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Tuesday, October 31, 2023

Narbonne : les Rencontres d'archéologie, jusqu'à dimanche, entre histoire et nouvelles technologies - LaDepeche.fr

l'essentiel Jusqu’à dimanche, Narbonne vit au rythme des Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise. Au programme : des pépites et des exclusivités, pour découvrir comment l’archéologie évolue à l’heure des dernières technologies.

Vous reprendrez bien un grand verre d’histoire et de sciences à l’occasion des 11e Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise ? Des expositions, des démonstrations, des livres et des bandes dessinées, une compétition de films, des rencontres avec des figures de la discipline, l’art d’étudier les vestiges du passé n’a jamais été aussi vivant qu’à Narbonne ! Les amateurs éclairés comme les curieux de nature ne seront pas déçus par la riche programmation proposée jusqu’au dimanche 5 novembre.

Le numérique dans l’édifice archéologique

À noter que les rencontres professionnelles, accessibles au tout public, sont programmées le vendredi 3 novembre au palais musée des Archevêques. Il sera beaucoup question de nouvelles technologies et de savoir comment le numérique apporte sa pierre à l’édifice archéologique. Pour aborder l’art pariétal paléolithique, ou pour connaître les secrets de Notre Dame de Paris, les nouvelles technologies changent la donne.

La place de la femme archéologique dans le jeu vidéo

Le lendemain, à l’occasion d’une table ronde, on s’interrogera d’ailleurs sur le nouveau défi de l’intelligence artificielle, ses risques, ses avancées et ses perspectives. Au musée Narbo Via, on explorera l’archéologie à travers la BD et le jeu vidéo. On abordera entre autres le courant médiévaliste dans les jeux asiatiques comme The Legend of Zelda, l’aspect création dans le jeu d’Ubisoft Assassin’s Creed Mirage, ou encore la place de la femme archéologique dans le jeu vidéo.

Pour ne pas perdre une miette des Rencontres d’archéologie, le programme exhaustif est disponible sur le site https://ran-archeo.com/

Une visite virtuelle inédite

Une immersion numérique dans une villa du IIe siècle avant notre ère.
Une immersion numérique dans une villa du IIe siècle avant notre ère. L'Indépendant - Christophe Barreau

C’est dans une salle juste au-dessus du site antique du Clos de la Lombarde, à Narbonne, que 18 spectateurs pourront désormais participer à une visite guidée pas comme les autres : une reconstitution interactive de l’antique quartier de notables romains, avec des images de synthèse en 4K et l’impression d’y être pour de vrai. "Tout ce qui sera montré a réellement existé, on est les seuls en Occitanie à proposer ce genre de visite. On passera par deux maisons, les thermes, les quatre rues de l’ancienne ville… C’est un retour en arrière de 2000 ans", explique Roland Schmitt, président des Amis du Clos de la Lombarde. Cette nouveauté – encore en période d’essai – sera dévoilée dès ce mercredi 1er novembre et jusqu’au 5 novembre, de 10 heures à midi et de 14 heures à 17 heures, dans le cadre des Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise. Petits et grands sont conviés.

Visite gratuite du 1er novembre au 5 novembre sur réservation sur le site de l’association : amiscloslombarde.fr ou helloasso.com. Renseignements : 06 51 07 77 44.

Un chantier de fouilles ouvert au public

Pour ceux qui préfèrent le terrain et sont passionnés par le métier d‘archéologue, l’Institut national de recherches archéologiques préventives ouvrira un de ses chantiers : ce mercredi 1er novembre, au 15 quai de Lorraine, le public découvrira les vestiges antiques d’un quartier portuaire de Narbo Martius, ville qui fut fondée au IIe siècle avant notre ère. Les Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise, c’est aussi un fameux festival de films avec des courts et des longs-métrages en compétition. Les projections auront lieu tout au long de la semaine et ce sera l’occasion de se cultiver sur les momies de passage au Muséum de Toulouse, sur l’histoire de l’empire inca, de se mettre dans la peau d’un légionnaire romain ou d’une amazone, une femme guerrière de l’Antiquité…

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Narbonne : les Rencontres d'archéologie, jusqu'à dimanche, entre histoire et nouvelles technologies - LaDepeche.fr

l'essentiel Jusqu’à dimanche, Narbonne vit au rythme des Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise. Au programme : des pépites et des exclusivités, pour découvrir comment l’archéologie évolue à l’heure des dernières technologies.

Vous reprendrez bien un grand verre d’histoire et de sciences à l’occasion des 11e Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise ? Des expositions, des démonstrations, des livres et des bandes dessinées, une compétition de films, des rencontres avec des figures de la discipline, l’art d’étudier les vestiges du passé n’a jamais été aussi vivant qu’à Narbonne ! Les amateurs éclairés comme les curieux de nature ne seront pas déçus par la riche programmation proposée jusqu’au dimanche 5 novembre.

Le numérique dans l’édifice archéologique

À noter que les rencontres professionnelles, accessibles au tout public, sont programmées le vendredi 3 novembre au palais musée des Archevêques. Il sera beaucoup question de nouvelles technologies et de savoir comment le numérique apporte sa pierre à l’édifice archéologique. Pour aborder l’art pariétal paléolithique, ou pour connaître les secrets de Notre Dame de Paris, les nouvelles technologies changent la donne.

La place de la femme archéologique dans le jeu vidéo

Le lendemain, à l’occasion d’une table ronde, on s’interrogera d’ailleurs sur le nouveau défi de l’intelligence artificielle, ses risques, ses avancées et ses perspectives. Au musée Narbo Via, on explorera l’archéologie à travers la BD et le jeu vidéo. On abordera entre autres le courant médiévaliste dans les jeux asiatiques comme The Legend of Zelda, l’aspect création dans le jeu d’Ubisoft Assassin’s Creed Mirage, ou encore la place de la femme archéologique dans le jeu vidéo.

Pour ne pas perdre une miette des Rencontres d’archéologie, le programme exhaustif est disponible sur le site https://ran-archeo.com/

Une visite virtuelle inédite

Une immersion numérique dans une villa du IIe siècle avant notre ère.
Une immersion numérique dans une villa du IIe siècle avant notre ère. L'Indépendant - Christophe Barreau

C’est dans une salle juste au-dessus du site antique du Clos de la Lombarde, à Narbonne, que 18 spectateurs pourront désormais participer à une visite guidée pas comme les autres : une reconstitution interactive de l’antique quartier de notables romains, avec des images de synthèse en 4K et l’impression d’y être pour de vrai. "Tout ce qui sera montré a réellement existé, on est les seuls en Occitanie à proposer ce genre de visite. On passera par deux maisons, les thermes, les quatre rues de l’ancienne ville… C’est un retour en arrière de 2000 ans", explique Roland Schmitt, président des Amis du Clos de la Lombarde. Cette nouveauté – encore en période d’essai – sera dévoilée dès ce mercredi 1er novembre et jusqu’au 5 novembre, de 10 heures à midi et de 14 heures à 17 heures, dans le cadre des Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise. Petits et grands sont conviés.

Visite gratuite du 1er novembre au 5 novembre sur réservation sur le site de l’association : amiscloslombarde.fr ou helloasso.com. Renseignements : 06 51 07 77 44.

