavers avec des projets, collectifs... Restez connecté ! 

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Aveyron : la vie s’organise dans l’usine occupée Sam Technologies - Centre Presse Aveyron

Remobilisés par les nombreux témoignages de soutien, les salariés de Sam Technologies, à Viviez, sont bien décidés à ne pas baisser les bras.

La désillusion, le dégoût et la tristesse affichés vendredi soir par la majorité des 333 salariés de l’usine Sam Technologie de Viviez a très vite cédé la place à la remobilisation générale. "Le tribunal de commerce a prononcé la liquidation judiciaire et la cessation d’activité immédiate de notre usine mais nous ne sommes pas d’accord avec cette décision", déclare un homme revendiquant 35 années d’anciennetés au sein de l’unité decazevilloise. "Pas question de baisser les bras et d’abandonner", précise-t-il en terminant de fixer une photo de lui sur "le mur de la colère" à l’entrée de l’usine.

Pris devant son poste de travail, le cliché est accompagné d’un mot écrit par le salarié en question. Au regard du nombre important de photos déjà exposées, la colère doit être grande. Une colère sourde et pleine de dignité, comme les messages affichés à la vue de tous comme autant de témoignages d’une époque que certains souhaiteraient voir maintenant révolue.

Soutien total

Il suffit pourtant de se rendre sur place au sein des ateliers où se relaient maintenant depuis quelques jours les 333 salariés et de se laisser imprégner par l’ambiance pour comprendre que "la Sam", comme ils l’appellent ici, est bien ancrée sur le territoire. Un bassin de lutte et de solidarité. Aussi, plus que les 333 salariés, c’est une grande partie de la population qui est en train de se mobiliser en criant à l’injustice. Un soutien qui s’est traduit par la présence de plus de 3 000 personnes lors du dernier rassemblement de soutien pour l’usine. Hier, également, de nombreuses personnes sont venues apporter leur soutien aux occupants de l’usine. En famille, seul ou entre amis, chacun apportant selon ses possibilités, de la nourriture, un peu d’argent pour alimenter la caisse de solidarité, ou simplement un sourire.

"Ça fait chaud au cœur de savoir que la population est derrière nous, sourit Christine, du haut de ses 55 ans, dont 30 très belles années ici. Après 30 ans de service, mon salaire n’est pourtant que de 1 450 €. Ce n’est pas grand-chose mais pourtant cela me convient et j’aimerais bien que cela continue pour moi jusqu’à la retraite, ajoute-t-elle visiblement émue. Mais aussi pour les jeunes du Bassin qui souhaiteraient prendre le relais".

"Une bonne ambiance"

"Fermer la Sam va à l’encontre de tout ce que prônent nos dirigeants à l’heure actuelle, qu’il s’agisse de promouvoir le Made in France, la relocalisation des industries, ou encore la lutte contre le réchauffement climatique. Sans oublier la catastrophe sociale que cette fermeture va engendrer sur un territoire déjà bien sinistré."

Christine est interrompue dans son analyse par l’arrivée d’un sapeur-pompier les bras chargés de victuailles. "Au moins, on ne mourra pas de faim", conclut-elle dans un rire. La retraite, Max n’y songe pas vraiment. Entré à la faveur d’une mission d’intérim de trois semaines dans ce qui était encore à l’époque le fleuron du groupe Arche, le jeune homme de 26 ans totalise désormais sept années d’ancienneté.

"Au départ, comme la plupart de mes collègues, je me suis dit que je ne ferai pas ma vie dans cette usine", raconte-t-il. Et d’enchaîner : "Mais le travail est plaisant et il y a surtout une bonne ambiance entre les différents salariés. C’est presque ma seconde famille. Je m’y sens à l’aise et cela me va très bien."

Mobilisation nationale

" Une bonne ambiance" également mise en avant par Sarah. À 44 ans cette dernière a déjà passé plus de la moitié de sa vie au sein de la fonderie viviézoise. "Et pourtant je ne m’en lasse pas", confie-t-elle.

Comme bon nombre de ses 333 collègues, Sarah sera présente sur le site viviézois ce matin pour la venue de la présidente de la Région, Carole Delga. "On va bien voir ce qu’elle a à nous dire", coupe un retraité du Bassin qui a vécu la fermeture de l’usine Valourec à Decazeville.

"Si la présidente Delga avait voulu faire quelque chose pour sauver la Sam, elle aurait proposé un peu plus que les 900 000 € d’aide qu’elle était prête à consentir. Surtout quand on sait que dans le même temps, la Région vient d’allouer une somme de plus de 5 M€ pour financer une étude en marge d’une possible remise en service de la ligne SNCF Rodez-Sévérac. 5 M€ pour une étude et 900 000 € pour sauver les emplois de 333 familles ? Difficile à avaler", estime le retraité qui aurait aimé voir l’État et la Région "s’impliquer vraiment" en mettant chacun 20 millions sur la table.

"Ce n’est pas le cas, dommage pour les salariés et le Bassin", conclut le vieil homme qui ne sera pas présent pour la venue de Carole Delga. Il sera en revanche bien présent, mercredi 1er décembre, pour participer au rassemblement national qui promet d’ores et déjà d’être de grande ampleur, avec des bus de sympathisants venant de toute la France.

