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Wednesday, August 30, 2023

Nouvelles technologies pour les seniors : Un nouveau quotidien - Journal ZIbeline

Les seniors, bien que souvent perçus comme réfractaires aux évolutions technologies, n’échappent pas à cette tendance et s’approprient progressivement ces nouveaux outils pour améliorer leur qualité de vie.

Explorons comment la technologie transforme le quotidien des seniors et facilite leurs interactions avec le monde qui les entoure.

Des objets connectés pour une meilleure santé

Le suivi de l’état de santé est une préoccupation majeure pour les seniors. Grâce aux objets connectés et aux applications mobiles, il est désormais possible de suivre en temps réel diverses données liées à la santé, telles que la fréquence cardiaque, la tension artérielle ou encore le nombre de pas effectués dans la journée. Ces dispositifs permettent également d’alerter rapidement les proches ou les secours en cas de problème de santé.

Les réseaux sociaux pour rester en contact avec ses proches

Les nouvelles technologies ont considérablement changé la manière dont nous communiquons avec nos proches. Pour les seniors, les réseaux sociaux représentent un formidable moyen de rompre l’isolement et de maintenir le lien avec leur famille et leurs amis malgré la distance. Facebook, WhatsApp, Skype… Toutes ces applications permettent de partager des moments de vie, d’échanger des photos et vidéos, et même de passer des appels vidéo pour se voir en temps réel.

La domotique pour un logement adapté et sécurisé

Autre domaine dans lequel la technologie a beaucoup à apporter aux seniors : la domotique. Elle désigne l’ensemble des technologies permettant de piloter, automatiser et contrôler les différents équipements d’une habitation. Ainsi, pour les personnes âgées, la domotique peut faciliter certains gestes du quotidien et renforcer la sécurité de leur logement.

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La réalité virtuelle pour voyager sans bouger de chez soi

Enfin, la technologie peut aussi s’inviter sous forme de divertissement pour les seniors. La réalité virtuelle, par exemple, permet de s’évader et de voyager sans avoir à se déplacer. Grâce à un casque immersif, les personnes âgées peuvent ainsi explorer des paysages fantastiques, visiter des musées du monde entier ou encore assister à des spectacles depuis leur salon.

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La tétrataénite, un métal spatial qui pourrait révolutionner la technologie moderne - GEO

Les météorites peuvent contenir des métaux précieux et des indices géologiques sur la formation de notre planète. Il y a plusieurs milliers d’années, déjà, nos ancêtres les appréciaient pour leur concentration en fer et en nickel, qui servaient à forger des outils et des armes. L’exemple le plus célèbre est le poignard en fer retrouvé dans la tombe du pharaon égyptien Toutânkhamon.

En sachant cela, on comprend mieux pourquoi, le 29 juin 1966, une équipe du Muséum national d’histoire naturelle s’était rendue dans la commune française de Saint-Séverin (Charente). Il s’agissait de prélever des échantillons de roche, deux jours après qu’une météorite s’est écrasée sur le sol d’un sentier pédestre.

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Plus de deux décennies plus tard, des géologues, en examinant ces débris, ont fait une découverte incroyable, détaille le magazine américain Popular Mechanics, dans un article publié le 22 août. Ils ont pris conscience que cette boule de roche spatiale contenait un métal rare, en minuscule quantité : la tétrataénite. Ce dernier n’avait été identifié que peu de temps auparavant.

Le spécimen trouvé sur la météorite mesurait environ 40 micromètres de diamètre : la largeur d’un cheveu humain, indique le média américain. Il pourrait toutefois révolutionner notre technologie moderne.

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La Chine produit 70 % des terres rares du monde

Un jour, ce métal pourrait contribuer à l’élaboration de nos sous-marins nucléaires, de nos véhicules électriques, de nos avions de combat, de nos appareils domestiques ou encore de nos iPhone, détaille le site d’information.

Le nom de la tétrataénite lui a été attribué en raison de sa forme et de sa composition. Ce métal dispose d’une structure tétragonale composée de taénite. Un tel alliage s’obtient au moment où le nickel se combine avec le fer. Il est semblable aux métaux des terres rares qui sont indispensables à la production des aimants puissants qui alimentent nos appareils : les batteries des véhicules électriques, le matériel essentiel aux infrastructures d’énergies renouvelables, et même certaines armes.

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"Les terres rares figurent parmi [les ressources] vitales à l’industrie et à la technologie, a réagi Ariel Cohen, chercheur principal à l’Atlantic Council (un think tank américain spécialisé dans les relations internationales), dans les colonnes de Popular Mechanics. Ce sont des composants clés de l’informatique et de toutes les nouvelles technologies qui alimentent ou soutiennent la transition énergétique."

Problème, l’extraction de ces métaux n’a lieu que dans certains endroits du monde. Le travail qui est lié est difficile, dangereux et nocif pour l’environnement. Par ailleurs, la Chine – qui contrôle 70 % de la production mondiale – a décidé réduire l'approvisionnement en métaux et terres rares des États-Unis et de l'Europe, en réponse aux limitations imposées par ces derniers sur certaines puces et composants électroniques.

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>>> Écologie : est-il toujours bon d’éteindre le chauffage lorsque l’on part de chez soi ?

Une grande découverte à l’université de Cambridge

La tétrataénite, en dépit de son immense promesse, avait été jugée trop rare (puisqu’on n’en trouve que sur les météorites) pour être utile... jusqu’à l’an dernier. Lindsay Greer, professeur de science des matériaux à l’université de Cambridge (Angleterre), et ses collègues ont annoncé, à l’automne 2022, avoir réussi à synthétiser le matériaux en laboratoire, comme l'explique Popular Mechanics.

Pour ce faire, les experts ont chauffé certains minéraux à une température d’environ 1 443 °C. Ensuite, ils sont parvenus à créer un métal semblable à celui que l’on trouve dans les météorites. La version obtenue en laboratoire possède des propriétés magnétiques proches de celles des minéraux de terres rares, dont le dysprosium, le praséodyme et le néodyme. Un jour, cette tétrataénite magnétique pourrait donc se substituer à eux, afin d’alimenter nos appareils.

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La découverte faite par Lindsay Greer arrive à point nommé. La demande concernant les produits issus des terres rares ne fait que croître. Ils figurent parmi les ressources les plus recherchées sur Terre, souligne le mensuel. D’après le ministère américain de l’Énergie, cette demande mondiale devrait augmenter de 400 % lors des prochaines décennies.