Un chantier de fouilles ouvert au public

Pour ceux qui préfèrent le terrain et sont passionnés par le métier d‘archéologue, l’Institut national de recherches archéologiques préventives ouvrira un de ses chantiers : ce mercredi 1er novembre, au 15 quai de Lorraine, le public découvrira les vestiges antiques d’un quartier portuaire de Narbo Martius, ville qui fut fondée au IIe siècle avant notre ère. Les Rencontres d’archéologie de la Narbonnaise, c’est aussi un fameux festival de films avec des courts et des longs-métrages en compétition. Les projections auront lieu tout au long de la semaine et ce sera l’occasion de se cultiver sur les momies de passage au Muséum de Toulouse, sur l’histoire de l’empire inca, de se mettre dans la peau d’un légionnaire romain ou d’une amazone, une femme guerrière de l’Antiquité…

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Monday, October 30, 2023

Seniors. La prothèse auditive, ce petit bijou bourré de technologies - La Manche Libre

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Seniors. La prothèse auditive, ce petit bijou bourré de technologies  La Manche Libre
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HSL Technologies stocke de l'hydrogène dans du liquide grâce à un dérivé du silicium - L'Usine Nouvelle

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HSL Technologies stocke de l'hydrogène dans du liquide grâce à un dérivé du silicium - L'Usine Nouvelle
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Sunday, October 29, 2023

Tokyo parade : quand les concept-cars annoncent les futures technologies - L'Argus: actualités automobiles

Les dizaines de concept-cars présentés au Japan Mobility Show sont autant d’écrins pour présenter de nouvelles technologies éblouissantes, qu’elles soient réalistes ou fantasmées. Nous en avons sélectionné 12 au fil des allées du parc des expositions de Tokyo Big Sight.

Par Nicolas Valeano

Publié le

Le premier Japan Mobility Show est ouvert au public du 26 octobre au 5 novembre 2023, sur le site de Tokyo Big Sight.

Nicolas Valeano

Intelligence artificielle, écrans de toutes sortes, nouveaux matériaux, solutions écologiques innovantes : toutes les technologies de demain ont droit de cité au Japan Mobility Show,anciennement Tokyo Motor Show. Ici, les concept-cars les plus fous sont rois, tandis que les voitures de série de la gamme sont laissées de côté. Chaque marque est tournée vers l’avenir, à court, moyen ou long terme, et chaque constructeur japonais y propose au moins un show-car, une tradition qui sert à évoquer de futurs designs, mais aussi à communiquer sur des innovations en cours de recherche et développement. Qu’il s’agisse de faire le spectacle, de tester les réactions du public ou simplement de préparer les esprits à des solutions en gestation, chaque concept a droit à ses technos. Parfois elle ne resteront que des effets d’annonce, alors que d’autres sont déjà dans les plans produits des prochains modèles de série.

Media Image

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Le système de commandes Toyota Neo Steer est basé sur une sorte de mélange entre volant et guidon de moto. L’accélérateur et le frein sont intégrés dans le mini-volant de type yoke, permettant selon la marque une plus grande précision et libérant le plancher pour plus de confort

Nicolas Valeano

Electrification à tous les étages

Devenu ouvert à la mobilité, le salon étend encore le spectre des véhicules proposés, qu’il s’agisse d’engins de déplacement personnel de toutes sortes, aides pour les personnes à mobilité réduite - un thème très important au Japon où une proportion très significative de la population est vieillissante - ou encore, vélos et deux-roues motorisés, avec la présence des quatre constructeurs moto majeurs. Un point commun les relie tous : l’électrification, thème majeur pour le marché mondial, alors que le Japon reste très en deçà de pays comme la France pour ses immatriculations d’automobiles électriques, encore sous les 2 %.

Media Image

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Yamaha expose un modèle hybride entre roadster et moto à trois roues directrices nommé Tricera. La roue arrière peut braquer dans le sens des roues avant ou en sens inverse selon la vitesse, automatiquement ou... manuellement, ce qui doit demander un gros temps d’adaptation.

Nicolas Valeano

Nous sommes allés à la pêche aux technologies parmi les quelque 475 exposants présents pour en rapporter les plus impressionnantes, astucieuses ou même simplement... folles.

Tour d’horizon en images

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Saturday, October 28, 2023

Quand un petit verre de pastis améliore l'ARN messager et les nano-technologies - France 3 Régions

Pour les chercheurs du CNRS de Toulouse, un verre de pastis est bien plus qu’il n’y paraît. En étudiant la réaction entre l’alcool et l’eau, nommé l’effet Ouzo, une équipe de scientifiques a travaillé sur une avancée conséquente dans l’étude des nano-objets.

Ajoutez de l’eau dans votre pastis, ou n’importe quel alcool anisé, et vous obtiendrez un mélange laiteux. C’est l’effet Ouzo. Pratique pour l’apéro, mais aussi pour la science, puisque cette réaction ne s’arrête pas là.

« À vue d’œil, on pourrait considérer le phénomène achevé dès lors que les deux liquides sont mis en contact. Mais à l’échelle nanométrique c’est une véritable tempête dans un verre de Pastis, faite de rencontres et de séparations », explique le CNRS.

En effet, lorsqu’ils se mélangent puis se séparent, les liquides créent une émulsification spontanée. C’est ce point qui a été étudié en détail par les chercheurs toulousains. Ce phénomène de nano-fabrication est utilisé dans plusieurs domaines, notamment un qui devrait vous évoquer quelques souvenirs : la fabrication des nano-vecteurs d’ARN messager qui repose en partie sur ce phénomène. 

Depuis longtemps, les scientifiques sont confrontés à une limite : au-delà d’une faible concentration en soluté, les nano-objets devenaient des macro-objets, c’est-à-dire, des molécules de taille plus importante. C’est ici qu’intervient Kevin Roger, physico-chimiste au Laboratoire de génie chimique de Toulouse et son équipe.

Depuis 15 ans, ce chercheur est spécialisé dans l'étude de ces "gouttes de petites tailles créées sans énergie". Et des derniers mois, ses recherches sur cette technique de plus en plus utilisée se sont accélérées. 

Dans un article publié au Journal of Colloid and Interface Science ils expliquent que cette limite est de « nature hydrodynamique » : autrement dit, le mélange est trop lent. Grâce à des mélangeurs spéciaux les scientifiques ont réussi à augmenter cette vitesse et obtenir des nano-objets. Une avancée considérable pour des secteurs comme la pharmaceutique, la cosmétique ou encore l’alimentaire.

Pour faire simple, cette découverte permettra de créer des structures moléculaires plus complexes et diversifiées... avec de nouvelles propriétés. "C'est un peu comme jouer aux legos, analyse le scientifique Kevin Roger. On les assemble pour créer une jolie structure, plus fragile, qui pourra se maintenir grâce à un procédé de construction plus doux." 

Porchaine étape pour le chercheur, ainsi qu'une dizaine d'autres : travailler sur ces formaitons d'architectures complexes afin de créer des vecteurs d'ARN messagers plus efficaces.

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Quand un petit verre de pastis améliore l'ARN messager et les nano-technologies - France 3 Régions
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Les nouvelles technologies plongent dans l’incertitude un travailleur sur cinq - lavenir.net

De plus en plus d’inquiétude

"I l y aurait de plus en plus d’inquiétude chez les travailleurs confrontés aux nouvelles technologies, explique Lode Godderis, CEO d’Idewe et professeur de médecine du travail à la KULeuven. Les choses ont évolué: auparavant, le technostress était lié à la difficulté de se déconnecter des moyens digitaux, son gsm, sa boîte mail… L’arrivée de l’intelligence artificielle génère beaucoup d’inquiétude chez les travailleurs et cette inquiétude peut avoir un impact négatif sur la satisfaction au travail, le bien-être, la santé mentale et la performance".