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Sunday, November 28, 2021

Aéronautique. Segula Technologies prévoit de recruter plusieurs dizaines de personnes à Toulouse - Touléco : Actu eco Toulouse

La crise commence à se conjuguer au passé pour Segula Technologies, groupe mondial d’ingénierie de 10 000 collaborateurs. Pourtant, sa branche aéronautique, percutée de plein fouet par des turbulences inédites, en garde des stigmates. Son usine Simra, située à Albert (Somme), a été contrainte d’arrêter la production et de fermer ses portes définitivement le 31 mars dernier, entraînant la suppression de 70 emplois.

Mais, désormais, les regards se tournent vers l’avenir. « Nous avons été fortement impactés mais nous avons résisté », se félicite Cédric Elbaz, directeur général adjoint de l’entité aéronautique du groupe, qui comprend huit sites en France et 1200 personnes. « Nous sommes déjà dans le rebond de certains secteurs. L’aéronautique le ressent de façon très forte. Globalement, notre niveau d’activité est supérieur à celui de 2019 », observe Cédric Elbaz.

Croissance externe

Si la branche hélicoptère s’en sort bien, en maintenant un niveau d’activité stable, Segula Technologies s’invite là où la concurrence ; affaiblie par la crise, laisse une place vacante. « La pandémie a redistribué les cartes et nous avons saisi des opportunités pour gagner des marchés », assure le directeur général adjoint, qui prévoit de recruter 400 collaborateurs.

Le site toulousain, spécialisé dans la conception mécanique, l’intégration système et l’innovation autour de l’avion décarboné, tire profit des difficultés des bureaux d’études (Sogeclair, Scalian, Expleo, Akka Technologies), qui ont taillé dans le vif des effectifs.

« Toulouse redécolle. Une croissance à deux chiffres est attendue en 2022. » Et pour accompagner cette embellie, plusieurs dizaines de postes seront à pourvoir sur ce site qui emploie une centaine de salariés. Mais pas seulement. La consolidation est aussi envisagée. Le groupe « regarde les opportunités qui s’offrent à lui ».
Audrey Sommazi

Sur la photo : Le groupe Segula Technologies est implanté dans 30 pays avec 140 sites.
Crédits : Segula Technologies 

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Cybersurveillance en Égypte : la société française Nexa Technologies mise en examen pour «complicité de torture» - Le Figaro

L'entreprise est accusée d'avoir fourni des outils de surveillance d'opposants politiques au régime d'Abdel Fatah al-Sissi.

La société française Nexa Technologies, accusée d'avoir vendu du matériel de cybersurveillance au régime égyptien qui lui aurait permis de traquer des opposants, a été mise en examen en octobre pour «complicité d'actes de torture et de disparitions forcées», a appris dimanche l'AFP de source proche du dossier.

Cette mise en examen a été prononcée par la juge d'instruction chargée des investigations le 12 octobre, environ quatre mois après celles de quatre dirigeants et cadres de la société, selon cette source, confirmée par une source judiciaire.

Contacté par l'AFP, l'avocat de Nexa Technologies, Me François Zimeray, n'a pas souhaité faire de commentaires. Une information judiciaire avait été ouverte en 2017 à la suite d'une plainte de la FIDH et de la LDH déposée avec le soutien du Cairo Institute for Human Rights Studies (CIHRS).

Contrat à 10 millions d'euros

Celle-ci s'appuyait sur une enquête du magazine Télérama révélant la vente en mars 2014 d'«un système d'écoute à 10 millions d'euros pour lutter - officiellement - contre les Frères musulmans», l'opposition islamiste en Égypte.

Appelé «Cerebro», ce programme permet de traquer en temps réel les communications électroniques d'une cible, à partir d'une adresse mail ou d'un numéro de téléphone par exemple. Les ONG accusaient ce logiciel d'avoir servi la vague répressive contre les opposants d'Abdel Fatah al-Sissi, qui selon le Cairo Institute for Human Rights Studies (CIHRS) s'est traduite par «plus de 40.000 prisonniers politiques en détention en Égypte».

L'enquête menée par le «pôle crimes contre l'humanité» du tribunal judiciaire de Paris a ainsi pour but de déterminer si un lien entre l'utilisation de la surveillance et la répression peut être démontré.

Nexa est dirigée par d'anciens responsables d'Amesys, visée par une autre information judiciaire depuis 2013 pour avoir vendu au régime de Mouammar Kadhafi entre 2007 et 2011 un logiciel appelé à l'époque «Eagle» - ancêtre de «Cerebro» - et qui aurait servi à arrêter des opposants libyens. Dans cette enquête, Amesys et celui qui en fut le président jusqu'en 2010 ont aussi été mis en examen en juin.

Autres soupçons en Libye

Par ailleurs, selon une source proche du dossier confirmant une information de Libération, les enquêteurs de l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité (OCLCH) soupçonnent Nexa d'avoir voulu vendre un système tactique d'interception cellulaire baptisé «Alpha Max» au maréchal Haftar, homme fort de l'Est de la Libye.

Dans un rapport de synthèse dont l'AFP a eu connaissance, les enquêteurs indiquent qu'un des dirigeants mis en examen dans le volet égyptien avait reconnu en audition «cette vente entre Nexa et l'Armée nationale libyenne du maréchal Haftar».