Sur le même thème :

>>> Une incroyable météorite "boomerang" d’origine terrestre découverte au Maroc
>>> Terres rares : définition et utilisations
>>> Du fer aux terres rares, Kiruna, la capitale du peuple autochtone Sami en Suède, au cœur des activités minières

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Valeo présente ses technologies pour le software defined vehicle et l'avenir de la mobilité à l'IAA Mobility 2023 Hall A2 ... - Valeo

Le groupe Valeo | 30 Août, 2023 | 5 min

Du 4 au 8 septembre 2023, Valeo sera à Munich à l'IAA Mobility 2023, l'un des plus importants rendez-vous industriels pour les acteurs de la mobilité, du développement durable et de la technologie.

À ne pas manquer :

  • 4/09 à 11:00 – Conférence de presse de Christophe Périllat – Directeur général, Hall A2/Stand C10
  • 6/09 à 11:15 – « Décarbonisation et économie circulaire dans l’industrie de la mobilité : accélérer, une responsabilité collective » Keynote de Christophe Périllat – Directeur général, Hall A1
  • 7/09 – voyage de presse sur le site de Valeo à Wemding, Bavière (nous contacter pour plus d’informations)

Valeo est au cœur des révolutions de la mobilité et un leader mondial des technologies qui façonnent son avenir. Valeo, entreprise engagée pour offrir une mobilité plus verte, plus sûre et accessible à tous, présentera sur son stand Hall A2/C10 ses solutions pour accompagner la transformation de l’industrie.

Valeo propose une gamme complète de solutions pour tous les niveaux d’électrification, de la basse tension 48V à la haute tension. Avec des plateformes standard et modulaires, Valeo soutient l’électrification de la mobilité pour les voitures mais aussi les vélos, les deux et trois roues ou les quatre roues légers. Lors de l’IAA Mobility 2023, Valeo présentera son nouveau 6-in-1 eAxle regroupant l’onduleur, le chargeur embarqué, le convertisseur DC/DC, l’unité de distribution d’énergie, l’eMotor et le réducteur. S’appuyant sur l’expertise de Valeo, tant
industrielle que logicielle, il permet d’offrir une intégration et une utilisation optimales. Clean Motion sera également présent sur le stand de Valeo avec EVIG, un droïde à trois roues conçu par Clean Motion et propulsé par le moteur Valeo e-access et des panneaux solaires. EVIG permet d’optimiser les livraisons du dernier kilomètre en milieu urbain grâce à son rapport poids/volume de chargement le plus léger du marché et à son espace de chargement flexible, ainsi qu’à ses services de connectivité.

Comme l’électrification ne peut être efficace sans une gestion thermique efficace, Valeo propose les meilleures technologies pour garantir la performance, la durée de vie et la sécurité de la batterie, ainsi que pour assurer le confort des passagers tout en en minimisant l’impact sur l’autonomie. Valeo présentera à Munich sa pompe à chaleur intelligente (Smart Heat Pump), compacte et centralisée. Grâce à l’intégration complète des composants de réfrigération et de refroidissement et à des logiciels performants, elle simplifie l’intégration du système et libère de l’espace sous le capot.

Les voitures du futur se distingueront par une connectivité optimisée, une expérience utilisateur intuitive et de nombreuses aides à la conduite ou au stationnement automatisées. Valeo mobilise ses expertises industrielles et logicielles pour la protection des passagers et la création d’un habitacle confortable. Le Cocoon présenté sur le stand exposera les dernières solutions d’assistance à la conduite et d’expérience intérieure pour un voyage sûr et agréable.

En tant que leader mondial dans le domaine des ADAS, Valeo offre le plus large portefeuille de technologies de perception de l’industrie et toutes les technologies permettant de relever les défis du véhicule défini par logiciel (software defined vehicle). Par exemple, Valeo développe une pile complète de logiciels basés sur l’IA pour le traitement du signal, la vision par ordinateur, la fusion des données et le contrôle du véhicule. Cette pile logicielle sera hébergée dans un contrôleur de domaine central (domain controller), complété par des contrôleurs de zone (zone controllers), tous également proposés par Valeo. En collaboration avec BMW et Deutsche Telekom, Valeo présentera une démonstration de téléopération sur son stand, avec la possibilité de téléopérer une voiture à distance pour des manoeuvres de stationnement, démontrant ainsi le potentiel de nouveaux types de services tels que les services de voiturier téléopérés.

Aujourd’hui, l’éclairage s’étend à l’extérieur et à l’intérieur du véhicule, pour améliorer la signalisation et la sécurité, pour améliorer l’expérience de conduite, mais aussi pour renforcer la communication et l’image de marque des constructeurs. Ici aussi, Valeo déploie son savoir-faire industriel et logiciel.. Valeo, leader mondial des systèmes de visibilité, a développé le jumeau numérique pour aider ses clients à gérer les caractéristiques de l’éclairage multi LED, à intégrer les spécifications du véhicule et à fournir en temps réel une visualisation holistique de la conception.

Enfin, Valeo s’est engagé à atteindre la neutralité carbone en 2050 et à préserver les ressources naturelles en adoptant les principes de l’économie circulaire, dès la phase de conception du produit en faisant les bons choix en matière de matériaux, de technologie et de design. A l’IAA Mobility 2023, Valeo présentera Canopy, le premier essuie-glace conçu pour réduire les émissions de CO2 de 61% par rapport à un balai d’essuie-glace Valeo représentatif de la majorité des balais d’essuie-glace commercialisés sur le marché européen(*) et PURELIGHT, un concept disruptif de phare conçu avec des matériaux bio-sourcés et une fabrication additive qui permet la réparation et la réutilisation des matériaux pour minimiser son poids et prolonger son cycle de vie.

(*) Le balai Valeo Canopy Flat Blade, disposant d’une gomme spécifique et conditionné en emballage carton permet une réduction des émissions de CO2 de 61% comparé à un produit Valeo Flat Blade représentatif de la majorité des balais commercialisés sur le marché européen, produits en Asie, avec une gomme synthétique et conditionnés dans un emballage plastique.

Pour plus d’informations, consultez notre dossier de presse et rejoignez-nous sur notre stand !

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Entre les géants de l'intelligence artificielle et le Vatican, une discrète communion - Télérama.fr

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Comment les ailes à effet Magnus de la deeptech Chronics Technologies allongent l'autonomie des drones - L'Usine Nouvelle

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Tuesday, August 29, 2023

Comment repenser l'acte d'achat en magasin grâce aux technologies ? [Tribune] - LSA

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Monday, August 28, 2023

J'ai honte de la technologie - Le Soleil

Je voyais l’Internet comme une grande encyclopédie en perpétuelle évolution diffusant le savoir en temps réel à tout le monde. Cette grande banque de savoir permettrait enfin à l’humanité de mieux comprendre son passé afin d’ajuster son présent pour ne pas répéter les erreurs d’autrefois. Grâce à la technologie, je voyais l’humanité plus unie que jamais, compréhensive, empathique et inclusive. Un quart de siècle plus tard, je suis forcé d’admettre que j’ai honte de la technologie.