Incertitude, complexité et surcharge de travail

L’étude distingue trois principaux facteurs de technostress. Le plus fréquent (21,6% des répondants) est la techno-incertitude soit le sentiment d’incertitude par rapport à son travail et à son rôle, provoqué par des changements technologiques fréquents. Ces derniers impliquent de suivre régulièrement des formations pour se familiariser avec les nouvelles applications.

Les nouvelles technologies plongent dans l’incertitude un travailleur sur cinq
©

14,1% des travailleurs interrogés ont le sentiment que les nouvelles technologies ont rendu leur travail beaucoup plus difficile.

Ils sont presque autant (13,7%) à dénoncer la surcharge de travail imposée par les dernières nouveautés technologiques: ils estiment devoir travailler plus, plus vite et plus longtemps.

Seulement 5% des travailleurs interrogés ont le sentiment de devoir être joignables à tout moment et de rester connectés en permanence à leur boulot.

Seulement 2,6 % des répondants craignent de perdre leur travail parce que les technologies peuvent désormais les remplacer pour certaines tâches, ajoute Tinne Vander Elst, chercheuse chez IDEWE.

Les employés de bureau plus impactés

Si personne n’est épargné par le technostress, y compris les travailleurs des services informatiques, ce sont les personnes qui travaillent en permanence sur un ordinateur qui sont les plus exposées au technostress (33,5%), pour 18,2% des personnes actives dans les soins de santé et 13,7% dans l’enseignement.

Sans surprise, ce sont les plus de 55 ans qui souffrent le plus des incessantes évolutions technologiques: près de 21% d’entre eux ont le sentiment que leurs tâches se sont complexifiées (3,7% des 25-34 ans), 27% pointent l’incertitude liée aux nouvelles technologies (13,2% des 35-44 ans).

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Thursday, October 26, 2023

Dracula Technologies investit 15 millions d'euros dans sa première usine de modules photovoltaïques organiques ... - La Tribune Auvergne-Rhône-Alpes

Dracula Technologies n'a pas attendu l'appel à projets « Première Usine » pour se donner les moyens d'industrialiser sa technologie. En revanche, les cinq millions d'euros que vient de lui accorder l'État, dans le cadre de la 3e relève de ce dispositif (dont les lauréats ont été dévoilés ce début de semaine), vont très clairement lui permettre d'accélérer la cadence de mise en fabrication de ses dispositifs photovoltaïques organiques (OPV) destinés à l'Internet des Objets.

Alors que l'entreprise envisageait d'investir, il y a un an, six millions d'euros dans son usine, ce sont finalement 15 millions qui vont être injectés dans ce premier site industriel. Grâce à l'aide accordée via « Première usine » donc, ainsi qu'à un apport de 7 millions d'euros (subvention + entrée au capital) de l'EIC (conseil européen de l'innovation) et à une levée de fonds de 5,5 millions d'euros menée à l'automne 2022 auprès du fonds souverain Auvergne-Rhône-Alpes, de la Banque des territoires et de l'Américain Semtch, un des principaux fabricants mondiaux de semi-conducteurs à faible consommation (LoRA).

Du photovoltaïque sans terre rare

Créée en 2011, Dracula Technologies a développé une technologie (protégée par plusieurs brevets) de modules photovoltaïques sur mesure destinés aux objets connectés. Ces modules permettent d'alimenter des objets connectés du bâtiment nécessitant des micro-puissances. Par exemple, des interrupteurs, des capteurs de température, des détecteurs d'incendie. Ou même, et c'est une nouvelle voie que pourrait explorer Dracula après celui de l'IoT du bâtiment, des traceurs de géolocalisation autonomes qui ne nécessiteraient aucune batterie mais seulement un peu de lumière.

Lire aussiAprès le très haut débit, la Loire accélère sur l'internet des objets

Ces modules sont fabriqués à partir de feuilles de PET sur lesquelles sont imprimés différentes couches d'encre conductrices (quatre couches actuellement, bientôt trois) dont les photons sont captés pour générer de l'énergie à partir de la lumière ambiante, - artificielle ou naturelle-, et ce, même si elle est de faible luminosité, promet Dracula.

Ces modules ont vocation à remplacer les piles ou les petites batteries actuellement utilisées par l'IoT.

« Notre technologie permet de limiter l'impact environnemental de l'internet des objets d'une part et de faciliter la maintenance de ces systèmes puisqu'ils ne nécessitent plus d'intervention humaine pour remplacer les piles », souligne le dirigeant, Brice Cruchon, indiquant que chaque année plus de 30.000 tonnes de batteries sont jetées avec seulement 3,3% d'entre elles qui sont recyclées.

Sans dévoiler sa « recette », le dirigeant précise n'utiliser que très peu de matière (moins d'un gramme par m²) et aucune terre rare, avec des composants provenant quasi-exclusivement de France. Un bon point donc pour une industrie française en recherche de plus de souveraineté.

Cadence industrielle

Travaillant jusqu'ici sur du prototypage, avec une ligne de production capable de produire 300.000 pièces par an pour les premières séries déjà mises à disposition de clients pilotes, Dracula Technologies va désormais franchir une étape décisive avec son premier site industriel, situé à quelques encablures de son camp de base actuel.

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Cette « Green MicroPower Factory » de 2.500 m², - revendiquée comme la plus grande usine de dispositifs photovoltaïques organique à impression numérique en Europe-, sera implantée dans la friche industrielle Reynolds, à Valence. Elle disposera de son premier îlot d'impression d'ici la fin de l'année pour une mise en route opérationnelle au deuxième trimestre 2024. Quatre autres lignes seront implémentées au fil des trois prochaines années. Avec une capacité de production, à horizon 2026, de 150 millions de centimètres carrés de modules par an. A titre de comparaison, une télécommande nécessite une cellule de 5 à 6 cm² tandis qu'un capteur de C02 devra être doté d'une cellule de 30 cm² environ.

« Nous devons rapidement parvenir à des cadences industrielles de haute performance car la demande est pressante. Nous avons aujourd'hui dans notre tunnel de négociations plus de 6 millions de chiffre d'affaires mais nous ne sommes pas en mesure de l'assurer immédiatement », souffle Brice Cruchon, faisant état d'un chiffre d'affaires d'1,7 million d'euros en 2022, 3 millions en 2023, 6 millions en 2024 et 25 millions environ en 2026. Au même horizon, la PME devrait compter une centaine de collaborateurs (contre 33 actuellement).

La demande est boostée, d'une part, par les directives européennes visant à éliminer progressivement les piles non rechargeables des appareils IoT, et d'autre part par l'explosion des objets connectés, en particulier dans les secteurs du smart home et du smart building. Selon le cabinet américain IoT Analytics, il y avait 14,4 milliards d'objets connectés en 2022. Dont 244 millions en France (enquête Ademe/Arcep). A l'échelle mondiale, le chiffre devrait grimper à 27 milliards d'ici à 2025...