Des documents contractuels entre Advanced Middle East System, autre entité de droit émirati créée en parallèle de Nexa Technologies en 2012, et le ministère libyen des communications et de l'information technologique de Benghazi ont été saisis en perquisition.

La Libye est depuis 2011 sous le coup d'un embargo de l'ONU sur les armes et matériels assimilés, et l'Armée nationale libyenne n'est pas reconnue par la communauté internationale. Pour les enquêteurs, ces faits pourraient relever de l'«association de malfaiteurs en vue de commettre des tortures ou des actes de barbarie».

Mais pour l'instant, selon une source proche du dossier, le parquet national antiterroriste (Pnat), compétent en matière de crimes contre l'humanité, n'a pas élargi l'information judiciaire à ces faits. Il a expliqué à l'AFP qu'il se positionnerait «par rapport à ces infractions au regard des investigations qui sont en cours». Dans un communiqué, Nexa Technologies a démenti avoir «contracté, de quelque façon que ce soit, avec la Libye».

À voir aussi - Emmanuel Macron, Édouard Philippe, Edwy Plenel… ciblés par un logiciel espion: Amnesty International résume l'affaire Pegasus

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Cybersurveillance en Égypte : la société française Nexa Technologies mise en examen pour «complicité de torture» - Le Figaro
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Côtes-d’Armor. Quand les nouvelles technologies améliorent le confort de vie des diabétiques - Ouest-France

Le petit boîtier peut tenir dans une poche. Nathalie Le Comte, 46 ans, est atteinte du diabète de type 1 (environ 6 % des cas de diabètes en France d’après Santé publique France). Dans ce cas, le pancréas ne produit plus assez ou, plus du tout, d’insuline. La maladie s’est déclarée il y a deux ans. Assise dans la salle d’éducation thérapeutique du service d’endocrinologie, à l’hôpital Yves-Le Foll, à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), la quadra présente l’appareil relié à un cathéter : une pompe à insuline « intelligente »​, qui fonctionne en continu pour adapter le débit, tout en étant connectée à un capteur de glucose posé à même la peau. On parle d’une « boucle semi-fermée », réservée aux diabétiques de type 1.

Fini le stylo à insuline

Le matin, je réalise une première calibration capillaire par une piqûre pour mesurer la glycémie sur un boîtier. Ensuite, avant chaque repas, j’évalue à vue d’œil les glucides des aliments que je vais ingérer ou je les pèse. Et j’entre ce taux dans la pompe​, décrit Nathalie Le Comte. C’est fini les piqûres avec un stylo à insuline à chaque repas​, positive la quadra, qui teste le dispositif depuis juin. Dans le département, près de dix patients, âgés de 25 à 66 ans, l’expérimentent. Les hôpitaux de Rennes, Brest, Vannes et Lorient l’essaient aussi.

« C’est plus confortable »

La patiente présente la pompe à insuline « intelligente ». Les données sont aussi consultables sur smartphone. | OUEST-FRANCE

Je ne vais pas dire qu’on oublie la maladie, mais presque. Elle reste présente 365 jours sur 365, avoue Nathalie Le Comte. Mais a ujourd’hui, c’est moins contraignant. Avant, il fallait penser à prendre le stylo à insuline quand on partait à la journée. La pompe est sur nous. C’est plus confortable. Il faut seulement changer le cathéter tous les trois jours. ​Ce dispositif « autonome » apporte une meilleure qualité de vie aux patients​, appuie Nina Kissel, endocrinologue. Il contribue à améliorer l’équilibre glycémique et à réduire les malaises hypoglycémiques, c omplète Oana Ionesco, endocrinologue et cheffe de service. ​C’est l’équivalent d’un pancréas artificiel.

Un suivi de plus en plus connecté

Cent ans après la découverte de l’insuline, c’est un grand pas pour les malades, dont la prise en charge est de plus en plus connectée. « Depuis trois ans, la télémédecine est active en diabétologie, sous forme de télésurveillance pour une centaine de patients. Les données sont transmises en temps réel sur un logiciel. Les infirmières font un point hebdomadaire avec un médecin et peuvent appeler ou envoyer des messages pour donner des conseils dans le cadre de cet accompagnement thérapeutique », développe l’endocrinologue. Avant de conclure : « Les conditions de remboursement de la boucle semi-fermée seront définies début 2022. »

Partager cet article Nathalie Le Comte, patiente diabétique de type 1, Oana Ionesco, endocrinologue, et Nina Kissel, endocrinologue et cheffe de service, à l’hôpital Yves-Le Foll, à Saint-Brieuc.
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Saturday, November 27, 2021

Nouvelles technologies - GIC Space, plateforme africaine de télémédecine - RFI

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Un médecin camerounais a créé une jeune pousse spécialisée dans l’e-santé pour dépister et diagnostiquer à distance les cas de cancer du sein et du col de l’utérus. En développant des dispositifs de télémédecine dans des smartphones, les femmes des zones reculées et périurbaines de l’Afrique subsaharienne peuvent ainsi accéder plus rapidement aux services de soins contre le cancer. 