Quand j’affirme avoir honte de la technologie, ce n’est pas tout à fait vrai. J’ai plutôt honte de ce que l’humanité en fait, et ce, depuis la nuit des temps! Je présume que même lors de l’invention du feu, l’humain n’a probablement pas perdu de temps pour s’en servir contre ses pairs afin de brûler les tribus voisines. Malgré toutes les avancées du savoir humain, il n’en demeure pas moins qu’être cabochon fait partie de notre ADN et les réseaux sociaux sont spécialement conçus pour extérioriser le cabochon qui sommeille en nous! Ceci étant dit, la manière dont les réseaux sociaux exploitent nos faiblesses est l’une des plus grandes réussites technologiques de ce premier quart de siècle du millénaire.

Le désastre américain

Il ne faut pas regarder bien loin pour se rendre compte à quel point le dérapage est grand. La désinformation sur les réseaux sociaux est au cœur du climat social toxique aux États-Unis. Il est difficilement concevable, en effet, de voir autant de gens supporter encore Donald Trump malgré toutes les accusations criminelles à son actif. Le secret derrière le succès de Trump réside tout d’abord dans sa stratégie de communication qui consiste à discréditer les médias traditionnels pour ainsi propager ses théories loufoques par le truchement des réseaux sociaux. C’est ainsi qu’un escroc fasciste pourrait se faire élire à la tête de ce qui était la plus grande démocratie du monde! Une telle élucubration n’aurait pas eu sa place il y a à peine vingt ans, mais les réseaux sociaux viennent changer le paysage politique. Les réseaux sociaux sont une arme politique si puissante que même la justice américaine marche sur des œufs tellement les fanatiques endoctrinés de Trump sont dangereux pour la démocratie. Les attentats du 6 janvier 2021 ne sont pas le fruit d’une manifestation spontanée, ils sont l’aboutissement d’une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux alimentée par l’équipe de Trump.

Les partisans de Trump sont si fanatiques qu’ils ont moins confiance en leur famille qu’en l’ex-président. Certains le voient comme une véritable réincarnation de Jésus. Pour en arriver là, laissez-moi vous dire que la sauce conspirationniste est rendue épaisse sur un moyen temps! Ce succès est attribuable en bonne partie à la puissance des réseaux sociaux qui sont devenus un véritable frein à la démocratie. Sur le réseau X (anciennement Twitter), Elon Musk a annoncé qu’il sera bientôt interdit pour les utilisateurs de bloquer d’autres utilisateurs. Cette manœuvre a surtout pour but d’augmenter le rayonnement des comptes associés à la sphère conspirationniste-trumpiste, car ce sont majoritairement ces comptes qui sont bloqués par les utilisateurs modérés. Les élections de 2024 s’annoncent décisives pour la démocratie et la technologie risque de jouer un rôle majeur dans l’équilibre politique mondiale.

Et au Canada?

Depuis que Meta Facebook bloque le contenu des médias canadiens, j’ai l’impression d’avoir une version «Wish» de mon fil alors que l’algorithme me propose du contenu loufoque composé de publications affirmant que la Terre est soi-disant plate ou autres fausses nouvelles. Le blocus imposé par Meta envers les sites d’information est un pied de nez envers la démocratie canadienne, mais c’est surtout un avertissement majeur de la dangerosité des grandes corporations numériques.

Les grands acteurs du numérique ont le pouvoir de faire basculer l’échiquier politique canadien de la même manière que celui de nos voisins du sud. Pierre Poilievre, qui reprend régulièrement la rhétorique de la droite américaine, l’a bien compris! Je ne veux pas comparer le chef conservateur à un Donald Trump canadien, mais sa méfiance envers les médias traditionnels et certaines de ses méthodes sont calquées sur celles de l’ex-président américain. Comme l’Internet est exempt de frontières, les réseaux sociaux et leurs algorithmes se chargent de propager moult théories complotistes au Canada. Si les médias traditionnels ne rayonnent plus sur les réseaux sociaux tandis que la désinformation s’y propage allégrement, j’ai l’impression que la démocratie va en prendre pour son rhume.

L’humanité a prouvé à maintes occasions son incapacité à faire le bien avec les nouvelles technologies, peu importe les époques. Pour ce qui est des réseaux sociaux, ils sont désormais de puissants outils de propagande qui ciblent avec précision leur auditoire de manière convaincante. J’ai honte de la technologie et je ne parle pas ici de l’ordinateur portable d’Hunter Biden!

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[L'instant tech] «Les technologies quantiques sont à un moment charnière», observe le physicien Julien Bobroff - L'Usine Nouvelle

L'Usine Nouvelle. - Sur quelles découvertes scientifiques repose le calcul quantique ?
Julien Bobroff. -
Toutes ces nouvelles révolutions quantiques reposent sur de nouveaux savoir-faire. On est désormais capable de manipuler en laboratoire des objets à très petite échelle, ce que l’on ne pouvait pas faire auparavant : manipuler un seul atome, un seul photon, une seule molécule… C’est ça qui a ouvert la deuxième révolution quantique, car on s’est rendu compte que l’on avait accès à de nouveaux comportements de la matière. Cela se base sur des progrès technologiques et beaucoup sur des astuces techniques de physiciens, comme par exemple fabriquer des pièges à atomes avec des lasers. Ils n’ont pas seulement eu à brancher de nouveaux outils, il y a un échange constant entre les laboratoires de pointe et leurs fournisseurs pour concevoir les équipements dont ils avaient besoin.

La physique a permis d’énormes développements technologiques : toute l’informatique et l’électronique actuelles reposent déjà sur de la physique quantique. Votre ordinateur existe grâce à la physique quantique – les transistors ont été inventés par des physiciens quantiques lors de la première révolution quantique, entre la seconde guerre mondiale et les années 1970 – mais il fonctionne de manière non-quantique.

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Stellantis : les futurs habitacles avec des technologies chinoises - Auto Plus

DongFeng Peugeot Citroën a retenu l’équipementier Ecarx pour sa technologie de cockpit intelligent, Ecarx qui est notamment détenu par le groupe chinois Geely, partenaire de Renault.

DongFeng Peugeot Citroën a pris une décision audacieuse, en faisant appel à l’équipementier chinois Ecarx pour équiper ses futurs véhicules de la technologie de cockpit intelligent de nouvelle génération. Cette décision marque une évolution significative dans le paysage automobile chinois, où l’innovation technologique continue de se frayer un chemin dans toutes les facettes de l’industrie, au même titre que la voiture électrique.