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Aures Technologies diffère légèrement la date de sa publication semestrielle - Boursier.com

Aures Technologies diffère légèrement la date de sa publication semestrielle
Crédit photo © Boursier.com

(Boursier.com) — La publication des résultats du 1er semestre 2023 d'Aures Technologies, initialement prévue ce 26 octobre, est reportée au vendredi 27 octobre, après Bourse.

©2023

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Le géant taïwanais des technologies Foxconn visé par une enquête fiscale en Chine - RFI

Foxconn fait l’objet d’une enquête fiscale en Chine. Le géant de l’électronique taïwanais et sous-traitant d’Apple a reconnu dimanche soir qu’une série d’inspections étaient en cours dans certaines de ses usines et qu’il « coopérait » avec les autorités.

Publié le :

2 mn

Avec notre correspondant à Pékin, Stéphane Lagarde

Foxconn dispose d’une trentaine de sites de production en Chine et le groupe taïwanais embauche environ un million de salariés. Ce sont pour l’instant ses entités de l’administration des impôts, dans les provinces du Guangdong au sud et du Jiangsu à l’est, qui sont visées par des contrôles fiscaux.

Mais le département des ressources naturelles est également mobilisé. Selon le Global Times – filiale du Quotidien du Peuple – à l’origine de l’information divulguée dimanche, les sites du Henan et du Hubei dans le centre du pays, où se trouve notamment la méga-usine du groupe à Zhengzhou qui s’était rebellée pendant le Covid, seraient soupçonnées de ne pas avoir respecté le droit immobilier.

« Le respect de la législation est un principe de base pour notre groupe dans le monde entier », a commenté Foxconn dans un communiqué. « Nous coopérerons activement avec les [autorités] compétentes pour les opérations concernées », a ajouté l'entreprise sans plus de détails.

« Interférence politique »

Le gouvernement de Taïwan a défendu ce lundi le géant taïwanais des technologies Foxconn, visé par des enquêtes en Chine, dénonçant une « interférence politique » orchestrée selon lui par Pékin. Les enquêtes sur Foxconn visent à « perturber la démocratie taïwanaise », a dénoncé lundi le vice-Premier ministre taïwanais, Cheng Wen-tsan.

Selon les « experts » cités par le Global Times, « les entreprises taïwanaises qui bénéficient d’un développement significatif sur la partie continentale, doivent assumer leur responsabilité sociale et jouer un rôle actif dans la promotion du développement pacifique des relations entre les deux rives du détroit de Taïwan ». Un message directement adressé à Terry Gou, le fondateur de Foxconn, qui a démissionné de son poste au conseil d’administration pour préparer sa candidature à l’élection présidentielle qui doit se tenir dans près deux mois et demi à Taïwan.

L'audit sur Foxconn intervient moins de trois mois avant l'élection présidentielle à Taïwan, et alors que le géant des technologies cherche actuellement à diversifier sa production hors de Chine. Le gouvernement de Taïwan, que la Chine revendique comme son propre territoire, accuse fréquemment Pékin de chercher à exercer des pressions, qu'elles soient militaires ou économiques, pour influencer le résultat des élections dans l'île.

À lire aussiSemi-conducteurs: Foxconn se retire d'un projet à 19,5 milliards de dollars en Inde

(Et avec AFP)

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Wednesday, October 25, 2023

La Chine s'empresse de remplacer les technologies occidentales par des options nationales alors que les États-Unis ... - Zonebourse.com

Selon des appels d'offres gouvernementaux, des documents de recherche et quatre personnes au fait du dossier, la Chine a accéléré ses dépenses pour remplacer les technologies occidentales par des solutions nationales, alors que Washington resserre les restrictions sur les exportations de haute technologie vers son rival.

Reuters rapporte pour la première fois les détails des appels d'offres du gouvernement, de l'armée et des entités liées à l'État, qui montrent une accélération de la substitution nationale depuis l'année dernière.

La Chine a dépensé beaucoup d'argent pour remplacer son matériel informatique, et les secteurs des télécommunications et de la finance seront probablement les prochaines cibles, ont déclaré deux personnes connaissant bien ces secteurs. Des chercheurs soutenus par l'État ont également identifié les paiements numériques comme étant particulièrement vulnérables à un éventuel piratage occidental, selon un examen de leurs travaux, ce qui rend probable un effort d'indigénisation de cette technologie.

Selon une base de données du ministère des finances consultée par Reuters, le nombre d'appels d'offres lancés par des entreprises d'État, des organismes gouvernementaux et militaires pour nationaliser des équipements a doublé, passant de 119 à 235 au cours des 12 mois qui ont suivi septembre 2022.

Au cours de la même période, la valeur des projets attribués répertoriés dans la base de données s'est élevée à 156,9 millions de yuans, soit plus du triple de l'année précédente.

Bien que la base de données ne représente qu'une fraction des appels d'offres à l'échelle nationale, il s'agit de la plus grande collection d'appels d'offres de l'État disponible publiquement et elle reflète les données de tierces parties. La Chine a dépensé 1,4 trillion de yuans (191 milliards de dollars) pour remplacer du matériel et des logiciels étrangers en 2022, ce qui représente une augmentation de 16,2 % en glissement annuel, selon la société de recherche informatique First New Voice.

Toutefois, le manque de capacités de fabrication de puces de pointe de Pékin l'empêche de remplacer complètement les produits par des alternatives entièrement fabriquées localement, selon les analystes.

Les précédents efforts de substitution nationale ont échoué parce que la Chine n'avait pas "les capacités techniques pour réaliser la localisation jusqu'à présent, et dans une certaine mesure, elle ne les a toujours pas", a déclaré Kendra Schaefer, responsable de la recherche sur la politique technologique au sein de la société de conseil Trivium China, basée à Pékin.

LA PEUR DE LA DÉPENDANCE

L'année dernière, les entreprises d'État ont reçu l'ordre de remplacer les logiciels de bureautique par des produits nationaux d'ici à 2027. C'était la première fois que des délais aussi précis étaient imposés, selon cinq sociétés de courtage qui ont cité un ordre datant de septembre 2022 émanant de l'autorité de régulation des actifs de l'État chinois. Reuters n'a pas pu vérifier l'ordre de manière indépendante.

Cette année, les projets de remplacement nationaux ont ciblé des infrastructures particulièrement sensibles, comme le montrent les appels d'offres.

Un appel d'offres partiellement expurgé pour un "certain département gouvernemental de la province de Gansu" a attribué 4,4 millions de yuans pour remplacer l'équipement d'un système de collecte de renseignements, sans fournir de précisions.

En décembre dernier, des unités de l'armée populaire de libération de la ville de Harbin, dans le nord-est du pays, et de Xiamen, dans le sud, ont lancé des appels d'offres pour le remplacement d'ordinateurs fabriqués à l'étranger.

Des chercheurs en technologie tels que Mo Jianlei, de l'Académie chinoise des sciences, le plus grand organisme de recherche public du pays, ont déclaré que le gouvernement chinois était de plus en plus préoccupé par le piratage des équipements occidentaux par des puissances étrangères.

L'autorité de régulation des actifs de l'État n'a pas répondu à une demande de commentaire.

Au cours de l'année écoulée, des chercheurs liés à l'État ont également appelé Pékin à renforcer les défenses anti-piratage de son infrastructure financière en raison de préoccupations géopolitiques.