Plus de 400 000 décès annuels suite à des cancers du sein et du col de l’utérus sont à déplorer en Afrique subsaharienne. Faute de diagnostic précoce en raison de la pénurie des équipements et du manque de thérapeutes spécialisés, les femmes vivant dans les zones rurales sont les plus touchées par ce fléau. C’est la raison pour laquelle le jeune médecin camerounais Conrad Tankou a développé une plateforme de télémédecine dénommée GIC Space (Global Innovation and Creativity Space) qui permet aux oncologues d’établir un diagnostic à distance. Ce site intègre des modules de formation en ligne pour les personnels de santé, propose aux centres isolés un système de microscopie par smartphone, un spéculum intelligent et connecté, un dispositif simple de biopsie par ponction à l’aiguille fine, mais dont l’analyse des échantillons s’effectue en quasi direct en passant par un réseau 3G, nous précise le Dr Conrad Tankou

RFI : Quel est l’objectif de la plateforme de télémédecine GIC Space ? 

Dr Conrad Tankou : L’objectif général est de pouvoir faciliter le dépistage et le diagnostic du cancer du col de l’utérus et du sein, qui sont les deux cancers les plus fréquents chez les femmes en Afrique subsaharienne. Avec les technologies que nous sommes en train de développer, nous travaillons avec des acteurs cliniques et des centres de santé présents dans les zones reculées là où les besoins sont vraiment intenses. Nous formons également les personnels de santé dans ces zones afin qu’ils deviennent les acteurs principaux du développement de ce projet.  

Les centres de santé ruraux sont assez peu équipés avec des problèmes de formations et souffrent d’une pénurie de médecins spécialisés dans les cancers ? 

Effectivement, c’est la raison pour laquelle nous avons essayé d’apporter des solutions adaptées qui utilisent les faibles ressources existantes, de telle sorte que les spécialistes qui sont peu nombreux et vivent la plupart du temps dans les grandes métropoles puissent diagnostiquer à distance les femmes où qu’elles se trouvent. 

Concrètement, comment fonctionne votre plate-forme de télémédecine, et quelles en sont toutes les composantes ? 

Les innovations que nous avons conçues dans le domaine de la santé et du numérique sont au nombre de cinq. Premièrement, nous avons développé un spéculum intelligent et connecté. Ensuite, nous avons créé un système de microscopie intelligent sur Smartphone, puis un dispositif de biopsie réalisée à l’aiguille fine, ensuite, une plateforme de télémédecine permettant de transférer les données médicales entre les centres de santé et, enfin, nous avons développé une plateforme de formation en ligne pour le personnel qui facilitent l’apprentissage de nos techniques dans un délai très court. Ce système de simulation d’actes médicaux en 3D est plus attractif pour les infirmières et les infirmiers. Après la phase de formation, ces technologies sont déployées dans les centres de santé isolés, mais l’objectif reste avant tout de récolter des données médicales pour que les spécialistes puissent établir leurs diagnostics. Pour le cancer du sein, par exemple, après une biopsie à l’aiguille fine, les images captées à l’aide du microscope numérique sont envoyées à distance à l’oncologue.   

Les infrastructures internet sont-elles suffisantes pour transmettre ces données depuis des régions isolées ? 

Toutes nos solutions se basent sur les réseaux 3G mobiles qui existent dans les zones rurales, mais le challenge est de couvrir des régions dans lesquelles le réseau est déficient ou parfois inexistant ! Mais en général notre workflow fonctionne mieux dans ces endroits que dans les villes. Je vous donne un exemple : avec un réseau 3G, il est possible d’obtenir un résultat de diagnostic du cancer du col en moins de 30 minutes avec notre technique numérique d’examen visuel. En revanche, si une femme doit voyager jusqu’à la métropole pour se faire dépister par un spécialiste, il lui faudra plus d’un mois et réalisera de nombreuses dépenses comme le transport et l’hébergement pour obtenir ce même résultat. Pour les zones non couvertes par un réseau mobile, nous avons développé un système qui enregistre les données médicales afin de les envoyer en différé avec un réseau télécom intermittent ou de faible intensité. 

L’ambition de votre jeune pousse est de proposer ces dispositifs médicaux innovants d’ici à 5 ans à toute l’Afrique subsaharienne ?  

Oui, si nous réussissons à implanter nos solutions de préventions et de diagnostics dans les zones reculées du Cameroun, il deviendra alors facile de les répliquer pour d’autres régions y compris de les adapter pour des populations résidant dans les grandes villes. 

Les femmes dans les zones rurales bénéficient gratuitement pour l’instant à ces dépistages connectés ? 

Actuellement, c’est gratuit pendant la phase de validation de notre projet. Plus tard, il y aura un coût mais il sera adapté en fonction du contexte économique des patients, de leurs faibles revenus, par exemple, ou des difficultés d’accès aux soins médicaux pour des personnes vivant dans les régions isolées. Nous réfléchissons évidemment au côté social de notre plate-forme pour qu’elle profite au plus grand nombre. 

Votre projet a déjà reçu de nombreux prix à l’international, ces reconnaissances vous ont-elles permises de concrétiser vos innovations ? 

En fait ces prix avec leurs enveloppes financières prouvent surtout que ce que nous développons est vraiment important et nécessaire. Mais c’est aussi une motivation pour poursuivre notre action. Cependant, il reste beaucoup à faire et nous continuons à rechercher des partenaires et des collaborateurs parce qu’innover dans le secteur de la santé en Afrique ce n’est pas toujours facile et fabriquer des instruments médicaux performants et efficaces est encore plus compliqué. Nous avons la chance de travailler sur un système qui commence à faire ses preuves, nous espérons que son implantation sera durable et qu’il servira de base et de modèle de développement à d’autres projets de télémédecine.  