Le groupe DongFeng Peugeot Citroën (sous le giron de Stellantis), opérant sous le nom de DPCA, a choisi le module de cockpit intelligent Ecarx E02 pour plusieurs de ses modèles phares. Cette décision stratégique a été mise en œuvre sur des véhicules déjà vendus en Chine, tels que le Citroën Tianyi (connu également sous le nom de C5 Aircross), le SUV Peugeot 4008 et la version à empattement allongée de la Peugeot 508. Ces modèles, qui sont entrés en production en août 2023, sont désormais équipés des technologies issues de chez Ecarx.

Stellantis s’associe (presque) à Geely

L’entreprise Ecarx, fondée en 2017 par Ziyu Chen et Li Shufu, le magnat de l’automobile derrière le groupe chinois Geely, a rapidement fait sa marque dans le secteur des équipementiers automobiles. Geely, qui détient plusieurs marques automobiles renommées en Chine et possède des participations dans des constructeurs tels que Volvo, Polestar, Lynk & Co, Smart et Lotus, a joué un rôle essentiel dans le développement et la montée en puissance d’Ecarx.

L’expertise d’Ecarx s’étend sur une multitude de domaines technologiques, avec des solutions allant des SoC (system-on-chips) associés à la 4G jusqu’à la gestion électronique avancée. Ces solutions technologiques diverses incluent la navigation, la télématique, la reconnaissance faciale ou encore les assistants vocaux. Actuellement, plus de 5,2 millions de véhicules en circulation dans le monde embarquent les solutions développées par Ecarx.

Les équipementiers chinois à la conquête de l’Europe ?

En optant pour Ecarx pour équiper ses futurs modèles, DongFeng Peugeot Citroën se positionne comme un pionnier dans l’adoption de technologies automobiles de pointe en Chine. Cette collaboration souligne également l’évolution du paysage industriel chinois, où les équipementiers se taillent désormais une place prépondérante aux côtés des constructeurs traditionnels et des fournisseurs de batteries.

Alors que le marché automobile chinois continue d’évoluer rapidement, l’attention des observateurs se tourne vers ces nouveaux acteurs, tels qu’Ecarx. Les avancées de ce genre offrent des perspectives pour l’avenir de la mobilité, tant en Chine qu’à l’échelle mondiale, et devraient sans aucun doute être surveillées de près par les professionnels de l’industrie automobile. Reste à savoir si ces technologies arriveront aussi au sein des modèles européens de Stellantis.

À lire aussi :
Fiat surpasse Peugeot au sein de Stellantis
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La Corée du Sud durcit les peines pour les fuites de technologies dans le domaine des puces et des écrans - Zonebourse.com

La Corée du Sud a annoncé lundi qu'elle allait durcir les peines pour le vol de secrets industriels, après avoir constaté que la réglementation actuelle n'était pas assez stricte pour dissuader les tentatives de détournement de technologies d'entreprises telles que Samsung .

Ces derniers mois, la Corée du Sud a pris des mesures sévères à l'encontre des fuites de technologie, car le pays cherche à maintenir son avance, qui s'amenuise, sur ses concurrents dans le domaine des puces mémoires et des écrans.

La commission sud-coréenne des sanctions, supervisée par la Cour suprême de Corée, a décidé ce mois-ci de durcir les peines et d'allonger les périodes d'emprisonnement pour les fuites de technologies sud-coréennes, a déclaré le ministère de l'industrie dans un communiqué lundi. Les détails sur les nouvelles lignes directrices en matière de condamnation sont attendus au début de l'année prochaine.

Le ministère de l'industrie n'a pas précisé quel pays était visé, mais les analystes estiment que la Chine est la destination présumée de la majeure partie des fuites de technologies sud-coréennes.

Bien que les peines prévues par la Corée du Sud pour les fuites de technologie soient similaires à celles d'autres pays, y compris des peines d'emprisonnement de cinq ans ou plus pour les fuites de technologie ayant un "impact significatif sur la sécurité nationale et économique", dans la pratique, les peines ne sont pas suffisantes en raison d'exigences difficiles à respecter, a déclaré le ministère de l'industrie.

Les règles précédentes exigeaient que les procureurs prouvent l'intention d'un suspect de divulguer des secrets pour qu'une action soit punie comme une fuite de technologie de base. Cela conduisait à un acquittement dans 30 % des cas et à des peines avec sursis dans 54 % des cas portés devant les tribunaux sud-coréens, a indiqué le ministère.

Les règles visant à bloquer les fuites technologiques qui n'ont pas été réglementées, telles que les fuites après le rachat d'une entreprise sud-coréenne par un fonds d'investissement étranger, seront également incluses dans un projet de loi révisé qui sera soumis au parlement, a déclaré le ministère.

La police sud-coréenne a déclaré en juin qu'elle avait arrêté 77 personnes dans 35 affaires d'espionnage industriel présumé dans le cadre d'une enquête nationale menée au cours des quatre derniers mois. (Reportage de Joyce Lee ; Rédaction de Tom Hogue)

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Sunday, August 27, 2023

Lettonie/Shoah : Un Charnier De Juifs Découvert Grâce À De Nouvelles Technologies - I24NEWS - i24NEWS en Français

Un charnier de Juifs, tués par les nazis, a été identifié en Lettonie après des décennies de recherches, grâce à une technologie créée par des chercheurs américains, a rapporté mercredi le service de presse LTV. Celui-ci abrite les corps de dizaines de Juifs assassinés en juillet 1941 dans la ville de Liepāja, dans l’ouest du pays. Le massacre avait été filmé par le soldat allemand Reinhard Wiener et les images avaient survécu à la guerre, ce qui avait déclenché des recherches - jusqu'ici vaines - pour localiser le charnier. 

Le film en question comprend des plans des tranchées où les Juifs ont été assassinés, ainsi que du phare historique de la ville. Pendant des décennies, les chercheurs ont ainsi tenté d’utiliser le phare comme point de repère afin d’identifier l’emplacement exact des charniers, mais sans succès. 

Cet été, une équipe d'étudiants et de chercheurs issue de l'Université du Wisconsin-Eau Claire et de l'Université Duquesne de Pittsburgh, a été invitée à Liepāja pour rechercher la tombe. Leurs efforts ont été couronnés de succès grâce à l'échantillonnage du sol et à l'analyse géoradar. 

"Pour nos recherches, nous nous sommes basés sur des cartes historiques que nous avons comparées avec nos données afin d'identifier les changements dans les couches du sol", a indiqué l'un de ces chercheurs aux médias publics lettons. "Nous avons notamment utilisé la méthode dendrologique qui détermine l'âge des arbres, ainsi que la technique relativement nouvelle de datation par luminescence optiquement stimulée", a-t-il ajouté. 

Selon la presse lettone, les chercheurs sont certains que le charnier qu'ils ont localisé est celui filmé par Reinhard Wiener. Ils recherchent maintenant des documents et des témoignages pour étayer leur découverte.