En mars, un document de recherche a mis en évidence la dépendance du système chinois de cartes de crédit UnionPay à l'égard de la société américaine de logiciels BMC pour les règlements.

Méfiez-vous des failles de sécurité dans le matériel et les logiciels mis en place par les États-Unis... créez un "pare-feu" de sécurité financière", écrivaient les chercheurs.

BMC n'a pas souhaité faire de commentaires.

Un article publié cette année dans la revue Cyberspace Security par des chercheurs de l'entreprise publique China Telecommunications Corporation a conclu que le pays était trop dépendant des puces fabriquées par le géant américain Qualcomm pour la gestion du back-end, ainsi que des systèmes iOS et Android.

"Ces systèmes sont tous fermement contrôlés par des entreprises américaines", ont écrit les chercheurs.

La Chine n'ayant pas signé les clauses de l'Organisation mondiale du commerce régissant les marchés publics, l'effort de substitution ne semble pas violer les accords internationaux, selon le Trésor américain. Les États-Unis ont mis en œuvre des règles similaires interdisant aux entreprises chinoises de participer aux appels d'offres du secteur public.

Qualcomm, Google et Apple n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires.

GAGNANTS ET PERDANTS

Les efforts de la Chine pour construire un système informatique indépendant remontent au moins à son plan quinquennal de 2006 pour le développement de la science et de la technologie, qui faisait des secteurs des semi-conducteurs et des systèmes logiciels des priorités nationales.

Cet effort a donné naissance à des entreprises d'État qui remportent de plus en plus de contrats importants. Deux entreprises ayant remporté les appels d'offres de Harbin étaient des filiales de China Electronics Corporation et de China Electronics Technology Group Corporation, toutes deux fortement visées par les sanctions américaines.

Selon un employé d'une entreprise basée à Pékin qui développe des logiciels de bureautique nationaux, l'ordonnance de 2022 de l'autorité de régulation de l'État a éloigné les entreprises d'État des sociétés américaines telles que Microsoft et Adobe.

China Tobacco, par exemple, a commencé en juillet à faire passer certaines de ses filiales de Microsoft Windows à EulerOS de Huawei, selon un employé d'un fournisseur de logiciels qui fournit des services au fabricant public.

Ces personnes ont parlé sous le couvert de l'anonymat car elles n'étaient pas autorisées à parler de leurs clients et de leurs concurrents.

Depuis des années, les entreprises technologiques occidentales partagent leur code source et concluent des partenariats avec des entreprises nationales pour répondre aux préoccupations de Pékin, mais d'éminents informaticiens tels que Ni Guangnan, de l'Académie chinoise d'ingénierie, ont déclaré que ces mesures n'étaient pas suffisantes pour répondre aux besoins de la Chine en matière de sécurité.

China Tobacco, Microsoft et Adobe n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.

En septembre, Reuters et d'autres médias ont rapporté que certains employés d'agences du gouvernement central n'avaient pas le droit d'utiliser d'iPhones au travail.

"Dans certains secteurs, les clients optent pour des fournisseurs nationaux, les fournisseurs étrangers étant souvent confrontés à des barrières informelles", a déclaré la Chambre de commerce de l'Union européenne à Pékin en réponse aux questions de Reuters.

Dans un rapport de la Chambre de commerce américaine (AmCham) de Shanghai datant de 2023, 89 % des entreprises technologiques membres de l'organisation ont cité les pratiques d'approvisionnement favorisant les concurrents nationaux comme un obstacle réglementaire. Il s'agit du pourcentage le plus élevé de tous les secteurs.

Le président de l'AmCham Shanghai, Eric Zheng, a reconnu les préoccupations de la Chine en matière de sécurité nationale, mais a déclaré qu'il espérait que "les procédures normales de passation de marchés ne seraient pas politisées afin que les entreprises américaines puissent rivaliser équitablement et poursuivre des opportunités commerciales [...] au bénéfice des deux pays".

Le ministère américain du commerce, China Electronics Corporation et China Electronics Technology Group Corporation n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.

PRIX HUAWEI

Le conglomérat technologique chinois Huawei s'est imposé comme la première entreprise de ce cycle de remplacement, selon trois personnes connaissant bien le secteur des technologies d'entreprise en Chine, qui ont parlé sous le couvert de l'anonymat en raison du caractère sensible de la question.

En 2022, les activités d'entreprise de Huawei, qui comprennent les logiciels et l'informatique en nuage, ont enregistré un chiffre d'affaires de 133 milliards de yuans, soit une hausse de 30 % par rapport à l'année précédente.

L'une de ces personnes a déclaré que la société privée Huawei était considérée comme plus agile que les groupes publics dans le lancement de produits et l'exécution de projets.

Les deux autres sources ont souligné que la vaste gamme de produits de Huawei - allant des puces aux logiciels - constituait un avantage.

Les clients apprécient également Huawei pour sa capacité à traiter les données sur les serveurs internes de l'entreprise et les réseaux externes en nuage, ainsi que pour sa large gamme de produits de cybersécurité, selon l'employé d'un fournisseur de technologie de China Tobacco.

Huawei n'a pas souhaité faire de commentaire.

Le mouvement de remplacement a redessiné des sous-secteurs entiers de l'industrie du logiciel. La part de marché combinée en Chine détenue par cinq grands fabricants étrangers de systèmes de gestion de bases de données - dont la majorité sont américains - a chuté de 57,3 % en 2018 à 27,3 % d'ici la fin de 2022, selon le groupe industriel IDC.

Cependant, malgré les dépenses importantes consacrées à la substitution nationale, les entreprises étrangères restent des fournisseurs dominants pour la gestion des bases de données bancaires et télécoms. Les entreprises non chinoises détiendront 90 % des parts de marché des systèmes de bases de données bancaires à la fin de 2022, selon EqualOcean, un cabinet de conseil en technologie.

Les institutions financières sont généralement réticentes à changer de système de base de données malgré la pression du gouvernement, a déclaré l'une des sources industrielles, ajoutant qu'elles ont des exigences de stabilité plus élevées que beaucoup d'autres secteurs et que les acteurs locaux ne peuvent pas encore répondre à leurs besoins.

Même pour les ordinateurs personnels, les banques qui passent d'une marque internationale à Lenovo, le principal fournisseur chinois, resteraient tributaires des composants critiques des puces fournis par des entreprises occidentales, a déclaré l'une des sources industrielles.

(1 $ = 7,3165 yuans chinois) (Reportage de la salle de presse de Pékin ; Rédaction de Brenda Goh et Katerina Ang)

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Technologie : la Californie suspend le permis de Cruise de faire rouler ses véhicules autonomes - Sud Ouest

Le DMV évoque un « risque déraisonnable pour la sécurité publique », et précise qu’il n’y a « pas de délai fixe pour la suspension ». Cruise peut continuer à tester ses véhicules avec un conducteur de sécurité. « Le DMV a fourni à Cruise les étapes nécessaires pour demander le rétablissement de ses permis suspendus, que le DMV n’approuvera pas tant que l’entreprise n’aura pas rempli les conditions requises à la satisfaction du département », indique encore l’autorité.

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Au début du mois, à San Francisco, une voiture sans chauffeur de Cruise a roulé par-dessus une piétonne qui venait d’être percutée par un autre véhicule, conduit par une personne. La victime avait été hospitalisée dans un état critique, selon les pompiers, et Cruise a indiqué dans un communiqué sur l’incident mardi « espérer qu’elle se remettrait complètement ».