Les innovations mises au point par Conrad Tankou ont été plusieurs fois récompensées. Notre médecin inventeur a obtenu le 1er Prix des jeunes innovateurs africains pour la santé, remis en septembre 2021 par la Fédération Internationale de l’industrie pharmaceutique et la Speak Up Africa. Pour l’instant, ces dispositifs sont déployés dans les centres de santé des régions isolées du Cameroun. Mais l’objectif de la jeune pousse, à la recherche de partenaires financiers est de s’implanter, à l’horizon 2025, dans chaque pays de l’Afrique subsaharienne.

Vous avez des questions ou des suggestions, vous pouvez nous écrire à nouvelles.technologies@rfi.fr.

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ENTRETIEN. Nouvelles technologies : « Parler à la machine, c'est parler à l'homme derrière » - Ouest-France

Écrans, enceintes, voitures et, demain, réfrigérateurs, miroirs, perceuses ou marteaux : les outils, numériques, connectés, pilotés par une intelligence artificielle sont partout. Est-ce une chance ou un danger ? Les deux, estime le psychiatre Serge Tisseron, fondateur de l’Institut pour l’étude des relations homme-robots (IERHR). Pour le chercheur, membre de l’Académie des technologies, ces dernières peuvent peuvent engager l’humanité dans des tâches collaboratives profitables à tous. À condition toutefois, estime Serge Tisseron de les utiliser avec frugalité –​ terme qu’il préfère à celui de « sobriété » – et de savoir qui les contrôle, et dans quel but.

Les nouvelles technologies ont pris une place importante dans notre quotidien. Est-ce une chance ou un danger ?

Toutes les technologies sont à la fois une chance et un danger. Selon ceux qui les contrôlent, elles peuvent humaniser l’homme ou le déshumaniser. Elles peuvent engager l’humanité dans des tâches collaboratives profitables à tous, et permettre à chacun de mieux se connaître lui-même et de mieux connaître les autres. Mais elles peuvent aussi permettre à quelques-uns de devenir toujours plus puissants.

Est-ce la technologie qui est au service de l’homme, ou l’homme qui lui est asservi ?

Cette question a reçu plusieurs réponses. Dans l’artisanat, l’homme utilise ses outils selon ses nécessités. Puis avec le capitalisme industriel, mis en scène dans Les temps modernes de Charlie Chaplin, l’homme est asservi aux rythmes des machines, et il le sait. Avec les outils numériques, nous entrons dans un troisième moment. Nous avons l’impression qu’ils sont totalement à notre service, mais les algorithmes développés par les fabricants nous poussent à les utiliser toujours plus longtemps, pour que nous cédions toujours plus aux publicités qu’elles nous proposent et que nous leur abandonnions toujours plus de données personnelles. Nous croyons être les maîtres de ces outils, mais nous sommes en réalité asservis par leurs algorithmes sans le savoir.

Que vous inspirent les révélations récentes sur les pratiques de Facebook ?

Elles confirment ce que beaucoup craignaient : Facebook est plus soucieux de son modèle économique, basé sur la dérégulation des comportements de ses utilisateurs, que de leur bonne santé. Il nous enferme dans des bulles en nous rattachant à un petit groupe de gens qui pensent et font comme nous, et nous finissons par croire que nos choix sont les seuls possibles et que ceux qui pensent autrement sont des imbéciles, ou même des ennemis. Ces révélations confirment aussi que Facebook protège mal nos données. Avec le risque...

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ENTRETIEN. Nouvelles technologies : « Parler à la machine, c’est parler à l’homme derrière »Ouest-France.fr

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Des drones à la réalité virtuelle : le golf est devenu un terrain d'essai privilégié pour les nouvelles technologies - ZDNet France

Des drones à la réalité virtuelle : le golf est devenu un terrain d'essai privilégié pour les nouvelles technologies

Un drone équipé de la 5G survole le parcours lors du récent Open d'Espagne à Madrid. Image : European Tour

Les drones, les jumeaux numériques et les applications de réalité virtuelle ne sont pas le genre de matériel que l'on associe normalement au golf. Mais c'est exactement les outils qui sont mis à l'épreuve en ce moment même sur le circuit européen de ce sport.

Lors du récent Open d'Espagne à Madrid, Michael Cole, directeur technique du Tour européen et de la Ryder Cup, et son équipe ont travaillé avec le géant des télécommunications Telefónica pour tester comment les drones pourraient être utilisés pour fournir de meilleures images et améliorer la qualité de la diffusion télévisée. Ils ont testé un drone captif et un drone itinérant, tous deux connectés en 5G.

"L'intégration de cette technologie dans nos processus faisait partie du cas d'utilisation que nous testions", explique M. Cole. "Nous voulions examiner comment nous pouvions introduire la capacité de bout en bout des drones dans nos processus de travail et notre flux de travail pour les techniques de production."

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Un jumeau numérique au golf

L'équipe de Cole est pionnière dans un autre cas d'utilisation émergent lors du BMW PGA Championship à Wentworth, en Angleterre. En utilisant une combinaison de réalités virtuelles et augmentées, l'équipe a construit ce qu'il appelle un jumeau numérique.