La zone du charnier est actuellement louée par une entreprise lituanienne de transformation du poisson. Ilya Lensky, directeur du Musée des Juifs de Lettonie, a déclaré qu'il pensait que le site devrait être désigné comme un mémorial en l'honneur des Juifs qui y sont morts, tandis que le maire de Liepāja a indiqué que des discussions étaient en cours au conseil municipal pour déterminer ce qu'il fallait faire avec le site.

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Contre le réchauffement climatique, l'innovation technologique est-elle vraiment la seule réponse ? - L'Éclaireur Fnac

Le réchauffement climatique est enfin sur toutes les lèvres dans le débat public et dans les médias. Pour le combattre, une voix en particulier se fait entendre, sur les plateaux de télévision ou chez nos politiques : celle qui indique que les innovations technologiques arriveront à nous sauver avec le temps. Un technosolutionnisme qui cache en fait une réalité plus complexe.

Des voix dissonantes tentent de se faire entendre, prônant, elles, le recours à des méthodes déjà en place sans chercher à tout prix à innover et à créer l’invention ultramoderne qui sauvera le monde. Alors, le recours aux nouvelles technologies nous sauvera-t-il ? Est-on « condamnés » à utiliser ce qu’on appelle les low tech ? Et si, finalement, la réponse se trouvait à la rencontre de ces deux visions ?

Des solutions high tech controversées

L’année dernière se tenait la Coupe du monde de football au Qatar. Un événement hautement controversé du fait de son attribution et des conditions des travailleurs ayant œuvré sur les nombreux chantiers de préparation, mais aussi par ses non-sens écologiques maintes fois pointés du doigt. Le pays avait mis en œuvre, selon ses dires, de nombreuses solutions dernier cri pour faire face aux chaleurs de la région, constamment élevées, même à l’approche de l’hiver.

Le point ayant le plus retenu l’attention était bien évidemment cette histoire de climatisation dans des stades à ciel ouvert. « À partir du moment où c’est climatisé à ciel ouvert, il y a une perte d’énergie considérable. C’est une évidence et une aberration. La climatisation ne se fait pas toute seule, cela nécessite de l’électricité. Il y a donc des conséquences sur l’effet de serre évidemment », déclarait au journal Sud Ouest Éric Aufaure, spécialiste du bâtiment au sein de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).

Pour rendre plus confortable le public de la coupe du monde 2022, le Qatar a mis en place des climatiseurs dans ses stades. ©Firas Abousido / Shutterstock

Un discours partagé par bien d’autres et qui s’ajoute à celui dénonçant le discours du Qatar, qui annonçait avoir atteint la neutralité carbone pendant l’événement. Une affirmation faite sans prendre en compte les émissions pendant l’événement lui-même, provoquées donc par ces climatiseurs à ciel ouvert ou par les nombreux vols courts internes mis en place par le gouvernement pour les visiteurs afin qu’ils se rendent rapidement d’un stade à un autre.

De son côté, Emmanuel Macron, en 2021, mettait en avant des solutions innovantes pour réduire nos émissions, avec l’annonce du développement d’avions bas-carbone, du secteur des véhicules électriques ou encore de l’utilisation de l’hydrogène vert. Ce discours sur les solutions dites innovantes pour combattre le réchauffement climatique a pris une place prépondérante, que ce soit sur les plateaux télé du monde entier, dans les paroles de nos politiques ou encore dans la communication des grandes entreprises. Une telle vision, si elle est à la limite du greenwashing pour certains acteurs, porte un nom : le technosolutionnisme et elle est loin de faire l’unanimité au sein des communautés scientifiques.

Un débat qui prend toute la place en France

« Quand nous sommes confrontés à une crise, il y a plutôt cette notion de technosolutionnisme : la tech va nous sauver et la crise en cours ne remet absolument pas en cause nos manières de vivre », nous indique Carlos Moreno, urbaniste franco-colombien, auteur et professeur à l’Université de la Sorbonne notamment connu pour ses travaux préliminaires sur la smart city, puis sur le concept de la « ville du quart d’heure ».

« La tech doit être au service des usages. C’est là qu’elle a de la valeur, pas autrement. »

Carlos Moreno

Urbaniste, auteur, professeur à La Sorbonne

Bon nombre de scientifiques et d’experts appellent plutôt à faire l’exact inverse : utiliser les technologies douces et durables, ou la low tech, pour atténuer les effets du réchauffement climatique. Ils expliquent que le fait de ne croire qu’en l’innovation pour sauver le monde est simplement un cache-misère et une vision trop simpliste des choses. Car, là où un discours nous prédit l’arrivée de gigantesques parcs éoliens dans dix ans, le climat, lui, sera allé beaucoup plus vite que la technologie. Le pays disposerait certes, à terme, de plus d’énergies renouvelables, mais les émissions, elles, auront continué d’augmenter pendant ce temps.

Dans un même ordre d’idée, développer et produire ces solutions high tech demande à la fois du temps et une quantité de ressources considérables, sur une planète qui ne dispose de celles-ci qu’en quantités limitée.

Un débat fait rage donc, entre les partisans du technosolutionnisme, prônant l’utilisation des dernières technologies pour réduire notre empreinte sur le monde, et ceux de la low tech, rejetant cette première idée pour agir immédiatement. Un débat qui ne semble pas non plus faire avancer les choses, comme nous l’explique Carlos Moreno : « C’est un débat biaisé qui ne rend service à personne. Il faut revenir aux sources de la technologie dans l’histoire de l’humanité, la tech a toujours été un allié mais pas un but en soi. La question qu’il faut se poser maintenant ce n’est pas “Est-ce que c’est mieux high tech ou low tech”, c’est de savoir si les moyens utilisés sont utiles. »

Pour le professeur, il y a du positif à prendre des deux côtés, comme il y a du négatif à rejeter. « À nous d’adapter cela et de bien choisir », finit-il.

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Trouver le point d’équilibre

Selon l’ONU, d’ici 2050, plus de 70 % de la population mondiale vivra dans les villes. Une situation qui, couplée au réchauffement climatique qui n’épargne personne, demande une adaptation phénoménale afin de garantir des conditions de vie décentes dans ces lieux denses. C’est pour répondre à ces besoins que le concept de smart city est apparu. Des villes qui doivent être à la fois capables de gérer de manière intelligente les réseaux de transports, les services de distribution de l’eau ou encore l’efficacité énergétique de ses bâtiments. Pour Carlos Moreno, qui a travaillé de longues années sur le concept, construire la ville intelligente idéale demande de faire appel aux deux solutions.