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La filiale note que « le conducteur humain responsable de l’accident n’a pas été retrouvé ». « La sécurité est au cœur de tout ce que nous faisons à Cruise – nous voulons réduire considérablement le nombre de personnes blessées et tuées chaque année sur nos routes », souligne Cruise. L’entreprise n’a pas immédiatement répondu sur la suspension de son permis.

Débats de plus en plus intenses

Bardés de caméras et de lidars (des lasers de détection), les taxis électriques autonomes de Waymo (Google) et Cruise (General Motors) ont investi San Francisco depuis l’année dernière, suscitant des débats de plus en plus intenses sur les progrès qu’ils apportent et les risques qu’ils présentent.

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Tuesday, October 24, 2023

Les voiles pour vraquiers d'ADD Technologies approuvées par Bureau veritas - Le Marin

Lauréate du concours d’innovation i-Nov lancé par BPI France et l’Ademe dans le cadre du plan de relance France 2030, la jeune société lorientaise ADD Technologies vient de recevoir l’approbation de principe (AIP) de la société de classification Bureau veritas pour son kit de propulsion vélique destiné aux grues de vraquiers.

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En Amazonie brésilienne, les antennes Starlink facilitent le travail des criminels - Courrier international

“L’Amazonie est devenue le principal marché au Brésil pour Starlink”, le service Internet satellitaire de l’entreprise spatiale Space X, propriété d’Elon Musk et aujourd’hui leader des fournisseurs de haut débit dans la région, avec des antennes installées dans 90 % des municipalités, rapporte BBC News Brasil, dont les dernières données remontent au mois de juillet. “La majeure partie des clients sont dans des zones difficiles d’accès”, sans “infrastructure traditionnelle d’Internet à haut débit”.

Lancé en septembre 2022 dans la région, le service avait été annoncé quelques mois auparavant par le milliardaire sud-africain, à la suite d’un déjeuner avec le président brésilien d’alors, Jair Bolsonaro, dans la région de São Paulo. L’objectif affiché par Elon Musk était alors de fournir Inter

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Monday, October 23, 2023

Foxconn, le géant taïwanais des technologies, visé par des enquêtes en Chine - Le Figaro

Foxconn est un grand groupe qui assemble des produits électroniques pour de nombreuses marques internationales, dont Apple. ANN WANG / REUTERS

«Nous coopérerons activement avec les (autorités) compétentes pour les opérations concernées», a indiqué Foxconn.

Le géant taïwanais Foxconn, premier fournisseur d'Apple pour ses iPhone, fait l'objet d'enquêtes réglementaires de la part de Pékin, a rapporté ce week-end, le Global Times, un quotidien proche du pouvoir chinois. Les autorités chinoises soupçonnent des entités de Foxconn dans la province du Guang dong (sud) et au Jiangsu (est) de fraude fiscale, selon le Global Times, tandis que des sites du Hunan et du Hubei (centre) seraient accusés de ne pas avoir respecté le droit immobilier. À la tête d'une trentaine d'usines et d'instituts de recherche en Chine, où travaillent environ 1 million de salariés, Foxconn apparaît comme l'un des piliers de l'économie chinoise. Le groupe dépendrait en contrepartie à 70 % des contrats chinois pour réaliser son chiffre d'affaires.

À découvrir

Sans donner plus de détails sur l'affaire en cours, le premier sous-traitant mondial en électronique a confirmé dimanche les enquêtes dans un communiqué assurant que « le respect de la législation est un principe de base » pour le groupe dans le monde entier. « Nous coopérerons activement avec les (autorités) compétentes pour les opérations concernées », a ajouté Foxconn.

Ces enquêtes interviennent dans un contexte de tensions croissantes entre la Chine et Taïwan, alors que le fondateur de Foxconn, le milliardaire Terry Gou, toujours premier actionnaire du groupe, a démissionné en septembre dernier de son poste d'administrateur de l'entreprise pour se présenter une nouvelle fois à l'élection présidentielle de Taïwan, qui se tiendra en janvier 2024. Ce milliardaire, très proche de Pékin, ne fait pas vraiment figure de héraut de la résistance taïwanaise. Loin de là, il n'a cessé de recommander un rapprochement avec la Chine, une ligne opposée à celle défendue par l'exécutif démocrate actuel. « Je promets d'apporter la paix dans le détroit de Taïwan pour les cinquante prochaines années et d'instaurer les plus profonds fondements de confiance mutuelle entre les deux parties », avait-il assuré en déclarant sa candidature.

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Sunday, October 22, 2023

L'entreprise néerlandaise de technologies de la santé Philips relève ses perspectives et augmente son bénéfice au ... - Zonebourse.com

L'entreprise néerlandaise de technologie de la santé Philips a relevé lundi ses perspectives pour l'ensemble de l'année et a dépassé les attentes des analystes en doublant son bénéfice de base au troisième trimestre pour atteindre 457 millions d'euros (483,3 millions de dollars).

Les analystes ayant participé à un sondage compilé par la société avaient prédit en moyenne que le bénéfice ajusté avant intérêts, impôts et amortissements (EBITA) pour la période juillet-septembre atteindrait 389 millions d'euros, contre 209 millions d'euros l'année précédente.

Philips a déclaré qu'il prévoyait désormais une croissance des ventes comparables de 6 à 7 % en 2023, avec une marge bénéficiaire (EBITA ajusté) de 10 à 11 %. (1 $ = 0,9456 euros) (Reportage de Bart Meijer ; Rédaction de Jacqueline Wong)

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Des langues amérindiennes presque mortes renaissent grâce aux nouvelles technologies - LaDepeche.fr

(AFP) - Dictionnaire de lakota, livres pour enfants en apache, méthodes de langue crow: accessibles sur internet et smartphone, des langues amérindiennes presque mortes renaissent grâce aux nouvelles technologies, des linguistes rêvant de régénérer l'identité culturelle d'autochtones décimés en Amérique du Nord.

Trois femmes de la réserve amérindienne des Apaches sont assises tout sourire devant un ordinateur et un micro et cherchent dans leurs souvenirs des dizaines de mots relatifs à la cuisine et l'alimentation.

Pour créer un dictionnaire en ligne apache-anglais, elles travaillent avec une méthode développée sur un logiciel, "Rapid Word Collection" (RWC), dont l'algorithme parcourt des bases de données écrites et audio pour retrouver des mots oubliés, les définir, les traduire en anglais, les prononcer avec le bon ton et les enregistrer.

Une institutrice de 68 ans, Joycelene Johnson, et deux collègues s'amusent à valider "kapas" en apache qui veut dire "pomme de terre".

Ces "applications de langue écrite sont bien pour les apprenants qui disposent d'une collection" de vocabulaire et grammaire en apache, explique Mme Johnson. Dans les écoles bilingues de sa réserve, il y a "un millier d'étudiants" mais "un seul locuteur en classe de première qui parle couramment".

Cet atelier linguistique était l'un des nombreux d'une "conférence internationale pour la documentation, l'éducation et la revitalisation des langues indigènes" (ICILDER) le week-end dernier à l'université de l'Indiana, dans le centre des Etats-Unis.