Ils ont créé une représentation grandeur nature du jeu sur le tableau d'affichage du 18e green. Cette animation numérique affiche les coups, la position des balles et des comparaisons entre joueurs. Selon M. Cole, cette animation permet aux spectateurs de voir ce qui se passe sur le parcours et il est impatient d'explorer les possibilités d'extension de ce système.

"Il s'agissait d'une preuve de concept, nous avons donc travaillé avec nos développeurs. Mais il est évident que nous voulons travailler avec d'autres partenaires technologiques pour faire avancer ce concept à l'avenir", explique-t-il.

Le smartphone n'est plus persona non grata au golf

Les innovations de l'European Tour sur le parcours ne se limitent pas aux drones et à la réalité virtuelle. M. Cole affirme que son organisation travaille avec des partenaires sur le big data et la mobilité.

Si vous imaginez un laboratoire d'innovation, il est peu probable que vous pensiez aux greens de golf, mais c'est exactement là qu'un nombre croissant d'entreprises informatiques vont tester leurs nouvelles technologies. M. Cole pense que ces preuves de concept apportent des avantages considérables aux joueurs et aux fans de ce sport, mais qu'elles constituent également une vitrine pour l'application potentielle de la technologie numérique dans d'autres secteurs.

"Nous sommes la plateforme d'innovation par excellence avec laquelle les organisations peuvent travailler en collaboration et utiliser notre plateforme pour tester de nouvelles technologies", explique-t-il à ZDNet. Selon l'analyste Gartner, un laboratoire d'innovation peut stimuler les initiatives de transformation numérique en rationalisant le processus allant de la génération d'idées à la mise en œuvre - et il affirme que le laboratoire est un lieu idéal pour s'engager avec des partenaires technologiques externes.

Chacun des 40 événements du circuit dans 31 pays se déroule chaque année sur une courte période. Selon M. Cole, la configuration technologique de chacun de ces sites ressemble à une smart city temporaire, où la connectivité, les services de cloud et les capteurs sont essentiels aux activités opérationnelles.

Ajoutez à cela l'énorme audience mondiale du golf et les 700 000 points de données que Cole et ses collègues recueillent auprès des joueurs à chaque tournoi - et vous obtenez un sport qui est devenu l'endroit idéal pour tester de nouvelles idées.

"Nous pouvons tester des capacités pendant quatre jours lors d'un tournoi de golf", explique-t-il. "Qui plus est, je pense qu'il y a des enseignements clés que nous pouvons partager à l'échelle du secteur, car nous pouvons présenter des technologies émergentes d'une manière qui devient très réelle et très authentique."

Des partenaires technologiques de premier ordre, tels que Tata, Zoom, Capgemini et d'autres, aident déjà l'European Tour à tester ses idées innovantes. M. Cole s'attend à ce que d'autres entreprises les rejoignent bientôt.

"Nous recueillons aujourd'hui sept fois plus de données qu'auparavant. Cela peut sembler peu, mais il s'agit de chaque coup joué par chaque joueur en temps réel. Et c'est un véritable pas en avant pour nous en termes d'évolution." Selon M. Cole, la technologie mobile est très présente dans les esprits lorsqu'il s'agit de fournir de nouveaux services basés sur les données aux principales parties prenantes du sport.

En obtenant des informations en temps réel sur les performances des joueurs et en les transmettant rapidement aux fans via des appareils mobiles, l'équipe informatique peut contribuer à améliorer la qualité de l'expérience client.

Selon M. Cole, l'évolution vers la mobilité basée sur les données est un grand changement dans le sport par rapport à il y a quelques années. "Les téléphones portables étaient encore franchement mal vus lorsqu'ils étaient introduits dans l'arène du tournoi", dit-il. "Maintenant, ils sont un atout essentiel pour chaque spectateur - ils contrôlent l'accès, ils contrôlent la gamme de services que nous offrons, et ils sont une source précieuse de contenu."

Source : "ZDNet.com"

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Friday, November 26, 2021

Galaxy for Work : une campagne visant à introduire les technologies Samsung sur le lieu de travail - BlogNT

Samsung lance une nouvelle campagne Galaxy for Work, en publiant deux courts métrages sur YouTube pour lancer le projet. Avec Galaxy for Work, l’objectif principal de Samsung est de souligner la valeur d’une technologie de qualité et fiable sur le lieu de travail, et sa capacité à rendre les employés heureux et mieux équipés pour atteindre leurs objectifs professionnels.

L’idée de Samsung est que le fait d’équiper une entreprise d’appareils d’entreprise Samsung fiables stimulera à la fois la productivité, le confort et l’épanouissement de chacun. La première vidéo montre une société de services d’investissement appelée « Silverglate ventures », où tous les employés reçoivent le meilleur de la technologie Samsung et semblent aussi heureux et productifs que possible.

L’un des employés est photographié en train d’examiner des propositions d’expansion commerciale sur un Galaxy Z Fold 3, la crème de la crème des innovations de Samsung en matière de facteur de forme mobile. Si nous entendons parler d’une entreprise qui distribue gratuitement des Galaxy Z Fold 3 à ses employés, nous ne doutons pas qu’ils seront tous ravis !