« Ce qu’on appelle les nouvelles technologies ont beaucoup d’applications dans la smart city, car elles aident à résoudre des questions grâce à nos connaissances acquises et à développer des solutions sur la préservation de l’eau ou pour combattre la chaleur. Par exemple, les nouvelles technologies nous permettent de développer de nouveaux matériaux plus durables, plus efficaces. Ce sont elles qui ont permis de remplacer nombre d’éclairages publics par des ampoules LED, par exemple, bien moins gourmandes en énergie. Pour une utilisation optimale, il faut savoir ce qui est réellement utile. »

« Un bon exemple de smart city est une ville qui allie toutes les technologies (qu’elles soient dites low ou high) dans un seul et unique but : aider les habitants à satisfaire leurs besoins sociaux. »

Carlos Moreno

Urbaniste, auteur, professeur à La Sorbonne

L’homme de continuer sa démonstration : « Un bon exemple de smart city est une ville qui allie toutes les technologies (qu’elles soient dites low ou high) dans un seul et unique but : aider les habitants à satisfaire leurs besoins sociaux, ce qui comprend la lutte contre le réchauffement climatique. La tech doit être au service des usages. C’est là qu’elle a de la valeur, pas autrement. Les pays dans le monde qui l’ont bien compris sont surtout les pays du nord de l’Europe. »

En d’autres termes, inonder un territoire de produits technologiques dernier cri et de gadgets n’a pas de sens dans le développement de la smart city. C’est en se basant sur une véritable étude d’utilité et d’usage que des villes comme Helsinki en Finlande, Oslo en Norvège ou Copenhague au Danemark apparaissent régulièrement dans les classements des meilleures smart city du monde et des villes les plus durables. Il est donc temps, en France, de rediriger le débat et de faire appel à toutes les parties prenantes afin de développer au plus vite des moyens durables et rapides de combattre le changement climatique.

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Décryptage

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Contre le réchauffement climatique, l'innovation technologique est-elle vraiment la seule réponse ? - L'Éclaireur Fnac
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Saturday, August 26, 2023

Attention à la hype ! Les 4 technologies IT les plus surestimées - CIO-Online

Les DSI ne sont pas à l'abri de l'engouement pour les technologies émergentes. Responsables IT et analystes mettent en avant quatre étoiles filantes qui, selon eux, risquent de ne pas tenir leurs promesses, et donnent des conseils pour adapter les attentes des organisations à chacune d'entre elles.

PublicitéLa plupart des DSI et informaticiens restent, dans l'âme, des technologues, et nombre d'entre eux ne cachent pas leur intérêt pour les nouveaux gadgets technologiques. Si publiquement, ils affirment que la technologie pour la technologie n'a pas d'intérêt, ils n'en partagent pas moins fréquemment leur fascination pour tout ce que l'industrie high-tech peut produire. Ils ne sont pas les seuls à être fascinés par la technologie.

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Friday, August 25, 2023

L'impact des nouvelles technologies sur le processus de recrutement - JDN

Les avancées technologiques ont révolutionné de nombreux aspects de nos vies et le monde du recrutement n'a pas été épargné par cette transformation.

L'intégration croissante des nouvelles technologies a radicalement changé la manière dont les entreprises cherchent, identifient et sélectionnent les meilleurs talents. Du sourcing à l'évaluation des candidats, en passant par la communication et l'automatisation des tâches administratives, le processus de recrutement s'est métamorphosé grâce à l'innovation numérique.  

Le sourcing 3.0

Autrefois, le sourcing de candidats se limitait aux annonces d'emploi publiées dans les journaux ou sur les tableaux d'affichage. Aujourd'hui, les plateformes en ligne, les réseaux sociaux professionnels et les bases de données de talents permettent aux recruteurs d'identifier et de contacter des candidats potentiels du monde entier. Les algorithmes de recherche intelligents facilitent la découverte de profils correspondant exactement aux exigences du poste, élargissant ainsi la portée du recrutement.  

L'évaluation objective

Les entretiens en face à face demeurent essentiels, mais les nouvelles technologies offrent des moyens plus objectifs et avancés d'évaluer les compétences des candidats. Les plateformes d'évaluation en ligne proposent des tests personnalisés pour évaluer les compétences techniques, cognitives et comportementales des candidats. Les solutions basées sur l'intelligence artificielle (IA) peuvent analyser les réponses aux questions d'entretien et fournir des insights sur la pertinence des réponses et la compatibilité culturelle.  

L'automatisation et l'intelligence artificielle

L'IA et l'automatisation ont grandement amélioré l'efficacité du processus de recrutement. Les chatbots peuvent interagir avec les candidats pour collecter des informations, répondre à leurs questions et planifier des entretiens. Les algorithmes d'IA analysent les CV, identifient les mots-clés pertinents et trient les candidats en fonction de leur adéquation avec le poste. Cela permet aux recruteurs de consacrer plus de temps à des tâches à plus haute valeur ajoutée.  

Le recrutement hors de nos frontières

Une des avancées majeures des nouvelles technologies est l'ouverture du recrutement au-delà des frontières géographiques. Les plateformes numériques permettent aux entreprises de rechercher des talents internationaux sans les contraintes traditionnelles de distance. Cela facilite l'accès à des compétences rares et diversifiées, enrichissant ainsi la composition des équipes et favorisant la mondialisation des entreprises.  

On parle aussi de recrutement global grâce au travail à distance : l'une des transformations majeures induites par les nouvelles technologies est la possibilité d'adopter une approche mondiale du recrutement grâce au travail à distance. Les outils de communication en ligne, les entretiens vidéo et les plateformes collaboratives permettent aux entreprises de recruter des talents sans être limitées par les contraintes géographiques. Cette ouverture à l'échelle mondiale élargit considérablement le vivier de talents comme nous le disions précédemment et offre aux entreprises la flexibilité nécessaire pour constituer des équipes diversifiées ou hybrides.

Les candidats attendent désormais une expérience fluide et transparente lors du processus de recrutement. Les plateformes en ligne permettent aux candidats de postuler facilement, de suivre l'état de leur candidature et de recevoir des mises à jour en temps réel. Les entretiens vidéo différés permettent aux candidats de répondre aux questions à leur propre rythme, éliminant les contraintes de temps et de lieu.  

Par ailleurs, le travail à distance offre aux candidats et aux employeurs la possibilité de collaborer efficacement, quels que soient leur emplacement géographique. Cela permet également aux entreprises de tirer parti des compétences spécialisées et des connaissances internationales, contribuant ainsi à une plus grande innovation et à la créativité au sein des équipes. Cependant, le travail à distance présente également des défis en termes de gestion, de communication et de maintien de la culture d'entreprise. Les entreprises doivent trouver un équilibre entre la flexibilité offerte par le travail à distance et la nécessité d'une interaction humaine directe pour favoriser la collaboration et le développement professionnel.