Une réunion d'une quarantaine de tribus et nations autochtones et amérindiennes des Etats-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Pérou ou Nouvelle-Zélande, à laquelle l'AFP a assisté dans le cadre bucolique de la ville de Bloomington, quelques jours après la "Journée nationale des peuples indigènes" aux Etats-Unis qui comptent 6,8 millions de "natifs", soit 2% de la population.

- 4.500 langues menacées -

Linguistes, enseignants, étudiants, chercheurs et chefs autochtones ont débattu de la régénérescence de leurs langues orales, chacun ayant conscience de l'ampleur de la menace.

Sur plus de 6.000 langues indigènes répertoriées dans le monde, près de la moitié sont en danger d'extinction et 1.500 de disparition immédiate, selon une étude de 2021 dont l'Unesco s'était fait l'écho en décembre.

C'est une ONG de protection d'une cinquantaine de langues autochtones aux Etats-Unis, Canada, Mexique, Australie, The Language Conservancy (TLC), qui a développé le logiciel RWC pour accélérer la sortie de dictionnaires.

TLC, au budget de trois millions de dollars sur fonds publics et privés, monte régulièrement des ateliers de groupes d'enseignants amérindiens et de linguistes blancs.

Chaque groupe "enregistre 150 mots par jour, à raison de dix groupes cela fait 15.000 mots tous les dix jours" pour chaque langue, se félicite Wilhelm Meya, président fondateur depuis 2005 de TLC et co-organisateur de l'ICILDER.

"La technologie nous permet de sauver des langues bien plus vite qu'on ne l'a jamais fait. En partant de zéro, on peut créer aujourd'hui un dictionnaire en 12 mois contre 20 ans auparavant", assure cet anthropologue américain d'origine autrichienne de 51 ans, qui se définit comme un "entrepreneur social" bien entouré de linguistes.

- Avant les Européens -

Car il faut faire vite.

Aux Etats-Unis et au Canada, les langues amérindiennes sont en voie très rapide d'extinction avec le décès des derniers locuteurs.

Les Etats-Unis ont le nombre le plus élevé de langues menacées de mort, 143 sur 219, suivis par le Canada avec 75 sur 94, selon TLC.

Il y avait 400 à 500 langues autochtones parlées de l'Atlantique au Pacifique, avant l'arrivée il y a 500 ans des Européens qui a décimé les Amérindiens.

Aujourd'hui, "la situation atteint vraiment un niveau de crise et d'urgence, l'âge moyen des derniers locuteurs étant de 75 ans", s'alarme M. Meya.

Il ne reste que "quelques années pour enregistrer ces langues (en ligne) et sur applications", prévient l'expert, qui diffuse gratuitement ses dictionnaires, livres scolaires et méthodes auprès d'institutions éducatives publiques d'Etats américains et de réserves amérindiennes.

Jacob Chavez, étudiant cherokee de 26 ans, se dit "ravi" par ces nouvelles technologies car sa langue peut se "développer" auprès de la jeunesse "beaucoup plus vite et pendant plus longtemps" qu'autrefois.

- "Appropriation culturelle" -

De même Pauline Hawkins, enseignante de langue taltan, est "vraiment enthousiaste et heureuse de voir ce dictionnaire" en ligne alors que ses parents avaient contribué au premier dictionnaire de taltan sur papier dans les années 1980.

Sa collègue Dannielle North King, 51 ans, de la tribu chemehuevi, également appelée nuwuvi, critique toutefois une "méthode occidentale" de retranscription à l'écrit d'une "langue indigène parlée".

En 2022, TLC avait été brocardé par un responsable lakota à propos de droits d'auteurs d'écrits d'une aïeule décédée qui auraient été utilisés dans un travail d'édition.

"Nous ne détenons pas les copyrights des langues sur lesquelles nous travaillons", assure M. Meya.

Quant au risque d'être accusé d'"appropriation culturelle", il répond: "Si j'étais un médecin blanc avec un patient indigène, serais-je empêché de le soigner parce que je ne suis pas autochtone?".

"Les langues ne sont pas une question raciale" mais au "fondement de l'identité, de la nation et de la souveraineté", défend l'expert.

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Les technologies numériques et leurs impacts sur le cerveau - Salut Bonjour

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Les technologies numériques et leurs impacts sur le cerveau  Salut Bonjour
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Des langues amérindiennes presque mortes renaissent grâce aux nouvelles technologies - Le Figaro

Dictionnaire de lakota, livres pour enfants en apache, méthodes de langue crow... Des linguistes s’attellent à régénérer l'identité culturelle d'autochtones décimés en Amérique du Nord avec une méthode développée sur un logiciel.

Dictionnaire de lakota, livres pour enfants en apache, méthodes de langue crow: accessibles sur internet et smartphone, des langues amérindiennes presque mortes renaissent grâce aux nouvelles technologies, des linguistes rêvant de régénérer l'identité culturelle d'autochtones décimés en Amérique du Nord.

Trois femmes de la réserve amérindienne des Apaches sont assises tout sourire devant un ordinateur et un micro et cherchent dans leurs souvenirs des dizaines de mots relatifs à la cuisine et l'alimentation. Pour créer un dictionnaire en ligne apache-anglais, elles travaillent avec une méthode développée sur un logiciel, «Rapid Word Collection» (RWC), dont l'algorithme parcourt des bases de données écrites et audio pour retrouver des mots oubliés, les définir, les traduire en anglais, les prononcer avec le bon ton et les enregistrer.

Une institutrice de 68 ans, Joycelene Johnson, et deux collègues s'amusent à valider «kapas» en apache qui veut dire «pomme de terre». Ces «applications de langue écrite sont bien pour les apprenants qui disposent d'une collection» de vocabulaire et grammaire en apache, explique Mme Johnson. Dans les écoles bilingues de sa réserve, il y a «un millier d'étudiants» mais «un seul locuteur en classe de première qui parle couramment.»

Cet atelier linguistique était l'un des nombreux d'une «conférence internationale pour la documentation, l'éducation et la revitalisation des langues indigènes» (ICILDER) le week-end dernier à l'université de l'Indiana, dans le centre des États-Unis. Une réunion d'une quarantaine de tribus et nations autochtones et amérindiennes des États-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Pérou ou Nouvelle-Zélande, à laquelle l'AFP a assisté dans le cadre bucolique de la ville de Bloomington, quelques jours après la «Journée nationale des peuples indigènes» aux États-Unis qui comptent 6,8 millions de «natifs», soit 2% de la population.

4500 langues menacées

Linguistes, enseignants, étudiants, chercheurs et chefs autochtones ont débattu de la régénérescence de leurs langues orales, chacun ayant conscience de l'ampleur de la menace. Sur plus de 6000 langues indigènes répertoriées dans le monde, près de la moitié est en danger d'extinction et 1500 de disparition immédiate, selon une étude de 2021 dont l'Unesco s'était fait l'écho en décembre.

C'est une ONG de protection d'une cinquantaine de langues autochtones aux États-Unis, Canada, Mexique, Australie, The Language Conservancy (TLC), qui a développé le logiciel RWC pour accélérer la sortie de dictionnaires. TLC, au budget de trois millions de dollars sur fonds publics et privés, monte régulièrement des ateliers de groupes d'enseignants amérindiens et de linguistes blancs.