« Que nous soyons ici au bureau ou que nous travaillions ailleurs, Samsung nous permet de rester connectés », annonce ce qui semble être le PDG de la société d’investissement dans la vidéo. « Beaucoup de gens changent d’emploi en ce moment, mais pas ici », déclare-t-il en se promenant dans le bureau, accentuant son discours en agitant la raquette de ping-pong qu’il tient à la main (et qui devient un élément excentrique du film).

L’une des idées maîtresses de Samsung est que le secteur d’activité n’a pas vraiment d’importance : tout type de lieu de travail peut bénéficier de la distribution d’appareils personnels Samsung pour garantir une connexion fiable, la productivité et l’efficacité.

Le secteur d’activité n’a pas vraiment d’importance

La deuxième vidéo de la campagne Galaxy for Work nous emmène dans un service central de pompiers aux États-Unis, où il est particulièrement crucial pour les employés d’être constamment à la page et de maintenir une excellente organisation.

Plutôt que de griffonner une checklist sur papier, on voit le responsable de la « Station 8 » noter rapidement les changements sur Google Agenda, avec un stylet Galaxy S sur ce qui semble être un Galaxy Note 20 Ultra. Campagne mise à part, cette quasi-phablette est définitivement un outil quotidien efficace et rapide, avec le stylet S Pen comme ajout pratique — il est assez propice à la productivité si vous l’utilisez pour le travail.

Dans un communiqué de presse, Samsung indique que « des études ont montré que les employés très performants sont motivés par l’ambition, l’appétit de croissance et la volonté d’atteindre l’excellence. Ils sont attirés par les entreprises qui fournissent des outils numériques de pointe leur permettant d’accomplir efficacement leur travail, 80 % des travailleurs déclarant qu’il est plus souhaitable de rejoindre une entreprise utilisant les dernières technologies ».

« De plus, les employés ont exprimé que l’un des principaux facteurs de satisfaction dans leur travail est de pouvoir donner le meilleur d’eux-mêmes et estiment que l’accès à la technologie est essentiel pour élever leurs performances », a déclaré Samsung.

Adopter la technologie de Samsung dans le travail

Bien que les vidéos publiées aujourd’hui soient de nature légère et ludique, Matthew Leem, vice-président du Global Brand Marketing Group de Samsung, affirme « qu’elles mettent en évidence les nombreuses façons dont la technologie Samsung améliore l’expérience des employés et, à son tour, a un impact positif sur la rétention des talents ».

Nous sommes curieux de voir dans quelle mesure la campagne de Samsung va décoller dans les semaines à venir, et si elle finira par avoir un impact sur la décision des entreprises d’adopter davantage d’appareils Samsung sur le lieu de travail. Équiper les entreprises d’une technologie haut de gamme pour le quotidien est une idée séduisante dans le paysage des entreprises du milieu ou de l’après-Covid, où de nombreux employés continuent de travailler à distance et ont besoin de rester motivés et connectés.

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Sciences et technologies : les robots s’invitent au forum bordelais NAIA.R - Sud Ouest

L’intelligence artificielle (IA) est présente dans bien des domaines de notre vie, professionnelle et personnelle. Ce n’est pas de la science-fiction, qui en a donné une image pour le moins fantasmée. « Reproduire dans une machine les fonctions cognitives, l’intelligence que, nous, on peut avoir, ce qu’on voit dans les films et les livres, ça n’existe pas », note Jérôme Laplace, fondateur du groupe Génération robots, basé à Mérignac (Gironde), et membre du comité scientifique...

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La continuité digitale du produit : le lien entre monde physique et digital - BFMTV

[CONTENU PARTENAIRE] En cette période de bouleversements économiques et sociétaux, les nouvelles technologies se révèlent primordiales pour les industries. Éditeur de logiciels, PTC propose des outils numériques tels que l’IoT (Internet des objets connectés) et la réalité augmentée, dédiés au monde industriel. Le groupe, dont le siège social est basé à Boston (USA), affiche un chiffre d’affaires d'un milliard de dollars. Sa filiale française compte 200 salariés et connaît une évolution constante. Olivier Helterlin, PDG de PTC France, ré pond à nos questions.

L’essor des technologies numériques concerne désormais l’ensemble du monde industriel. Quels sont les outils développés par PTC ?

Nos premières solutions étaient des outils de conception assistée par ordinateur en 2D et 3D, au service des ingénieurs de bureau d’études. Regroupés sous le label Creo, ces outils permettent de concevoir et définir un produit. Au début des années 2000, nous avons créé Windchill, un logiciel de PLM (ou gestion des données produit), qui gère la nomenclature d'un produit et de ses différentes variantes. Ces 2 technologies sont utilisées par de grands acteurs industriels, possédant des produits complexes. PTC travaille ainsi avec le secteur automobile, comme Volvo Trucks, mais aussi avec l’aéronautique comme Airbus, ou encore avec le secteur de l’électronique, par exemple Schneider Electric.

Il y a 7 ans, notre société a opéré un virage important avec l’acquisition d'une technologie d'objets connectés, ThingWorx, et d'une technologie de réalité augmentée (RA) Vuforia. ThingWorx est une plateforme IIoT qui met en place des solutions optimales et couvre une large gamme de cas d’usage pour la fabrication, le service et l'ingénierie.