Les défis à surmonter

Bien que les nouvelles technologies offrent de nombreux avantages, elles ne sont pas exemptes de défis. L'automatisation excessive et le travail à distance peut conduire à une déshumanisation du processus de recrutement et à une perte de la connexion humaine. De plus, l'utilisation de l'IA soulève des questions éthiques concernant la vie privée et les biais algorithmiques. Les entreprises doivent trouver un équilibre entre l'efficacité technologique, le travail à distance et l'interaction humaine essentielle.  

En conclusion, les nouvelles technologies ont profondément remodelé le processus de recrutement, apportant efficacité, objectivité et amélioration de l'expérience candidat. L'intégration intelligente de l'IA, de l'automatisation et des plateformes numériques ouvre de nouvelles perspectives pour les entreprises en quête des meilleurs talents. Cependant, il est crucial de maintenir un équilibre entre l'innovation technologique et les aspects humains du recrutement, afin de créer des processus efficaces et éthiques qui bénéficient à la fois aux employeurs et aux candidats.

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Le Japon testera une technologie d'alunissage de haute précision - Challenges

La course mondiale à l'exploration de la Lune s'intensifie après que l'Inde a réussi mercredi à y poser un engin spatial. Avant elle, seuls les Etats-Unis, l'Union soviétique et la Chine avaient déjà réussi des alunissages. Preuve que les nouvelles technologies ne facilitent pas forcément la tâche des ingénieurs, la Russie vient pour sa part d'échouer dans une nouvelle tentative, sa sonde Luna-25 s'étant écrasée samedi dernier sur le sol lunaire.

Voilà qui ajoute à la fébrilité des Japonais chargés de faire décoller dimanche une fusée qui emportera un petit module d'alunissage. Une nouvelle tentative après des essais nippons infructueux et un report d'un jour, en raison de mauvaises conditions météo attendues samedi sur le site de lancement de l'agence spatiale japonaise (Jaxa) à Tanegashima (sud-ouest du pays).

Le Japon veut effacer le souvenir de ses échecs répétés

Le Japon avait déjà tenté en novembre dernier de poser une mini-sonde sur la Lune qui avait été embarquée à bord de la mission américaine Artemis 1. Mais la communication avec "Omotenashi" ("hospitalité" en japonais) avait été perdue peu après son éjection dans l'espace, en raison d'une défaillance de ses batteries.

Lire aussiBlue Origin décroche un contrat d'exploration lunaire avec la Nasa

Après l'échec de son lanceur de petite taille Epsilon-6 peu après son décollage en octobre dernier, la Jaxa a connu deux autres revers en février et mars de cette année avec son lanceur de nouvelle génération H3, qui n'a toujours pas réussi une première mission. Et en avril de cette année, une jeune entreprise privée japonaise, ispace, a échoué à faire alunir son module Hakuto-R, qui s'est probablement écrasé sur la surface du satellite naturel de la Terre.

Atteindre un point d'alunissage précis reste un défi technique

Le projet en préparation consiste notamment à tester (après quatre à six mois de vol en orbite lunaire) une technologie d'alunissage de haute précision, à 100 mètres maximum de sa cible contre plusieurs kilomètres habituellement, avec une sonde de petite dimension et légère (700-730 kg). D'où le nom de ce module, SLIM (Smart Lander for Investigating the Moon), et son surnom de "Moon Sniper".

Pour les robots mobiles d'exploration, "parcourir des pentes raides et un terrain accidenté représente encore un niveau de difficulté élevé. C'est pourquoi il est important de réussir à poser (des engins spatiaux, NDLR) avec une haute précision pour permettre une exploration efficace à l'avenir", a expliqué la Jaxa sur son site. En outre, les zones propices à l'exploration des régions polaires de la Lune "se limitent à une surface très réduite". 

Lire aussiL'Inde célèbre une journée historique après le succès de l'alunissage

"Les alunissages restent une technologie très difficile" à maîtriser, a souligné jeudi devant la presse le responsable du projet SLIM, Shinichiro Sakai, qui a exprimé par la même occasion son respect pour le succès de la mission indienne. En cas d'alunissage réussi, SLIM devra aussi mener à l'aide d'une caméra multispectrale des analyses de la composition de roches censées provenir du manteau lunaire, la structure interne de la Lune encore très mal connue.

La fusée H2-A de la Jaxa, qui doit décoller dimanche à 09H30 heure japonaise (00H30 GMT), doit aussi emmener dans l'espace un satellite appelé XRISM, une mission d'imagerie en rayons X et spectroscopie, fruit d'une collaboration entre la Jaxa, la Nasa et l'ESA. "L'astronomie en rayons X nous permet d'étudier les phénomènes les plus énergétiques de l'Univers. Elle détient la clé pour répondre à des questions importantes de l'astrophysique moderne : comment les plus grandes structures de l'Univers évoluent, comment la matière dont nous sommes finalement composés a été distribuée dans le cosmos, et comment les galaxies sont façonnées par des trous noirs massifs en leur centre", a expliqué Matteo Guainazzi, scientifique du projet de l'ESA pour XRISM.

(Source : AFP).

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Le Japon testera une technologie d'alunissage de haute précision - Challenges

La course mondiale à l'exploration de la Lune s'intensifie après que l'Inde a réussi mercredi à y poser un engin spatial. Avant elle, seuls les Etats-Unis, l'Union soviétique et la Chine avaient déjà réussi des alunissages. Preuve que les nouvelles technologies ne facilitent pas forcément la tâche des ingénieurs, la Russie vient pour sa part d'échouer dans une nouvelle tentative, sa sonde Luna-25 s'étant écrasée samedi dernier sur le sol lunaire.

Voilà qui ajoute à la fébrilité des Japonais chargés de faire décoller dimanche une fusée qui emportera un petit module d'alunissage. Une nouvelle tentative après des essais nippons infructueux et un report d'un jour, en raison de mauvaises conditions météo attendues samedi sur le site de lancement de l'agence spatiale japonaise (Jaxa) à Tanegashima (sud-ouest du pays).

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Pour les robots mobiles d'exploration, "parcourir des pentes raides et un terrain accidenté représente encore un niveau de difficulté élevé. C'est pourquoi il est important de réussir à poser (des engins spatiaux, NDLR) avec une haute précision pour permettre une exploration efficace à l'avenir", a expliqué la Jaxa sur son site. En outre, les zones propices à l'exploration des régions polaires de la Lune "se limitent à une surface très réduite". 

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"Les alunissages restent une technologie très difficile" à maîtriser, a souligné jeudi devant la presse le responsable du projet SLIM, Shinichiro Sakai, qui a exprimé par la même occasion son respect pour le succès de la mission indienne. En cas d'alunissage réussi, SLIM devra aussi mener à l'aide d'une caméra multispectrale des analyses de la composition de roches censées provenir du manteau lunaire, la structure interne de la Lune encore très mal connue.