Chaque groupe «enregistre 150 mots par jour, à raison de dix groupes cela fait 15.000 mots tous les dix jours» pour chaque langue, se félicite Wilhelm Meya, président fondateur depuis 2005 de TLC et co-organisateur de l'ICILDER. «La technologie nous permet de sauver des langues bien plus vite qu'on ne l'a jamais fait. En partant de zéro, on peut créer aujourd'hui un dictionnaire en 12 mois contre 20 ans auparavant», assure cet anthropologue américain d'origine autrichienne de 51 ans, qui se définit comme un «entrepreneur social» bien entouré de linguistes.

Avant les Européens

Car il faut faire vite. Aux États-Unis et au Canada, les langues amérindiennes sont en voie très rapide d'extinction avec le décès des derniers locuteurs. Les États-Unis ont le nombre le plus élevé de langues menacées de mort, 143 sur 219, suivis par le Canada avec 75 sur 94, selon TLC. Il y avait 400 à 500 langues autochtones parlées de l'Atlantique au Pacifique, avant l'arrivée il y a 500 ans des Européens qui a décimé les Amérindiens. Aujourd'hui, «la situation atteint vraiment un niveau de crise et d'urgence, l'âge moyen des derniers locuteurs étant de 75 ans», s'alarme M. Meya.

Il ne reste que «quelques années pour enregistrer ces langues (en ligne) et sur applications», prévient l'expert, qui diffuse gratuitement ses dictionnaires, livres scolaires et méthodes auprès d'institutions éducatives publiques d'États américains et de réserves amérindiennes. Jacob Chavez, étudiant cherokee de 26 ans, se dit «ravi» par ces nouvelles technologies car sa langue peut se «développer» auprès de la jeunesse «beaucoup plus vite et pendant plus longtemps» qu'autrefois.

«Appropriation culturelle»

De même Pauline Hawkins, enseignante de langue taltan, est «vraiment enthousiaste et heureuse de voir ce dictionnaire» en ligne alors que ses parents avaient contribué au premier dictionnaire de taltan sur papier dans les années 1980. Sa collègue Dannielle North King, 51 ans, de la tribu chemehuevi, également appelée nuwuvi, critique toutefois une «méthode occidentale» de retranscription à l'écrit d'une «langue indigène parlée».

En 2022, TLC avait été brocardé par un responsable lakota à propos de droits d'auteur d'écrits d'une aïeule décédée qui auraient été utilisés dans un travail d'édition. «Nous ne détenons pas les copyrights des langues sur lesquelles nous travaillons», assure M. Meya.

Quant au risque d'être accusé d'«appropriation culturelle», il répond: «Si j'étais un médecin blanc avec un patient indigène, serais-je empêché de le soigner parce que je ne suis pas autochtone?». «Les langues ne sont pas une question raciale» mais au «fondement de l'identité, de la nation et de la souveraineté», défend l'expert.

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Saturday, October 21, 2023

La Suisse doit s’investir davantage dans les technologies de demain, alertent des experts - Le Temps

Sur le papier, c’était juste un vernissage. Celui de l’édition 2023 du «Technology Outlook» de l’Académie suisse des sciences techniques (SATW). Mais cet événement, qui s’est tenu mercredi soir dans les locaux de Kudelski, à Cheseaux-sur-Lausanne, s’est vite transformé en un avertissement brutal. Si la Suisse ne modifie pas sa stratégie, si elle demeure passive dans de nombreux domaines, elle risquera de se faire dépasser sur le plan technologique, avec des conséquences économiques, mais aussi sociétales, importantes. Plusieurs spécialistes ont appelé à des réformes drastiques.

Commençons par le «Technology Outlook» lui-même. Il s’agit d’un rapport bisannuel pour lequel l’Académie suisse des sciences techniques a mandaté 183 experts œuvrant dans 89 institutions, pour leur demander quelles sont les technologies les plus prometteuses pour la Suisse. Et donc sur lesquelles se concentrer, tant sur le plan des investissements que de la stratégie globale. Quatre catégories ont été dessinées. Il y a d’abord les «stars technologiques», soit des innovations dont on est sûr qu’elles auront un impact important: le photovoltaïque, les sources alternatives de protéines, la production alimentaire durable, la 5G ou encore certains tests médicaux pointus. Deuxième catégorie, les «niches technologiques», pour lesquelles le retour sur investissement doit être soumis à un regard critique: la photosynthèse artificielle, le captage et le stockage du CO2, ainsi que la blockchain.

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Friday, October 20, 2023

La Suisse doit s’investir davantage dans les technologies de demain, alertent des experts - Le Temps

Sur le papier, c’était juste un vernissage. Celui de l’édition 2023 du «Technology Outlook» de l’Académie suisse des sciences techniques (SATW). Mais cet événement, qui s’est tenu mercredi soir dans les locaux de Kudelski, à Cheseaux-sur-Lausanne, s’est vite transformé en un avertissement brutal. Si la Suisse ne modifie pas sa stratégie, si elle demeure passive dans de nombreux domaines, elle risquera de se faire dépasser sur le plan technologique, avec des conséquences économiques, mais aussi sociétales, importantes. Plusieurs spécialistes ont appelé à des réformes drastiques.

Commençons par le «Technology Outlook» lui-même. Il s’agit d’un rapport bisannuel pour lequel l’Académie suisse des sciences techniques a mandaté 183 experts œuvrant dans 89 institutions, pour leur demander quelles sont les technologies les plus prometteuses pour la Suisse. Et donc sur lesquelles se concentrer, tant sur le plan des investissements que de la stratégie globale. Quatre catégories ont été dessinées. Il y a d’abord les «stars technologiques», soit des innovations dont on est sûr qu’elles auront un impact important: le photovoltaïque, les sources alternatives de protéines, la production alimentaire durable, la 5G ou encore certains tests médicaux pointus. Deuxième catégorie, les «niches technologiques», pour lesquelles le retour sur investissement doit être soumis à un regard critique: la photosynthèse artificielle, le captage et le stockage du CO2, ainsi que la blockchain.

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Thursday, October 19, 2023

À Rennes, le groupe Astek, spécialisé en conseil en technologies s'apprête à recruter 250 personnes - Ouest-France

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Désormais implanté tout près du parc des Gayeulles après des débuts à Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine), le site rennais va quasiment doubler ses effectifs pour atteindre un demi-millier d’experts d’ici fin 2024.

Vincent Mulot, directeur du pôle Telecom & infra France d’Astek France.
Vincent Mulot, directeur du pôle Telecom & infra France d’Astek France. | OUEST-FRANCE
  • Vincent Mulot, directeur du pôle Telecom & infra France d’Astek France.
    Vincent Mulot, directeur du pôle Telecom & infra France d’Astek France. | OUEST-FRANCE

Des espaces clairs, lumineux, répartis sur les quatre niveaux d’un bâtiment de la Zac Saint-Sulpice de la zone Atalante Beaulieu, le tout à littéralement deux pas du parc des Gayeulles, à Rennes : depuis fin septembre 2023, c’est le nouveau cadre de travail des collaborateurs du groupe Astek, acteur mondial de l’ingénierie et du conseil en technologies (7 200 collaborateurs et 5 000 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2022), qui a fait ses premiers pas dans la métropole rennaise...

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À Lannion, Lumibird poursuit sa course en tête des technologies laser - Le Télégramme

À Lannion, Lumibird est un fleuron industriel et technologique . Fondée en 2018, dans la foulée du regroupement de Keopsys et Quantel, l’en...