Quels secteurs sont demandeurs de solutions IoT et de réalité augmentée ?

Aujourd’hui, toutes les industries de process se tournent vers ces technologies, comme l’agroalimentaire, la chimie, l'industrie pharmaceutique. Mais cela peut aussi concerner le monde du service qui a besoin de la réalité augmentée pour mieux opérer certaines tâches avec ses clients.

Pour nos clients historiques utilisateurs de nos solutions CAD et PLM, il s’agit également de compléter une chaîne digitale de bout en bout en leur proposant nos solutions IoT et RA. Aujourd'hui, la configuration des machines et des outils de production peut être intégrée dans le PLM, afin de mesurer leurs performances grâce aux objets connectés. Nous pouvons également évaluer l’efficacité et la qualité en conditions réelles d’utilisation d’un produit.

Quels sont les autres avantages de ces technologies?

La priorité de PTC reste l’amélioration de la performance et de la flexibilité des sites industriels. Ainsi, l’entreprise peut adapter son outillage en fonction des besoins et améliorer le taux de disponibilité des équipements pour accroître la productivité du site. Cela représente un enjeu majeur pour nos clients. Il s’agit également d'un gain de qualité et de maintenance des outils industriels puisque ces solutions contribuent à anticiper les pannes. Enfin, ces logiciels permettent d’imaginer une nouvelle variante d’un produit et d’accélérer sa mise sur le marché en facilitant le passage de la phase design à la production.

L’IIOT et la réalité augmentée connectent réellement le monde physique et le monde digital. La réalité augmentée s’avère très utile, par exemple, pour créer des manuels d’utilisation ou de maintenance de nouvelle génération. En digitalisant toutes les données, on les rend plus accessibles aux opérateurs de terrain. Cela facilite leur travail, limite le risque d’erreur tout en évitant la perte d'informations. Ces solutions logicielles améliorent également le niveau d'expertise des collaborateurs.

PTC a également investi dans les solutions dites Saas (Software as a Service) ces dernières années. Pourquoi ce développement est-il primordial aujourd’hui?

Effectivement, PTC a été un véritable précurseur dans le développement des technologies dédiées aux métiers de l'ingénieur, en bureau d’études ou en phase de fabrication, en mode SaaS. L’idée était de fournir des solutions plus facilement accessibles, utilisables et maintenables pour nos clients. Pour cela, nous avons acquis 2 solutions appelées Onshape, qui est une plateforme de développement produit en mode SaaS et Arena, plateforme PLM en mode SaaS. Toutes deux sont plutôt destinées à nos clients PME. PTC souhaite désormais utiliser les services partagés de ces technologies, pour amener nos logiciels historiques en mode SaaS d’ici 3 ans.

Quelles ont été les conséquences de la crise du Covid-19 pour votre marché ?

Au début de la pandémie, l’IIOT et la réalité augmentée figuraient encore à un stade de balbutiement dans l’industrie. Ces innovations pouvaient même être considérées comme des gadgets. Mais le Covid et notamment les confinements à l’échelle mondiale ont poussé les entreprises à s’intéresser à ces technologies En période de crise, lorsqu’il était impossible de se déplacer sur site et à l’étranger, il a fallu trouver des solutions pour maintenir l’activité des entreprises. En connectant des objets et des machines, l’IoT permet de réaliser de nombreuses tâches à distance dont le pilotage des opérations d’un industrielles. Ainsi, sur un seul écran, on peut collecter, afficher et monitorer la production d’un site, la comparer à celles d’autres sites et être alertés des risques de panne pour chaque machine grâce aux capteurs. La réalité augmentée s’avère, elle, très utile pour opérer des transferts de connaissances industrielles d’un site à l'autre. En effet, elle permet d’enregistrer les procédures réalisées par des opérateurs sur des produits ou des machines puis de partager et restituer dynamiquement ces instructions de travail détaillées à d’autres collaborateurs via un appareil mobile, un casque industriel ou des lunettes de RA. Cette technologie de réalité augmentée est appelée à se déployer très largement.

Quelles sont les tendances de votre marché?

Il y en a plusieurs. La principale concerne la flexibilité et plus encore l’agilité. Un site de production doit pouvoir être reconfiguré rapidement et dynamiquement pour répondre à une variation de la demande ou à des changements parfois imprévisibles. Il peut s’agir d’une variation de quantités, de références ou d’un changement de produit. Cette agilité industrielle doit aussi être un moteur pour relocaliser certaines productions stratégiques en Europe. Gagner en flexibilité industrielle, transférer les connaissances d’un site à l’autre, en connectant monde physique et monde digital, sont des leviers pour cela.

Une deuxième tendance est la mise en place d’une continuité numérique sur la donnée produit, homogène et qualitative de bout en bout. Le PLM assure cette continuité, associé à l’ IOT et à la réalité augmentée.

Enfin, les industriels se tournent de plus en plus vers l’éco-conception. Ces technologies représentent un vecteur de soutien au développement durable. Le CAD permet de concevoir un produit durable dès la phase de conception. Anticiper son cycle de production afin qu’il soit le plus économe possible en Co2. En améliorant sa maintenance, allonger sa durée de vie. Et enfin anticiper son recyclage. Cette notion de développement durable est au cœur des préoccupations de PTC et nous souhaitons en faire un axe fort de développement ces prochaines années.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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