La fusée H2-A de la Jaxa, qui doit décoller dimanche à 09H30 heure japonaise (00H30 GMT), doit aussi emmener dans l'espace un satellite appelé XRISM, une mission d'imagerie en rayons X et spectroscopie, fruit d'une collaboration entre la Jaxa, la Nasa et l'ESA. "L'astronomie en rayons X nous permet d'étudier les phénomènes les plus énergétiques de l'Univers. Elle détient la clé pour répondre à des questions importantes de l'astrophysique moderne : comment les plus grandes structures de l'Univers évoluent, comment la matière dont nous sommes finalement composés a été distribuée dans le cosmos, et comment les galaxies sont façonnées par des trous noirs massifs en leur centre", a expliqué Matteo Guainazzi, scientifique du projet de l'ESA pour XRISM.

(Source : AFP).

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Thursday, August 24, 2023

Comme dans le dernier Indiana Jones avec Harisson Ford, Denzel Washington rajeuni par la technologie pour le ... - jeuxvideo.com

News culture Comme dans le dernier Indiana Jones avec Harisson Ford, Denzel Washington rajeuni par la technologie pour le prochain Equalizer ? Le réalisateur y pense fortement...

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Alors que la sortie d'Equalizer 3 est imminente, son réalisateur réfléchit à proposer une origin story... en rajeunissant numériquement Denzel Washington. Cependant, deux éléments de taille pourraient empêcher la réalisation d'un tel projet plus simple à dire qu'à faire.

Vers un quatrième Equalizer ?

Comme dans le dernier Indiana Jones avec Harisson Ford, Denzel Washington rajeuni par la technologie pour le prochain Equalizer ? Le réalisateur y pense fortement...

Depuis plusieurs années, Hollywood a pris l'habitude de rajeunir numériquement ses acteurs grâce à des effets spéciaux. Récemment, cela avait été le cas avec Harrisson Ford dans le dernier Indiana Jones, Le Cadran de la Destinée. Pourtant, le phénomène ne date pas d'hier, car on se souvient que Disney avait déjà tenté l'expérience dans Rogue One: A Star Wars Story en proposant des versions numérisées de la Princesse Leia et du Grand Moff Tarkin à partir de la performance de deux acteurs réels. Mais aujourd'hui, ce serait au tour de Denzel Washington de se prêter à l'expérience, à en croire les propos du réalisateur de la saga Equalizer.

Dans le cadre de la promotion d'Equalizer 3 prévu le 30 août prochain, Antoine Fuqua a répondu à une interview au site NME. Au cours de l'entretien, il explique ce qu'il pense de rajeunir numériquement Denzel Washington pour proposer une potentielle origin story de son personnage dans Equalizer, Robert McCall :

"J'y ai beaucoup réfléchi. Surtout aujourd'hui, avec les nouvelles technologies, l'intelligence artificielle et tout ce genre de choses... Y a-t-il une histoire à raconter sur la façon dont Robert McCall est devenu cette personne, mais en version plus jeune ? J'ai eu cette conversation avec Richard Wenk (le scénariste qui a coécrit les trois films Equalizer]. - Antoine Fuqua

Cependant, il reconnaît rapidement que ce n'est qu'une pensée et qu'il n'en a pas encore parlé à Denzel Washington qui pourrait être moins enthousiaste face à cette idée. Il explique :

Tout est si frais et si nouveau. Je suis toujours en train d'observer ces nouvelles technologies. J'ai regardé le film de Harrison Ford et je sais que d'autres films vont sortir. Je crois que Sony va bientôt sortir un film de ce genre-là avec Tom Hanks (Here de Robert Zemeckis). Et j'ai entendu dire que la technologie s'améliore de plus en plus. J'observe donc la situation pour voir où elle évolue. - Antoine Fuqua

Une technologie encore très chère

Comme dans le dernier Indiana Jones avec Harisson Ford, Denzel Washington rajeuni par la technologie pour le prochain Equalizer ? Le réalisateur y pense fortement...

Au-delà de la réponse de l'acteur à cette proposition, un autre élément pourrait empêcher ce projet de voir le jour : le prix de cette technologie. Dans la plupart des films cités plus haut, rajeunir un acteur ne se fait que le temps d'une scène ou d'une séquence, mais pas plus, car cela demande un budget faramineux en effets spéciaux. Si on prend l'exemple de The Irishman, le film de Scorcese produit par Netflix, ce dernier avait coûté plus de 200 millions de dollars dont une bonne partie était consacrée aux effets spéciaux pour rajeunir Robert de Niro, Joe Pesci et Al Pacino. Même chose pour Indiana Jones 5 qui a coûté 295 millions à Disney. Dans tous les cas, avant d'imaginer un quatrième volet de la saga, on vous rappelle qu'Equalizer est prévu pour le 30 août prochain au cinéma.

John Wick & son univers

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[Réacteurs innovants : nouveaux acteurs, nouvelles technologies] Épisode 11 : Stellaria - Sfen

La Sfen organise une série de webinaires sur les startups du nucléaire intitulée « Réacteurs innovants : nouveaux acteurs, nouvelles technologies ». La onzième session a été dédiée à la présentation de Stellaria et de son réacteur à sels fondus présenté par son entreprise comme « la première pile régénératrice de combustible liquide au monde ».

Dans le cadre du programme gouvernemental « France 2030 » qui comprend l’appel à projets « Réacteurs nucléaires innovants », des startups proposent des technologies en rupture avec les réacteurs d’aujourd’hui. Stellaria, une entreprise essaimée par le CEA, propose un réacteur à sels fondus de 250 MWth soit 110 MWe. « On est capable de produire 110 MWe en continu pendant 5 ans avec une ultra pilotabilité, plus ou moins 30 % de variation de puissance par minute », a notamment fait savoir Nicolas Breyton, CEO de Stellaria.

[Réacteurs innovants : nouveaux acteurs, nouvelles technologies] Épisode 11 : Stellaria

La Sfen tient à remercier Nicolas Breyton, CEO et Guillaume Campioni, Chief Nuclear Officer pour leur présentation.

=> Retrouvez toutes les occurrences de cette série de webinaires :

Épisode 1 : Naarea
Épisode 2 : Renaissance Fusion
Épisode 3 : Newcleo
Épisode 4 : Transmutex
Épisode 5 : Jimmy
Épisode 6 : Hexana

Épisode 7 : Neext Engineering
Épisode 8 : USNC
Épisode 9 : Otrera
Épisode 10 : Blue Capsule
Épisode 11 : Stellaria

Découvrez l’ensemble des webinaires de la Sfen sur notre page YouTube. Et pour vous inscrire à nos futurs évènements, c’est ici. ■

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...